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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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si une vous appartiens et que vous désirez que je la retire, ecrivez moi
merci
On peut dire de quelqu’un qu’il a le sens de la musique ; il sait entrer en communion avec telle œuvre, tel artiste ; il pénétrera lemessage profond de telle pièce musicale.
On pourra dire d’un autre qu’il a le sens des couleurs… celles qui s’harmonisent, celles qui s’excluent, celles qui s’opposent… Même les œuvres abstraites lui ouvrent des horizons.
Y a-t-il encore des gens qui aient le sens de Dieu ?
Dieu n’est ni un copain amnésique, ni un créateur inflexible, ni un père possessif. Il dépasse de beaucoup les images qu’on se fait de Lui… Le psalmiste, tout épris de Dieu, peut nous aider, sinon à le comprendre, du moins à le chanter :
« Vers toi, Seigneur, j’élève mon âme, vers toi, mon Dieu […] Seigneur, enseigne-moi tes voies, fais-moi connaître ta route. Dirige-moi par ta vérité, enseigne-moi, car tu es le Dieu qui me sauve » (Ps 24, 2. 4-5).
« Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien. Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer » (Ps 23, 1-2).
« Je bénirai le Seigneur en tout temps, sa louange sans cesse à mes lèvres » (Ps 33, 2).
On est impressionné par l’extraordinaire sens de Dieu des hommes qui ont écrit ces textes. Une bonne lecture à fréquenter !
Prière :
Aujourd’hui, je pourrais lire un psaume et méditer sur l’un de ses versets.
SEPTIÈME STATION
Jésustombe pour la deuxième fois
V/. Nous t'adorons oh christ et nous te bénissons
R/. Parce que Tu as racheté le monde par ta sainte croix
Du livre des Psaumes 41, 6 - 10
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MÉDITATION
Jésus tombe de nouveau sous la croix. Bien sûr, il était épuisé physiquement, mais son cœur était aussi blessé à mort.
Pesait sur lui, le refus de ceux qui, depuis le début, s’étaient opposés ostensiblement à sa mission. Pesait sur lui le refus que le peuple qui semblait plein d’admiration et d’enthousiasme en sa faveur lui avait, finalement, opposé. C’est pourquoi, contemplant la cité sainte qu’il aimait tant, Jésus s’était exclamé : «Jérusalem, Jérusalem, …, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants comme la poule rassemble ses poussins, et vous n’avez pas voulu» (Mt 23, 37).
Pesaient terriblement sur lui la trahison de Judas, l’abandon des disciples au moment de l’épreuve suprême ; pesait sur lui d’une façon particulière le triple reniement de Pierre.
Nous savons bien que pesait sur lui la masse innombrable de nos péchés, des fautes qui, à travers les millénaires, jalonnent l’histoire humaine.
Nous demandons donc à Dieu, avec humilité mais aussi avec confiance : Père riche en miséricorde, aide-nous à ne pas rendre encore plus pesante la croix de Jésus. En effet, comme l’a écrit Jean-Paul II dont nous célébrons ce soir le cinquième anniversaire de la mort : « La limite imposée au mal, dont l’homme est le fauteur et la victime, c’est en définitive la divine miséricorde » (Mémoire et Identité, p.70).
Notre Père...
Pour les péchés de tout son peuple
elle le vit dans les tourments,
Subissant les coups de fouet.
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
Jean 3,16 : « Tout homme qui croit en Jésus, obtiendra la vie éternelle. »
Jean 15,16 : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous l'accordera.»
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« Il nous a prédestinés à être, pour lui, des fils adoptifs par Jésus, le Christ. Ainsi l’a voulu sa bonté, à la louange de gloire de sa grâce, la grâce qu’il nous donne dans le Fils bien-aimé » (Ép 1, 4).
« Que l’Esprit Saint fasse de nous une éternelle offrande à ta gloire » (Prière eucharistique 3).
« Que les baptisés soient eux-mêmes dans le Christ une vivante offrande à la louange de ta gloire » (Prière eucharistique 4).
Élisabeth de la Trinité, carmélite de Dijon, canonisée le 16 octobre 2016 à Rome par le pape François, avait été tellement frappée par cette expression de saint Paul, reprise dans la liturgie de la messe, qu’elle se l’était attribuée comme une sorte de nouveau nom. Elle écrivait pendant la dernière retraite de sa courte vie : « Quand je serai identifiée à Lui, je remplirai ma vocation éternelle, celle pour laquelle Il m’a choisie, alors que, plongée au sein de la Trinité, je serai l’incessante louange de sa gloire » (10 août 1906).
Et si nous essayions de faire nôtre ce nouveau nom : Louange de gloire ? Le matin, avant d’ouvrir les yeux, le cœur s’élance : « Béni sois-tu, Seigneur, pour ce nouveau jour ! » Peu de temps après : « Oh merci, Seigneur, comme tu es bon ! » Et encore : « Sais-tu que tu es particulièrement aimé(e) de Dieu ? »
Les occasions de louer le Seigneur sont abondantes au cours d’une journée. Il suffit d’y penser.
