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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Qu'est-ce que le purgatoire ?
La foi nous apprend que le purgatoire, comme l'étymologie de ce mot l'indique, est un lieu de douleur et d'expiation, où la justice Divine achève de purifier les âmes pas assez pures pour être admises au Ciel. Ce n'est pas le Paradis, où rien de souillé ne peut pénétrer; ce n'est pas l'enfer où il n'y a plus de Rédemption. C'est un lieu intermédiaire entre le séjour des joies infinies et le séjour des infinies douleurs. Il tient de l'enfer par la rigueur de ses supplices, il tient du Ciel la sainteté de ceux qui y gémissent.
C'est un feu dévorant mais qui purifie; c'est un séjour de larmes, mais ce n'est pas le lieu des "pleurs éternels" dont parle l'Évangile.
Le travail de purification terminé, Dieu appellera près de Lui ces âmes affranchies par la souffrance pour les associer à son propre bonheur.
La purification est donc une peine temporaire et il n'existera plus après le jugement dernier.
Tel est le purgatoire. C'est là que souffrent et gémissent la plupart des âmes qui ont terminé leur pèlerinage ici-bas. Car l'entrée immédiate dans le paradis n'est le privilège que d'un petit nombre. C'est là que certains de nos parents, de nos bienfaiteurs, de nos amis sont peut-être encore. C'est là que nous-mêmes serons vraisemblablement un jour! Et peut être bientôt. Et qui pourrait se flatter de mourir assez pur pour ne rien avoir à expier?
Il importe donc de bien connaître l'état de ces pauvres âmes pour compatir à leurs douleurs, et pour mériter d'être soulagés à notre tour!
Ce mois de novembre leurs est dédié. Nous sommes invités durant ce mois et à tout moment de l’année à prier pour elles.
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui. Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait :
« Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
C’est aujourd’hui la fête de tous ceux et celles qui sont près de Dieu.Le livre de l’Apocalypse nous dit qu’ils sont une foule immense que nul ne peut dénombrer.
C’est en Jésus que nous trouvons le vrai bonheur. Lui-même nous en montre le chemin dans son sermon sur la montagne. Cet Évangile des béatitudes c’est celui de la joie. Ce bonheur est à recevoir dans l’immédiat. C’est lui qui donne tout son sens à notre vie actuelle ; nous sommes en marche vers ce monde nouveau que Jésus appelle le Royaume de Dieu. Dans cet Évangile des béatitudes, Jésus ne commande rien : simplement, il déclare heureux ceux qui se comportent d’une certaine manière, ceux dont le cœur est conforme à la Parole de Dieu.
« Heureux les pauvres de cœur… ceux qui pleurent… ceux qui sont persécutés pour la justice… les cœurs purs… les miséricordieux… » Nous sommes loin de la mentalité de notre société actuelle. Quand les chrétiens veulent proclamer la vérité de l’Évangile, ils sont tournés en dérision, on les traite d’intégristes. On a recours à la violence pour posséder toujours plus. Mais au bout du compte, l’accumulation de biens matériels ne pourra jamais nous combler.
L’Évangile des béatitudes est là pour nous rappeler que Dieu seul peut nous combler pleinement. C’est en allant vers lui que nous trouvons « la meilleure part ». Mais cela ne sera possible que si nous restons vraiment ouverts à ce cadeau de Dieu. Si nous restons accaparés par la course à l’argent et aux richesses, nous passons à côté du but.Ce qui fera la valeur de notre vie c’est notre amour pour Dieu et pour les autres. C’est en donnant la priorité à Dieu, et en renonçant à tout ce qui nous détourne de lui que nous trouverons le chemin du vrai bonheur. Lui seul pourra nous combler pleinement. Tout cela, c’est l’œuvre du seigneur : Avec une infinie délicatesse, il nous fait avancer d’étape en étape ; il nous fait abandonner ce qui nous retient loin de lui ; il guérit nos blessures, il redresse ce qui est faussé à nous, sans le briser.
En cette année 2016, la 5ème béatitude doit plus fortement attirer notre attention :« Heureux les miséricordieux car ils obtiendront miséricorde ».Nous vivons l’année sainte de la miséricorde voulue par le pape François. Nous sommes tous invités à écouter Jésus« qui a établi la miséricorde comme idéal de vie et comme critère de crédibilité de notre foi ». Oui, « heureux les miséricordieux ! ». C’est la béatitude qui doit susciter notre engagement tout particulier en cette année sainte.
