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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
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Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Publié à 22:26 par lusile17 Tags : hiver
Peintre célèbre - Jean Francois Millet
Jean Francois Millet

 

La  Maison au puits a Gruchy 

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Peintre célèbre - Jean Francois Millet
Jean Francois Millet

 

Les Batteurs de sarrasin  

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Jean Francois Millet

 

Les Vignerons 

 

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Peintre célèbre - Jean Francois Millet
Jean Francois Millet

 

L'hiver aux corbeaux

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Jean Francois Millet

 

La Tempête

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Peintre célèbre - Jean Francois Millet
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La Maison de la Ferme

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Jean Francois Millet

 

Les Tondeurs de moutons

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

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Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Jean Francois Millet Autoportrait (1841),

Biographie 

Jean-François Millet (4 octobre 1814 - 20 janvier 1875) est un artiste-peintre, pastelliste, graveur et dessinateur du XIXe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est particulièrement célèbre pour ses scènes champêtres et de la paysannerie.

Il fut influencé par Courbet.

 

Millet est le fils de Jean Louis Nicolas Millet et de Aimée Henriette Adélaide Henry. Né à Gruchy, hameau de la commune de Gréville, dans la région de la Hague, dans le nord Cotentin, Normandie. Aîné d'une famille nombreuse de paysans, berger dans son enfance et plus tard laboureur, il est élevé dans un environnement éclairé. Notamment grâce à son oncle, curé lettré, il lit la Bible, mais aussi Montaigne, La Fontaine, Homère et Virgile, Shakespeare et Milton, Chateaubriand et Victor Hugo.

Il travaille dans la ferme familiale jusqu'à l'âge de 20 ans, puis, doué en dessin, il est envoyé à Cherbourg par son père, grâce à des relations dans la bourgeoisie locale, pour apprendre le métier de peintre auprès de Paul Dumouchel et de Langlois de Chèvreville. A cette époque, ouvre le musée Thomas-Henry, et Millet s'y exerce en copiant les toiles de maîtres et s'initie aux maîtres hollandais et espagnols.

Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage à Paris. Il s'y installe en 1837 et étudie à l'école des Beaux-Arts à partir du 27 mars dans l'atelier du peintre académique Delaroche. Deux ans plus tard, il est 18e sur 20 au premier essai pour le Prix de Rome le 10 avril, mais échoue au second essai le 18 mai. Il perd alors sa bourse et doit quitter l'école des Beaux-Arts.

 

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Jean Francois Millet

 

Des glaneuses

Des glaneuses (souvent improprement nommé Les Glaneuses) est un tableau de Jean-François Millet, peint en 1857, et présenté la même année au Salon.

Sur le tableau figure trois femmes, une vieille et deux jeunes, parmi les plus pauvres de la campagne, puisque contraintes de glaner des épis de blés pour manger, et illustre ainsi la misère de la population rurale en s'inscrivant dans la veine réaliste, sans misérabilisme. Les trois femmes figurent les trois gestes du glanage : se baisser, ramasser, se relever. Le travail de ses femmes est pénible (courbure du dos, maigreur de la récolte), mais leurs vêtements ne sont pas des haillons. Cette pauvreté (et une certaine fracture sociale) est accentuée par l'apparente richesse de la récolte de blé chargée sur les charrettes en arrière plan par le maître et les gens de ferme. Millet représente dans le ciel une nuée d'oiseaux, prêts eux aussi à picorer les grains oubliées, à l'instar des glaneuses[1.

Le glanage est un sujet connu à cette époque. Balzac, dans Les Paysans, met en scène le régisseur du comte de Montcornet qui conteste le droit de glaner. Deux ans plus tard, Jules Breton prend le contre-pied de Millet dans Le rappel des glaneuses, où celles-ci sont montrées sans souffrance, dans une ambiance presque festive.

Comme pour son tableau Moissonneurs (1852), Millet a pu en observant les paysannes de Chailly, d'un passage de la Bible, mettant en scène Booz et Ruth, le premier autorisant la seconde à glaner dans son champ, puis à partager le repas des travailleurs.

