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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Conte de Grimm

Publié à 18:27 par lusile17 Tags : chez cheval homme bonne femme belle fille rouge
 Conte de Grimm

Cendrilon - Jacob et Wilhelm Grimm

 

Le lendemain matin, il vint trouver le vieil homme avec la pantoufle et lui dit :

— Nulle ne sera mon épouse que celle dont le pied chaussera ce soulier d’or.

Alors les deux sœurs se réjouirent, car elles avaient le pied joli. L’aînée alla dans sa chambre pour essayer le soulier en compagnie de sa mère. Mais elle ne put y faire entrer le gros orteil, car la chaussure tait trop petite pour elle ; alors sa mère lui tendit un couteau en lui disant :

— Coupe-toi ce doigt ; quand tu seras reine, tu n’auras plus besoin d’aller à pied.

Alors la jeune fille se coupa l’orteil, fit entrer de force son pied dans le soulier et, contenant sa douleur, s’en alla trouver le fils du roi. Il la prit pour fiancée, la mit sur son cheval et partit avec elle. Mais il leur fallut passer devant la tornbe ; les deux pet îts pigeons s’y trouvaient, perchés sur le noisetier, et ils crièrent :

" Ro cou-cou, roucou-cou et voyez là,

Dans la pantoufle, du sang il y a:

Bien trop petit était le soulier;

Encore au logis la vraie fiancée "

Alors il regarda le pied et vit que le sang en coulait. Il fit faire demi-tour à son cheval, ramena la fausse fiancée chez elle, dit que ce n’était pas la véritable jeune fille et que l’autre sœur devait essayer le soulier. Celle-ci alla dans sa chambre, fit entrer l’orteil, mais son talon était trop grand. Alors sa mère lui tendit un couteau en disant:

— Coupe-toi un bout de talon; quand tu seras reine, tu n’auras plus besoin d’aller à pied.

La jeune fille se coupa un bout de talon, fit entrer de force son pied dans le soulier et, contenant sa douleur, s’en alla trouve le fils du roi. Il la prit alors pour fiancée, la mit sur son cheval et partit avec elle. Quand ils passèrent devant le noisetier, les deux petits pigeons s’y trouvaient perchés et crièrent :

Roucou-cou, Roucou-cou et voyez là,

Dans la pantoufle, du sang il y a :

Bien trop petit était le soulier ;

Encore au logis la vraie fiancée."

Le prince regarda le pied et vit que le sang coulait de la chaussure et teintait tout de rouge les bas blancs. Alors il fit faire demi-tour à son cheval, et ramena la fausse fiancée chez elle.

Ce n’est toujours pas la bonne, dit-il, n’avez-vous point d’autre fille ?

-Non, dit le père, il n’y a plus que la fille de ma défunte femme, une misérable Cendrillon malpropre, c’est impossible qu’elle soit la fiancée que vous cherchez.

Le fils du roi dit qu’il fallait la faire venir, mais la mère répondit :

-Oh non ! la pauvre est bien trop sale pour se montrer.

Mais il y tenait absolument et on dut appeler Cendrillon. Alors elle se lava d’abord les mains et le visage, puis elle vint s’incliner devant le fils du roi, qui lui tendit le soulier d’or. Elle s’assit sur un escabeau, retira son pied du lourd sabot de bois et le mit dans la pantoufle qui lui allait comme un gant. Et quand elle se redressa et que le fils du roi vit sa figure, il reconnut la belle jeune fille avec laquelle il avait dansé et s’écria :

— Voilà la vraie fiancée !

 

La belle-mère et les deux sœurs furent prises de peur et devinrent blêmes de rage. 



Conte de Grimm

Publié à 18:27 par lusile17 Tags : chez cheval
 Conte de Grimm

Cendrilon - Jacob et Wilhelm Grimm

 

Quant au prince, il prit Cendrillon sur son cheval et partit avec elle. Lorsqu’ils passèrent devant le noisetier, les deux petits pigeons blancs crièrent :

"Rocoucou, Roucou-cou et voyez là,

Dans la pantoufle, du sang plus ne verra

Point trop petit était le soulier,

Chez lui, il mène la vraie fiancée."

