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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Peintres et peintures divers

Jean-Baptiste Camille Corot

Publié à 20:37 par lusile17 Tags : femme fantaisie
Jean-Baptiste Camille Corot

Jean-Baptiste Camille Corot

 

La Femme à la Perle (1869)

Corot est surtout connu comme peintre de paysages, mais il est également l’auteur de nombreux portraits (proches ou figures de fantaisie).

Il travaille vite, par des touches rapides et larges, et joue sur la lumière, grâce à une grande observation.

Jean-Baptiste Greuze

Publié à 19:42 par lusile17 Tags : dessin enfants
Jean-Baptiste Greuze

Jean-Baptiste Greuze 

L’enfant à la colombe

 

J'adore ses portraits d'enfants.

On peut aimer diversement Jean-Baptiste Greuze, trouver sa technique intéressante ou insignifiante, le sentiment de ses tableaux profondément poignant ou mélodramatiquement outré, l’expression de ses têtes de jeunes filles pleine de grâce naïve, ou simplement mièvre et affectée, Greuze est sans conteste une des personnalités les plus marquantes de l’Ecole Française du XVIIIème siècle. Il possède l’indiscutable qualité de ne procéder de personne ; il a créé son genre. Dès sa plus tendre enfance, il montra un goût invincible pour le dessin

Jean-Baptiste Greuze

Publié à 18:10 par lusile17 Tags : mort oiseau femme enfants
Jean-Baptiste Greuze

Jean-Baptiste Greuze 

 

L'oiseau mort

 

Ses représentations d'enfants et ses portraits sont conventionnels mais intéressants : Babuti, le Dauphin, Fabre d'Églantine, Fillette soulevant un coffre, Gensonné, Le Graveur Wille, La Liseuse, Le Libraire Babuti, Madame Greuze, Marquise de Chauvelin, Pigalle, Silvestre, Tête de garçon, Wille, Robespierre.

Meilleur dessinateur que coloriste, Greuze excella dans les représentations de jeunes filles, dans lesquelles pouvaient se mêler l'innocence et l'érotisme : La Jeune Femme au chapeau blanc (1780). Malgré des compositions habiles, le recours à des gestes outranciers ou des figures pâmées, rend ses toiles moralisantes souvent monotones, quand elles ne tombent pas dans le travers du sentimentalisme.

Jean-Baptiste Greuze

Publié à 18:10 par lusile17 Tags : fille enfants mort oiseau femme peinture
Jean-Baptiste Greuze

Jean-Baptiste Greuze 

 

La paresseuse italienne, 1757

 

Jean-Baptiste Greuze, né à Tournus (Saône-et-Loire) le 21 août 1725 et mort à Paris le 21 mars 1805, est un peintre et dessinateur français

 Il est, comme Watteau, le fils d'un couvreur. Après avoir été l'élève du peintre Charles Grandon à Lyon, Greuze s'installe en 1750 à Paris, où il est l'élève de Charles-Joseph Natoire à l'Académie royale de peinture et de sculpture. En 1755, son Père de famille expliquant la Bible à ses enfants connaît un grand succès. Sa popularité se confirma avec d'autres toiles mélodramatiques. Diderot l'encense pour la moralité de ses sujets. Présent régulièrement aux Salons, sa réputation s'étendit largement au-delà des frontières, jusqu'en Russie (l'impératrice Catherine II lui acquis La piété filiale/Le paralytique l'un de ses tableaux les plus célèbres actuellement au musée de l'Ermitage considéré comme la suite de son chef d'œuvre L'accordée de village visible au Louvre. Son Septime-Sévère reprochant à Caracalla d'avoir attenté à sa vie (1769) lui permet d'être reçu à l'Académie en 1769. En 1792, il rencontre le jeune capitaine Napoléon Bonaparte à Paris, d'une manière que l'on ignore encore, mais vraisemblablement suite aux évènements de la prise des Tuileries, et peint ce qui allait devenir le premier portrait connu du futur empereur. Il conserva ce tableau dans sa chambre jusqu'à sa mort (ainsi que sa fille).

