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Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour : 15.08.2012
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don d'organe

22 juin journée du don d'organe

Publié à 10:00 par sincerity
22 juin journée du don d'organe
Journée du don d’organes : il faut en parler !
« Don d’organes. Pour sauver des vies, il faut l’avoir dit. ». Ce slogan de l’Agence de la biomédecine rappelle autour de la 10e Journée de réflexion sur le don d’organes, le 22 juin, qu’il est important d’en parler à ses proches.

La greffe permet de sauver des vies lorsqu’aucun autre traitement ne peut guérir les malades. Elle peut concerner tout le monde : des enfants dont les reins ne fonctionnent pas bien ou des adultes dont le cœur est défaillant. Personne n’est à l’abri d’un besoin d’organe... mais tout le monde peut être donneur. Il faut simplement en informer ses proches. La Journée du don d’organes fêtée chaque année depuis 10 ans donne une opportunité de délier les langues et de faire savoir son choix.

En effet, dans 90% des cas, le donneur est décédé. C’est alors à la famille de prendre une décision : la mort de mon proche sauvera-t-elle d'autres vies ? Dans cette situation particulièrement douloureuse, il est préférable d’en avoir déjà parlé pour que les proches ne soient pas pris au dépourvu. Car même en cas de possession d’une carte de donneur d’organes, le dernier mot sera donné par la famille : la carte n’a pas de valeur légale.

Toutefois, la loi française applique le consentement présumé : si les proches n’ont pas été informés, le défunt est considéré comme donneur. Sachez que si vous êtes contre, vous pouvez vous inscrire au registre national des refus. Les médecins vérifient toujours l'admission de la personne dans le fichier et stoppent immédiatement les démarches de prélèvement si tel est le cas.

En France, le non-prélèvement d’organes pour cause de refus atteint 32%. Dans 4 cas sur 10, c'est l'application de la volonté du défunt, qui en avait fait part au cours de sa vie. Mais dans 6 cas sur 10, le refus vient des proches, souvent parce qu’ils ne connaissent pas sa décision.

1 donneur : 4 vies sauvées

En général, les donneurs sont décédés à l’hôpital des causes d’un accident vasculaire cérébral, d’un traumatisme crânien ou parfois d’un arrêt cardiaque. Le corps est maintenu en état de vie artificiellement afin de préserver les organes jusqu’à leur prélèvement. Un même donneur peut en moyenne sauver la vie de 4 personnes, car un maximum d'organes est prélevé. Le corps est bien évidemment rendu à la famille après l’opération.

Dans le cas de don d’organe de son vivant (don du rein le plus souvent), le donneur doit être de la famille du receveur, ou vivre avec lui depuis plus de deux ans. Ces lois sont appliquées pour éviter toute dérive potentielle (trafic d’organe).

En ce qui concerne les receveurs, ils doivent être inscrits sur la liste nationale d’attente, gérée par l’Agence de la biomédecine. L’attente est souvent longue, de plusieurs mois à plusieurs années, ce qui peut d’avérer trop tard. Ainsi, en 2009, sur les 14.400 personnes en attente de greffe, seules 4.580 ont reçu un organe et 250 personnes sont décédées faute de greffe. Les receveurs sont bien sûr les cas les plus urgents mais il faut aussi que la compatibilité soit avérée.

Les résultats post-greffe sont de plus en plus encourageants. Outre la prise de médicaments anti-rejet, les personnes greffées peuvent reprendre une vie normale : avoir un travail, des enfants, sortir, s’amuser. En France, environ 40.000 personnes seraient porteuses d’un organe greffé.

Au final : si vous êtes pour ou contre, faites-le savoir. N'hésitez pas à en parler à vos proches, des vies seront peut-être sauvées                                                

GREFFE DU REIN


Il faut savoir que la transplantation rénale est la plus fréquente des greffes d'organes puisqu'elle représente plus de la moitié des interventions. Mais tous les patients ne sont pas "candidats" a la transplatation. Une serie d examens (physiologiques et psychologiques) permettent d etablir une conclusion sur la possibilité d une greffe. Le nephrologue du service discute avec son patient de la possibilité d une greffe et avec son accord, organique une serie de RDV pour les differents examens a subir.

Le bilan pré greffe a pour but de depister toutes pathologies suceptibles d aggraver ou de mettre en danger la vie du patient ou de compliquer l acte chirurgical.

 

Le patient déja en cours de dialyse doit subir des examens allant des plus simples au x plus contraignants :

* prises de sang multiples et variées

* scanner avec injection --> l examen de reference dans le bilan pre greffe

* (parfois) un bilan vasculaire chez des patients presentant des facteurs de risque.Un echo dopller vasculaire permettra alors de rechercher d eventuelles lesions.