Le grand message de ce jour c’est que Dieu seul est saint. Mais il veut nous associer tous à sa sainteté. Il fait sans cesse le premier pas vers nous. Quand nous lisons la Bible, nous voyons que son amour n’est pas seulement affirmé ; il est agissant, il est visible, il est concret. Il ne demande qu’à venir en nous pour nous combler de joie et de paix. Avec tous les chrétiens du monde entier nous pouvons le chanter et l’acclamer :« Dieu nous te louons, Seigneur, nous t’acclamons dans l’immense cortège de tous les saints. »
BONNE FÊTE DE LA TOUSSAINT
QUE D'ABONDANTES GRÂCES NOUS SOIENT ACCORDEES EN CE JOUR
Je vous invite à écouter ce magnifique chant qui nous transporte au ciel !
LES BIENFAITS DU ROSAIRE
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Le Rosaire :
1. Il nous élève insensiblement à la connaissance parfaite de Jésus Christ ;
2. purifie nos âmes du péché ;
3. nous rend victorieux de tous nos ennemis ;
4. nous rend la pratique des vertus facile ;
5. nous embrase de l’Amour de Jésus Christ ;
6. nous enrichit de grâces et de mérites
7. nous fournit de quoi payer toutes nos dettes à Dieu et aux hommes ;
8. et enfin nous fait obtenir de Dieu toutes sortes de grâces.
Continuons à réciter le Rosaire. Et si vous n’avez pas encore commencé à le faire, sachez que c’est peut-être par-là que le Seigneur vous appellera à rejoindre sa bergerie, à devenir son fils, le fils de sa Très Sainte Mère et frère de son Fils bien-aimé : en aimant et priant avec dévotion Marie, notre Mère pour toujours.
D’après saint Louis-Marie Grignion de Montfort
En ce temps-là, entré dans la ville de Jéricho, Jésus la traversait. Or, il y avait un homme du nom de Zachée ; il était le chef des collecteurs d’impôts, et c’était quelqu’un de riche. Il cherchait à voir qui était Jésus, mais il ne le pouvait pas à cause de la foule, car il était de petite taille. Il courut donc en avant et grimpa sur un sycomore pour voir Jésus qui allait passer par là. Arrivé à cet endroit, Jésus leva les yeux et lui dit : « Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. » Vite, il descendit et reçut Jésus avec joie. Voyant cela, tous récriminaient : « Il est allé loger chez un homme qui est un pécheur. » Zachée, debout, s’adressa au Seigneur : « Voici, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. » Alors Jésus dit à son sujet : « Aujourd’hui, le salut est arrivé pour cette maison, car lui aussi est un fils d’Abraham. En effet, le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
Les trois lectures de ce dimanche évoquent un Dieu qui fait justice. C’est ce qui arrive au pauvre qui crie vers lui. Le Seigneur attend de nous que nous restions fermes et fidèles à notre baptême. C’est à ce prix que nous recevrons « La couronne de justice ».
Mais cette victoire n’est pas le résultat de performances personnelles. C’est le Seigneur lui-même qui fait sans cesse le premier pas vers nous. Il est capable de venir nous chercher très loin et très bas. C’est cette bonne nouvelle que nous lisons dans l’Évangile de ce jour. Cela se passe à Jéricho. Jésus y entre et il s’apprête à en sortir. Il ne s’y installe pas. Jéricho, c’est la ville la plus basse du monde, 300 mètres au-dessous du niveau de la mer. C’est une ville païenne, une ville de pécheurs.Chaque fois que Jésus y entre, c’est pour en faire sortir quelqu’un, pour le sortir du monde du péché et le ramener à Dieu.Jésus n’est pas celui qui accuse le pécheur.Bien au contraire, il vient l’éclairer pour qu’il voie son péché et qu’il en sorte.
C’est ce qui va se passer avec Zachée. Cet homme n’était pas seulement publicain (collecteur des impôts pour l’occupant romain) ; il était aussi le chef des publicains. Il était donc très voleur, très pécheur et très riche.Or voilà que cet homme a un ardent désir de voir Jésus.Il court devant, il monte sur un sycomore pour voir Jésus qui devait passer par là. À partir de ce moment, tout va se passer bien au-delà de ce qui était prévu :Jésus appelle Zachée; la première chose qu’il lui demande c’est de descendre. En effet, Zachée s’est trompé.Si on veut rencontrer Jésus, il ne faut pas monter, il faut descendre. Lui-même s’est fait le plus petit et le plus pauvre. C’est en descendant que nous pourrons le rencontrer.
