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Par Anonyme, le 24.12.2024
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Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La Trinité, une des premières toiles de El Greco à Tolède.
La Trinité, représentation d’un dogme central du christianisme, est destinée à être la partie haute du retable du grand autel de l'église Santo Domingo el Antiguo à Tolède, qui comporte sept toiles et cinq sculptures enchâssées dans une structure architectonique ornée de colonnes et frontons. El Greco reçoit la commande de l'ensemble iconographique du retable le 11 septembre 1577. La composition du retable semble avoir été approuvée par le doyen de la cathédrale Santa María de Tolède, Diego de Castilla père de Luis de Castilla avec lequel El Greco s'était lié d'amitié à Rome.
Dieu est peint comme un vénérable vieillard avec les cheveux longs et une barbe vénérable et tient devant lui dans ses mains le Christ mort. Il est vêtu de blanc comme le pape, porte un manteau bleu et or et une tiare. Le Christ est peint dans la position de la descente de croix avec les stigmates de son calvaire. Une colombe, placée sur un fond or comme dans la tradition iconique, représente le Saint-Esprit et vole au-dessus. Les anges et séraphins font cercle autour de la scène. La lumière semble venir du corps du Christ, de Dieu et de la colombe.
El Greco
Jésus chassant les marchands du temple, un exemple de la manière italienne de El Greco
Domínikos Theotokópoulos (en grec ????????? ?????????????) dit El Greco (« le Grec »), né en 1541 (?) en Crète à Candie (aujourd’hui Héraklion), mort le 7 avril 1614, à Tolède (Espagne), est un peintre, sculpteur et architecte grec de l’École espagnole du XVIe siècle. El Greco est considéré comme le peintre fondateur de l’École espagnole.
Son oeuvre picturale synthèse du maniérisme renaissant et d'art byzantin est caractérisé par des formes allongées et des couleurs vives. S'il fut célébré de son vivant, il a été oublié pendant plus d'un siècle. Redécouvert au milieu du XIXe siècle par les romantiques français en particulier, sa peinture extravagante a suscité des commentaires innombrables souvent en contradiction avec les faits historiques avérés. Sa singularité a influencé de nombreux artistes au XXe siècle, entre autres Picasso, Jackson Pollock qui se sont directement inspirés de lui.
Alfred Sisley
Pont de Villeneuve-la-Garenne
Sisley est un peintre exclusivement paysagiste, celui qui, dans la lignée de Corot, et avec Monet, a le mieux cherché et réussi à exprimer les nuances les plus subtiles de la nature dans les paysages impressionnistes. D'origine et de nationalité britannique, quoiqu'ayant vécu en France, il s'inscrit aussi, par ses paysages, dans la lignée de Constable, Bonington et Turner. S'il subit l'influence de Monet, il s'éloigne de son ami par sa volonté de construction qui lui fait respecter la structure des formes.
Et pourtant le succès, qui avait été refusé à Sisley de son vivant, s'attacha ainsi à son nom dès l'année suivant sa disparition.
L’unité de son travail tant dans son inspiration que sa manière de peindre marque la personnalité du peintre. Il a été attaché profondément à l’aspect naturel des choses sans chercher à créer un style ou une théorie particulière. C’est ce qui explique son isolement et donc aussi l’inexistence de suiveurs ou d’adeptes. Sisley a été tellement personnel dans sa retranscription de ses impressions, qu’il est une fin en soi et qu’il ne peut avoir d’imitateurs ne reconnaît pas en lui ce quelque chose qui tiendrait du prophète comme chez Monet ou Cézanne, pour lui la sérénité de Sisley n’appelle pas à ce genre de rayonnement. Son observation des choses sert à des fins individuelles et se rapproche de la méditation.
Alfred Sisley
L'inondation à Port-Marly
L'Inondation à Port-Marly est un tableau d'Alfred Sisley. Il se trouve actuellement au 2e étage du musée d'Orsay dans la section 32 (Monet-Renoir-Pissarro-Sisley) et a été acquis par legs du comte Isaac de Camondo. Une autre version du tableau fait quant à elle partie des collections du Musée des Beaux-Arts de Rouen.
Alfred Sisley (30 octobre 1839 à Paris - 29 janvier 1899 à Moret-sur-Loing) est un peintre britannique du mouvement Impressionniste.
Sisley naît à Paris le 30 octobre 1839 de parents Anglais issus de la bonne bourgeoisie. Son père, William Sisley, dirige une affaire d'exportation de fleurs artificielles avec l'Amérique du Sud. Sa mère, Felicia Sell, est plutôt attirée par la musique et la vie de société. Tout naturellement, ses parents l'envoient à Londres, à l’âge de dix-huit ans pour le destiner à une carrière commerciale. Pendant ces années d'apprentissage ( 1857-1862 ), il passe plus de temps à visiter les musées qu'à sa formation commerciale, et admire particulièrement les œuvres de Constable et Turner. De retour en France en 1861, il obtient de ses parents l'autorisation d'abandonner les affaires et peut alors se consacrer à l’art.