Ce tableau s'inscrit dans une série de peintures de Millet illustrant la vie paysanne.

Acheté pour 2000 francs par M. Binder, de l'Isle-Adam, sur les conseils de Jules Dupré, Des glaneuses est entré dans la collection du Louvre en 1890 grâce au don de Mme Pommery, et a été affecté au Musée d'Orsay en 1986.

Critiques de 1857

Pour les critiques de droite, ces femmes sont le symbole d'une révolution populaire menaçante, quand les journaux de gauche y voient le peuple rural appauvri par le Second Empire.

  • « Ses trois glaneuses ont des prétentions gigantesques : elles posent comme les trois Parques du paupérisme. Ce sont des épouvantails de haillons plantés dans un champ, et, comme les épouvantails, elles n'ont pas de visage : une coiffe de bure leur en tient lieu. M. Millet paraît croire que l'indigence de l'exécution convient aux peintures de la pauvreté : sa laideur est sans accent, sa grossièreté sans relief. Une teinte de cendre enveloppe les figures et le paysage ; le ciel est du même ton que le jupon des glaneuses ; il a l'aspect d'une grande loque tendue. Ces pauvresses ne me touchent pas ; elles ont trop d'orgueil, elles trahissent trop visiblement la prétention de descendre des sibylles de Michel-Ange et de porter plus superbement leurs guenilles que les moissonneuses du Poussin ne portent leurs draperies. Sous prétexte qu'elles sont des symboles, elles se dispensent de couleur et de modelé. Ce n'est pas ainsi que je comprends les représentations de la misère, « chose sacrée », dit le poète latin, — sacrée et naive. L'art doit la peindre sans emphase, avec émotion et simplicité. Il me déplaît de voir Ruth et Noémi arpenter, comme les planches d'un théâtre, le champ de Booz. » Paul de Saint-Victor
  • « Millet peint avec une austère simplicité des sujets simples. Quoiqu'il étudie la nature d'assez près pour savoir le fin du fin, il ne se laisse pas aller au péché mignon des observateurs subtils; il échappe à la tentation de tout dire à la fois, et vous ne trouverez jamais chez lui cette multiplicité d'intentions, ce caquetage de détails qui fatigue dans les œuvres de M. Meissonier. Ses tableaux péchaient même par un excès de sobriété, et l'on pouvait croire que M. Millet, à force de réduire la nature à sa plus simple expression, se trouvait, comme un alchimiste imprudent, devant un creuset vide. Mais les Glaneuses de 1857 se distinguent des œuvres précédentes par cette abondance dans la sobriété qui est la marque des talents achevés et la signature commune des maîtres. Le tableau vous attire de loin par un air de grandeur et de sérénité. Je dirai presque qu'il s'annonce comme une peinture religieuse. Tout est calme là-dedans, le dessin est sans tache et la couleur sans éclat. Le soleil d'août chauffe vigoureusement la toile, mais vous n'y surprendrez pas un de ces rayons capricieux qui s'ébattent dans les tableaux de M. Diaz comme des écoliers en vacances : le soleil de M. Millet est un astre sérieux qui mûrit les blés, qui fait suer les hommes, et qui ne perd pas le temps à badiner. Au fond de la toile, les moissonneurs bien nourris entassent les gerbes opulentes et la richesse du propriétaire. Sur le premier plan, trois glaneuses ramassent un à un les épis oubliés. Je ne crois pas cependant que M. Millet ait spéculé sur le contraste et voulu frapper les esprits par une antithèse déclamatoire. Il n'a pas suspendu aux épaules de ses paysannes ces haillons pathétiques que les Troyennes d'Euripide étalaient aux yeux des Achéens ; il ne leur a prêté ni les grimaces pitoyables de la pauvreté larmoyante ni les gestes menaçants de la misère envieuse : les trois femmes ne font appel ni à la charité ni à la haine : elles s'en vont, courbées sur les chaumes, et elles glanent leur pain miette à miette, comme elles grappilleront leur vin à l'automne, comme elles ramasseront leur bois en hiver, avec cette résignation active qui est la vertu des paysans. Elles ne sont ni fières ni honteuses ; si elles ont eu des malheurs, elles ne s'en vantent point ; si vous passiez près d'elles, elles ne se cacheraient pas la face; elles empochent simplement et naturellement l'aumône du hasard qui leur est garantie par la loi. » Edmond About

Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Publié à 18:26 par lusile17 Tags : bleu homme chez france travail mort art livre enfant peinture
Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Jean Francois Millet

 

L'Angélus

 

L'Angélus est un tableau de Jean-François Millet, peint en 1858. En plein travail des champs, deux paysans ont posé leurs outils pour se mettre en prière avec simplicité tandis qu'on devine l'angélus sonner au clocher lointain (celui de l’église Saint-Paul des XIIe et XVe siècles de Chailly-en-Bière, près de Barbizon).

À la suite de La récolte des pommes de terre et Des glaneuses, Millet s'attache ici à représenter avec réalisme et délicatesse un aspect de la vie quotidienne des campagnes de son temps. Parallèlement au goût des foules paysannes pour les pratiques magiques et les grandes cérémonies ostentatoires, la deuxième moitié du XIXe siècle voit le développement au sein du monde paysan d'une piété plus profonde et plus personnelle. La prière de l'angélus est tout à fait représentative de cette sensibilité.

Ce tableau s'inspire de son enfance paysanne. « L'Angélus est un tableau que j'ai fait en pensant comment, en travaillant autrefois dans les champs, ma grand-mère ne manquait pas, en entendant sonner la cloche, de nous faire arrêter notre besogne pour dire l'angélus pour ces pauvres morts » disait Millet. Il ne cherche pas à représenter la religiosité du monde rural, mais à fixer son rythme de vie.

Ce tableau a été très largement reproduit sur différents objets et supports et copié ou réinterprété par d'autres artistes XIXe siècle et du XXe siècle. Salvador Dali en particulier était fasciné par ce travail, et lui a consacré un livre entier (le Mythe tragique de l'Angelus de Millet). En 1938, Dali écrit que les paysans figurant sur le tableau, n'étaient pas simplement en prière suite à l'Angelus, mais qu'ils se recueillaient devant un petit cercueil. En 1963, Dali insiste et obtient du Louvre que le tableau soit radiographié. Sous la peinture, au premier plan, est effectivement masqué le cercueil d'un enfant.

Des variations de ce tableau de Millet apparaissent dans plusieurs de ses propres peintures. En 1889, la volonté de rachat du tableau par le Louvre est devenu en France une affaire d'État et médiatique, opposant la droite royaliste qui ne voulait pas de cette acquisition, au gouvernement qui ne voulait pas que le tableau devienne la propriété des musées américains. L'État ne réunissant pas la somme nécessaire, le tableau fut acheté chez le marchand Charles Sedelmeyer pour 553000 Francs par l'American Art Association en 1890, mais aussitôt revendue à Alfred Chauchard, qui le lègue aux musées nationaux à sa mort, en 1909. Dès lors, exposé au Louvre, il est lacéré par un déséquilibré en 1932. Il est affecté au musée d'Orsay en 1986.

Tout comme La Joconde, L'Angélus a été représenté un nombre incalculable de fois, sur des calendriers des Postes, des canevas, des meubles, des cahiers d'écolier, etc. Il est devenu une sorte d'icône de la peinture populaire

 

L'Angelus est –avec la Joconde – le tableau le plus célèbre du monde. Reproductions, chromos, art populaire, reprise par les caricaturistes et par les publicitaires, c'est une icône  de valeur universelle. Son auteur, Jean-François Millet  a été comme piégé par le succès de cette œuvre à quoi on tend à le résumer. Il reste paradoxalement mal connu et mal aimé des Français, alors même qu'il est sans aucun doute le peintre français le plus connu à l'étranger.