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Lettre au pape François ... par les Chrétiens !

Publié à 14:47 par yvonne92110 Tags : religion lettre au pape francois par les chrétiens
Lettre au pape François  ...  par les Chrétiens !

La Nonciature apostolique à Paris a validé la supplique au Saint Père, rédigée par de jeunes catholiques français, qui a été signée par plus de 111.000 pétitionnaires.

La supplique au Pape rédigée par de jeunes catholiques, mise en ligne le 14 janvier, sous forme de pétition sur le site "CitizenGo" a passé mercredi le cap des 111.000 pétitionnaires.

Les 130.000 sont visés d'ici à vendredi, jour où François Hollande sera reçu au Vatican.

 

(*) Nous souhaitons qu'à l'occasion de la  visite de François Hollande au Pape François, le 24 janvier prochain, celui-ci puisse officiellement lui faire état du profond malaise et de l'inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France face à la promotion par son gouvernement d'atteintes majeures aux droits fondamentaux de la personne humaine (Loi Taubira, PMA-GPA, recherches sur l'embryon humain, euthanasie, Gender, etc.) et face aux attaques dont ils sont l'objet quotidiennement (campagne médiatique de dénigrement, profanations d'églises, etc.)

 

Très Saint Père,

 

Vous avez accordé audience au Président de la République Française, que vous recevrez au Vatican le 24 janvier prochain.

C’est avec confiance et espérance que nous nous tournons vers votre Sainteté pour lui demander de bien vouloir se faire, auprès de Monsieur François Hollande, l’interprète du profond malaise et de l’inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France.

 

Malaise, car les catholiques de France qui se sont levés en masse l’an dernier pour crier leuropposition à la loi dite du «  mariage pour tous »,loi injuste qui prive délibérément l’enfant de sondroit élémentaire à avoir un père et une mère, et qui ouvre la voie à la marchandisation du corps humain, n’ont pas été écoutés par monsieur François Hollande.

 

Ces manifestations, bien que non violentes, ont été réprimées dans des conditions indignes dénoncées d’ailleurs par le Conseil de l’Europe dans sa résolution 1947.

 

Malaise car, depuis un an, les catholiques de France sont l’objet d’une campagne médiatique de dénigrement d’une rare violence

 

Les profanations d’églises se sont multipliées récemment à l’initiative d’un groupe féministe radical, les Femen. Ces profanations n’ont quasiment trouvé aucun écho dans les médias; aucun membre du gouvernement ou responsable politique de la majorité gouvernementale n’a jugé utile de condamner ces profanations qui nous blessent ni même de nous exprimer son soutien.

Les suites judiciaires ont toutes été étouffées. Beaucoup de catholiques de France ne peuvent s’empêcher de faire le rapprochement avec la sévérité unanime et justifiée des réactions lorsque ce sont d’autres communautés religieuses qui sont attaquées en France.

 

Malaise enfin, car les moqueries et les attaques de la part des plus hautes instances pleuvent. Sur une grande radio nationale, il y aquelques mois, le Ministre du Travail tournait en ridicule la Sainte Eucharistie en déclarant « Nous ne sommes pas dans les invocations. On n’est pas à la messe à faire des prières. Nous on est dans l’action. » Sur les réseaux sociaux, l’attaché parlementaire d’un sénateur socialiste, rapporteur du projet de loi ouvrant le mariage aux homosexuels , en appelait à tirer sur la foule des manifestants opposés à la loi Taubira et recevait le soutien inconditionnel de ce sénateur. Les exemples, hélas, pourraient être multipliés à loisir.

 

Les catholiques de France sont las d’être un groupe religieux de qui l’on puisse se moquer en toute impunité.

 

Inquiétude, car ces attaques contre les catholiques vont de pair avec la promotion parle gouvernement de régressions majeures de droits fondamentaux de la personnehumaine, sous les coups deboutoirs de la culture de mort.

 

En juillet dernier, l’Assemblée Nationale a assoupli les conditions de recherche sur les embryons humains. Les catholiques de France réaffirment leur rejet d’une conception de l’enfant dans laquelle ce dernier n’a pas de droits en propre, hors du projet de ses parents sur lui.

