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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Quatrième parole :Jésus dit : « J’ai soif. »
Sentons cette soif qui creuse en notre coeur l’ardent désir de la source. Demandons-nous : « De quoi et surtout de qui ai-je vraiment soif ? »
L’accomplissement des Ecritures, c’est d’avouer sa soif ! Jésus a déjà demandé : « Donne-moi à boire » à une Samaritaine, pour révéler qu’il n’y a rien de plus humain que d’oser exprimer sa soif. Faisant cela, il donne la possibilité à chacun, comme à la Samaritaine et aux soldats, de lui donner ce qu’il a. Dieu est un Dieu qui se donne, c’est vrai. Mais il veut aussi nous donner de partager ce qu’il vit lui-même. Il désire nous donner la grâce de nous donner tels que nous sommes.
« Aimer, c’est tout donner et se donner soimême
» (PN 54,22)
s’exclame Thérèse. Qu’avons-nous à donner ?
Considérons ce que possèdent ces pauvres soldats
eux qui ont été tirés au sort pour accompagner
un tel supplice ? Du vinaigre, c’est-à-dire ce qu’ils boivent eux-mêmes ! Les soldats de deuxième classe de l’armée romaine ne buvaient pas du Saint-Emilion mais de la piquette. Ils donnent ce qu’ils ont et tout est accompli ! Nous pouvons parfois sentir que notre vin à nous n’est pas un grand cru. Si nous attendons de devenir un grand vin, nous risquons de ne jamais nous donner. Même et surtout si c’est notre pauvreté, offrons-la ! Le « j’ai soif !» de Jésus nous invite aussi à comprendre que suivre Jésus ne consiste pas seulement à donner mais aussi à aider les autres et surtout les plus pauvres d’entre nous à se donner.
Écoutez-moi, îles lointaines ! Peuples éloignés, soyez attentifs ! J'étais encore dans le sein maternel quand le Seigneur m'a appelé ; j'étais encore dans les entrailles de ma mère quand il a prononcé mon nom.
Il a fait de ma bouche une épée tranchante, il m'a protégé par l'ombre de sa main ; il a fait de moi sa flèche préférée, il m'a serré dans son carquois.
Il m'a dit : « Tu es mon serviteur, Israël, en toi je me glorifierai. » Et moi, je disais : « Je me suis fatigué pour rien, c'est pour le néant, c'est en pure perte que j'ai usé mes forces. » Et pourtant, mon droit subsistait aux yeux du Seigneur, ma récompense auprès de mon Dieu.
Maintenant le Seigneur parle, lui qui m'a formé dès le sein de ma mère pour que je sois son serviteur, que je lui ramène Jacob et que je lui rassemble Israël. Oui, j'ai du prix aux yeux du Seigneur, c'est mon Dieu qui est ma force. Il parle ainsi : « C'est trop peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob et ramener les rescapés d'Israël : je vais faire de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu'aux extrémités de la terre. »
En toi, Seigneur, j'ai mon refuge :
garde-moi d'être humilié pour toujours.
Dans ta justice, défends-moi, libère-moi,
tends l'oreille vers moi, et sauve-moi.
Sois le rocher qui m'accueille,
toujours accessible ;
tu as résolu de me sauver :
ma forteresse et mon roc, c'est toi !
Seigneur mon Dieu, tu es mon espérance,
toi, mon soutien dès avant ma naissance,
tu m'as choisi dès le ventre de ma mère ;
tu seras ma louange toujours !
Ma bouche annonce tout le jour
tes actes de justice et de salut ;
Mon Dieu, tu m'as instruit dès ma jeunesse,
jusqu'à présent, j'ai proclamé tes merveilles.
Malgré nos petitesses et nos faiblesses humaines, en dépit de nos trahisons, petites ou grandes, sachons toujours trouver l’humilité pour revenir et recevoir le don que Jésus nous fait de lui-même, et l’accueillant, accueillir celui qui l’a envoyé.
