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Robert Duncan ... peintures !

Publié à 15:55 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

Robert Duncan ... peintures !

Publié à 15:59 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

Robert Duncan ... peintures !

Publié à 16:01 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

Robert Duncan ... peintures !

Publié à 16:06 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

Robert Duncan ... peintures !

Publié à 16:07 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

Robert Duncan ... peintures !

Publié à 16:08 par yvonne92110 Tags : robert duncan peintures

La pensée du jour ... lundi 25 mai 2015 !

Publié à 08:41 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour    ...   lundi 25 mai 2015  !
« Pourquoi la justice humaine est-elle tellement imparfaite ? Parce qu’elle ne se prononce que sur les fautes commises dans le plan physique, matériel. Quand un homme a empiété sur le terrain du voisin, ou qu’il ne l’a pas payé exactement, ou qu’il lui a donné quelques coups et dit des injures, toutes les lois sont contre lui et il est condamné. Mais si, par ses écrits, ses paroles ou son exemple, il a fait perdre la foi, l’espérance et l’amour à des milliers de personnes, s’il les a incitées à la débauche ou à la violence, là, dans la majorité des cas, la justice humaine le laisse tranquille.
On admet maintenant que chacun est libre d’exprimer ses pensées et ses désirs, même les plus scabreux, sans se préoccuper des conséquences que cela aura sur la destinée de certains êtres plus faibles, plus influençables. Des bijoux volés, des vitres brisées, ah ça, oui, c’est important, mais des âmes et des esprits plongés dans le doute, la révolte, le désarroi, ce n’est pas si grave. Et c’est ainsi que souvent les plus grands criminels se promènent en liberté. Mais il faut qu’ils le sachent : un jour, la justice divine les punira très sévèrement. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Cocorico ... Palme d'or pour le cinéma français !

Publié à 09:49 par yvonne92110 Tags : cinéma et tv cocorico palme d or au cinéma francais
Cocorico   ...  Palme d'or pour le cinéma français !

Jacques Audiard, artisan d'un cinéma exigeant, Palme d'or pour "Dheepan"

 

Jacques Audiard, qui a reçu dimanche la Palme d'or du Festival de Cannes pour "Dheepan", est un artisan du cinéma aussi rare que discret, dont les films, sombres et violents, touchent le grand public sans céder à la facilité.

"Recevoir un prix de la part des frères Coen, c'est quelque chose d'assez exceptionnel. Je vous dois infiniment", a-t-il déclaré très ému.

"Sur mes lèvres", "Un prophète", "De rouille et d'os"... Avec sept films en 21 ans, il s'est imposé comme l'un des réalisateurs les plus originaux du cinéma français et collectionne les récompenses.

Mais s'il est né "dans la marmite", le fils de Michel Audiard a attendu l'âge de 42 ans pour réaliser son premier film, en 1994.

"Vu la famille d'où je viens, le cinéma avait quelque chose de trop immédiatement accessible pour le jeune homme que j'étais. Il a donc fallu que j'emprunte une sorte de détour pour y revenir", expliquait-il en 2009.

Depuis, le réalisateur au crâne rasé, lunettes noires et chapeau à bords étroits, construit patiemment une oeuvre forte, qui doit autant au cinéma français des années 1970/80 dans lequel il a baigné qu'aux grands films américains de l'époque.

A 63 ans, il affirme se sentir "très cinéaste français" et cherche l'excellence pour communiquer, dit-il, "du sens et des émotions" aux spectateurs.

Jacques Audiard met en scène des personnages ambigus, lâchés dans un univers glauque d'escrocs minables, d'affairistes véreux ou d'anciens taulards. Avec parfois une bouffée d'espoir, quand les plus mal barrés - le petit délinquant d'"Un prophète", l'employée sourde et solitaire de "Sur mes lèvres"... - parviennent à s'en sortir.

Avec "Dheepan", il a mis en scène le parcours en France de réfugiés sri-lankais, confrontés à la vie et à la violence dans une cité.

- L'école française et l'influence américaine -

Né le 30 avil 1952 à Paris, il se destine d'abord à l'enseignement, pour ne pas s'inscrire trop tôt dans les pas de son père, le dialoguiste vedette de l'époque. Mais le cinéma le rattrape. Il débute comme monteur et s'essaie à l'écriture de scénarios. Un travail qui n'est pas, selon lui, suffisamment reconnu en France. Le métier de scénariste "existe à peine, on peut même parler d'une espèce d'inexistence. Et c'est celle que j'ai mené pendant dix ans", confie-t-il.

Il coécrit avec son père le scénario de "Mortelle randonnée" (1983) de Claude Miller et travaille sur une dizaine de films avant d'aborder la réalisation.

"Regarde les hommes tomber" (1994), sorte de road-movie avec un trio d'acteurs haut de gamme - Jean-Louis Trintignant, Mathieu Kassovitz, Jean Yanne - lui vaut le César de la meilleure première oeuvre. Il enchaîne avec "Un héros très discret" (1996) et "Sur mes lèvres", cinq ans plus tard, qui rafle trois Césars en 2002, dont celui du meilleur scénario (coécrit avec Tonino Benacquista).

Cinéphile passionné - "une espèce dont la disparition a été signalée dans les années 1980" - ses références sont aussi littéraires et musicales. "On lisait beaucoup à la maison". Le choix des comédiens - Emmanuelle Devos, Vincent Cassel, Tahar Rahim, Niels Arestrup, Matthias Schoenaerts -, compte également dans le succès public de ses films.