* bilan des voies excretrices (Etude de la morphologie des ureteres et dépistage des anomalies au niveaux de celles ci.)

* echographie renale (étude de la morphologie renale et recherche d eventuelles tumeurs)

* entretien psychologique...tres important! car la greffe bien qu apparaissant comme un element salvateur, n est en fait pas toujours tres bien vecue en post operatoire d un point de vue purement psychologique...Il n est effectivement pas toujours evident de vivre avec le rein de "QUELQU UN D AUTRE".

Apres avoir réalisé la panoplie d examens et si le receveur est juger "candidat" a la greffe, il est alors inscrit sur la liste d'attente des greffes de son  centre de transplantation et son dossier administratif est transmis à l'Agence de Biomédecine, qui centralise les données.

Le patient doit TOUJOURS etre joignable DE JOUR COMME DE NUIT. il peut etre apelé a tout moment si un rein compatible est "disponible".                               

Je suis a la dialyse depuis le 1/3/2011 j'ai fait les examens de pre greffe j'ai eu les resultas aujourdui et je ne peux pas etre cadidate pour une transplantation renale a gause de mes problems de coeur alore pour moi ca sera dialyse pour le reste de ma vie                                

joelle
je suis dialysée depuis 2OO9 ma maman elle depuis plus de 10ans sa soeur n'a survécue que 4ans,j'ai une cousine qui elle a reçut un rein elle n'a 22ans, il faut savoir que lorsque il y a greffe de rein au bout de 1Os an il y a de nouveau des problèmes,par contre ont peu très bien vivre avec un seul reins du moment qu'il fonctionne bien,pour ma maman 81 an et moi il n'y a pas de possibilité de greffe,ma maman est enfin de vie elle nous quitte tout doucement,elle ne pèse plus que 33 kgs, il y a beaucoup de contrainte lorsque l'on y dialysée,le poids la nourriture, ont ne peut boire qu'un demi vers d'eau par jour alors imaginé quant il fait très chaud on suce des glaçons, le coeur fatigue beaucoup,s'est vrai qu'il y a des gens qui travail ont les dialyse la nuit, d'autre n'ont que deux fois par semaine, mais il faut savoir qu'il n'ont pas d'autres problèmes de santé, alors madame bon courage,s'est grace a Sincerity qui elle sera pourquoi,je reprend un peu gout à la vie merci


Merci Joelle pour ton com qui ma beaucoup emue bon courage à vous prions tous pour les gens qui sont malade prend bien soin de toi amitié de Annick 

Les maladies renales

Publié à 19:36 par sincerity
Les maladies renales

Les maladies rénales : une menace silencieuse…

2 à 3 millions de français de tous âges souffrent de maladies des reins. La plupart l'ignorent.

En effet, ces maladies ne provoquent en général aucun symptôme perceptible avant un stade très avancé. Ainsi, lorsqu'on dit " j'ai mal aux reins ", c'est le plus souvent à la colonne vertébrale que l'on a mal et non aux vrais reins !

C'est pourquoi ces maladies silencieuses sont trop souvent diagnostiquées tardivement, alors qu'une prise en charge précoce et appropriée permet de ralentir ou de stopper leur évolution.

Personne n'est à l'abri des maladies des reins !

Beaucoup de maladies peuvent toucher les reins et les abîmer, qu'elles soient d'origine malformatives et congénitales, héréditaires, ou encore acquises…

Elles peuvent être causées par des infections, liées par exemples à certains microbes comme les streptocoques.

Elles peuvent aussi être occasionnées par des dérèglements spontanés du système immunitaire, ou encore par l'absorption de substances toxiques pour le rein, notamment certains médicaments.

Les maladies qui atteignent les vaisseaux sanguins, comme l'hypertension artérielle et le diabète, peuvent aussi endommager les reins.

Les maladies rénales qu'elles entraînent affectent peu à peu les unités du rein qui filtrent le sang, appelées glomérules.

Les reins ne sont alors plus en mesure de fonctionner correctement.

Les complications rénales du diabète et de l'hypertension artérielle sont devenues les principales causes de traitement par dialyse en France

Comment les maladies rénales sont-elles diagnostiquées ?

Comme elles ne se manifestent le plus souvent par aucun symptôme, les dégâts peuvent se produire sans que l'on s'en rende compte.