Récemment, le délit d’entrave à l’avortement a été étendu à la simple expression d’une parole critique de l’avortement et de ses conséquences auprès d’unefemme venant chercher conseil. Les catholiques de France seront ainsi empêchés pour l’avenir d’exprimer leur opposition aux politiques de promotion de l’avortement, au mépris de la liberté d’expression qui était jusqu’à présent le fondement de notre démocratie.

 Le gouvernement pose des jalons pour faire voter une loi autorisant l’euthanasie; à cette fin plusieurs membres du Comité National Consultatif d’Ethique ont été changés par Monsieur François Hollande et plus aucun représentant des autorités religieuses n’y siège.

 

Enfin, le Ministre de l’Education Nationale qui est le promoteur actif de la théorie du  Gender à l’école a affirmé clairement sa volonté d’« arracher l’élève à tous les déterminismes », en ce compris les déterminismes familiaux.C’est ainsi le droit des parents à élever leur enfant conformément à leurs convictions qui est  menacé.

Très Saint Père vous saurez, bien évidemment, trouver mieux que nous, les mots pour exprimer notre malaise sur l’ensemble des sujets évoqués ci-dessus, mais nous vous prions instamment avec confiance et gratitude, de bien vouloir faire officiellement état à Monsieur François Hollande de la terrible inquiétude de nombreux catholiques de France, lors de sa visite auprès de votre Sainteté le 24 janvier prochain.

 

Nous avons l’honneur d’être, avec le plus profond respect de Votre Sainteté, les très humbles et dévoués serviteurs.

 

Un collectif de catholiques de France

 
Salutations.
 
 
 
 
 
 
 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          (*) Cela fait déjà plusieurs mois que l'Elysée cherche à organiser une rencontre entre François Hollande, et le pape François. Reçu fin novembre au Vatican, l'envoyé spécial du chef de l'État, Nicolas Hulot, avait transmis une demande d'audience.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Au fil des mandats présidentiels, la visite au Vatican est  devenue un passage obligé. Valéry Giscard  d'Estaing a rencontré Paul VI,  Mitterrand et Chirac ont rendu visite à Jean-Paul II, et Nicolas Sarkozy a été reçu par Benoît XVI.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  François Hollande, lui, n'avait jusqu'alors pas fait preuve d'un enthousiasme débordant à l'idée d'un tête-à-tête avec le Saint-Père. Le chef de l'Etat, qui revendique son athéisme et qui citait encore, lors de ses vœux du 31 décembre, la laïcité comme une «condition du vivre ensemble», ne s'était pas rendu à la messe d'intronisation du nouveau pape, en mars.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        A l'époque, le débat sur le mariage gay battait son plein. Une séquence au cours de laquelle la popularité du chef de l'Etat auprès de l'électorat catholique s'est sensiblement dégradée ...  Déjà, lors de la campagne présidentielle, les prises de positions du candidat socialiste sur le mariage homosexuel et l'euthanasie avaient crispé les catholiques  : 66% des pratiquants avaient voté pour Nicolas Sarkozy au second tour. La radicalisation du conflit entourant l'adoption de la loi sur le mariage pour tous, suivie du débat sur la procréation médicalement assistée (PMA), n'a fait qu'aggraver  ce désamour  : en mars, la cote de popularité moyenne du président de la République s'élevait à 36% chez les catholiques pratiquants,contre 48% dans l'ensemble de la population.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Par petites touches, l'exécutif tente de reconquérir le cœur des catholiques.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        A l'approche des échéances électorales du printemps, cette désaffection croissante inquièteles experts électoraux du PS. Car le vote des catholiques pourrait se révéler déterminant lors des municipales, notamment dans l'ouest de la France, où la gauche était parvenue à capter une partie de cet électorat, déçu par Nicolas Sarkozy. «Les gains de Hollande ont été faits sur le centre-droit, lié à une tradition catholique. Avec le "mariage pour tous", le PS vient de s'aliéner ce qui a été à la base de son succès lors des dernières élections. C'est une erreur électorale énorme», commentait au printemps le démographe Hervé Le Bras.