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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts).
Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : ‘Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.’
Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : ‘Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !’
Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »
Nous célébrons aujourd’hui la Journée Missionnaire Mondiale.Cette journée nous rappelle que l’Église est envoyée pour « annoncer la miséricorde ». C’est Jésus lui-même qui nous envoie. Pour nous aider à remplir cette mission, nous nous mettons à l’écoute de la Parole de Dieu. Le but n’est pas de travailler POUR le Seigneur mais de faire le travail DU Seigneur.
L’Évangile de ce dimanche nous parle de la prière de deux hommes. L’un était pharisien et l’autre collecteur des impôts pour les ennemis de son peuple. Tous deux quittent leur maison pour « monter au temple pour prier ». Chacun a sa manière de se tenir devant Dieu. Mais de l’un à l’autre, le contenu de la prière n’est pas du tout le même.
Le premier est un bon pratiquant très fidèle. Il a une bonne réputation car il observe plus que ce qui est écrit dans la loi. À vrai dire, il ne prie pas ; il ne demande rien à Dieu. Sa prière n’est que de l’auto contemplation. Il fait l’éloge de ses propres vertus et l’étalage de ses bonnes œuvres. Il ne se contente pas de se donner des coups d’encensoir. II fait en même temps l’examen de conscience du publicain. Il n’a pas compris que pour être exaucé, il nous faut être plein de bonté et de compréhension pour les autres, même s’ils sont pécheurs. C’est ce que nous a rappelé la semaine missionnaire : Dieu veut le salut de tous les hommes.
Le second a une très mauvaise réputation. Lui, le collecteur d’impôts, s’est enrichi au détriment des plus pauvres. Au lieu de se vanter, il reconnaît sa petitesse. Il est au fond du gouffre. Il fait appel à la miséricorde De Dieu. Il ne demande qu’à être justifié : « Montre-toi favorable au pécheur que je suis. » Cet homme attend tout de Dieu car il se sait pécheur. Alors, Dieu peut tout pour lui. Cette parabole nous est racontée pour nous annoncer une bonne nouvelle : elle nous dit que Dieu est Amour.
Cet Évangile veut nous ramener à l’essentiel : Le juste n’est pas celui qui croit l’être. Celui qui demande la miséricorde devient un homme juste, un homme « justifié » et « ajusté » à l’amour de Dieu. La prière du publicain touche le cœur de Dieu : « Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé ». À chaque messe, nous commençons par un appel à la miséricorde : « Seigneur, prends pitié ! » Et avant d’aller communier, nous acclamons l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde.
En ce jour, nous accueillons cet appel du Christ : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux». Et nous demandons au Seigneur qu’il soit toujours avec nous et nous toujours avec lui pour que nous soyons les témoins et les messagers de sa miséricorde.
Dieu notre Père, par les Cœurs uni de Jésus et de Marie, nous Te rendons grâce pour chacune de tes œuvres. Nous Te prions et implorons Ton aide pour chaque jour de cette nouvelle semaine qui commence.
Lundi: Seigneur, aide-moi à me laver de mon égoïsme et de mon orgueil, afin de te servir dans une parfaite humilité durant la semaine qui commence.
Mardi : Seigneur, aide-moi à repasser tous les plis des préjugés que j'ai accumulés depuis des années afin que je puisse voir la beauté intérieure des autres.
Mercredi: Ô Mon Dieu, aide-moi à raccommoder ma conduite afin de ne pas être un mauvais exemple pour les autres.
Jeudi: Seigneur Jésus, aide-moi à me nettoyer de toutes les fautes que j'ai cachées secrètement dans les recoins de mon coeur.
Vendredi: Ô Mon Dieu, donne-moi la grâce de garder sagement tes paroles qui sont de vrais deniers, afin d'acheter le bonheur éternel pour moi et tout ceux et celles qui ont besoin d'amour.
Samedi: Aide-moi, mon Sauveur, à préparer chaque jour un bon plat d'amitié, d'amour et de le servir avec un bon pain de bonté humaine à tous ceux qui seront dans le besoin.
Dimanche: Ô mon Dieu, j'ai préparé ma maison pour toi. S'il te plait, viens dans mon coeur afin que je puisse passer la journée et le reste de ma vie en ta présence.
Amen !
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes. Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : “Rends-moi justice contre mon adversaire.” Longtemps il refusa ; puis il se dit : “Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne, comme cette veuve commence à m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse m’assommer.” » Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice ! Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ? Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
La liturgie de ce dimanche nous rappelle l’importance de la prière. Le livre de l’Exode (1ère lecture) nous montre Moïse sur le sommet de la montagne.Les mains levées, il supplie le Seigneur pour son peuple qui lutte contre ses ennemis. C’est grâce à cette prière persévérante que le peuple a triomphé.En lisant ce récit, nous comprenons l’importance et la force de la persévérance de la prière personnelle et communautaire.