Il fut donc troublé, celui qui a le pouvoir de donner sa vie et le pouvoir de la reprendre (Jn 10,18). Une si grande puissance peut-elle tomber dans le trouble ? Peut-elle être ébranlée cette pierre inébranlable ? Celui qui est mort pour nous, s’est troublé lui-même pour nous. Celui qui est mort par un effet de son propre pouvoir, a été troublé par un effet de ce même pouvoir. Celui qui a transfiguré notre corps, tout abject qu’il était, en le rendant conforme à son corps glorieux (Ph 3,21), a aussi transfiguré en lui-même les sentiments de notre faiblesse ; car son âme était remplie de compassion pour nous. C’est pourquoi, lorsque nous voyons se troubler le grand, le fort, l’inébranlable et l’invincible, ne craignons pas qu’il faiblisse : il ne court pas à sa perte, il nous cherche. C’est nous, dis-je, c’est nous seuls qu’il cherche ainsi. Reconnaissons-nous nous-mêmes dans son trouble, afin que quand nous sommes troublés, nous ne nous laissions pas aller au désespoir. Rien ne console mieux celui qui est troublé malgré lui, que de voir dans le trouble celui qui n’est troublé que parce qu’il le veut. Périssent les raisonnements des philosophes qui assurent que le trouble ne peut tomber dans l’âme du sage. Dieu a rendu insensée la sagesse de ce monde (1 Cor 1,20). Le Seigneur a connu que les pensées des hommes sont vaines (Ps 93,11). Que l’âme chrétienne se trouble, non sous l’effort du malheur, mais sous l’impression de la charité. Saint Augustin
Laissons-nous troubler par l’amour de Jésus, méditons sur le don qu’Il fait de sa vie, pour que nous en vivions en abondance. Tournons-nous vers lui, dans un mouvement constant de conversion, afin qu’Il nous reconnaisse et nous envoie comme ses disciples, reconnaissables à l’amour que nous manifestons les uns pour les autres.
Seigneur Dieu, Père de Jésus-Christ, le monde a constamment besoin de connaître que tu as envoyé ton Fils afin que le connaissant il te connaisse aussi. Par ton Esprit, suscite parmi les hommes la soif de te servir auprès de tous leurs frères, de façon particulière et exclusive, en faisant le don joyeux de leur vie.
Troisième parole : “Jésus lui déclara : « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. „ (Lc 23, 43)
Laissons résonner cette promesse. Croyons que la résurrection nous est promise, non pas demain, mais aujourd’hui.
L’amour et le pardon de Dieu nous ouvrent grand le Ciel. De même chaque acte de confiance (comme celui du bon larron), chaque acte d’amour aussi petit soit-il nous ouvre le Paradis. Alors que Jésus subit la pire des souffrances, au coeur même du mal, il nous rappelle que Dieu est fidèle à sa promesse de nous rendre heureux. « La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant » témoigne saint Irénée. Et cela est vrai quelle que soit la situation. Sur la Croix, Jésus nous révèle que Dieu est toujours avec nous pour nous ouvrir un chemin de Vie. Le larron reconnait que le vrai roi, c’est Jésus. C’est lui qui est souverain, c’est lui qui a le dernier mot et ce dernier mot, c’est la Vie. Avec le larron, nous
pouvons nous tourner vers Jésus même si notre
vie nous parait un échec car Dieu prend plaisir à
transfigurer la vie des pécheurs que nous sommes. Son regard nous remplit de sa lumière : « qui regarde vers lui resplendira sans ombre ni trouble au visage » (Ps 33).
« Tu seras avec moi en paradis... »
Comment l'amour pourrait-il résister
quand l'espérance dicte une prière ?
Alors, Seigneur, souviens-toi encore,
souviens-toi de chacun de nous,
souviens-toi que nous sommes
pauvres et fragiles, souviens-toi que nous avons tant de mal à rendre ce monde plus humain,
souviens-toi de ceux que la vie désespère,
souviens-toi aussi de ceux qui espère contre toute espérance, Oui, Seigneur, souviens-toi de nous dans ton Royaume et redis-nous l'aujourd'hui de ton Amour.
L'amour de Dieu pour nous est sans mesure. Jésus, lui qui était dans la condition de Dieu, a accepté par amour pour nous et par obéissance à son Père, prendre corps et mourir sur une croix pour nous sauver.
Dieu nous aime et par le sang versé de son fils Jésus qui nous a reconcilier avec lui, nous devenons ses enfants, frères de Jésus.
Que pouvons-nous faire en retour pour notre Père céleste et pour notre Seigneur Jésus ?
Rendons grâce chaque instant de notre vie, disons MERCI à se Père très aimant et à son Fils bien-aimé.
Que cette semaine Sainte nous fasse entrer dans ce mystère de l'amour de Dieu et nous transfigure afin que nous soyons des témoins authentiques et fidèle.
