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COUPE DAVIS ... Une finale au goût amer !

Publié à 13:40 par yvonne92110 Tags : sports et exploits coupe davis une finale au gout amer
COUPE DAVIS    ...    Une finale au goût amer !

Une finale au goût amer ...

 

La finale de la Coupe Davis face à la Suisse promettait un délicieux suspense. Mais au final, les Bleus sont repartis battus au terme d'un week-end où rien n'a tourné comme prévu ...

                                                                                                                                                                                                                                                                  La Suisse a chipé le Saladier d'Argent au nez et à la barbe des Français, et ce n'est en réalité pas une surprise. Les Tsonga, Monfils, Gasquet et Benneteau n'ont pas pu, pour des raisons avant tout tennistiques, empêcher Roger Federer et Stan Wawrinka, deux des quatre meilleurs joueurs actuels, de leur gâcher la grande fête lilloise. Déçus, les Bleus le sont assurément, et c'est normal. Pourtant c'est un autre sentiment qui se dégage de leurs comportements. La conférence de presse collective à laquelle ils se sont soustraits une grosse heure après la défaite de Gasquet n'a pas donné l'image d'une équipe soudée dans la défaite. La (mauvaise) communication autour de la blessure de Jo-Wilfried Tsonga semble être passée par là.

                                                                                                                                                                                                                                                                             Surtout que le n°1 français, comme son capitaine Arnaud Clément, ont avoué que sa blessure à l'avant-bras s'était bien réveillée lors du stage de préparation à Bordeaux, et qu'il n'était plus en mesure de tenir sa raquette samedi matin avant le double. Des mystères qui ont peut-être irrité certains joueurs, on pense notamment à Gilles Simon, impuissant dans son rôle de remplaçant, voire à Gaël Monfils, irréprochable vendredi et avec une tête des (très) mauvais jours dimanche soir. Interrogé sur son état d'esprit après la défaite, celui qui a apporté le seul point français, après avoir passé son temps à regarder ses godasses pendant les questions-réponses, n'a lâché qu'un mot, "déçu", avant de se renfermer sur lui-même.

                                                                                                                                                                                                                                                               Tsonga se "sent responsable" :

                                                                                                                                                                                                                                                                     Tsonga, au cœur du débat, s'est lui défendu comme il a pu. "Je n'ai pas hésité une seule seconde à jouer vendredi, malgré les quelques douleurs ressenties à Bordeaux." Irréprochable depuis des années dans son investissement en Coupe Davis, il peine à relever la tête ce soir. "Je me sens un peu responsable de la défaite." Pourtant il n'a perdu qu'un match, contre deux pour Gasquet par exemple. Et il est assez rare de s'auto-reprocher une blessure. A-t-il tout dit de ses douleurs ? A-t-il voulu tenter un coup de poker vendredi ? Sa volonté compréhensible de prendre part à un objectif évidemment majuscule pour lui a, au final, sans doute desservi l'équipe de France, au moins dans sa manière d'appréhender sa finale.

                                                                                                                                                                                                                                              Benneteau, par exemple, a bel et bien su qu'il disputerait le double peu de temps avant le début de celui-ci. Clément a d'ailleurs souhaité éclaircir l'affaire après avoir soutenu que le Bressan savait dès le vendredi soir. "Ça ne me fait pas plaisir d'avoir donné à certains d'entre vous de mauvaises informations, même si je sais que certains ne m'ont pas cru. Mais je ne devais pas donner d'informations à l'adversaire. Ça fait partie de mon rôle." Soit. Dommage seulement que les joueurs, les seuls à qui il doit la vérité, soient autant restés dans le doute.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 On peut ainsi imaginer les rancœurs pour ceux qui étaient à 100% de leurs moyens physiques, mais dépendants de la décision de Tsonga à se jeter dans l'arène. Rien ne dit évidemment qu'une autre stratégie aurait changé l'histoire de cette finale remportée logiquement par les meilleurs. Elle aurait peut-être pu en revanche éviter le malaise entraperçu avant que les Bleus ne quittent Lille. Perdre une grande finale est toujours difficile à digérer. Cette défaite-là pourrait laisser encore plus de traces.