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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Abbaye de Port-Royal : histoire d’une controverse religieuse ...
Au cœur de la Rive Gauche se trouve le quartier de Port-Royal. Une station de RER et plusieurs rues adjacentes portent le même nom. Mais pourquoi Port-Royal ? On trouve en effet une Abbaye Port-Royal dans le quartier, mais également une autre à l’extérieur de Paris. Y a t-il un lien entre les deux ? Petit retour sur l’histoire de l’abbaye de Port-Royal, qui a été au cœur d’une des plus grandes controverses religieuses de Paris.
Un monastère féminin est fondé en 1204 dans les actuelles Yvelines. Tout s’y passe dans la plus grande tranquillité jusqu’en 1608. C’est à ce moment que la Mère Angélique Arnauld mène une grande réforme pour remettre sur pied la spiritualité au sein du groupe. Des rumeurs courent sur le mauvais esprit des pensionnaires qui ne seraient pas très pieuses… D’une main de fer, cette abbesse élue à seulement 11 ans redresse Port-Royal.
C’est elle qui décide en 1625 d’acheter un hôtel faubourg Saint-Jacques à l’intérieur de Paris pour échapper à une épidémie de paludisme. Une distinction s’installe au moment du déménagement intramuros de la plupart des religieuses. L’abbaye de Port-Royal se trouve au Nord-Est du XIVème arrondissement de Paris alors que l’abbaye de Port-Royal-des-Champs est à la campagne à l’extérieur de Paris.
Le lieu où s’installent les religieuses est l’ancien Hôtel de Clagny. Construit au milieu du 16ème siècle par Pierre Lescot, architecte pour cinq rois de France, il a été donné par son neveu Léon à Angélique Arnauld en échange de 1 500 livres de rente. L’abbesse y fait construire plusieurs bâtiments dont une chapelle bénie en 1648. On fait également ériger un monastère, qui sépare l’espace public et celui réservé aux religieuses. La spiritualité de Port-Royal relève grandement du courant janséniste. Ce choix va l’ancrer dans une importante controverse qui le mènera à sa perte.
Fondé au 17ème et 18ème siècle, le Jansénisme est un courant théologique qui se base sur la doctrine de Saint Augustin. De nombreux conflits naissent entre les jansénistes et les autorités en place. Le trop grand pouvoir du Saint-Siège est, entre autres, remis en cause par le mouvement. D’ailleurs, en 1653, le pape les condamne pour plusieurs propositions de leur livre fondateur, L’Augustinus, qu’il juge hérétique. Le roi est également dans la ligne de mire de ce courant. À l’époque, les plus grands opposants à la Monarchie absolue sont des jansénistes.
En 1664, l’archevêque de Paris fait circuler une ordonnance condamnant les propositions de l’Augustinus adoptées par les jansénistes. Cette dernière doit être signée par tous les religieux. Sur environ 90, seule une dizaine des sœurs de Port-Royal accepte de s’y soumettre. Les autres sont expulsées et certaines d’entre elles peuvent regagner Port-Royal-des-Champs. Mais cet épisode est le début de la fin pour Port-Royal et pour le jansénisme. En 1707, Louis XIVconfisque les biens de Port-Royal-des-Champs et l’archevêque finit par confirmer la suppression du monastère. L’Abbaye de la maison mère est rasée en 1713. Quand à Port-Royal de Paris, les religieuses qui y résident ne sont plus jansénistes mais visitandines et y restent jusqu’à la Révolution Française.
La fin du 18ème rime avec la fin de la vocation religieuse de Port-Royal. Après la Révolution française, l’Abbaye devient une prison, Port-Libre, puis l’Hospice de la Maternité en 1795. Deux siècles plus tard, en 1966, la Maternité Port-Royal s’y établie. Aujourd’hui, tout cet espace est intégré à l’hôpital Cochin.
Malgré les fusions et les évolutions, plusieurs bâtiments ont été conservés de l’époque de l’Abbaye. En l’occurrence, le cloître, la chapelle, la salle capitulaire et le chœur des religieuses sont toujours visibles, mais uniquement au moment des offices. L’ensemble est classé monument historique, conservé dans la structure hospitalière à laquelle on peut accéder Boulevard de Port-Royal, comme son nom l’indique.