Guidés par la curiosité, de nombreux Juifs s’attroupent autour de la maison de Lazare : la foule aime le sensationnel. Guidé par l’appât du gain, un disciple convoite et ment : Judas aime l’argent. Guidée par son cœur, une femme lave avec un parfum précieux les pieds de l’invité devant lequel elle est agenouillée : Marie aime Jésus d’un amour spontané, généreux, gratuit et fécond.
Spontané : « Marie a choisi la meilleure part » (Lc 10, 42), celle de l’amour brûlant qui ne peut se taire et transcende les convenances. Elle suit l’élan de son cœur, qui lui dicte un témoignage personnel, un don dépourvu de calcul.
Généreux : Son geste relève du cri muet de l’adieu. Jésus le comprend et le désigne comme tel. Plus qu’un parfum précieux, elle offre son consentement à la mort prochaine du Bien-Aimé. Comme en écho, le Ressuscité dira à Marie agenouillée devant lui : « Ne me retiens pas ! » (Jn 20, 17).
Gratuit : Marie agit pour celui qu’elle aime, sans intention possessive, avec l’humilité et l’effacement d’une « servante du Seigneur » (Lc 1, 38). Elle concilie un geste charnel potentiellement scandaleux avec la pudeur et la chasteté les plus parfaites.
Fécond : Le parfum se répand dans la maison, de même que l’Evangile sera annoncé à toutes les nations : La Bonne Nouvelle du Royaume est diffusive et ne se laisse pas contenir.
Quant à nous, quelle relation d’amour entretenons-nous avec le Christ ? Profitons de ce début de Semaine Sainte pour scruter notre conscience : Comme chez une partie de la foule, l’événementiel masque-t-il à notre regard l’essentiel ? Comme Judas, le gain nous conduit-il à notre perte ? Touchons Jésus avec le cœur et dépensons à ses pieds sans compter le plus précieux : notre vie.
Seigneur, donne à ceux que tu appelles de pouvoir entendre ta voix, malgré le bruit du monde et la faiblesse de leur foi. Accorde-leur un cœur brûlant et généreux, insensible aux obstacles de l’indifférence et de la tentation, docile à ta volonté et prompt à te répondre. Permets-leur d’être, au milieu des hommes et à leur service, des âmes de prière, des témoins fidèles de l’Evangile et des relais de ton appel.
Seigneur,nous voici devant la croix, la croix de ton Fils, image et souvenir de l'heure où la vie retourne à sa source, image d'une immense défaite d'où pourtant le jour a jailli. Alors que nous nous redirons, une à une les Sept dernières Paroles de ton Fils en croix, pose sur nous ton regard pour que cette heure nous apporte lumière et paix. AMEN !
Deuxième parole :“ Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. „ (Jn 19, 26-27).
Regardons le Christ qui confie sa mère. Mesurons l’extrême grandeur de ce geste de confiance. Et demandons-nous en qui, réellement, nous mettons notre confiance.Nous le savons, il y a deux conditions pour devenir disciple dans l’évangile de Jean : être le disciple que Jésus aime (en se laissant,aimer par lui), et prendre Marie pour mère. De la Croix, lieu de la condamnation, de la souffrance et de l’exclusion naissent des liens nouveaux que rien ni personne ne pourra briser. Il y a quelqu’un qui nous est offert par Jésus pour entrer dans une nouvelle manière de vivre avec les autres : la Vierge Marie. Comme mère de tous les frères et soeurs de son fils, elle nous aide à voir en toute, personne un frère, une soeur. Marie entend son fils lui dire : « Voici ton fils ! ». Si nous nous laissons accompagner par Marie, nous vivrons avec elle comme membres de la famille de Dieu née de la Croix de Jésus, nous pourrons voir en chacun un frère et une soeur, quelque différence qu’il y ait entre nous.
Toi Marie, la favorisée de Dieu
depuis toujours tu habitais le cœur de Dieu.
« Voici ta mère, voici ton fils »
des mots tout simples, trop simples peut-être,
et tu deviens ma mère, la mère de ma mère,
et moi, je deviens ton fils, le fils du Père, le fils et la fille de l'Église. Par toi Marie, j'entre dans la grande famille trinitaire. À bout de souffrance, entre le dernier souffle de la chair et le premier soupir de l'âme, au cœur de l'abandon, Jésus se dépouille encore.