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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
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c'est mon anniversaire
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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La confession demande courage et humilité. Une fois passé le cap du premier pas, c’est plus facile qu’on ne le pense. Il faut seulement commencer par chasser certaines fausses idées et se donner les bons moyens.
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Pourquoi craindre la confession ? Par timidité ? Par gène ? Par peur ou honte d’avouer à un autre toutes les fautes commises ? D’avoir commis des péchés si graves qu’ils ne puissent être pardonnés ? Nombreuses sont les raisons qui peuvent aller jusqu’à rendre malade quelqu’un à la seule idée d’aller se confesser. Certains voient cela comme une corvée humiliante. D’autres deviennent nerveux à cette idée et se retrouvent bloqués.
Mais tous aimeraient bien savoir comment faire pour briser ces chaines qui empêchent de connaître la joie du pécheur pardonné. Non, Jésus n’a pas institué la confession pour rendre tristes, inquiets, mais pour libérer et donner cette joie. Regardez les visages de ceux qui viennent de se confesser… Alors, voici dix astuces qui peuvent aider à surmonter cette peur et faire de ce moment un grand moment de retrouvailles qu’on aura envie de répéter.
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Partir d’un bon pied
Commencer par chasser cette idée que ce n’est « pas la peine… ça fait trop longtemps que je n’y vais plus ». Il n’est jamais trop tard pour se repentir, pour tirer un trait et recommencer.
Retirer le masque
Se mettre en mode « honnêteté » et accepter d’avoir commis des erreurs et qu’on ne peut pas tout contrôler. Puis demander à Dieu un coup de pouce. Prier pour qu’il vous donner la force et le courage dont vous avez besoin pour franchir le pas. C’est tout ce que Dieu attend.
Pour se sentir à l’aise
N’importe quel confesseur peut faire l’affaire, mais si cela est un problème au début pour se mettre en confiance, choisir un prêtre avec qui vous vous sentez à l’aise, ou alors un confessionnal anonyme.
Arriver avec des notes
Écrire sur une feuille ou dans un petit carnet les étapes du processus confessionnel pour ne pas risquer de devenir nerveux au fil de la confession et de se laisser distraire à nouveau par la peur.
Arriver à l’avance
Arriver un peu à l’avance. Fermer les yeux et penser à Dieu en train de vous observer avec son regard plein d’amour et de miséricorde. L’imaginer en chair et en os, et prier.
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On n’est pas à un examen
Face au confesseur, se rappeler que ce n’est pas un examen. Si on ne sait pas « comment faire », le dire en toute simplicité. Si on a peur de parler ouvertement, se rappeler que le prêtre est tenu au plus strict secret sur ce qu’on lui dit en confession.
Briser la honte
Avouer tout de suite ce dont on a honte, qui nous humilie le plus, pour enlever cette chape de plomb qui nous opprime et ainsi permettre à la lumière de l’amour de mieux pénétrer et montrer l’orgueil endurci qui nous empêche d’aimer et de nous laisser aimer.
Tout dire
Ne rien cacher volontairement. Et, inversement, ne pas avoir peur de dire toujours la même chose si on recommence. À chaque fois que l’on retombe, Dieu veut nous relever. Il ne se lasse jamais. L’essentiel est de ne pas se lasser nous aussi de nous confesser.
Ne pas se justifier
Ne pas chercher à plaider des circonstances atténuantes au péché tout juste avoué. Dieu connaît le dossier. Il connaît tout le mal qui est en nous. On n’a rien à lui apprendre. On est là pour présenter notre mal et notre douleur afin qu’Il nous libère, nous pardonne et nous guérisse. La question n’est pas de savoir à quel point on est mauvais, mais de réaliser à quel point Dieu est bon.
Penser juste
Ne pas assimiler la pénitence à une punition. Contrairement à la punition, qui est un acte de vindicte imposé, la pénitence est l’expression d’une affliction libre et sincère à « réparer les dommages causés » et effacer les blessures que le péché a infligées à autrui. La pénitence est une œuvre d’amitié. Les péchés étant remis à Dieu, Dieu les a oubliés, et on va de l’avant.