« Pour se justifier de ne pas pouvoir résister aux tentations, les humains répètent que « la chair est faible ». Non, en réalité la chair, c’est-à-dire le corps, est neutre, il n’est que l’intermédiaire par lequel nous réalisons nos pensées, nos sentiments, nos désirs. Non seulement il ne nous oblige pas à commettre des erreurs ou des excès, mais grâce à lui nous pouvons entreprendre des œuvres magnifiques ; il est même le meilleur instrument de notre évolution. L’Intelligence cosmique a placé en lui tous les instruments dont nous avons besoin pour vibrer à l’unisson de l’ordre et de l’harmonie célestes. Il existe des temples, des églises, des cathédrales, ce sont des lieux que l’on a consacrés pour en faire des demeures de la Divinité. Mais aucun édifice sacré ne peut se comparer à un corps humain purifié, illuminé, sanctifié. C’est ce corps qui doit devenir un temple. Mais combien de temps faudra-t-il encore pour que les humains en acceptent au moins l’idée ? En mettant continuellement leur corps au service de leurs convoitises, ils font de lui un repaire d’animaux, et là ce n’est évidemment pas le Seigneur qui viendra habiter, mais des entités inférieures, des indésirables qui apprécient beaucoup cette compagnie. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
« Sodoma », le livre choc qui fait trembler le Vatican ...
La sortie d’un livre sur les pratiques homosexuelles au Vatican risque de créer une onde de choc au sein de l’Église catholique.
Symbole du catholicisme et, en même temps, forteresse bien gardée où les secrets ne sortent pas des murs, au point d’alimenter les fantasmes les plus fous, le Vatican pourrait bien traverser une zone de turbulence sans précédent.
« Le secret le mieux gardé du Vatican » :
La raison ? La parution le 21 février prochain d’un livre choc révélant l’omniprésence de prélats gays au sein de l’État pontifical, dont la position officielle envers l’homosexualité reste pourtant dépourvue d’ambiguïté.
Intitulé « Sodoma » - en référence à la ville éponyme qui, selon la tradition biblique, fut détruite par Dieu en raison des moeurs homosexuelles de ses habitants -, l’ouvrage est le fruit de 4 années d’enquête menées par le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel.
Ce dernier, auteur de plusieurs travaux sur l’homosexualité, s’est ainsi faufilé dans les arcanes du Saint-Siège, tout en menant des investigations dans une trentaine de pays afin d’en apprendre davantage sur ce qu’il considère comme étant « le secret le mieux gardé du Vatican ». Il en a tiré ce livre aux allures de bombe à retardement, qui ne devrait laisser personne indifférent.
Durant les nombreux entretiens qu’il a menés pour ses recherches, l’auteur a rencontré près de 1 500 personnes, dont une quarantaine de cardinaux et une cinquantaine d’évêques.
« L'homosexualité devient la règle, l'hétérosexualité l'exception » :
Selon lui, « le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde ». « Je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd'hui plus mixte, il y ait autant d'homos ! », ose-t-il encore.
« L'homosexualité s'étend à mesure que l'on s'approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d'homosexuels lorsqu'on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l'homosexualité devient la règle, l'hétérosexualité l'exception. », explique-t-il ainsi.
Il prétend également que les tenants des discours officiels les plus homophobes et traditionnels au sein du Vatican sont très souvent homosexuels ou homophiles dans le privé. Une véritable hypocrisie qui « se vérifie presque toujours » selon Frédéric Martel, lequel se défend d’avoir écrit un livre anticlérical.
Entres autres anecdote invraisemblables voire glauques, il raconte notamment comment se côtoient «deux misères sexuelles » du côté de la gare de Rome-Termini, celle des prêtres homosexuels qui se cachent et celle des migrants prostitués.
On y apprend également que deux éminents cardinaux, membres de la « garde rapprochée » de Jean-Paul II et connus pour leur homophobie notoire, ont été mêlés à une sombre affaire de prostitution masculine.
Notons que l’auteur se montre plutôt bienveillant avec le pape François, dont la position sur l’homosexualité demeure toujours aussi trouble, tantôt tolérante - avec sa désormais célèbre formule «qui suis-je pour juger ? » - et tantôt calquée sur la doctrine officielle de l’Église, comme quand il évoque la «psychiatrie » pour les enfants présentant « des tendances homosexuelles », ou encore lorsqu'il fait part de ses craintes quant à la « mode » homosexuelle.
Enfin, Frédérique Martel évoque, non sans une certaine tristesse, l’un des prêtres qu’il a connu durant sa jeunesse à Avignon (Vaucluse), lequel est décédé dans les années 90 du sida, après avoir été marginalisé et abandonné par l’Église.
Sculpture de Niki de Saint Phalle parmi les palmiers, Negresco, à Nice ...