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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Johannes Vermeer
La Dentellière
Le livre posé en avant est très probablement une Bible, cela situe l'activité du modèle dans une traditionnelle ambiance morale teintée de religion, la femme (qui n'est pas l'épouse de Vermeer comme on l'a dit sans preuve) n'est d'ailleurs pas habillée en professionnelle. Le coussin à gauche, merveille de couleurs, est un coussin à couture où se rangeaient des accessoires de couture. Un chef-d'oeuvre de Vermeer par la concentration du modèle et le jeu des couleurs exaltées par le fond gris clair.
Renoir considérait ce chef-d'oeuvre, entré au Louvre en 1870, comme le plus beau tableau du monde, avec le Pèlerinage à l'île de Cythère de Watteau, également conservé au Louvre. Une jeune dentellière, appartenant sans nul doute à la petite bourgeoisie de Delft, se penche sur son travail, maniant avec application fuseaux, épingles et fils sur sa table à ouvrage. Le thème de la dentellière, maintes fois traité dans la littérature et la peinture hollandaises (notamment par Caspar Netscher), illustrait traditionnellement les vertus domestiques féminines. Le petit livre que l'on distingue au premier plan est certainement une Bible, ce qui renforce l'interprétation morale et religieuse du tableau. Mais il s'agit aussi, tout comme dans la très célèbre Laitière (vers 1658, Amsterdam, Rijksmuseum), d'une plongée dans l'univers quotidien qui fascinait Vermeer. Le peintre aimait à observer les objets familiers qui l'entouraient et à les combiner dans ses compositions : on retrouve le même meuble bas, ainsi que le tapis hollandais à motifs de feuilles, dans plusieurs de ses tableaux.
Johannes Vermeer
Sainte Praxède
Jan VERMEER , dit VERMEER DE DELFT est un peintre hollandais du XVIIe
(1632 -1675)
Ce peintre est entouré malgré lui de mystère , il est l’un de ceux dont on sait le moins
Sa vie s'articulent autour de trois dates clés connues grâce aux documents civils de l'époque.
Ces premiers tableaux dénotent l'intérêt porté à la peinture italienne, notamment vénitienne, ainsi qu'une certaine parenté avec les sujets d'histoire .
Vermeer est surtout réputé pour son art de la perspective et pour sa capacité à dessiner les portraits et les personnages lorsqu'ils exercent seuls une activité
Vermeer est également un symboliste de premier ordre.
Les tableaux présents au second plan de ces oeuvres représentent souvent des allégories
Il acquiert de son vivant une notoriété certaine, sans pour autant faire figure de maître, et tomba assez rapidement dans l'oubli.
Nicolas Poussin
"Le Triomphe de Neptune"
Nicolas Poussin, peintre français, naît le 15 juin 1594 au hameau de Villers, près des Andelys, en Normandie. Il décède le 19 novembre 1665 à Rome
Nicolas Poussin est sans doute initié à la peinture par Quentin Varin. Il s’installe en 1612 à Paris où il reçoit quelques commandes et travaille aussi en province, notamment à Lyon.
Nicolas Poussin s’établit à Rome en 1624. Il obtient la protection du cardinal Barberini, neveu du pape Urbain VIII et de son secrétaire, Cassiano dal Pozzo. Le retable qu’il exécute pour Saint-Pierre de Rome lui vaut de nombreuses critiques. Il prend alors la décision de limiter sa production à des tableaux de chevalet, pour une clientèle d’amateurs. Outre de nombreux sujets religieux traditionnels, Nicolas Poussin aborde des thèmes allégoriques à connotation morale.
Appelé à Paris par Richelieu, ministre de Louis XIII, Nicolas Poussin rejoint sans enthousiasme la capitale française en 1640. Il est nommé Premier peintre du roi et se voit confier d’importants chantiers de décors, dont celui de la Grande Galerie du Louvre. Ce séjour parisien est l’occasion de mieux connaître ceux qui resteront toute sa vie des mécènes et amis : Chantelou, Pointel et Sérisier.
Mais les projets monumentaux qui lui sont confiés ne conviennent pas à son tempérament. Poussin retourne à Rome en 1642. Le paysage prend de plus en plus d’importance dans sa peinture. A travers des sujets allégoriques, il représente une nature grandiose, qui impose à l’être humain sa loi. Les compositions gagnent en dépouillement, et la figure humaine devient plus sculpturale. Dans les dernières années, un tremblement de la main droite le handicape progressivement. Cependant, il conserve une faculté d’invention dans le choix des thèmes, une originalité dans les compositions, et une maîtrise dans la modulation des couleurs et des lumières qui rendent ses tableaux tardifs aussi émouvants que fascinants.