Jésus s’invite donc dans la maison de Zachée.Pour cet homme méprisé de tous, c’est vraiment un jour de joie.Il n’avait jamais imaginé que cela puisse lui arriver. Cette simple rencontre avec Jésus a été un bouleversement complet pour lui.Zachée se tient debout devant Jésus : c’est l’attitude du priant.Le fait d’être en présence de Jésus amène Zachée à se convertir: il décide de donner la moitié de ses biens aux pauvres. Pourquoi la moitié ? Parce que l’autre moitié n’est pas à lui mais à l’occupant romain.Donc il donne tout aux pauvres et en plus, il décide de réparer les torts qu’il a causés.
Cet Évangile nous dit la joie de Jésus :« Aujourd’hui, le Salut est arrivé dans cette maison. »Zachée est sauvé, il est sorti du monde du mal, sorti de Jéricho. Il devient fils d’Abraham. Il entre dans l’alliance que Dieu a établie avec les hommes. Jésus est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. Ce qu’il a fait pour Zachée, il le fait aussi pour chacun de nous. Il attend que nous descendions de notre arbre ; cet arbre, c’est celui où nous nous cachons pour rester en dehors des combats des hommes ; c’est celui de nos certitudes, celui de notre bonne ou mauvaise conscience…
Nous sommes tous invités à descendre de notre piédestal pour nous laisser habiter par Jésus lui-même.Il nous faut aussi accepter de laisser les autres entrer dans notre vie. Le vrai Dieu, celui que Jésus est venu nous révéler, c’est précisément celui de tous les exclus, qu’ils soient riches ou pauvres, jeunes ou adultes.
En ce jour, nous te prions Seigneur pour tous les Zachée de la terre, tous ceux et celles qui sont rejetés et méprisés à cause de leur passé et de leurs actes. Tu veux demeurer chez eux comme chez nous. Par ton Eucharistie, tu nous invites chez toi. Que notre rendez-vous à la messe et à l’adoration nous transforme comme il a transformé le publicain de Jéricho. Amen !
Celui qui prie régulièrement peut calmer plus aisément toutes ces pensées qui tournent dans la tête comme un manège, comme l’explique un article de la Conférence des évêques allemands. Comment y arriver, ce que l’on peut en dire et ce qu’il faut éviter de faire en priant : voici dix conseils pour une prière réussie.
1 – Trouver le bon lieu
En tenant compte de ce qui est possible, essayez de trouver un endroit calme pour prier. Bien évidemment, vous pouvez prier n’importe où. Mais lorsque tout est calme, cela devient plus simple de trouver une paix intérieure. Réserver un coin spécial au silence et à la prière dans la maison peut être une solution. Et s’il y en a une pas loin, allez à l’église, tout simplement ! En ayant l’oreille attentive, vous trouverez aussi ces zones de paix au beau milieu de votre quotidien. C’est l’occasion de passer un moment avec un crucifix, une icône ou une bible, les yeux tournés vers Dieu.
2 – Trouver le temps
Une bonne et belle prière peut durer le temps d’un instant : juste le temps de dire merci ou s’il te plaît. Il est cependant toujours plus agréable de prendre son temps pour prier. Du moins le temps de calmer le vagabondage de ses pensées et de se centrer sur Jésus. Cela peut durer quelques minutes mais cela vaut toujours le coup ! Si l’on fait cela régulièrement et au même moment, on s’y habitue vite et c’est de plus en plus facile. Ce qui est fondamental, c’est de bien percevoir que Dieu est toujours là et toujours accessible. Le jour comme la nuit, dans les bons comme dans les temps plus durs.
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3 – Dieu est votre ami
Dieu vous connaît, il est plus proche de vous que n’importe quel être humain qui puisse exister. Vous pouvez donc lui parler en lui disant « tu » et sans faire trop de manière. Réfléchissez à une formule qui vous parle tout particulièrement :Père, Seigneur, mon Sauveur, mon Dieu ; il y a tant de possibilités !Et n’oubliez pas tout ce que vous réserve la Trinité : peut-être est-ce de Jésus personnellement dont vous avez besoin ? L’aide du Saint-Esprit quand on a une lourde tâche à affronter peut aussi être tout spécialement la bienvenue.