Prière :
« Ô mon Dieu, Trinité que j’adore…
pacifiez mon âme, faites-en votre ciel,
votre demeure aimée et le lieu de votre repos :
que je ne vous y laisse jamais seul… »
(Sainte Élisabeth de la Trinité)
SIXIÈME STATION
Véronique essuie le visage de Jésus
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V/. Nous t'adorons oh christ et nous te bénissons
R/. Parce que Tu as racheté le monde par ta sainte croix
De l'Evangile selon le Prophète Isaïe 53, 2 - 3
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MÉDITATION
Quand Véronique a essuyé le visage de Jésus avec un linge, ce visage ne devait certes pas être attirant : c’était un visage défiguré. Mais ce visage ne pouvait laisser indifférent ; ce visage troublait. Il pouvait susciter dérision et mépris, mais aussi compassion et même amour, volonté de venir en aide. Véronique symbolise ces sentiments.
Même s’il est défiguré, le visage de Jésus demeure cependant toujours le visage du Fils de Dieu. C’est un visage défiguré par nous, par l’accumulation énorme de la méchanceté humaine. Mais il est aussi un visage défiguré pour nous, qui exprime l’amour et le don que Jésus fait de lui-même, et qui est un reflet de la miséricorde infinie du Père.
Dans le visage souffrant de Jésus, nous voyons, en outre, une autre accumulation gigantesque, celle des souffrances humaines. C’est ainsi que le geste de pitié de Véronique devient pour nous une provocation, une sollicitation pressante : il devient l’appel, doux mais impérieux, à ne pas nous détourner, à regarder nous aussi ceux qui souffrent, proches et lointains. Et non seulement regarder, mais venir en aide. Le Chemin de Croix de ce soir n’aura pas été parcouru en vain s’il nous porte à des gestes concrets d’amour et de solidarité effective.
Notre Père...
Qui pourrait sans souffrir comme elle
contempler la Mère du Christ
douloureuse avec son Fils ?
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
BONJOUR...
Bonne semaine...
Prenez soin de vous et de ceux que vous aimez. Le bonheur c'est de profiter des petits moments de plaisir que Dieu nous donne avec ceux que nous aimons. Alors profites-en.
Bisous
En ce temps-là, il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque. Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. » Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus. Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié.Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruits. Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu'un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l’honorera. » Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci !Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. » En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de tonnerre. D’autres disaient : « C’est un ange qui lui a parlé. »Mais Jésus leur répondit : « Ce n’est pas pour moi qu’il y a eu cette voix, mais pour vous. Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ;et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les hommes. »Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.
Tout au long de ce Carême, nous entendons des appels à réorienter notre vie vers le Christ : "Changez vos cœurs, croyez à la bonne nouvelle… Revenez à moi de tout votre cœur… Laissez-vous réconcilier…" Dimanche dernier, nous étions invités à tourner notre regard vers la croix du Christ Sauveur. C'est en lui que se trouve notre salut. Le grand projet de Dieu c'est d'apporter son salut à tous les hommes.
En lisant la Bible, nous découvrons un Dieu qui fait alliance avec son peuple. C'est ce qui s'est passé à l'époque de Moïse quand Dieu a libéré son peuple de l'esclavage d’Égypte. Mais le peuple n'a pas respecté cette alliance. Il a préféré se tourner vers d'autres divinités. Rejetant son Dieu, il court à sa perte. Mais au-delà de la catastrophe, le prophète entrevoit un renouveau radical. Dieu viendra un jour établir entre lui et les siens une nouvelle alliance. Il changera de l'intérieur le cœur de l'homme. La loi n'apparaîtra plus comme une exigence à laquelle il faut se soumettre. L'homme verra dans ces exigences une occasion de répondre à la miséricorde de Dieu. C'est en nous tournant vers lui que nous trouvons le vrai bonheur.
La lettre aux Hébreux (2ème lecture) nous montre que nous avons souvent du mal à accueillir cet enseignement. Nous avons besoin de le réentendre et d'être motivés pour tenir bon dans la foi. Cette nouvelle alliance a été réalisée en Jésus qui a livré son Corps et versé son Sang pour nous et pour la multitude. "Il est devenu pour ceux qui lui obéissent cause du salut éternel". Sa soumission à Dieu n'est pas celle d'un esclave qui vit sous la contrainte. Son sacrifice est un véritable élan d'amour qui répond à celui du Père. Il est allé jusqu'au fond de la détresse humaine. Ailleurs, saint Paul nous dit qu'il est devenu "obéissant jusqu'à la mort sur une croix. C'est pourquoi Dieu l'a souverainement élevé."
L’Évangile nous montre que la promesse annoncée dans la première lecture est en train de se réaliser. Des grecs venus à Jérusalem désirent voir Jésus. Ces grecs, ce sont des étrangers. Ils nous font penser aux mages venus d'Orient pour se prosterner devant lui. C'est une manière de dire que la bonne nouvelle annoncée par le prophète n'est pas réservée aux seuls membres de son peuple. Elle est offerte à tous les hommes de tous les pays et de toutes les générations.