Dans presque tous les cas de néphropathies, ce sont les deux reins qui sont atteints progressivement et de façon simultanée

Il est donc important de les diagnostiquer le plus tôt possible, c'est avant tout le rôle du médecin généraliste, mais aussi du diabétologue, du cardiologue, du médecin du travail…

Les méthodes de dépistage sont simples :

 

  • test par bandelette urinaire : recherche de la présence d'albumine ou de traces de sang dans les urines.
  • Prise de sang : mesure du taux d'urée, ou mieux, de créatinine sanguine. Ce sont des substances normalement éliminées par les reins. Lorsque leur fonctionnement est défectueux, elles s'accumulent dans le sang.

 

 

 

  • Mesure régulière de la tension artérielle : Une tension élevée peut en effet accélérer l'évolution d'une maladie du rein sous-jacente. Elle peut aussi la révéler.

 

 

Les glomérulonéphrites primitives

Ce sont les plus nombreuses. Le terme primitif signifie que l'on ne connaît pas avec certitude leur cause. Le plus souvent elles débutent insidieusement, et la maladie rénale n'est découverte qu'à l'occasion d'un examen systématique des urines qui révèle la présence de protéines ("albuminurie") et de globules rouges ("hématurie microscopique"). Il faut alors pratiquer une biopsie rénale , qui permet d'examiner sous le microscope un minime fragment de tissu rénal, pour identifier précisément la maladie :

  • Les maladies glomérulaires liées à des maladies générales

La plus importante est le diabète sucré : de nombreux diabétiques présentent, après plusieurs années d'évolution, une atteinte du rein, la "glomérulosclérose" diabétique. On peut citer également le lupus érythémateux, et l'amylose, due à une infection chronique comme la tuberculose.

  • Les néphropathies interstitielles

Elles sont dues à une atteinte prédominante du tissu interstitiel qui forme la trame de soutien entre les néphrons. Elles sont souvent causées par l'infection urinaire. On sait qu'elle est fréquente, surtout chez la femme. Ces infections, dues le plus souvent à un colibacille ("Escherichia coli"), sont généralement sans gravité, car elles restent localisées à la vessie où elles provoquent simplement une inflammation ("cystite") qui guérira facilement. Mais si l'infection survient sur des voies urinaires qui se vident mal, les bactéries se multiplient facilement, remontent jusque dans les reins où elles donnent une "pyélonéphrite". L'obstacle à l'écoulement des urines peut être anatomique (cacul, grosse prostate, rétrécissement inflammatoire ou cancéreux), ou être une gêne fonctionnelle par une malformation, comme le reflux vésico-urétéral fréquent chez l'enfant. L'évolution vers l'IRC est souvent très lente, entre 10 et 40 années. Elle peut-être retardée par une traitement chirurgical associé au traitement anti-infectieux. Des progrès considérables ont été réalisés, surtout chez l'enfant où la correction précoce des malformations permet d'enrayer l'évolution chronique.

Les néphropathies vasculaires

  • L'hypertension artérielle

C'est une maladie fréquente, qui touche près de 10% de la population. Elle peut être une conséquence d'une maladie rénale. Mais dans 90% des cas, elle survient sans cause précise et elle est dite "essentielle". La trop forte pression artérielle pendant de nombreuses années aboutit à léser la paroi des vaisseaux, surtout ceux des reins, du coeur et du cerveau. L'IRC témoigne alors de l'atteinte rénale due à l'hypertension artérielle. L'hypertension artérielle se manifeste en général vers 40 ans, et il faut environ 20 années d'élévation de la pression artérielle mal contrôlée pour provoquer l'atteinte rénale. Ce type d'IRC pourrait être considérablement réduit si tous les hypertendus étaient correctement traités.

  • La sténose

Le rétrécissement des artères rénales par une plaque d'athérome peut entrainer une hypertension artérielle "secondaire", la mauvaise irrigation des reins et l'élévation de la pression conjuguant leurs effets pour entrainer la destruction du tissu rénal, parfois accélérée par un fragment de cholesterol qui se détache de la paroi en entrainant une embolie.

Les maladies constitutionnelles

Les reins et les voies urinaires peuvent être le siège de malformations, dont certaines peuvent être héréditaires. La polykystose rénale est la plus fréquente.

 

Fréquence des maladies rénales

Les maladies rénales se répartissent approximativement de la manière suivante :

  • maladies glomérulaires : 30 %, dont 10% pour le diabète sucré
  • néphropathies interstitielles : 25%
  • néphropathies vasculaires : 20%
  • néphropathies constitutionnelles : 15%, dont 10% pour la polykystose
  • causes indéterminées : 10%

 

Journée nationale pour la reflecion du don d'organes

Publié à 21:53 par sincerity
Journée nationale pour la reflecion du don d'organes

22 juin : Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe



22 juin : Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffeDonneur ou pas…
Pourquoi et comment je le dis à mes proches

Etre pour ou contre le don d'organes post mortem, est un choix qui nous engage, mais qui engage aussi nos proches. C'est pourquoi il est important de faire connaître sa position à sa famille. Le 22 juin, l'Agence de Biomédecine invite le grand public à exprimer son opinion.