4 – Puiser dans les trésors de l’Église
Si l’on n’est pas particulièrement exercé dans les prières formulées de manière toute personnelle, on peut trouver dans l’Église un immense trésor de prières constitué par des siècles de saints et de témoins de la foi. On se sent parfois encore plus à l’aise et plus libres devant Dieu avec des phrases déjà écrites plutôt qu’avec une prière spontanée. La prière du Notre Père est aussi toujours un très bon choix. Et les psaumes sont également d’une richesse insoupçonnable.
5 – S’aider de rituels
Les rituels et les gestes peuvent aussi aider à prier. On peut exprimer corporellement la volonté de prier : par exemple en ouvrant ses bras devant un crucifix. Allumer de petites bougies ou des cierges peut également être une grande aide à la prière.
6 – N’y allez pas par quatre chemins
Si vous formulez vos prières librement, oubliez le superflu ! Soyez direct avec le Seigneur, parlez lui en toute honnêteté, gratuitement, sans avoir peur d’être vous-même. Avant de commencer à prier, pensez à tout ce que vous avez reçu et à quel sujet vous vous sentez prêt à dire merci. Demandez-vous aussi les forces et les grâces dont vous avez particulièrement besoin. Priez alors directement, sans faire forcément de longues phrases avec de grandes explications. Il ne s’agit pas de dire des formules magiques mais de vivre un cœur à cœur avec Dieu.
7 – La prière n’est pas une conversation mondaine remplie de politesse
Prier est aussi d’une certaine manière une« lutte avec Dieu »comme le dit le bénédictin Anselm Grün en s’appuyant sur l’épisode de Jacob et de la lutte avec l’ange. Ce qui veut dire que l’on peut se plaindre, l’apostropher frontalement, et même pleurer. Peut-être trouverez vous également du réconfort dans l’histoire de Job : il se plaint amèrement et va jusqu’à regretter d’être né ! Avant d’être capable de dire finalement« loué soit le nom du Seigneur ».
8 – Parfois, ne rien dire, tout simplement
Si dans la prière absolument rien ne vous vient ou bien comme dans de nombreuses situations de la vie les mots ne viennent pas, ne dites rien.« Votre père dans les Cieux sait ce dont vous avez besoin avant même que vous ne lui demandiez »nous promet Jésus dans l’évangile selon saint Matthieu. Mettez-vous tout simplement devant Dieu. Souvent ensuite les mots viennent tout seul. Et parfois Dieu exauce notre prière avant même qu’on la formule distinctement. La Bible dit d’ailleurs :« Avant même que vous m’appeliez, je vous donne une réponse ; pendant que vous parlez, je vous exauce déjà. »,comme on peut le lire dans le livre d’Isaie.
9 – Vous n’êtes pas tous seul
Pour beaucoup il est plus facile de prier en groupe. Les mots de Jésus encouragent d’ailleurs cette attitude :« Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux ». Quelques mots et un petit signe de croix à plusieurs peut élever l’âme directement vers Dieu.
10 – Amen
Amen : ce mot peut faire toute une prière. Dire Amen en pleine conscience, cela signifie consentir totalement au dessein de Dieu et lui rendre grâce pour son œuvre. Cela peut vouloir dire bien plus de mots qu’une longue prière. C’est la décision de s’enraciner fermement en Dieu et de lui faire confiance totalement. Tout l’esprit d’une vie de prière est donc inclus dans ces quatre lettres. Amen Seigneur, je crois en Toi, je m’en remets à Toi et je sais que ta volonté seule peut faire mon bonheur et me faire connaitre la liberté et la vie véritable. Amen Seigneur je suis né pour Te connaître, pour T’aimer, pour Te prier et Te louer à chaque heure du jour et de la nuit.
O Marie, Aurore du monde nouveau,
Mère des vivants, Nous te confions la cause de la vie.
Regarde, ô Mère, le nombre immense des enfants que l'on empêche de naître,
des pauvres pour qui la vie est rendue difficile, des hommes et des femmes victimes d'une violence,
des vieillards et des malades tués par l'indifférence ou par la pitié fallacieuse.
Fais que ceux qui croient en ton Fils sachent annoncer aux hommes de notre temps avec fermeté et avec amour l'Evangile de la vie.
Obtiens-leur la grâce de l'accueillir comme un don toujours nouveau, la joie de le célébrer avec reconnaissance dans toute leur existence et le courage d'en témoigner avec une ténacité active,
afin de construire avec tous les hommes de bonne volonté la civilisation de la vérité et de l'amour, à la louange et à la gloire du Dieu Créateur qui aime la vie.
Amen !
Jean Paul II