Jean-Baptiste Greuze

Publié à 17:46 par lusile17 Tags : amour travail fille nature chez mort oiseau
Jean-Baptiste Greuze

Jean-Baptiste Greuze

 

Psyché couronnant l'Amour

 

Greuze peignit de nombreux portraits et subit quelques critiques pour ses toiles libertines. Il s'est également essayé aux thèmes allégoriques  l'Offrande à l'Amour (1769)  mythologiques  Danaé et religieux Sainte Marie L'Égyptienne  mais sans convaincre. La Révolution de 1789 amena la vogue de l'antique et dévalorisa son travail, le conduisant à vivre de leçons. Déjà très diminué, son grand portrait en pied de Napoléon Bonaparte en costume de Premier Consul (Musée du Château de Versailles) qu'on lui commanda à la fin de sa vie en 1803, en grande partie réalisé par son atelier (et sa fille), et reprenant le visage du portrait d'après nature de 1792, ne l'empêcha pas de mourir dans la pauvreté

Greuze était franc-maçon et faisait partie de la loge des Neuf Sœurs

Un thème récurrent chez Greuze est la perte de la virginité qu'il symbolisa notamment dans La Cruche cassée, Le Malheur imprévu, Les Œufs cassés ou encore L'Oiseau mort.

Georges Seurat

Publié à 13:39 par lusile17 Tags : exposition peinture brève
Georges Seurat

Georges Seurat

 

Les Poseuses

 

Ce tableau est une réponse aux critiques qui reprochaient à la technique de Seurat d’être froide, de ne pouvoir représenter la vie. Ainsi, l’artiste propose un nu. La même modèle a posé trois fois. On remarque à gauche une partie d’Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte

 

Georges Seurat (Paris 2 décembre 1859 - Paris 29 mars 1891), peintre français, pionnier du pointillisme et du divisionnisme que l'on peut qualifier d'impressionnisme scientifique. Peintre de genre, figures, portraits, paysages animés, paysages, peintre à la gouache, dessinateur.Il meurt subitement,  à l'âge de 31 ans, probablement de diphtérie. Sa famille découvrira à cette occasion qu'il entretenait depuis plusieurs années une liaison avec Madeleine Knobloch, de qui il avait eu un fils, Pierre Georges, né en 1890, qui devait d'ailleurs décéder deux semaines après son père, de la même infection.

Au cours de sa brève existence,ce peintre cérébral , cultivé, sophistiqué, dépasse avec détermination l’immédiateté “romantique” de la peinture impressionniste pour élaborer une méthode picturale fondée sur des lois scientifique précises et révolutionner le concept même de l’art figuratif. Son problème étant de trouver un lien entre l’art et la science et, plus précisément, entre la peinture, la physiologie et la psychologie de la perfection. La théorie de la peinture de Seurat se fonde sur l’optique ou plus précisément sur un concept appelé le « pointillisme ». Celui-ci repose sur l'idée que la lumière résulte de la combinaison de plusieurs couleurs, et que donc un ensemble de points colorés juxtaposés peuvent, observés depuis une certaine distance, recomposer l’unité de ton et rendre la vibration lumineuse avec d’avantage d’exactitude. Georges Seurat s'est notamment inspiré des recherches que le chimiste français Eugène Chevreul avait menées à l'occasion de travaux de restauration de tapisseries, et s'est en particulier beaucoup intéressé à son essai De la loi du contraste simultané des couleurs, publié en 1839.

Georges Seurat

Publié à 11:44 par lusile17
Georges Seurat

Georges Seurat

Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte

 

Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte est un tableau de Georges Seurat,

Seurat a peint ce tableau vers 1884-1886 sur l'île de la Grande Jatte. L’île de la Grande Jatte, aujourd'hui appelée "île de la Jatte", est une île sur la Seine. Elle est située aujourd'hui entre Neuilly-sur-Seine et Levallois-Perret sur sa rive droite, Courbevoie et le quartier d'affaires de La Défense sur sa rive gauche. Elle a été rendue célèbre par les peintres impressionnistes qu'elle a inspirés, en particulier Monet, Van Gogh et Sisley et bien sûr Seurat.