Nicolas Poussin
La Fuite en Égypte
La Fuite en Égypte est un tableau de Nicolas Poussin peint en 1657 ou en 1658 et conservé au musée des beaux-arts de Lyon en France.
La Fuite en Égypte est un épisode de la vie du Christ accompagnée de sa mère Marie et de son père Joseph, c'est donc également, au vu de l'iconographie chrétienne, une Sainte Famille, représentée lors de son déplacement en Égypte fuyant les armées du roi Hérode voulant tuer Jésus enfant en éliminant tous les enfants de moins de deux ans, épisode relaté dans un passage de l'Évangile selon saint Matthieu
Dans le centre du tableau, le groupe saint, composé de Marie tenant l'Enfant Jésus, dans ses bras, avance vers la droite et porte un regard en arrière, de Joseph levant les yeux vers l'ange les guidant, une main vers l'encolure de l'âne portant leur effets. Il est vêtu de rouge et d'orange et Marie de bleu et de blanc. Un personnage est allongé, accoudé, dans l'ombre d'un arbre dans la partie gauche avec un bâton (un berger ?).
Le décor dans lequel ils évoluent est celui d'une campagne arborée, complétée de parties architecturales : un portique, surmonté de vases à l'aplomb des piliers, est vu en perspective fuyante dans la partie gauche, dans le prolongement même du berger allongé.
Dans la partie centrale, au dessus de la tête de Joseph de la main de l'ange, l'angle d'un bâtiment s'élève, prolongé à droite par des rochers masquant l'horizon (un aigle y est posé), puis d'un arbre qui semble être un chêne.
Cet horizon n'est visible qu'à la gauche du tableau, au delà d'un plan d'eau, de forêts, de montagnes bleutées. Le ciel est bleu sauf dans le prolongement du portique où des nuages gris se développent
Giovanni Boldini
Portrait de Marthe de Florian
Le tableau de Giovanni Boldini (1842-1931) était accroché dans le salon et représente une superbe femme, Marthe de Florian, nimbée dans une robe du soir en mousseline rose pâle.
En reconstituant l'histoire, à partir des nombreux documents trouvés dans l'appartement, "c'était des gens qui ne jetaient rien", les experts sont arrivés à la conclusion que Mme de Florian était ce qu'on appelle à l'époque "une demi-mondaine" ou une cocotte. Actrice de théâtre, Marthe de Florian - un nom d'emprunt-- était d'une beauté exceptionnelle.
Fra Angelico
La descente de Croix
La Descente de Croix (Deposizione dalla Croce ) de Fra Angelico est une peinture exécutée entre 1432 et 1434 pour la sacristie dite chapelle Strozzi de la basilique Santa Trinita. Ce retable polyptyque est conservé et présenté aujourd'hui au public au Musée national de San Marco à Florence.
L'historien de l'art et peintre Giorgio Vasari définit cette œuvre comme « peinte par un saint ou un ange ».
La Descente de Croix ou Déposition de la Croix est un thème de l'iconographie de la peinture chrétienne qui montre le Christ mort sur la Croix que des personnages saints descendent avant sa mise au tombeau. Certaines scènes sont déduites de cette situation comme la Pietà montrant Marie tenant Jésus mort dans ses bras, La Déploration ou les Lamentations sur le Christ mort..
Guido di Pietro, en religion Fra Giovanni (Fra Angelico pour les Français et Beato Angelico pour les Italiens) ou parfois le peintre des Anges (Vicchio di Mugello, en 1387 – Rome, 18 février 1455) est un peintre du Quattrocento de qui Vasari disait qu'il avait un « talent rare et parfait ». Il était connu de ses contemporains comme Fra Giovanni da Fiesole, dans les Vies écrite avant 1555, il était déjà connu comme Giovanni Fra Angelico (Frère Giovanni l'angélique).
Religieux dominicain, il a cherché à associer les principes picturaux de la Renaissance — constructions en perspective et représentation de la figure humaine — avec les vieilles valeurs médiévales de l'art : sa fonction didactique et la valeur mystique de la lumière.
Giovanni Boldini
Portrait de Femme
Giovanni Boldini est un peintre italien né à Ferrare (Italie) le 31 décembre 1842 et mort à Paris le 11 janvier 1931.
À l'instar de John Singer Sargent, Giovanni Boldini fut un portraitiste de réputation internationale, travaillant principalement à Paris et à Londres.
