Je m’appelle larme … J’apparais quand tout vas mal.. Je m’appelle blessure.. Je déchire le cœur de mille fissures.. Je m’appelle désespoir.. Quand tu as perdu tout espoir … Mais moi je m’appelle ami(e) Je suis là, à ton écoute, à n’importe quel moment du jour ou de la nuit.. Et mon arme s’appelle sourire.. Il apporte la lueur, il réchauffe ton cœur et fait disparaître tes peurs …

Les larmes, de joie ou de tristesse, te touchent, cdes perles, elles roulent sur des joues, parfois elles meurent dans ta bouche... Comme si elles étaient les mots, qu'on ne parvient pas à dire... Comme si elles étaient des baisers, qui pouvaient calmer tes désirs. Les larmes, parfois comme des lames, qui creusent ton visage, tles décisions... Te laissant dans une désillusion... Dans l'humiliation, d'incompréhension... Laisse les larmes te toucher... La colère ne peut que s'en aller, et tes mots, se libérer

Je me suis recroquevillée. Je n’ai plus envie de parler. Mon cœur est déchiré. Les palpitations sont démesurées. J’ai fait un arrêt sur image. Je n’arrive pas à tourner la page. Le chagrin me brise toute entière. Je me sens vide et amère. Mes larmes se brisent sur mes joues. Je ne ressens que du dégoût. Ma tête est pleine de pensées. Je n’arrive pas à les exorciser. J’ai mal au plus profond de moi. Tu me manques et je ne le supporte pas.Le manque on ne s’y habitue pas. Le vide on ne le comble pas. Aujourd’hui, les souvenirs remontent à la surface. Ma tristesse, je la prends en pleine face. Je ne veux pas oublier tous ces souvenirs. Je ne veux pas les voir partir.Mon désespoir est toujours aussi grand

Elle naissent au fond du cœur, une peine, une angoisse, un malheur, elles roulent sur mes joues, brillantes telles de précieux bijoux. Laissant des traces humides, le creux de mes yeux se vide, je les cachent le plus souvent, mais je ne les contrôle plus comme avant. Des milliers de perles salées, sur mes lèvres se sont échouées, a la vitesse de l'éclair elle se multiplient, et moi allongée dans mon lit. Au petit matin sur mes joues sont restées, ces traces de perles salées, poussière enchantée, que j'ai doucement récupéré. Vous connaissez maintenant le secret, vcomment procèdent les fées, pour fabriquer leur poudre enchantée, de leur simples perles sacrées

Les années défilent comme le vent. Emporte les feuilles à l'automne. Mais les questions demeurent au temps comme sont ancrés les sentiments. Elles ont leurs saisons comme on a le bourdon. Périodes qui changent les humeurs en toute douceur ou avec frayeur. Et l'on traverse ces nuages d'espaces. Et les couleurs s'éloignent des rivages. Et l'esprit trotte dans tous ces espaces. Et seules les traces se voient sur le visage. Et malgré les sourires, malgré les envies certaines empreintes restent indélébiles. On a beau changer le décor, changer d’île. Il est des flèches plantées dans le cœur, à vie

Je ne suis qu'une goutte de larmes, de pleurs. Une goutte qui grossit. Flaque d'eau, rivière d'amertume et de tristesse qui fais déborder les bords

La seule vraie tristesse est dans l'absence de désir

La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. Souvent une fausse joie vaut mieux qu'une tristesse dont la cause est vraie. Si nous ne naissons que pour les plaisirs des sens, pourquoi ne peuvent-ils nous satisfaire, et laissent-ils toujours un fonds d'ennui et de tristesse dans notre ♥ ?

Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré. Souvenons-nous que la tristesse seule est féconde en grandes choses. A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse.

Hélas ! La grande tristesse actuelle est que les choses n'ont plus le temps de vieillir. L'âme résiste bien plus aisément aux vives douleurs qu'à la tristesse prolongée. C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime de sa tristesse, de sa fatigue, de sa fragilité, de son intensité de vivre, de sa joie. Sans les gestes, c'est la pudeur qui disparaît, la transparence qui s'installe. Ne laisse pas la tristesse t'étreindre avant que la terre te prenne dans son sein.

Nous sommes si aveugles que nous ne savons quand nous devons nous affliger ou nous réjouir : nous n'avons presque jamais que de fausses tristesses ou de fausses joies. Une âme élevée se réjouit peu, ne s'afflige jamais, et, dans toute chose ne laisse paraître aucun signe de joie ou de tristesse.

La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; l'une est en or et l'autre est en fer, mais elles sont également faites pour nous enchaîner et nous empêcher de réaliser notre vraie nature. La vie est tristesse. Surmonte-la..

Les plus belles larmes sont celles de la nostalgie, parce qu’elles sont nées des rires qui ont disparu, des rêves qui ne sont pas terminés et des souvenirs qui ne se faneront jamais!!!!!

Les larmes sont une sorte d'oiseaux qui habitent le cœur des êtres. Quelquefois, elles apparaissent en bande; souvent ce n'est qu'une seule qui prend son envolée pour se poser sur le bord d'une paupière. En s'envolant de nous, ces oiseaux-larmes entraînent comme des peines sous leurs ailes la douleur qui rend le ♥ si lourd et si dur à porter. Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux d'où ils s'échappent, ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence et de l'orgueil: ceux-là qui quelquefois attrapent les oiseaux dans un grand filet, au centre de la gorge. Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes ce sont des messages du monde de notre cœur, ils ont quelque chose à dire, à montrer aux autres. Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être. Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être pour se laisser glisser sur une joue, cueillez-la d'un baiser. Elle donnera à vos lèvres des paroles d'amour.

Les oublié.e.s

                   Les isolé.e.s

Celles et ceux qui cherchent notre regard dans la rue a qui nous n'avons pas répondupParce qu'il était trop vieux. Parce qu'elle était trop laids. Parce qu'ils étaient différents. Ces gens-là dont on ne parle pas. Ces gens-là qu'on ne voit pas ont dans le ♥ la tristesse et le désespoir de ceux que personne n'attend nulle part