En ce dimanche, nous entrons dans la semaine missionnaire mondiale.Comme Moïse, nous nous mettons en prière pour soutenir tous ceux qui annoncent la bonne nouvelle sur les cinq continents.Nous pensons à tous ces peuples qui doivent se battre pour que leur dignité humaine et leur liberté religieuse soient respectées et reconnues. C’est à nous maintenant de lever les mains vers le Seigneur.Ils comptent sur nous pour les soutenir de notre prière fraternelle et communautaire. Ensemble, nous faisons nôtre la prière du psaume 120 :« Levons les yeux vers les montagnes car le secours nous viendra du Seigneur notre Dieu, qui se tient près de nous. Il gardera notre vie au départ et au retour, maintenant et à jamais »
L’Évangile de ce dimanche nous rappelle que tout commence dans la prière.Jésus nous raconte l’histoire de cette pauvre veuve qui supplie pour que justice lui soit faite. C’est une femme sans défense, sans pouvoir ni bonnes relations. Elle a des démêlés avec une justice corrompue, avec un juge qui se fiche pas mal des pauvres et des faibles. L’obstination de cette femme fera basculer l’attitude moqueuse de ce« juge dépourvu de justice ». À force d’être harcelé, il finira par lui accorder tout ce qu’elle demande.
Cette veuve symbolise la pauvreté et l’impuissance des exclus, des sans-voix et des marginaux. Ils sont très nombreux chez nous et dans le monde entier. Nous pensons à toutes les victimes des injustices, des conflits, des attentats, des persécutions. Beaucoup meurent chaque jour sous les bombes.C’est toute cette souffrance que nous présentons au Seigneur. Prier c’est insister comme des enfants qui reviennent sans arrêt à la charge, jusqu’à obtenir gain de cause. Notre Dieu n’est pas comme ce juge dont nous parle l’Évangile.Il est notre Père, un Père qui aime chacun de ses enfants et qui ne veut que leur bonheur. Voilà une bonne nouvelle qui doit nous remplir de joie.
Le Christ conclut sa parabole en nous posant une question de la plus haute importance :« Le Fils de l’Homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »Trouvera-il des disciples missionnaires ?Le pire ennemi de la foi c’est le découragement, c’est quand on se dit que Dieu n’est jamais là, ou qu’il nous a abandonnés.Jésus nous met en garde contre ce danger. Croire c’est s’obstiner dans la prière, c’est crier vers Dieu jour et nuit sans baisser les bras. Il ne manquera pas d’oiseaux de malheur pour semer le doute. Mais l’exemple de la veuve est là pour nous apprendre l’obstination.
En ce mois du Rosaire, nous faisons passer notre prière par Marie. Elle est là pour nous renvoyer au Christ et à son Évangile.Dans le mot « Rosaire », il y a « rose ». Un enfant qui veut faire plaisir à sa maman ne lui offre pas une fleur mais un bouquet entier. Il en va de même pour nous à l’égard de notre maman du ciel.N’hésitons pas à lui donner la place d’honneur dans notre vie. Elle est là pour nous ajuster à l’amour de Dieu.
Ensemble, nous nous tournons vers toi Seigneur. Nous te prions en communion avec tous les groupes de prières de nos diocèses et avec tous les chrétiens du monde entier. Aide-nous à dépasser le plan terrestre où nous nous installons trop facilement. Garde-nous dans ton amour. Au milieu de nos travaux, de nos joies et de nos peines, fais-nous vivre en enfants de Dieu, disciples et missionnaires. Amen
Les saints disent clairement que l’humilité est le fondement de toute croissance spirituelle. Si nous ne sommes pas humbles, nous ne sommes pas saints. C’est aussi simple que cela. Mais s’il est simple de savoir que nous devrions être humble, il n’est pas toujours facile de pratiquer cette vertu. Voici six méthodes pour cultiver la vertu de l’humilité.
Toute vertu se forme dans notre âme grâce à une prière fréquente. Si vous désirez vraiment être humble, priez chaque jour pour obtenir cette grâce. Demandez à Dieu de vous aider à vaincre votre amour-propre. Comme l’enseigne le curé d’Ars :Chaque jour, nous devrions demander à Dieu de tout notre cœur la vertu de l’humilité et la grâce de comprendre que nous ne sommes rien par nous-mêmes, et que notre bien-être corporel et spirituel viennent de Lui seul.