Après "De battre mon coeur s'est arrêté" (2005), remake d'un film noir américain de 1978, il écoeure la concurrence avec "Un prophète", superbe film d'apprentissage, Grand prix du jury à Cannes en 2009, nominé aux Oscars, qui récolte neuf Césars.

"De rouille et d'os", trois ans plus tard - la relation compliquée entre un vigile bagarreur et une dresseuse d'orques amputée - confirme sa fascination pour la violence et les personnages borderline. "J'ai un problème avec la violence, dit-il. Je l'ai en horreur et pourtant j'y reviens".

Cannes : la réaction poignante de Vincent Lindon !

Publié à 10:07 par yvonne92110 Tags : cinéma et tv cannes la réaction poignante de v lindon
Cannes : la réaction poignante de Vincent Lindon !

Cannes : la réaction poignante de Vincent Lindon ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            L'acteur français Vincent Lindon a reçu le prix d'interprétation masculine lors du 68ème Festival de Cannes.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Dans "La loi du marché", il campe un ouvrier au chômage depuis vingt mois, qui se bat pour retrouver un emploi. Un rôle important pour Vincent Lindon : "C'est la moindre des choses lorsqu'on exerce un métier artistique d'essayer de s'engager, de faire ce qu'on peut avec ce qu'on a", confie-t-il sur BFMTV.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Quel final, quelle soirée et quel palmarès ! L'édition 2015 du festival de Cannes  s'est achevée en apothéose dimanche soir avec 3 récompenses majeures pour le cinéma français : deux prix d'interprétation et une palme d'or.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         La voix des frères Coen a fait résonner à trois reprises la Marseillaise : du jamais vu dans l'histoire du festival de Cannes. Le cinéma français n'avait pas connu pareille fête depuis 2011 et la double aventure The Artist et Polisse. Le palmarès tricolore euphorique n'était pas gagné car les films de Audiard, et de Maiwenn ont été reçus un peu fraîchement par la majeure partie de la critique, celui de Brizé faisant quasi l'unanimité sur le nom de Vincent Lindon. 

"Ce matin, j'ai les larmes aux yeux de fatigue d'émotion car je n'ai pas encore atterri"

Vincent Lindon  FacebookTwitterLinkedin

L'acteur était d'ailleurs en larmes dimanche soir sur la scène du palais des festivals. "J'ai très peu dormi. Ce matin, j'ai les larmes aux yeux de fatigue d'émotion car je n'ai pas encore atterri. J'ai que des gestes de sympathie de gens proches et même lointains. Je vais savourer, en profiter. C'est génial. Je vis un moment extraordinaire. Je suis comme un enfant, quand quelque chose d'extraordinaire m'arrive, je n'ai pas de pudeur. je le partage avec tout le monde"

Vincent Lindon a une filmographie impressionnante depuis 1/4 de siècle et c'est pourtant son 1er prix d'importance : est-ce que cette reconnaissance-là manquait ? "Cela ne me manquait pas. J'espère toujours mais je n'attends rien. Je n'ai aucune aigreur en moi, aucune rancune, aucune rancœur. Cela m'allait très bien de ne pas avoir de prix. Par contre, le prix m'a rendu fou de bonheur."

L'acteur Omar Sharif touché par la mala­die d'Alzhei­mer ...

Publié à 10:27 par yvonne92110 Tags : people omar shrif frappé par la maladie d alzheimer
L'acteur Omar Sharif touché par la mala­die d'Alzhei­mer ...

 « Il se souvient qu'il est un acteur connu »

 

Le fils de l'acteur Omar Sharif a confié au jour­nal espa­gnol El Mundo que son père était atteint de la mala­die d'Alzhei­mer.

Omar Sharif souffre de la mala­die d'Alzhei­mer. C'est Tarek Sharif, le fils unique de l'acteur de 83 ans, qui a annoncé la nouvelle au quoti­dien espa­gnol El Mundo. « Mon père est atteint de la mala­die d'Alzhei­mer. C'est diffi­cile de savoir à quel stade il se trouve. Mani­fes­te­ment, ça ne va jamais s'amélio­rer et ça va aller de pire en pire. » Une triste nouvelle pour cet acteur qui s'était retiré du monde média­tique depuis quelques temps.
 
Concer­nant l'avancé de la mala­die, Tarek Sharif précise : « Il se souvient qu'il est un acteur connu. La perte de mémoire touche d'abord des choses spéci­fiques, des détails comme là où il se trou­vait à tel moment, ou ceux avec qui il a joué dans un film. » Certaines fois, il demande où est son ex-femme, Faten Hamama, décé­dée au début de l'année. « Il y a des moments dans la jour­née où il se sent mieux, et d'autres où il est très confus. »
 
Le fils d'Omar Sharif détaille égale­ment le mode de vie de l'acteur qui passe ses vieux jours à l'hôtel El Gouna, au bord de la Mer Rouge, en Egypte : « Il descend déjeu­ner et ensuite il s'assoit sur la terrasse. Chaque soir, il va au bar de l'hôtel pour écou­ter de la musique. C’est pratique mais il ne se sent pas à l’aise en dehors de l’hô­tel. »
 
Né en 1932 à Alexan­drie en Egypte, Omar Sharif a connu le succès inter­na­tio­nal au début des années 60 grâce à son rôle dans le film de David Lean, Lawrence d'Arabie avec Peter O’Toole. Le public français le connait égale­ment pour ses pubs où il affir­mait que les courses de chevaux étaient sa « grande passion ».