Et après ce roucoulement, ils s’envolèrent tous deux et descendirent se poser sur les épaules de Cendrillon, l’un à droite, l’autre à gauche et y restèrent perchés.

Le jour où l’on devait célébrer son mariage avec le fils du roi, ses deux perfides sœurs s’y rendirent avec l’intention de s’insinuer dans ses bonnes grâces et d’avoir part à son bonheur. Tandis que les fiancés se rendaient à l’église, l’aînée marchait à leur droite et la cadette à leur gauche : alors les pigeons crevèrent un œil à chacune celles. Puis, quand ils s’en revinrent de l’église, l’aînée marchait à leur gauche et la cadette à leur droite : alors les pigeons crevèrent l’autre œil à chacune d’elles. Et c’est ainsi qu’en punition de leur méchanceté et de leur perfidie, elles furent aveugles pour le restant de leurs jours.



Fable de La Fontaine

Publié à 12:58 par lusile17
Fable de La Fontaine

Fable de La Fontaine -Les Voleurs et l'Âne

 

Pour un Âne enlevé deux Voleurs se battaient :
L'un voulait le garder ; l'autre voulait le vendre.
Tandis que coups de poing trottaient,
Et que nos champions songeaient à se défendre,
Arrive un troisième Larron
Qui saisit Maître Aliboron.
L'Âne, c'est quelquefois une pauvre Province.
Les Voleurs sont tel ou tel Prince,
Comme le Transylvain, le Turc et le Hongrois.
Au lieu de deux j'en ai rencontré trois :
Il est assez de cette marchandise.
De nul d'eux n'est souvent la Province conquise :
Un quart Voleur survient, qui les accorde net
En se saisissant du Baudet.



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Il était une fois un gentilhomme nommé Gentil-Aymar qui était resté veuf et faisait son bonheur d’élever une petite fille qu’il chérissait.

Cette petite fille s’appelait Belle-Orange parce qu’elle avait la beauté et la douceur de ce fruit.



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Gentil-Aymar avait encore sa vieille mère, excellente femme qui l’aidait à élever Belle-Orange.

 

Aussi, grâce aux bons soins de son père et de sa grand’mère, Belle-Orange, qui était très gentille, grandissait-elle en attraits, en talents et en bons sentiments



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Or il arriva qu’un jour une dame très laide et richement parée vint demander à parler en particulier à Gentil-Aymar. — Cette dame n’était autre que la fée Rousse. Elle était très éprise de Gentil-Aymar et voulait à toute force l’épouser. Mais sur le refus de celui-ci elle l’enleva pour l’enfermer dans la tour de cristal qui dépendait du château du sommeil.



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Belle-Orange et sa grand’mère ne voyant pas reparaitre Gentil-Aymar, et remplies d’inquiétudes, pénétrèrent dans son cabinet au moyen d’une double clef. Trouvant le cabinet vide, elles coururent au balcon : mais quelle ne fut pas leur cruelle surprise en apercevant le malheureux gentilhomme qui, entrainé par la fée, leur faisait ses adieux.



Conte de Charles Perrault

Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Au bout de quelques jours comme Belle-Orange et sa grand’mère gémissaient au bord d’un étang, elles virent un brochet qui s’approcha d’elles et leur dit : « Belle-Orange, la fée Rousse a enfermé ton père dans le palais du sommeil, tous ceux qui en approchent sont endormis : à toi seule appartient le pouvoir de faire tomber l’enchantement, prends courage et va délivrer ton père. »



Conte de Charles Perrault

Publié à 19:55 par lusile17 Tags : chez monde vie chevaux moi jardin jeune fille tendresse bonne mort fond femme belle aimer
Conte de Charles Perrault

La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault

 

Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal

 

Fière de savoir qu’elle seule peut sauver son père, Belle-Orange prit son bâton et son chapeau et partit après s’être fait indiquer la vallée des Brouillards où était le château du sommeil. Mais à peine était elle arrivée qu'elle vit tous les gens endormis au pied des murailles. — Craignant de succomber aussi, elle se retira, se promettant bien de revenir.