Ce tableau de grand format se caractérise par des tons froids et une technique pointilliste. Seurat établit des différences de plans en distribuant deux grandes zones d'ombre et de lumière, mais il garde la même intensité chromatique sur l'ensemble de l'espace. On remarque que Seurat a également peint l'encadrement de son tableau, avec sa technique divisionniste

Henri de Toulouse-Lautrec

Publié à 22:51 par lusile17 Tags : femmes art fleur peinture mode amis artiste
Henri de Toulouse-Lautrec

Toulouse-Lautrec

 

Salon Rue des moulins (1894)

Incapable de participer aux activités qu’un corps normal aurait permises, Toulouse-Lautrec vécut pour son art. Il devint un peintre du post-impressionnisme, un illustrateur de l’Art nouveau et un remarquable lithographe ; il a croqué le mode de vie de la Bohème parisienne à la fin du XIXe siècle. Au milieu des années 1890, il a contribué par des illustrations à l'hebdomadaire humoristique Le Rire.

On le considérait comme « l’âme de Montmartre », le quartier parisien où il habitait. Ses peintures dépeignent la vie au Moulin Rouge et dans d’autres cabarets et théâtres montmartrois ou parisiens, il peint Aristide Bruant ainsi que dans les maisons closes qu’il fréquentait et où peut-être il contracta la syphilis. Il avait notamment une chambre à demeure à La Fleur blanche. Trois des femmes bien connues qu’il a représentées étaient Jane Avril, la chanteuse Yvette Guilbert, et Louise Weber, plus connue comme La Goulue, danseuse excentrique qui créa le « cancan ».

On dit que Toulouse-Lautrec est un artiste génial dont les remarquables capacités d’observation se sont accompagnées d’une sympathie profonde envers l’humanité. Il n’a jamais laissé voir quelque regret que ce fût en raison de sa difformité. Il vécut sa vie pleinement, se fit de nombreux amis et fut toujours accepté malgré sa taille étriquée.

Henri de Toulouse-Lautrec

Publié à 22:14 par lusile17 Tags : peinture dessin cheval
Henri de  Toulouse-Lautrec
Toulouse-Lautrec
 
Danseurs Moulin de la galette
 
 
Henri-Marie de Toulouse-Lautrec naît à Albi en 1864, dans une famille aristocratique. Très jeune il se montre fort doué pour le dessin, auquel il s'adonne plus intensément après que deux chutes de cheval (1878, 1879) l'eurent rendu infirme.

Dès 1882, il travaille à Paris, se lie avec Van Gogh, ouvre son propre atelier à Montmartre où il fréquente cafés- concerts, bals et théatres. C'est son monde : il en est non seulement l'observateur, mais encore le protagoniste.
A la peinture, il préfère le dessin dont le trait nerveux et elliptique lui permet de saisir le geste ou l'expression caractéristique. Mais la vie intense de ce quartier de Paris, l'excès de boisson finissent par détruire sa santé. En 1899, il est interné à Neuilly, rentre à Paris en 1901 et est finalement atteint de paralysie. Il meurt au mois de septembre de la même année.


El Greco

Publié à 22:02 par lusile17 Tags : nature peinture
El Greco
El Greco

 

La Vue de Tolède sous l'orage est généralement considérée comme l’un des premiers paysages en tant que sujet unique de peinture et non décor.

El Greco cherche à communiquer l'essentiel ou la signification essentielle du sujet à travers un processus de caractérisation et de simplification. À Tolède, il s'accomplit en abandonnant la solennité de la Renaissance et l'observation de la nature. Au contraire, il se conforme au maniérisme du XVIe siècle et au style byzantin dans lesquels les images sont conçues dans l'esprit. L'espace est perçu dans l'imagination, la lumière est incandescente, rétive et irréelle, les couleurs sont pures, lumineuses et surnaturelles, les figures sont allongées, énergiques et dématérialisées. Toutes paraissent illuminées et dynamisées par l'intervention spirituelle de la grâce divine pour suggérer la puissance de l'âme.