Si les Français, en grande majorité, se déclarent favorables au don d'organes, ils sont bien moins nombreux à faire connaître leur position à leurs proches. A l'occasion de cette journée nationale de réflexion, une campagne nationale invite chacun à exprimer sa position à ses proches.

La France en situation de pénurie

Le prélèvement d’organes n’est possible que dans des conditions rares. L’organe greffé (ou greffon) provient d’une personne décédée en état de mort encéphalique au sein d’un service de réanimation. Ce type de décès est provoqué par l’arrêt définitif du fonctionnement du cerveau, le plus souvent, suite à un accident vasculaire cérébral ou à un traumatisme crânien. Cette situation représente à peine plus de 1 % des décès hospitaliers enregistrés en court séjour, événement rare qui fait du greffon un bien très précieux pour les patients en attente de greffe.

Malgré une mobilisation croissante, la France connaît toujours une situation de pénurie. En 2004, plus de 11 500 personnes ont eu besoin d’une greffe d’organes pour continuer à vivre ou à mieux vivre, seules 3 948 ont pu être greffées et 260 sont décédées faute de greffon. Chaque année, le nombre de personnes inscrites sur la liste d’attente s’accroît et le décalage entre le nombre de nouveaux inscrits (4 940 en 2004) et le nombre de greffes effectivement réalisées s’accentue.

La mobilisation de tous reste donc indispensable. Cette année encore, l’Agence de la biomédecine, qui reprend les missions de l’Etablissement français des Greffes, entend sensibiliser le grand public sur le don d’organes et les greffes

Pour ceux qui veulent en plus réflechir aux questions d'éthique posées par le don d'organe, un intéressant éditorial de Mgr Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux, mérite d'être parcouru :

Don d'organes, don de Vie

A l'occasion de la Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe, le 22 juin 2004, Mgr Jean-Pierre Ricard a publié un Editorial dans l'Aquitaine du 18 juin 2004 sur l'importance de ce geste généreux :
Le 22 juin prochain aura lieu la 4ème Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe. Parmi toutes les journées à thème, il serait dommage que celle-ci passe inaperçue.
Les greffes d'organe sont le seul moyen actuellement envisageable pour sauver la vie de certains malades ou remédier à des astreintes très éprouvantes, comme les séances répétées de dialyse. Beaucoup espèrent cette greffe, l'attendent longtemps. Du fait de cette attente, leur état peut s'aggraver au point de conduire à la mort, une mort qui aurait parfois pu être évitée. Malheureusement, les dons d'organes sont loin de répondre aux besoins exprimés.
Les organes vitaux ne peuvent être prélevés (à part le don d'un rein dans certaines circonstances) que sur des personnes décédées en état de mort cérébrale, souvent après un accident. Les médecins s'adressent alors aux proches parents. Ceux-ci, déjà bouleversés par la soudaineté de la mort, voient leur souffrance ravivée par la demande de prélèvement d'organes sur un être cher. Un tel désarroi amène plus d'une famille à refuser un tel prélèvement.
On peut comprendre une telle souffrance. Celle-ci pourrait être moindre si l'éventualité de prélèvement avait fait l'objet d'une réflexion personnelle et d'échanges en divers lieux, et d'abord au sein de la famille.
En 1996, la Commission sociale de l'Episcopat lançait cet appel : "Nous vous invitons instamment à une réflexion personnelle et à ces échanges en famille et à l'intérieur des communautés, paroissiales et autres. En lançant cet appel, nous ne cherchons pas à faire pression sur les consciences. Nous vous invitons surtout à prendre conscience que la mort peut frapper chacun d'entre nous et de nos proches de manière inopinée, bien avant une vieillesse avancée, et que si douloureuse qu'elle soit pour ceux qui nous aiment et que nous aimons, cette mort peut aussi devenir l'occasion d'un acte de solidarité de très grande valeur."
Oui, l'acceptation de la possibilité d'un don volontaire d'organes est une forme d'un véritable don de soi pour l'autre, un authentique acte d'amour. C'est une des applications inattendues de la parole du Christ : "Nul n'a d'amour plus grand que celui qui donne sa vie pour ceux qu'il aime." (Jn 15, 13) Plusieurs fois, le pape Jean Paul II est intervenu pour appeler à ce don, en rappelant d'ailleurs les conditions dans lesquelles le prélèvement devait être réalisé. Son appel est clair : "Je suis certain que les responsables sociaux, politiques et éducatifs renouvelleront leur engagement à promouvoir une véritable culture du don et de la solidarité. Il faut insuffler dans le cœur des personnes, et en particulier dans le cœur des jeunes, une reconnaissance authentique et profonde du besoin d'amour fraternel, un amour qui puisse trouver une expression dans la décision de devenir un donneur d'organes". (Discours au 18° Congrès international de transplantation d'organes - 29 août 2000)