Peut-être la manière la plus douloureuse, mais aussi la plus efficace d’apprendre l’humilité, c’est d’accepter des circonstances humiliantes et embarrassantes. Le père Gabriel de Ste Marie-Madeleine explique :
De nombreuses âmes aimeraient être humbles, mais peu d’entre elles désirent l’humiliation. Beaucoup demandent à Dieu de les rendre humbles en priant ardemment pour cela, mais très peu désirent être humiliées. Pourtant, il est impossible d’obtenir la vertu de l’humilité sans les humiliations ; car de même que par l’étude nous pouvons acquérir des connaissances, c’est par le chemin de l’humiliation que nous pouvons atteindre l’humilité.
Tant que nous désirons la vertu de l’humilité, mais que nous ne sommes pas prêts à accepter les moyens qui mènent à elle, nous ne sommes pas véritablement sur le bon chemin pour l’acquérir. Même si, dans certaines situations, nous réussissons à agir humblement, cela pourrait bien être le résultat d’une humilité superficielle et apparente, plutôt que d’une humilité réelle et profonde. L’humilité est la vérité ; par conséquent, disons-nous que puisque nous ne possédons rien par nous-mêmes, à l’exception du péché, il est juste que nous recevions humiliations et mépris.
L’une des manifestations les plus évidentes de l’orgueil est la désobéissance. Paradoxalement, la désobéissance et la rébellion sont acclamées comme de grandes vertus dans la société occidentale moderne. La chute de Satan est due à son orgueil : Non serviam, « Je ne servirai pas. »
D’autre part, l’humilité se manifeste toujours par l’obéissance à l’autorité, qu’elle soit représentée par votre patron ou par le gouvernement. Comme le dit saint Benoît :Le premier degré d’humilité est l’obéissance sans délai.
Les saints nous disent que. Si nous nous méfions de nous-même, et n’avions confiance qu’en Dieu seul, nous ne commettrions jamais aucun péché. Don Lorenzo Scupoli est allé jusqu’à dire que :
la méfiance de soi est indispensable dans le combat spirituel. Sans cette vertu, nous ne pouvons pas espérer vaincre nos passions les plus faibles, et encore moins espérer remporter la victoire.
Un autre moyen très efficace de cultiver l’humilité, est de méditer la grandeur et la splendeur de Dieu, tout en reconnaissant en même temps notre propre néant par rapport à Lui. Le curé d’Ars affirme que :
Qui peut contempler l’immensité de Dieu, sans s’humilier dans la poussière à la seule pensée qu’Il a créé le ciel à partir de rien ? Et qu’il pourrait réduire le ciel et la terre en un rien de nouveau en prononçant un seul mot ? Dieu est si grand ; sa puissance est infinie. Il est la perfection et son éternité est sans fin. Sa justice et sa providence sont grandes. Il gouverne tout avec tant de sagesse, et s’occupe de tout avec tant de soin. Face à Lui, nous ne sommes rien !*
Quand nous sommes orgueilleux, nous pensons inévitablement que nous sommes mieux que les autres. Nous prions comme le pharisien : « Seigneur, je te remercie car je ne suis pas comme les autres hommes. » Cette satisfaction de soi est incroyablement dangereuse pour nos âmes, et elle est une abomination pour Dieu. Les écritures et les saints affirment que le seul chemin sûr, c’est de considérer que les autres sont meilleurs que nous-mêmes. « Ne soyez jamais intrigants ni vaniteux, mais ayez assez d’humilité pour estimer les autres supérieurs à vous-mêmes », affirme saint Paul (Ph 2,3).
Thomas a Kempis résume cet enseignement dans le chapitre 7 de son classique, L’Imitation du Jésus-Christ :
Ne vous estimez pas meilleur que les autres ; peut-être êtes-vous pire aux yeux de Dieu, qui sait ce qu’il y a dans l’homme. Ne vous enorgueillissez pas de vos bonnes œuvres, car les jugements de Dieu sont autres que ceux des hommes, et ce qui plaît aux hommes, souvent lui déplaît. S’il y a quelque bien en vous, croyez qu’il y en a plus dans les autres, afin de conserver l’humilité. Vous ne hasardez rien à vous mettre au-dessous de tous, mais il vous serait très nuisible de vous préférer à un seul. L’homme humble jouit d’une paix inaltérable, la colère et l’envie troublent le cœur du superbe.
CONCLUSION
Il n’y a aucun doute à ce sujet : l’humilité est le fondement de toute la vie spirituelle. Sans cette vertu, nous ne pourrons jamais progresser en sainteté. Pourtant, l’humilité n’est pas simplement une abstraction pour être admiré. C’est une vertu à apprendre et à pratiquer dans les souvent douloureuses circonstances de la vie quotidienne. Faisons tout notre possible pour être toujours humbles, à l’imitation de Jésus-Christ qui « s’est anéanti lui-même, prenant la forme d’esclave, étant fait à la ressemblance des hommes. »