En 1880 Sisley se fixe non loin de Moret-sur-Loing, conquis par cette campagne paisible et verdoyante auquel il restera fidèle jusqu'à la fin de sa vie. Le peintre australien John Peter Russell réalise le portrait de Mme Sisley sur les bords du Loing en 1887. À cette période le groupe des impressionnistes est dispersé, après le départ de Renoir, Sisley, Cézanne puis Monet en 1880 des expositions impressionnistes. Chacun cherche à tracer dorénavant sa propre voie. Les expositions personnelles demeurent alors le moyen privilégié pour ces peintres de se faire reconnaître. Sisley accepte sa première exposition personnelle en 1881 à la Vie Moderne avec 14 tableaux, et une autre en 1883 dans la galerie de Durand-Ruel après celles successives de Monet, Renoir et Pissarro.
Alfred Sisley
Les Petits Prés au printemps
Les Petits Prés au printemps est un tableau d'Alfred Sisley. Il se trouve actuellement à la National Gallery de Londres dans le bâtiment principal au 1er étage dans la section 44 (Seurat et Pissarro). Il a été prêté en 1997 par la Tate Gallery.
Sisley est aujourd’hui considéré comme l’impressionniste même: l’essentiel de son inspiration c’est le paysage. Les personnages dans ses peintures ne sont que des silhouettes ; en outre les portraits de ses proches (femme et enfants) et les quelques natures mortes sont rares. Selon Gustave Geffroy, l’un des ses premiers historiographes, Sisley vouait en effet un amour instinctif au paysage. Pour lui il n’y avait dans la nature rien de laid dès lors qu’il s’agissait du rapport entre le ciel et la terre. Il écrira : « toutes les choses respirent et s’épanouissent dans une riche et féconde atmosphère qui distribue et équilibre la lumière, établit l’harmonie ».
Sisley choisit inlassablement pour sujet de ses toiles le ciel et l’eau animés par les reflets changeants de la lumière dans ses paysages des environs de Paris, la région de Louveciennes et de Marly-le-Roi. La région de Moret-sur-Loing eut notamment une incidence toute particulière sur l'œuvre de Sisley, comme en témoigne Un soir à Moret. Fin d'Octobre, peint en 1888. Il s’inscrit dans la lignée de Constable, Bonington et Turner. S’il subit l’influence de Monet, il s’éloigne de son ami par sa volonté de construction qui lui fait respecter la structure des formes.
Se montrant sensible à l’écoulement des saisons, il aimait à traduire le printemps avec les vergers en fleurs ; mais ce fut la campagne hivernale et enneigée qui attira particulièrement Sisley dont le tempérament réservé préférait le mystère et le silence à l’éclat des paysages ensoleillés de Renoir.
Giovanni Bellini
Giovanni Bellini naît à Venise, ville dans laquelle il révèle petit à petit son art, pour finalement être reconnu comme le plus grand des Bellini.
C’est dans l’atelier paternel que Giovanni apprend son métier de peintre. Il fait par la suite connaissance avec le milieu savant et novateur de Padoue, et ce à travers l’art de son beau-frère Andrea Mantegna, époux de sa sœur Nicolosia Bellini, qui devait le marquer profondément. Plus tard, le coloris de Giovanni est plus profond, plus homogène et joue déjà un grand rôle dans la représentation du relief. Il y a plus d’humanité dans les sentiments exprimés, tendresse, joie ou douleur. La nature est représentée, ce qui est nouveau : souvent les compositions se détachent sur un fond de paysage où l’on reconnaît la campagne ou les collines de Vénétie.
Les premiers ouvrages sont des petits panneaux peints alors qu’il n’a que 21 ans, telle la Pietà, qui groupe, selon un thème fréquent chez les Bellini, les figures de la Vierge, de Saint Jean l’Évangéliste et du Christ au Tombeau. On peut dater de la même année la Transfiguration et le Christ au mont des Oliviers. C’est à 31 ans que Giovanni commence à multiplier les variations sur un thème qu’il ne cessera d’exploiter : celui de la Vierge à l’Enfant.
S’étant fait connaître par ces ouvrages, il se voit confier lors de ses 36 ans, des travaux plus ambitieux. Ainsi, le polyptyque de saint Vincent Ferrer est une des grandes entreprises de Giovanni.
C’est entre 1470 et 1475 que Bellini doit se rendre à Rimini pour peindre le retable de San Francesco qui marque un tournant capital dans sa carrière. Les années suivantes donneront à Bellini l’épanouissement de ses moyens. Cette période est celle de l’équilibre entre la forme et les couleurs, plus belles les unes que les autres.
