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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Apocalypse 12, 1-4 : « Un grand signe apparut dans le ciel : une femme, vêtue du soleil, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles. Elle était enceinte et criait dans le travail et les douleurs de l'enfantement. Alors un autre signe apparut dans le ciel : C'était un grand dragon rouge feu. Il avait sept têtes et dix cornes et, sur ses têtes, sept diadèmes. Sa queue, qui balayait le tiers des étoiles du ciel, les précipita sur la terre. Le dragon se posta devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer l'enfant dès sa naissance. »
Combien Marie est élevée par ce titre.
Saint Thomas et saint Bonaventure ne trouvent rien de comparable à la qualité de Mère de Dieu, qui appartient à Marie. Dieu seul est grand, mais la Vierge sainte approche des perfections de la divinité ; elle touche à l'infini ! « Ecoute, homme ! s'écrie là-dessus saint Anselme, contemple et admire ! Le Père céleste avait un fils unique et consubstantiel ; mais il n'a pas voulu que ce Fils ne soit qu'à lui seul. Il en a fait part à Marie qui est véritablement sa Mère sur la terre, comme il est son Père dans le ciel. Quel mystère ! Quel autre miracle encore que Dieu a pu opérer ? La virginité et la fécondité jointes ensemble ; une Vierge qui conçoit dans le temps le même Fils que Dieu, avant tous les siècles, a produit dans l'éternité. » Qui jamais avant Marie n'entendit rien de semblable ? Une femme disait, en montrant ses enfants : « Voilà ma gloire, voilà ma couronne. » Cependant, la renommée qu'avaient acquise ses enfants n'était que l'écho d'un peu de bruit qu'ils avaient fait dans le monde. Mais l'enfant que Marie nous montre et qu'elle peut justement appeler sa gloire et sa couronne, c'est le vrai Fils de l'Eternel, le Sauveur des hommes. Dieu ! Quelle élévation, quelle gloire pour une simple créature !
Toutefois, en étant enfants de Marie, nous n'avons rien à envier au bonheur de la Mère de Jésus, puisque par la sainte communion nous devenons participants de ce même bonheur. En effet, l'Eucharistie n'est-elle pas une extension du divin mystère de l'Incarnation et chacun de nous, après avoir communié, ne peut-il pas s'écrier : Mon Dieu est à moi, je le possède et ce Dieu, malgré sa puissance, ne peut rien me donner de plus grand que lui-même ! Que mon âme le bénisse à jamais : Magnificat ! Désormais donc, regardons la communion comme le plus sublime honneur auquel nous puissions aspirer, et approchons-nous souvent de l'eucharistique. Sainte Gertrude aurait passé, nous assure-t-elle, à travers des épées pour se rendre à la sainte table. Marie ! Que cet empressement soit aussi le nôtre, au moins aux beaux jours de vos fêtes !
O mon âme ! Comprends-tu ce grand mystère ? Puisqu'il n'y a en Jésus-Christ qu'une seule personne, Marie est la mère cette personne, et puisque cette personne est la personne du Fils de Dieu, Marie est véritablement Mère de Dieu. A l'instant même où elle acquiesça à la parole de l'archange, le Saint-Esprit forma de sa chair virginale une chair capable de recevoir une âme humaine et, à ce même instant, cette chair, vivifiée par cette âme raisonnable, fut unie substantiellement au Verbe divin. Puisque la nature humaine du Seigneur entra ainsi, dès que formée au sein de Marie, dans la personne du Verbe, cette personne est née de Marie.
Prière : Vierge très sainte et immaculée, ma Mère, ô Marie, à vous qui êtes la Mère de mon Seigneur, le refuge des pécheurs, j'ai recours à vous aujourd'hui, moi, le plus misérable de tous. Je vous vénère, ô grande Reine, et je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites jusqu'ici, spécialement de m'avoir délivré de l'enfer, que j'ai si souvent mérité. Je vous aime, ô ma Souveraine très aimable, et pour votre amour, je m'engage à vous servir toujours, et à faire tous mes efforts pour que vous soyez aussi aimée par les autres. Saint Alphonse-Marie de Ligori
Résolutions : Je me consacrerai chaque jour à Marie, la Mère de mon Sauveur. A chaque difficulté, j'aurai recours à l'aide de Marie, en lui disant : « Marie, passe devant moi, secoure-moi »
Philippiens 2, 9-11 : « C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. »
O mon âme ! Combien de fois n'as-tu pas éprouvé toi-même l'efficacité de ce nom adorable ! Combien de fois ne t'a-t-il pas soutenue dans tes tentations, soulagée dans tes douleurs, consolée dans tes afflictions ! Non, je ne m'étonne plus qu'au nom de Jésus, tout genou fléchisse dans le ciel et sur la terre. Je ne m'étonne plus que l'invocation de ce nom sacré ait opéré dans tous les siècles et opère encore aujourd'hui des effets si merveilleux : c'est le nom dont les élus ne cessent de faire retentir les portiques éternels. C'est le nom gravé par la main du Tout Puissant sur les murs de la Cité sainte, et célébré par les concerts des Intelligences célestes. C'est le nom du Messie promis depuis tant de siècles à la maison d'Israël. C'est le nom du Créateur, du Rédempteur, du Sauveur de tous les hommes. Nom si plein de charmes qu'il ferait tressaillir les réprouvés eux-mêmes, s'il était possible qu'un élu le prononce dans les sombres demeures que ces réprouvés habitent avec les démons.