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DEUXIÈME STATION
Jésus est chargé de la Croix
De l'Evangile selon saint Matthieu 27, 27 - 31
et selon saint Jean 19, 17
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MÉDITATION
Après la condamnation, vient l’humiliation. Ce que les soldats font à Jésus nous semble inhumain. De fait, c’est sans aucun doute inhumain : ce sont des actes de dérision et de mépris à travers lesquels s’exprime une obscure férocité, indifférente à la souffrance, y compris physique, qui est infligée sans motif à une personne déjà condamnée au supplice effrayant de la croix. Cependant, ce comportement des soldats est également, malheureusement, très humain. Mille pages de l’histoire de l’humanité et de la chronique quotidienne confirment que des actions de ce genre ne sont vraiment pas étrangères à l’homme. L’Apôtre Paul a bien mis en lumière ce paradoxe : « Je sais… qu’en moi, … dans l’être de chair que je suis, n’habite pas le bien : … je ne réalise pas le bien que je voudrais, mais je fais le mal que je ne voudrais pas » (Rm 7, 18-19).
Il en est véritablement ainsi : dans notre conscience, la lumière du bien est allumée, une lumière qui, dans bien des cas, devient évidente et par laquelle, heureusement, nous nous laissons guider dans nos choix. Mais il arrive souvent le contraire : cette lumière est obscurcie par les ressentiments, par les désirs inavoués, par la perversion du cœur. Et alors, nous devenons cruels, capables des choses les pires, y compris de choses inimaginables.
Seigneur Jésus, moi aussi, je suis au nombre de ceux qui se sont moqués de toi et qui t’ont frappé. Tu l’as dit : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait» (Mt 25, 40). Seigneur Jésus, pardonne-moi.
Notre Père ...
Dans son âme qui gémissait,
toute brisée, endolorie,
le glaive était enfoncé.
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
O mon Dieu ! Tellement souvent, j'ai levé le poing vers toi,
tellement souvent je t'ai accusé de tous les maux.
Aujourd'hui je me rends compte de tout le mal que j'ai pu causer,
moi, avec mes paresses, mes lâchetés,
mes ambitions, mes rancunes, et j'en passe.
Pendant tout ce temps, tu étais patient !
Tu attendais que mon cœur revienne à toi !
Tu as attendu longtemps, si longtemps.
Pendant ce temps, je t'ai laissé critiquer, bafouer, déformer.
Je vois bien que mes voisins
ne te connaissent pas sous ton vrai visage
celui d'un Père plein de tendresse,
celui d'un Fils qui nous a aimé jusqu'à donner sa vie,
celui d'un Esprit Saint à l'œuvre en nos cœurs !
Et je m'en sens un peu coupable.
Donne-moi ton pardon Seigneur, que par le chemin retrouvé
du sacrement de réconciliation, je puise des forces
pour me mettre sous ton regard Seigneur,
pour te connaître sous ton vrai jour,
et pour montrer au monde qui tu es.
Oh ! Combien, mon cœur est léger à présent Seigneur,
maintenant que la douceur de ton amour peut y couler librement.
Oh ! Combien j'étais aveugle de croire
que c'était toi qui avais fermé les vannes de l'amour.
Je te rends grâce ô Seigneur
de me montrer tout cela dans ma petitesse.
Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem.Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs.Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs,et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. »Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : ‘L’amour de ta maison fera mon tourment.’Des Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? »Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! »Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en son nom, à la vue des signes qu’il accomplissait. Jésus, lui, ne se fiait pas à eux, parce qu’il les connaissait tous et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ; lui-même, en effet, connaissait ce qu’il y a dans l’homme.
Tout au long de ce Carême, nous continuons notre montée vers la grande fête de Pâques. Les textes bibliques de ce dimanche nous invitent à contempler et à accueillir les signes que Dieu nous donne. Nous y découvrons un Dieu libérateur qui se fait proche de nous et qui est riche en miséricorde. Il nous rejoint dans nos situations de péché pour nous en libérer.
Le premier signe que nous découvrons aujourd’hui c’est le don de la loi (1ère lecture). C’est une loi de liberté et de vie. Si Dieu nous donne cette loi c’est pour nous apprendre à bien vivre les uns avec les autres. Notre Dieu nous aime tous de la même manière. Il veut le salut de tous. Les dix commandements qu’il nous laisse commencent par des interdits : « Tu n’auras pas… Tu ne feras pas… » Ces paroles nous disent les impasses qu’il nous faut éviter pour ne pas retomber dans l’esclavage.