Giovanni Bellini
Le Baptême du Christ
Giovanni Bellini dit Giambellino (né à Venise, entre 1425 et 1433 - Venise, 29 novembre 1516) est un peintre italien de la Renaissance,
considéré comme le précurseur de l'école vénitienne, dont l'œuvre marque la rupture définitive avec le style gothique, par son attachement à la rigueur géométrique, à travers des peintures qui effacent la différence entre monde sacré et profane
Titien
La Vierge à l'Enfant avec sainte Catherine, saint Dominique et un donateur
Titien appartient incontestablement à l'école vénitienne, dont il a été l'un des chefs de file au XVIe s. Cependant, à la différence d'un Tintoret, voire d'un Véronèse, son activité ne s'est pas exercée entièrement dans le cadre de Venise ou de la Vénétie, et une visite de Venise ne permet pas d'en avoir une vue d'ensemble ; elle a débordé largement ce cadre, prenant des dimensions italiennes et même européennes. La société de Venise – gouvernement, familles patriciennes, églises, scuole – a certes sa part dans l'œuvre de Titien ; mais le renom du peintre, longtemps entretenu par la plume de l'Arétin, dont il fut l'ami, lui valut la faveur des cours : cours princières de l'Italie (Ferrare, Mantoue, Urbino) ; cours pontificale et de la famille Farnèse, à Rome et à Parme ; cour des Habsbourg surtout, à partir de 1530 environ, grâce à la protection de Charles Quint puis de Philippe II d'Espagne. Peintre de cour, et de stature internationale, Titien a fait des voyages lointains, notamment à Rome en 1545, à Augsburg en 1548 et en 1550. L'étendue de sa clientèle est pour beaucoup dans le fait que son œuvre se partage très largement entre les grands musées du monde, le Prado de Madrid et le Kunsthistorisches Museum de Vienne venant en premier lieu. Venise et les villes placées autrefois dans la sphère vénitienne ont gardé surtout les grandes peintures religieuses.
La carrière de Titien présente un autre trait dominant : sa longueur. Avec la capacité de renouvellement qui fut toujours celle du maître, on comprend que l'œuvre accuse une évolution très sensible.
Titien
Le ravissement d'Europe, (1560-1562)
Le thème de l'enlèvement d'Europe est un classique de la peinture de l'époque moderne. Il s'agit là de l'un des mythes fondateurs à la base de l'identité européenne et il a fait l'objet de plusieurs représentations iconographiques (peintures, gravures). Dans le tableau de Titien, Europe est enlevée de manière énergique et conduite à travers les flots. Le mouvement est dramatique, l'action presque brutale.
Les autres exemples sont des variations sur ce thème et s'accordent au style de leurs périodes respectives.
Le peintre italien Tiziano Vecellio, dit Titien ou Le Titien, naît en en 1488 ou 1490 à Pieve di Cadore dans les Dolomites au nord de l’Italie, dans une famille de notables. Ce nom, Le Titien le tient de son prénom Tiziano. Il décède le 27 août 1576 à Venise.
Dès son plus jeune âge, il suit une formation chez un mosaïste. Quelques années plus tard, il intègre l'atelier des Bellini tenu par le fils aîné Gentile. Mais c'est véritablement son frère, Giovanni, qui l'inspire et lui inculque la primauté de la couleur sur la technique. Durant ces années de formation, il rencontre également Giorgione qui se situe entre le clair-obscur de De Vinci et la couleur pétillante de Giovanni. Tous les deux se mettent à travailler ensemble et peignent des fresques extérieures pour le compte de la ville.
En 1516, Giovanni Bellini meurt et Titien hérite de son titre : "peintre officiel de la République de Venise". Il continue son ascension. La mort de sa femme en 1530 transforme sa vision du physique féminin en corps mince et svelte. En 1545, Paul III lui offre la citoyenneté romaine et sa confrontation avec les oeuvres de Michel Ange va encore une fois faire évoluer sa peinture.
En 1548, il réalise une suite de portrait de Charles Quint puis s'attaque à sa série "Poésie", des nus féminins mythologiques pour le roi Philippe II. Titien meurt de la peste à l'âge de 90 ans, mais beaucoup disent que c'est la vieillesse qui l'a emporté.
Titien
Danae et Cupidon
En 1545, Le Titien accepte l'invitation du neveu du Pape, le Cardinal Alessandro Farnese et s'installe à Rome. Il emporte avec lui cette Danae, peint pour Ottavio Farnese, qu'il avait achevé juste avant son départ.
Ce tableau constitue la preuve la plus claire d'un changement stylistique. Ce tableau ne pouvait pas être apprécié dans le climat artistique de la Rome d'alors. Vasari rapporte comment le grand Michel-Ange était venu admirer Titien dans son atelier et, ayant vu la Danae, avait loué "la coloration et le style". Mais, en quittant la maison du peintre, s'était exclamé "C'est une honte qu'à Venise ils n'aient pas appris les bases du dessin et que leurs peintres n'aient pas poursuivi leurs études avec plus de méthode."