blankenberge
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tomate crevette
tomate bien mure et bien ferme
crevette grises de preference
petit ognion
sel
poivre
mayonnaise
preparons la tomate
enlever lui la fleur et couper tout autour de la base
otez la
retournez la sur l'assiette (pour une meilleur stabilite sur l'assiette)
couper comme pour faire un chapeau
videz un rien la tomate
elle est prete
a recevoir la farce
la farce
melanger les crevettes la mayonnaise
salez poivrez
et ajouter un rien d'ognion finement emince
mettez la farce dans la tomate et deborder un rien
mettez lui son chapeau
et hopla
elle est prete !
bon appetit
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ancienne vue de blankenberge
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Oud Stadhuis (L'ancien hôtel de ville)
Cet hôtel de ville du 17è siècle est le bâtiment séculier le plus ancien conservé jusqu'à nos jours. Construit en 1679 - 1680 avec, entre autres, des matériaux provenant de la démolition de la forteresse espagnole qui se dressait à l'ouest de la cité des pêcheurs, il fut le dernier d'une série de quatre maisons communales.
Au fil des ans, on y apporta de nombreuses modifications, mais le volume actuel est encore celui de 1860, sauf qu'à l'origine se situait rue Longue (Langestraat) une partie plus basse dotée d'un portail, aujourd'hui disparue.
Jusqu'en 1894, l'immeuble fit fonction d'hôtel de ville et ensuite il devint centre culturel, principalement pendant la saison estivale. Mais lorsque Blankenberge devint, à partir de 1850, un centre de plus en plus mondain, la commune pensa très sérieusement à faire édifier un nouvel hôtel de ville et négligea, par voie de conséquence, le bâtiment devenu de la rue de l'Eglise.
La Commission Royale aux Monuments dut intervenir en insistant sur la valeur historique et architecturale de l'immeuble et ainsi, en suivant cet avis, la Députation Permanente refusa en 1894 le permis de démolition. Ce ne fut pourtant qu'à partir de 1908 que les autorités semblèrent se rendre compte de la valeur artistique du bâtiment et conçurent l'idée de le faire restaurer. Malencontreusement, la Première Guerre Mondiale vint empêcher toute exécution de ce projet, de sorte que les véritables travaux ne furent effectués qu'en 1930.
Cette restauration n'ayant pas été fort heureuse, l'intérêt que le public daigna porter à ce vestige du 17è siècle fut plutôt mitigé. Néanmoins, le 19 avril 1937, l'ancien hôtel de ville fut déclaré par Arrêté Royal monument protégé à cause "de sa valeur artistique, historique et archéologique". Enfin, en 1982 - 1984, d'authentiques travaux de restauration furent menés à bien: une des reconstructions les plus marquantes, et les plus remarquées, est le grand escalier extérieur qui, après une absence de 120 années, restitua à l'ancien hôtel de ville son entrée d'origine. Ce bâtiment sert maintenant d'espace d'exposition.
Source: Syndicat d'Initiative de Blankenberge et Stedelijke Culturele Raad
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Windscherm (Le paravent)
Au siècle passé, une des formes de détente favorites des touristes était la promenade, le fait de profiter des bienfaits du plein air. Cette forme de récréation en fonction de la santé fut prétexte à certaines constructions publiques comme le paravent, exemple unique de ce genre d'architecture. On peut appeler un véritable miracle le fait que ce monument daté de 1908 ait survécu sans dommages aux deux cataclysmes mondiaux, et cela si près du port.
Malgré l'évolution des occupations de vacances, le paravent est resté un lieu de rendez-vous et une halte quasi obligatoire pour ceux qui aiment jouir à la fois du soleil et du spectacle des activités des quais du port.
Source: Syndicat d'Initiative de Blankenberge et Stedelijke Culturele Raad
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Le Casino
A Blankenberge, on parla pour la première fois d'un casino en 1865. Ce fut l'échevin Cornélis De Meulenaere qui fit la proposition "d'aménager l'hôtel de ville existant de telle façon que l'on puisse y créer un casino ou lieu de réunion pour les touristes". Et, en effet, à cette époque des premiers balbutiements touristiques, la nécessité d'un lieu de réunion ou de rencontre se fit sentir dans cette vieille ville de pêcheurs.
Certes, depuis 1859, il y avait le "Kursaal" (casino) sur la digue promenade, mais les autorités n'étaient pas très satisfaites de la collaboration des exploitants avec la commune. D'où l'idée des conseillers communaux de faire construire un casino à leur initiative, et cela même où se dressait le fort Napoléon.
En 1873, Blankenberge parvint à se rendre propriétaire du terrain et du fort mais la réalisation pratique d'un casino s'avéra vite une opération ardue.
Finalement, le conseil communal préféra le projet élaboré par les architectes bruxellois Octave Van Rysselberghe et Emile Hellemans. Le casino qui fut inauguré officiellement le 18 juillet 1886 fit sensation au milieu de la digue promenade et devint désormais le symbole, et en quelque sorte, la carte de visite du Blankenberge mondain.
