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Attentats de Paris : comment en parler aux enfants !

Publié à 11:37 par yvonne92110 Tags : attentats paris comment en parler aux enfants
Attentats de Paris  : comment en parler aux enfants !

 Les attentats de Paris et de Saint-Denis sont dans toutes les conversations, tous les textos. Lundi, les enfants en parleront nécessairement entre copains dans la cour.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Il est dès lors essentiel d'en discuter à la maison, dès ce week-end. S'il y a une leçon qui a été donnée par les attentats, des 7 et 9 janvier, c'est qu'il ne faut absolument pas cacher ces événements aux enfants. Mais comment aborder un sujet si douloureux ?

Parler avec des mots simples. « Tu as dû voir que Maman/Papa était un peu perturbé, et que le téléphone sonnait beaucoup. Il s'est passé quelque chose de grave », peut-on commencer par lui dire. 

Donner « un cadre raisonnable ». C'est le conseil de la psychanalyste Claude Halmos sur France Info pour éviter que de retour de l'école lundi soir, ils aient déjà eu le temps d'imaginer des scénarios plus spectaculaires, donc plus effrayants, que la réalité. Il faut « dire la vérité qui est terrible, sans paniquer, parler le plus sobrement possible », conseille-t-elle. On peut donc dire que des hommes exceptionnellement méchants ont tiré sur des gens, qu'ils ont tué beaucoup de personnes. 

Pas de détails sur la violence des assauts, l'aveuglement des tireurs, ni les mouvements de panique, ni les attaques suicide. 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Avant 8 ans, inutile de parler de Daech, des exactions des jihadistes en Irak et en Syrie, de religions ou de la diplomatie de la France, une leçon de géopolitique n'ajoutera qu'à la confusion d'enfants trop jeunes pour comprendre. En revanche, il est essentiel, pour éviter une anxiété supplémentaire, de dire que les assaillants sont morts. Et que des blessés vont s'en remettre. 

Pour les plus grands, qui vont demander ou se demander pourquoi des terroristes s'en prennent à la France, on peut leur répondre très simplement pour faire peur et imposer leurs idées. Les adolescents, plus soucieux de discuter et d'échanger qu'on ne croit, sont en mesure de comprendre la notion de liberté d'expression. A ce titre, la tuerie de Charlie Hebdo était sans doute plus simple à expliquer, de même que la marche du 11 Janvier. 

Autoriser ses enfants à poser des questions. Il ne faut surtout pas conclure la conversation d'un « c'est très triste, n'en parlons plus ». Les enfants ont l'absolue nécessité de s'interroger pour libérer les tensions qui les agitent. Les méchants peuvent-ils revenir ? Ils sont morts. Les méchants s'en prennent-ils aux enfants ? Papa et Maman s'organisent pour que vous ne soyez jamais seuls, et toujours avec des gens en qui nous avons confiance. « S'il pose des questions sur le sang, les morts, précise Claude Halmos, on lui dit que c'est suffisamment grave, qu'on n'a pas envie d'aborder ces aspects là ».

Mettre des noms. En janvier, bien des parents avaient été surpris que le nom des frères Kouachi circule à la vitesse de l'éclair dans la cour de l'école. Nommer les agresseurs permet aux enfants de penser à des individus, quelques uns peut-être, mais pas tous les gens que l'on croise. Ils obtiendront des noms par le bouche à oreille, des noms qui ne sont pas tabous.

Ne pas hésiter à employer le mot de « guerre ». « On explique que des gens qui veulent faire la guerre dans un pays qui ne l'est pas, sont venus faire la guerre en France ». « Il ne faut pas être dans l'évitement sémantique », poursuit la psychothérapeute Hélène Romano, spécialistes de la gestion des traumatismes, sur BFM TV. Selon elle, l'expression « acte de guerre » permet de comprendre pourquoi il y a tant de militaires en arme dans la rue. 

En revanche, mieux vaut éviter le mot « fou » pour que les plus petits ne fassent pas d'amalgame avec le monsieur un peu borderline qui chante été comme hiver à son balcon. Inutile de les pousser à se méfier de tous.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Les Les enfants, même petits, perçoivent plus qu'on ne pense  ... Il est indispensable de leur parler simplement des attentats.

Commentaires (1)

cheyenne
Mon mari enseigne aussi le droit à l'université deux fois par semaine et demain il va aborder ce sujet.Beaucoup de jeunes sont très choqués. ça ne vas pas être facile du moins je pense ???.


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