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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Anne-Louis Girodet de Roucy
Apothéose des héros français morts pour la patrie pendant la guerre de la liberté
Peignant toujours dans le style néoclassique, ses tableaux plurent cependant aux Romantiques grâce aux sentiments exaltés représentés
Sa peinture n'est pas dénuée d'une certaine sensualité ; l'un des tableaux les plus représentatifs étant son Endymion dont la représentation en éphèbe alangui, sans aucun relief de musculature, va à l'encontre des canons classiques. Honoré de Balzac en fait l'éloge dans Sarrasine, (1831). Par ailleurs grand admirateur de Girodet, Balzac le cite encore dans La Bourse. Autre tableau particulièrement représentatif de Girodet : Les Funérailles d'Atala.
Légende napoléonienne : l’Apothéose des Héros français morts pour la patrie pendant la guerre de la Liberté (1802) représente le barde Ossian accueillant au paradis les généraux Desaix, Kléber, Marceau, Hoche et Championnet. Cette toile ne cesse d’étonner par son côté novateur annonçant le premier romantisme.
Girodet est aussi un illustrateur de livres, notamment pour Jean Racine et Virgile.
Jean Baconnais
Lever du soleil dans le port de Croisic
Peintre de la lumière et du plein air, Jean Baconnais vit son art à l'écart de toute école. Inspiré par la mer et les côtes de Bretagne, il affirme aussi sa sensibilité dans les natures mortes, ou les paysages de France rencontrés.
Artiste figuratif, il peint par tous les temps avec cet enthousiasme intact de sa jeunesse. On le perçoit immédiatement, tant ses toiles sont l'expression d'une émotion authentique.
Jean Baconnais
Le port de Launay
Une palette riche de couleurs où les jeux de valeurs sont primordiaux, dans une matière aux empâtements vigoureux et aux touches solaires, confèrent un grand charme à ses compositions solidement construites dans lesquelles le dessin donne corps à l'oeuvre.
Les lignes, les volumes, les ombres et les lumières sont issus d'une gestuelle rapide qui fait vibrer et chanter la vie sous toutes ses formes
Abraham Bloemaert
Jeune Berger montrant Tobie et l'Ange, c. 1625-1630
Bloemaert, du fait qu'il traversa différents styles et forma de nombreux élèves, est considéré comme le père de l'« École » picturale d'Utrecht.
Richard Edward Miller
Femme aux bijoux
Richard Edward Miller a vécu et travaillé en France après avoir obtenu une bourse d'une école d'art américaine
Abraham Bloemaert
Garçon à la chèvre et jeune bergère
Abraham Bloemaert est né à(Gorinchem, 25 décembre 1564 – Utrecht, 27 janvier 1651), est un peintre et graveur néerlandais (Provinces-unies) du siècle d'or. Il eut de nombreux élèves et exerça une très forte influence sur le développement de l'art pictural à Utrecht à la charnière entre les XVIe et XVIIe siècles, et plus tard ; de ce fait, il est considéré comme le père de l’école picturale de cette ville. Il compte parmi les représentants les plus importants du maniérisme dans les Pays-Bas septentrionaux. Après une brève période caravagesque, son style évoluera progressivement vers le classicisme.
Malgré sa réputation et sa bonne situation, il ne prendra jamais part à la vie politique de la ville, contrairement à Moreelse, qui était quant à lui protestant. La conviction religieuse catholique de Bloemaert lui permettra toutefois d’obtenir différentes commandes venant des Pays-Bas mériodionaux.
Abraham Bloemaert meurt le 27 janvier 1651. Il est enterré dans la Catharijnekerk (l'église, ou plutôt la cathédrale Sainte-Catherine) à Utrecht.
Bloemaert dut être un maître fort doué, car ses quatre fils, dont Cornelius Bloemaert, devinrent peintres, et il en forma de nombreux d’autres. Du fait que beaucoup de ses élèves devinrent par la suite très connus, il sera appelé le père de l’école d’Utrecht du XVIIe siècle.
Abraham Bloemaert
Angélique et Médor
Fondée sur l’opposition entre la représentation du couple amoureux au premier plan à droite et la représentation du paysage à gauche, avec sa profondeur perspective, la composition de cette peinture reprend en quelque sorte celle du tableau de Dubreuil. On distingue bien à gauche la maison du berger, mais l’arrivée de Roland n’est pas représentée : deux jeunes femmes sont étendues sur l’herbe tandis qu’à droite leurs animaux se désaltèrent à la rivière. Un homme à la porte de la maison, les regarde. Il s’agit d’une scène de genre, extérieure au récit. Ici le dispositif scénique atteint une sorte de perfection et d’équilibre formel : la composition se lit de droite à gauche. Un seul épisode est décrit, l’espace vague demeurant absolument vague, sans reliquat de composition narrative.
On connaît de Bloemaert non seulement quelque deux cents peintures, mais également environ mille dessins et six cents gravures. Il a peint surtout des paysages, des scènes mythologiques et bibliques, mais aussi des œuvres pastorales. Il employait des couleurs chatoyantes, et ses personnages sont généreux et élégants.
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Jean-Baptiste Camille Corot, né le 16 juillet 1796 à Paris et mort dans le 10e arrondissement de Paris, au 56 de la rue du Faubourg-Poissonnière, le 22 février 1875, est un peintre français.
Il passa longtemps pour être un peintre amateur qui avait tout loisir de voyager non seulement un peu partout en France, mais aussi en Italie, où il résida à trois reprises. Au cours de ses pérégrinations, il ne cessa de peindre des paysages idylliques, généralement étoffés de petits personnages, selon les règles du paysage classique. Il est enterré au Père Lachaise.