Source: Syndicat d'Initiative de Blankenberge et Stedelijke Culturele Raad
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Zeedijk (La digue promenade)
Au siècle passé, un des dix commandements auxquels se conformait le touriste disait:
"Sur la digue tu flâneras, aspirant l'air abondamment"
Sans aucun doute, le phénomène de la digue promenade sur le front de mer a toujours joué un rôle important dans le tourisme au littoral. Très vite, on découvrit les avantages d'une vue splendide sur la mer. Jusqu'au 19è siècle, le front de mer blankenbergeois n'était qu'une longue rangée de dunes immaculées et les premiers touristes devaient escalader les dunes en empruntant deux escaliers en bois, pour atteindre la plage en pataugeant littéralement dans le sable mou et fuyant.
Vers 1820 la digue d'Ostende, s'était métamorphosée en véritable promenade. Ce ne fut pas le cas à Blankenberge et, d'après le bourgmestre de l'époque, les touristes s'en plaignaient. Il affirma que l'absence de promenade pouvait aller jusqu'à la disparition pure et simple des activités balnéaires. Il insista très fort sur l'obligation morale de la commune de se consacrer à tout travail utile et agréable visant à faire accroître le nombre de visiteurs étrangers et fit un ardent plaidoyer pour l'installation d'un sentier de promenade sur les dunes.
Ainsi, lorsqu'arriva la saison 1840, une passerelle faite de planches, directement installée sur le sable des dunes, longue de 42 mètres et large de 1,25 mètre, relia les deux escaliers. Très vite, la "vox populi" appela la passerelle le "plancher". En 1843, les autorités politiques firent niveler et revêtir de pavés une partie des dunes.
Tout au long des années suivantes, on prolongea la promenade tant du côté est que du côté ouest et en 1866, la commune y fit installer 26 bancs. En 1872, la digue promenade mesurait 1200 mètres de long et 27 de large.
Des milliers de touristes y firent, l'été, de véritables défilés de mode. Vers la fin du 19è siècle, la digue avait atteint sa taille actuelle. Depuis 1924, on y interdit toute circulation motorisée pendant la saison balnéaire.
Source: Syndicat d'Initiative de Blankenberge et Stedelijke Culturele Raad
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le tram
moyen de locomotion bien pratique
il longe toute la cote belge
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en ete
un endroit sur la plage est reserve
aux artistes
des constructions gigantesques de sable
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Le Pier (La Jetée Promenade)
La jetée promenade est un phénomène typiquement britannique. Elle peut être datée du début du 19è siècle et fut à l'origine un simple embarcadère. Vers le milieu du 19è siècle, on s'aperçut que l’embarcadère était un endroit de promenade exquis, permettant de jouir à la fois des bienfaits de l'air marin et d'un panorama grandiose. Puis, au tournant du siècle, les fonctions de promenade et de panorama passèrent au second plan et on construisit sur la jetée des locaux destinés à toutes sortes de divertissements.
Ces conceptions et réalisations anglaises devinrent vite un article d'exportation important et les promoteurs britanniques cherchaient dès lors à conclure des contrats sur le continent européen. Ainsi, en 1873, le londonien John Hendrey proposa à la commune de Blankenberge de construire une jetée promenade. Malgré l'accueil enthousiaste que certains membres du conseil communal firent à cette idée, le projet avorta. D'autres propositions suivirent: celle du bruxellois Tackels en 1881 et également, en 1883, un projet élaboré par l'ingénieur anglais James Brunlees. En fin de compte, ce fut le quatrième projet, celui du groupe Hellemens, qui fut le bon. Le 29 juin 1889, le gouvernement mandata cette société, composée de Mr Casse, ingénieur à Bruxelles et d'Emile Hellemans, architecte à Ixelles, pour la construction de la jetée promenade. Celle-ci fut montée au début de 1894 et ouverte au public le 12 août de la même année.
Cette jetée en fonte devint d'emblée la coqueluche des touristes et elle fut célébrée comme " un chef d'œuvre de l'art métallurgique ". La plate-forme octogonale fut agrémentée d'un gracieux pavillon dans le style art nouveau où primèrent le verre et le fer.
Malheureusement, le 30 octobre 1914, l'envahisseur allemand incendia la jetée et du chef d'œuvre tant renommé, il ne resta que le squelette tordu et noirci.
Après la guerre, la commune de Blankenberge reprit elle-même la concession (en 1928) et fit construire en 1931 - 1933 une nouvelle jetée en béton, faite d'une passerelle et d'un pavillon. Il va de soi que cette construction est beaucoup plus sobre que la jetée métallique de 1894. Les éléments ajoutés tardivement au pavillon ont complètement occulté le style original; ainsi, les composantes art déco, tels les carreaux émaillés ou la conception très géométrique de l'ensemble, sont devenues totalement invisibles. L'ancienne construction en fonte possédait des qualités de transparence que l'actuelle jetée en béton, à l'aspect plus massif, a perdues. Néanmoins, le Pier, la jetée promenade, reste caractéristique du paysage blankenbergeois.
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la maison communale
la mairie
de blankenberge