Il s’agit de renoncer aux idoles, ces faux dieux qui revendiquent d’être l’absolu de l’homme. Ces idoles, nous les connaissons bien, c’est la course à l’argent, aux richesses matérielles, au « toujours plus ». Tout cela ne fait que nous enfermer dans notre égoïsme. Nous devons également éviter toutes les critiques négatives qui ne font qu’ajouter un peu plus de poison à la société dans laquelle nous vivons. Les dix paroles que le Seigneur nous laisse sont un chemin de liberté et de vie. Elles se présentent comme des points de repères pour une vie digne d’être qualifié humaine.
En réponse à cette loi du Seigneur, nous avons la prière du psaume. C’est une prière de louange et d’action de grâce : « La loi du Seigneur est parfaite qui redonne vie… » Avec ce psaume, nous rendons grâce à Dieu qui libère son peuple et le sauve. Plus tard, l’apôtre Pierre reconnaîtra que les paroles de Jésus sont celles de la Vie éternelle. Tout au long de ce carême, nous sommes invités à les lire et à les relire. Elles contiennent les graines de l’amour qui est en Dieu.
Le deuxième signe que nous découvrons aujourd’hui c’est celui de la croix. Dans sa lettre aux Corinthiens (2ème lecture), Paul insiste sur le caractère inimaginable de la croix : « Nous proclamons un Messie crucifié… » Tant pis pour ceux qui s’efforcent de rendre raisonnable l’Évangile de la croix. Si nous voulons comprendre quelque chose à l’amour de Dieu, c’est vers elle que nous devons regarder. Le vrai Dieu se révèle là où les hommes ne voient que la honte et l’échec. Le signe de la croix se présente comme la seule attestation d’un Dieu dont le nom est « miséricorde ».
Après la loi et la croix, l’Évangile nous présente un troisième signe de l’amour de Dieu : le temple. Aujourd’hui, nous voyons Jésus arriver au temple de Jérusalem. Il réagit très fortement contre le trafic qui se pratique en ce lieu. Il devient même violent. La maison de son Père n’est pas destinée à cela. En ce temps de Carême, Jésus veut nous apprendre à adorer Dieu « en esprit et en vérité ». Nos relations avec lui ne se négocient pas. On ne va pas lui offrir ceci ou cela pour qu’il nous donne ce que nous lui demandons.
En purifiant le culte qui se pratique au temple, Jésus veut nous aider à retrouver la vraie signification de ce lieu. Le temple est la demeure de Dieu, sa présence au cœur de l’humanité. Il faut donc chasser de ce lieu tout ce qui est impur. Plusieurs siècles avant, le prophète Zacharie l’avait annoncé : « Il n’y aura plus de marchands dans la maison du Seigneur de l’univers ces jours-là… » (Za 14, 21) Avec l’Évangile de ce jour, c’est le règne de Dieu qui s’ouvre avec un fouet. De victime sacrificielle, il n’en restera plus qu’une, c’est Jésus lui-même. Il sera « fouetté » et crucifié hors de la ville. Mais ce ne sera pas la fin de l’histoire. Le nouveau sanctuaire sera le Corps de Jésus ressuscité.
Ces trois signes, la loi, la croix et le temple nous sont donnés pour nous appeler à une vraie conversion. Ils nous disent ce qu’il nous faut éviter et ce qu’il faut faire pour ne pas retomber dans l’esclavage. Mais pour ce combat, nous ne sommes pas seuls. Jésus l’a gagné sur la croix et il veut nous associer tous à sa victoire. Il est désormais le seul vrai temple où nous pourrons rendre à Dieu un culte « en esprit et en vérité ». Chaque année, le temps du carême nous aide à recentrer notre vie sur Dieu et à retrouver son amour. Il nous appelle inlassablement : « Convertissez-vous… Revenez à moi de tout votre cœur… » Prions ensemble pour que ces quarante jours soient une vraie réponse à l’amour infini de Dieu.