Cet appel mérite d'être entendu !pour tout les malades                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Le 18/04/2001 j'ai ete greffé d'un rein apres 33 mois de dialyse

Qu’est-ce que l’hémodialyse?

L’hémodialyse (HD) en abrégé est un traitement qui Permet d’éliminer les déchets et les liquides en excès qui s’accumulent dans le sang et dans les tissus corporels Suite à l’apparition de l’insuffisance rénale. Cette technique permet d’en éliminer relativement rapidement des quantités importantes. L’hémodialyse est donc utilisée comme thérapie intermittente, c’est à dire qu’en règle générale, elle est réalisée trois fois par semaine pendant une durée de 3 à 5 heures.

L’épuration du sang a lieu à l’extérieur de l’organisme grâce à un circuit extracorporel et un « rein artificiel », également appelé dialyseur. Le sang circule depuis l’abord vasculaire du patient vers le dialyseur en passant par la ligne à sang artérielle; après quoi, il est restitué au patient par la ligne à sang veineuse. Ce processus est régulé et contrôle par un appareil de dialyse.

Le dialyseur est constitué d’une membrane enserrée dans une coque en plastique. La membrane est une fine pellicule dotée de nombreux pores microscopiques. Au cours de la dialyse, le sang circule d’un côté de la membrane tandis qu’un liquide spécifique, appelé liquide de dialyse, circule de l’autre côté. Il existe une différence de concentration des déchets entre le sang non épuré et le liquide de dialyse propre. Les déchets ont donc tendance à migrer du sang vers le liquide de dialyse, à travers les pores de la membrane. Ce mécanisme de transfert est appelé diffusion. Les pores permettent ainsi le passage des petites molécules, telles que les déchets et l’eau, du sang vers le liquide de dialyse. Les molécules et substances de plus grande taille, telles que les protéines et les cellules sanguines, sont retenues dans le sang. Afin d’éliminer les liquides en excès du sang, l’appareil de dialyse crée au niveau de la membrane, une pression d’aspiration du côté du liquide de dialyse. Cette pression permet le passage de l’eau à travers les Pores de la membrane, vers le liquide de dialyse, pour être ensuite évacuée. Ce mécanisme d’épuration de l’eau est appelé ultrafiltration.

  1. Les greffes :

Le nombre de greffes effectuées en France a dépassé la barre des 4 000 en 2005. Soit une augmentation de 32 % sur 5ans. Malgré tout, les patients sur liste d’attente sont toujours plus nombreux. Ils étaient près de 7 000 fin 2005, en augmentation de 4 % ! Au total l’an dernier, 4 237 greffes ont été réalisées dont 2 572 ont concerné les reins, 1 024 le foie, 339 le coeur, 183 les poumons, 92 le pancréas et 6 l’intestin. A noter aussi 21 greffes de bloc coeur-poumon. Entre 2004 et 2005, le nombre de greffes a donc augmenté de 7 %.Malgré cette progression « la situation de pénurie persiste»,affirme dans un communiqué l’Agence de Biomédecine. En 2005 près de 12 000 personnes ont eu besoin d’une greffe d’organes et 186 patients sont décédés faute de greffon. L’Agence insiste particulièrement sur le fait que les seniors (60 ans et plus) aussi peuvent donner. 

bougie de l'espoire

Publié à 17:42 par sincerity
bougie de l'espoire

pour tout mes amis du centre de dialyse de menin bon courage gros bisous

aidez nous

Publié à 15:49 par sincerity
aidez nous

faites circule sur votre blog merci et visite le site hhtp://bengy.blog.monqenie.com/

don d'organe

Publié à 15:22 par sincerity
don d'organe

un don peut sauve une vie

don de sang

Publié à 12:11 par sincerity
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14 juin 2009 journée mondiale du don de sang

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Publié à 15:29 par sincerity
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Publié à 13:52 par sincerity
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dimanche 14 juin 2009 journee mondiale du don de sang

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Publié à 19:54 par sincerity
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