Au début du XXe siècle, il était le portraitiste le plus en vue à Paris, avec une réputation égale à celle de Sargent.
Jusqu'en 1923-1924, Boldini produira nus, natures mortes, paysages de Venise, de Rome, de la province française. Sa vue s'affaiblit, et en 1931 il meurt, à 89 ans
Fra Angelico
L'Annonciation
L' Annonciation de Fra Angelico a été exécuté vers 1425, pour le Couvent San Domenico de Fiesole, est un retable conservé aujourd'hui au musée du Prado, en Espagne.
L' Annonciation a été peinte par Fra Angelico entre 1430 et 1432, et réalisée en tempera et or sur panneau de 194 cm x 194 cm (avec la prédelle).
Il s'agit de l'une des trois Annonciations de Fra Angelico sur tableau (les deux autres sont au Museo della Basilica di Santa Maria delle Grazie de San Giovanni Valdarno et au Museo Diocesano de Cortone). Deux autres, mais à fresque, figurent au couvent San Marco de Florence, celle en haut de l'escalier de l'accès et celle de la troisième cellule.
Il existe également des scènes du thème combinée à une Adoration des mages au musée San Marco, et sur un diptyque à la Galleria Nazionale dell'Umbria de Pérouse.
Diego Velasquez
Les Ménines
Ce tableau a été peint en 1656 par Vélasquez, il est considéré comme le chef-d'oeuvre du peintre sévillan. C'est une huile sur toile de 318x276cm. Les Ménines sont exposées au musée du Prado à Madrid. Il représente la famille de Philippe IV. En espagnol, les ménines se dit las meninas et signifie "demoiselles d'honneur".
De gauche à droite, on aperçoit le peintre Diego Velasquez en train de peindre Philippe IV et sa femme, une demoiselle d'honneur Doña Marià Agustina Sarmiento, l'infante Marguerite-Thérèse, une autre demoiselle d'honneur, une naine allemande et un nain italien de la maison de la reine Marie-Anne. La demoiselle d'honneur Sarmiento tend un pichet d'eau parfumée à l'infante. L'autre demoiselle d'honneur, Doña Isabel Velasco, esquisse une révérence au roi et à la reine. Au premier plan, il y a un chien nommé Iago. Au fond de la pièce, Nieto Velazquez qui est le garde du corps personnel du roi se tient dans l'embrasure de la porte. On aperçoit aussi le reflet du couple royal espagnol dans un miroir car en fin de compte Philippe IV et la reine Marie-Anne d'Autriche sont en face de Vélasquez à la place du visiteur.
Diego Velasquez
Vénus à son miroir
Il s’agit du seul nu féminin du peintre ayant pu parvenir jusqu’à nous. Sa date de composition prête néanmoins à débat : jusqu’à récemment, les spécialistes étaient d’accord pour situer le tableau vers la fin de la décennie 1650, c’est-à-dire au crépuscule de la carrière de Vélasquez.
Diego Rodríguez de Silva y Velázquez (Séville, baptisé le 6 juin 1599 – Madrid, mort le 6 août 1660), dit Diego Vélasquez en français, est un peintre du siècle d'or espagnol. Il est célèbre pour ses portraits de la cour du roi Philippe IV à la manière libre presque ébauchée à la touche vive et apparente. Il était également courtisan, architecte, décorateur, collectionneur et administrateur. Il est généralement considéré, avec Francisco Goya et Le Greco, comme l’un des plus grands artistes de l’histoire espagnole. Son style, tout en restant très personnel, s’inscrit résolument dans le courant baroque de cette période. Ses deux voyages en Italie, attestés par les documents de l’époque, eurent un effet décisif sur l’évolution de son œuvre. Diego Vélasquez est l’auteur de nombreux portraits représentant la famille royale espagnole, de grands personnages européens et des gens du commun paysan, tisserand, porteur d'eau, nain... mais il est aussi l'auteur de compositions mythologiques et religieuses. Son art, de l’avis général, a atteint son sommet en 1656 avec la réalisation de Les Ménines, son chef-d’œuvre universellement réputé.
Son influence artistique est considérable dès le XVIIe siècle. À partir du premier quart du XIXe siècle, le style de Vélasquez fut pris pour modèle par les peintres réalistes et impressionnistes, en particulier Édouard Manet. Au XXe siècle, Francis Bacon, Pablo Picasso et Salvador Dalí ont rendu hommage à Vélasquez en recréant plusieurs de ses œuvres les plus célèbres.