Prière : Que l'invocation du nom sacré que vous recevez aujourd'hui me remplisse de force et de courage lorsque je me verrai exposé aux assauts de l'esprit des ténèbres. Que je ne le prononce jamais qu'avec un profond sentiment de respect et de reconnaissance, et que ce nom adorable se retrouve sur mes lèvres lorsque je serai sur le point de mourir.
Résolutions : Je travaillerai sans relâche à lutter contre mes inclinations perverses, et je m'imposerai comme une devoir quelques exercices de piété non commandés, pour suppléer aux œuvres obligatoires dont je me suis si souvent dispensé.
Voici comment fut engendré Jésus Christ : Marie, samère, avait été accordée en mariage à Joseph ; avantqu’ils aient habité ensemble, elle fut enceinte par l’actionde l’Esprit Saint. Joseph, son époux, qui était un homme juste, et nevoulait pas la dénoncer publiquement, décida de larenvoyer en secret. Comme il avait formé ce projet, voici que l’ange duSeigneur lui apparut en songe et lui dit : « Joseph, fils deDavid, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse, puisque l’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve), car c’estlui qui sauvera son peuple de ses péchés. »
Tout cela est arrivé pour que soit accomplie la parole duSeigneur prononcée par le prophète : ‘Voici que la Vierge concevra, et elle enfantera un fils ;on lui donnera le nom d’Emmanuel’, qui se traduit :« Dieu-avec-nous »
Quand Joseph se réveilla, il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse.
Nous sommes à une semaine de Noël. C’est pour nous l’occasion de nous préparer à ce grand événement. Nous le faisons chaque jour, mais pas à la manière du monde. Noël c’est d’abord Jésus qui vient. Il nous rejoint au cœur de notre vie. Il est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. Il veut être présent au milieu de nous et en nous pour nous faire entrer en communion avec Dieu. Un enfant a dit que « Jésus est le plus beau cadeau de Noël »
Avec l’Évangile, nous arrivons à l’annonce de la naissance de Jésus : Nous sommes familiers du récit de l’annonciation faite à Marie dans l’évangile de Luc. Mais dans l’évangile de Matthieu, c’est à Joseph qu’est adressée l’annonce de la naissance à venir de Jésus : « Joseph, ne crains pas de prendre chez toi Marie ton épouse… L’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint ». En l’accueillant, Joseph participe au grand projet de Dieu qui est de sauver son peuple de ses péchés. Cet événement nous rappelle que Dieu nous conduit parfois sur des chemins que nous n’avions pas prévus. La fête de Noël vient nous inviter à reconnaître en Jésus le Fils de Dieu. Accueillons-le avec confiance car il est « Dieu avec nous ».
En cette nuit de Noël, notre regard se portera vers ce petit enfant né dans des conditions misérables, enveloppé de langes et couché dans une mangeoire. Il est grand le mystère de la foi qui se contente de signes aussi humbles. Et pourtant, ce petit enfant, c’est le Fils de Dieu. Avec lui, c’est la promesse d’Isaïe qui se réalise. C’est le sauveur qui vient, non seulement pour son pays de Palestine mais aussi pour le monde entier.
Cet envoyé de Dieu compte sur notre foi et notre confiance. Et surtout, il fait appel à chacun de nous pour que son message soit annoncé partout dans le monde. Notre mission n’est pas de « faire croire » mais de « dire » et de témoigner. Le reste c’est lui qui s’en charge ; c’est son Esprit Saint qui agit dans le cœur de ceux et celles qu’il met sur notre route. Le Cardinal Eyt, archevêque de Bordeaux, disait que « nous ne sommes pas deux mille ans après Jésus Christ, mais deux mille ans avec lui. »
À chaque messe, Dieu nous donne des signes pour nous dire qu’il est « Emmanuel » (Dieu avec nous). Quand nous écoutons sa parole, c’est lui qui nous parle. Quand nous allons communier, c’est lui qui se donne en nourriture. N’oublions pas qu’il est né à Bethléem (nom qui signifie « la maison du pain ») et qu’il a été déposé dans une mangeoire. Le Seigneur est également présent à travers les petits, les pauvres et les exclus que nous rencontrons sur notre route.
Noël c’est Jésus qui vient à nous. Prenons le temps de l’accueillir et de l’écouter loin des bruits et de l’agitation du monde. C’est à ce prix que nous pourrons vivre un bon Noël : Confions ces prochains jours au Seigneur : « SeigneurDieu de l’univers, la terre déjà chante sa joie, ta Parole est promesse de renouveau. Nous t’en prions : que l’annonce de notre délivrance nous parvienne, qu’elle nous tienne dans la patience et l’espérance ; et nos voix acclameront ton Envoyé, ta Parole faite chair… Amen ! »