En réponse, Jésus leur propose de le voir dans sa gloire. Et sa gloire, c'est la croix. Nous allons entrer dans la grande Semaine Sainte. C'est l'heure que Jésus attend depuis le début de sa mission. Ces grecs vont voir un homme comme les autres hommes, affreusement bouleversé de perdre sa vie. Ils verront la mort de Celui qui est l'auteur de la vie, un homme élevé au-dessus de tous et cloué sur une croix. Ce Jésus élevé de terre connaîtra la gloire puisqu'il attirera tous les hommes à lui.
"Nous voudrions voir Jésus". Je pense à cette question d'un enfant du catéchisme : "Comment on sait qu'il existe puisqu'on ne l'a jamais vu ?" C'est vrai, nous ne le voyons pas, mais nous faisons confiance aux apôtres qui l'ont vu ressuscité et qui ont donné leur vie pour lui. Lui-même nous assure de sa présence tous les jours et jusqu'à la fin du monde. Il rejoint les communautés qui se réunissent pour prier, écouter sa Parole et célébrer l'Eucharistie. Il est également présent à travers le petit, le pauvre, l'exclu que nous rencontrons sur notre route.
Nous voudrions voir Jésus… Oui, c'est vrai. Mais c'est surtout lui qui voudrait nous voir et nous attirer à lui. Or trop souvent, c'est nous qui lui tournons le dos. C'est ce qui se passe chaque fois que nous organisons notre vie en dehors de lui. Nous n'accueillons pas l'amour qui est en lui. Nous voyons bien ce que cela donne. Nous assistons à des conflits qui n'en finissent pas de durcir les cœurs. Nous avons besoin de quelqu'un qui nous aide à sortir de la logique de la rancune et de la haine. Seul Jésus peut nous apprendre à aimer comme lui et à pardonner. Lui seul peut nous délier du mal.
Alors c'est vrai, cela vaut la peine d'aller à sa rencontre. Avec lui, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres, aux prisonniers et aux exclus de toute sorte. Il est celui qui fait miséricorde aux pécheurs. Son salut est offert à tous. Lui-même nous dit qu'il n'est pas venu pour juger le monde mais pour le sauver. Son Évangile est un message d'espérance et d'amour qu'il faut proclamer à temps et à contretemps.
Mais pour voir Jésus et le rencontrer, il y a une condition : il nous faut aussi aller vers les autres. Nous ne pouvons pas aller au Christ sans eux. Rappelons-nous les paroles de Jésus dans l’Évangile de Saint Matthieu : "Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait."
En ce jour, nous te prions Seigneur : Fais-nous découvrir le bonheur qu'il y a à donner sa vie pour ceux qu'on aime. Transforme notre cœur et notre esprit pour que triomphe dans nos vies le désir de te suivre jusqu'au bout. Amen !
CINQUIÈME STATION
Jésus est aidé par le Cyrénéen à porter la Croix
V/. Nous t'adorons oh christ et nous te bénissons
R/. Parce que Tu as racheté le monde par ta sainte croix
De l'Evangile selon saint Luc 23, 26
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MÉDITATION
Jésus devait être vraiment épuisé et les soldats y remédient en saisissant le premier malheureux qu’ils rencontrent et en le chargeant de la croix. Dans la vie de chaque jour aussi, la croix, sous une multiplicité de formes – depuis une maladie ou un grave accident jusqu’à la perte d’une personne chère ou d’un travail –, s’abat souvent à l’improviste sur nous. Et nous ne voyons en cela qu’une malchance, ou pire encore, un malheur.
Mais Jésus a dit à ses disciples : « Si quelqu’un veut marcher derrière moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive » (Mt 16, 24). Ce ne sont pas des paroles faciles ; plus encore, ce sont les paroles les plus difficiles de l’Évangile. Tout notre être, tout ce qui est nous, se cabre devant de telles paroles.
Toutefois, Jésus poursuit en disant : « Celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie à cause de moi la gardera » (Mt 16, 25). Arrêtons-nous sur cet «à cause de moi » : là se trouve toute la prétention de Jésus, la conscience qu’il avait de lui-même et la requête qu’il nous adresse. Il est au centre de tout, Il est le Fils de Dieu qui ne fait qu’un avec le Père (cf. Jn 10, 30), Il est notre unique Sauveur (cf. Ac 4, 12).
Effectivement, ce qui semblait au début n’être qu’une malchance ou un malheur se révèle ensuite, fréquemment, être une porte qui s’est ouverte dans notre vie et qui nous a procuré un plus grand bien. Mais il n’en est pas toujours ainsi : tant de fois, en ce monde, les malheurs demeurent des pertes douloureuses. Ici, une nouvelle fois, Jésus a quelque chose à nous dire. Mieux, il lui est arrivé quelque chose : après la croix, il est ressuscité des morts, et il est ressuscité comme premier-né d’une multitude de frères (cf. Rm 8, 29 ; 1 Co 15, 20). Oui, sa croix ne peut être séparée de sa résurrection. C’est seulement en croyant à la résurrection que nous pouvons parcourir de façon sensée le chemin de la croix.
Notre Père...
Quel est celui qui sans pleurer
pourrait voir la Mère du Christ
dans un supplice pareil ?
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !