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Apparitions de la Vierge ... à Bernadette Soubirous !

Publié à 13:00 par yvonne92110 Tags : religion apparitions de la Vierge à B Soubirous Lourdes
Apparitions de la Vierge ... à Bernadette Soubirous !

Bernadette Soubirous

Lourdes 1844 -  Nevers 1879 -

Sainte catholique, béatifiée et canonisée pour avoir vécu et signalé des apparitions de la Vierge Marie dans la grotte de Massabielle. Fille de François Soubirous (1807-1871), et de Louise Soubirous née Castérot (1825-1866), Marie-Bernarde Soubiroux, mieux connue sous le nom de Bernadette Soubirous naquit à Lourdes le 7 janvier 1844. La famille est pauvre, et le moulin de Boly, qu’ils exploitent et habitent au moment de la naissance de Bernadette, ne permet pas longtemps aux Soubirous de nourrir, et encore moins de soigner, leurs nombreux enfants. Bernadette Soubirous est en effet l’aînée d’une fratrie de neuf enfants, dont cinq mourront en bas âge. Bernadette elle-même a les bronches fragiles, et est sujette à des crises d’asthme (suite à la grande épidémie de choléra qui sévit dans les Pyrénées en 1854). Dès 1854, l'entreprise familiale est ruinée. Elle était sans doute trop artisanale pour cette époque d'industrialisation, et certaines sources nous disent que François Soubirous a souvent fait crédit à des indigents. Le meunier et sa famille sont alors contraints de quitter le moulin de Boly, et s’installent dans une cellule de l'ancienne prison de la rue Haute, surnommée « le cachot ». Ils y logent à six dans huit mètres carré à peine (Il est possible aujourd’hui de visiter le cellule). Le père de Bernadette loue alors ses services à la journée, et la famille connaît des difficultés et une misère encore plus grandes. La situation empire à nouveau quand, en 1857, François Soubirous est accusé (à tort semble-t-il) du vol de deux sacs de farine. Il est envoyé en prison et la famille Soubirous entre dans une période de détresse noire.

Bernadette Soubirous, qui a déjà treize ans, sait à peine lire et écrire. Sa santé est encore fragilisée par la faim et la misère, et ses parents décident de l’envoyer chez sa marraine et tante, Bernarde Castérot (1823-1907), qui l'emploiera comme servante chez elle et au comptoir de son cabaret. Elle séjournera aussi longuement à Bartrès chez une fermière amie de la famille, dont Bernadette gardera les moutons.

C’est alors que se manifestent chez Bernadette les premiers signes d’une foi importante. A la fermière de Bartrès, qui a promis au parents Soubirous d’instruire leur fille , et qui, devant ses difficultés de mémoire, désespère de faire sortir son élève de l’ignorance, Bernadette Soubirous répond : « Je saurai au moins toujours aimer le Bon Dieu ».

Malgré un naturel naïf et une obéissance qui lui fait accomplir avec docilité les travaux qu’on peut lui confier, elle affiche très tôt un caractère affirmé et une volonté persévérante. Ainsi, à quatorze ans, ne sachant toujours ni lire ni écrire, elle demande à son père l’autorisation de quitter Bartrès pour revenir au « cachot », afin de suivre à Lourdes les leçons du catéchisme paroissial pour pouvoir au plus tôt recevoir la communion.

C’est en février 1858, à deux mois de celle-ci, que la Vierge lui apparaîtra pour la première fois, dans un repli de la grotte de Massabielle. « Si la Sainte Vierge m’a choisie, c’est parce que j’étais la plus ignorante », dira-t-elle plus tard.

Ainsi, le jeudi 11 février 1858, alors qu’elle ramasse des os et du bois mort, accompagnée de sa sœur, Toinette, et de leur amie Jeanne Abadie et qu’elle hésite à traverser le Gave gelé, Bernadette est surprise par un bruit. Levant la tête vers la grotte de Massabielle, elle aperçoit « une dame vêtue de blanc : elle portait une robe blanche, un voile blanc également, une ceinture bleue et une rose jaune sur chaque pied ». Bernadette récite son chapelet avec la « Dame », puis celle-ci disparaît.

Les apparitions vont alors s’enchaîner, et la Sainte Vierge se présentera dix-huit fois à Bernadette Soubirous, toujours dans la grotte de Massabielle, de ce 11 février 1858 au 16 juillet suivant. Le Dimanche 14 février, malgré l'interdiction de ses parents, à qui Toinette a tout raconté, Bernadette ressent un très fort appel : elle doit retourner à la grotte. Sur son insistance, sa mère l'y autorise. Après la première dizaine de chapelet, la même Dame apparaît à Bernadette. Celle-ci lui jette de l'eau bénite. La Dame sourit et incline la tête. La prière du chapelet terminée, elle disparaît.

Le Jeudi 18 février, Bernadette se rend à nouveau à Massabielle. Sous la pression d'une bourgeoise de Lourdes, elle demande à la Dame de lui écrire son nom sur une écritoire. Celle-ci parle à Bernadette pour la première fois : « Ce n'est pas nécessaire », dit-elle. Elle ajoute «Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde mais dans l'autre. Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ? »

Le Vendredi 19 février, Bernadette vient à la grotte avec un cierge béni allumé. C'est de ce geste qu'est née la coutume de porter des cierges et de les allumer devant la grotte.

Le lendemain, Samedi 20 février, la Dame apprend une prière personnelle à Bernadette qui, à la fin de sa vision, est saisie d'une grande tristesse. Le Dimanche 21 février 1858, l’histoire de la jeune fille commence à attirer les curieux. Une centaine de personnes accompagnent Bernadette à la grotte de Massabielle. La Dame se présente à Bernadette seule, le matin de bonne heure. La jeune fille est ensuite interrogée par le commissaire de police Jacomet. Quand il la somme de raconter ce qu’elle a vu, Bernadette se contente de répéter : « aquerò » (cela).

Le Mardi 23 février, Bernadette retourne à la grotte, accompagnée d’encore un peu plus de monde. L'apparition a lieu pour elle seule à nouveau et lui révèle un secret « rien que pour elle ».

Le Mercredi 24 février, la Dame parle à nouveau, et transmet à Bernadette un message clair : « Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Priez Dieu pour les pécheurs ! Allez baiser la terre en pénitence pour les pécheurs ! » dit-elle. Le Jeudi 25 février, trois cents personnes assistent à la découverte par Bernadette Soubirous, guidée par la Vierge, d’une source au pied de la grotte de Massabielle. Bernadette explique aux témoins que la Dame lui dit d’aller boire à la source et de s’y laver. L’apparition lui demande également de manger d’une herbe qui se trouve au pied de la fontaine. Bernadette racontera plus tard : « Je ne trouvai qu'un peu d'eau vaseuse. Au quatrième essai je pus boire. ». A la foule, qui lui demande « Sais-tu qu'on te croit folle de faire des choses pareilles ? » elle répond simplement : « C'est pour les pécheurs ».

Le Samedi suivant, 27 février 1858, le bruit s’est répandu dans la région, et ce sont plus de huit cents personnes accompagnent Bernadette. L'Apparition reste silencieuse, Bernadette boit l'eau de la source et accomplit les gestes habituels de pénitence.

Le Dimanche 28 février, plus de mille personnes assistent à l'extase de Bernadette. Elle prie, baise la terre, rampe sur les genoux. Elle est ensuite emmenée chez le juge Ribes qui la menace de prison.
Le Lundi 1er mars mille cinq cents personnes accompagnent Bernadette Soubirous à Massabielle. Pour la première fois, un prêtre s’est joint à l’assemblée. C’est cette nuit là, qu’a lieu le premier miracle de la grotte de Massabielle. Catherine Latapie, une amie de Bernadette, se rend à la Grotte et trempe son bras déboîté dans l'eau de la source révélée quelques jours plus tôt : son bras et sa main retrouvent leur souplesse.

Le Mardi 2 mars devant une foule de plus en plus importante, la Dame demande à Bernadette : « Allez dire aux prêtres qu'on vienne ici en procession et qu'on y bâtisse une chapelle ». Bernadette en parle à l'abbé Peyramale, curé de Lourdes. Maisn une seule chose intéresse celui-ci: le nom de la Dame. En outre, il exige une preuve ; il veut voir fleurir le rosier (ou églantier) de la Grotte en plein hiver.

Le Mercredi 3 mars, au petit matin, en présence de trois mille personnes, Bernadette se rend à la grotte, mais la vision n'apparaît pas. Plus tard dans la journée, elle entend l'invitation intérieure de la Dame, et, après l’école, se rend à la grotte. Elle redemande son nom à la belle Dame. L’apparition lui répond par un sourire. Le curé Peyramale insiste auprès de Bernadette : "Si la Dame désire vraiment une chapelle, qu'elle dise son nom et qu'elle fasse fleurir le rosier de la grotte."

Le Jeudi 4 mars, ce sont environ huit mille personnes qui attendent un miracle à la grotte de Massabielle. La vision restera silencieuse. Le curé Peyramale campe sur sa position, mais pendant vingt jours, Bernadette ne ressent plus l’irrésistible invitation à se rendre à la grotte.

Le Jeudi 25 mars 1858, Bernadette se sent à nouveau appelée et retourne à Massabielle. Le rosier n’a toujours pas fleuri, mais l'apparition se présente à la jeune fille. Bernadette la décrit « levant les yeux au ciel et joignant en signe de prière ses mains qui étaient tendues et ouvertes vers la terre » puis la Dame dit en occitan bigourdan — la langue que parlait Bernadette —: « Que soy era immaculada councepciou » (Je suis l’immaculée conception). Bernadette retient ces mots, qu'elle ne comprend pas, et court les dire au curé. Celui-ci ne manque pas d’être troublé : quatre ans plus tôt, le pape Pie IX a fait de l'expression « Immaculée Conception » un dogme. Or Bernadette dit ignorer qu'elle désigne ici la Vierge.

Le Mercredi 7 avril, un nouveau miracle a lieu. Pendant l’Apparition, Bernadette tient son cierge allumé. La flamme entoure longuement sa main sans la brûler. Ce fait est immédiatement constaté par un médecin, le docteur Douzous.

Trois mois plus tard, le Jeudi 16 juillet 1858, a lieu la dernière apparition de la Sainte Vierge à Bernadette Soubirous. La jeune fille se sent une nouvelle fois appelée, mais une palissade interdit l'accès à la grotte de Massabielle devenue célèbre. Bernadette franchit le Gave et, de l’autre rive, voit la vierge exactement comme si elle se trouvait devant la grotte. « Il me semblait que j’étais devant la grotte, à la même distance que les autres fois, je voyais seulement la Vierge, jamais je ne l’ai vue aussi belle », raconte-t-elle.

Le 28 juillet 1858, soit douze jours après la dernière apparition, Monseigneur Laurence, évêque de Tarbes, réunit une commission d'enquête destinée à établir le crédit que l'Église doit apporter aux affirmations de la jeune Bernadette Soubirous. Cette commission est chargée « valider » les miracles annoncés, en recueillant des témoignages divers ainsi que les avis de scientifiques et d’ecclésiastiques. Elle est aussi chargée d'interroger Bernadette.

Il en ressortira que la sincérité de la jeune fille semble incontestable à l'évêque. « Qui n'admire, en l'approchant, la simplicité, la candeur, la modestie de cette enfant ? Elle ne parle que quand on l'interroge ; alors elle raconte tout sans affectation, avec une ingénuité touchante, et, aux nombreuses questions qu'on lui adresse, elle fait, sans hésiter, des réponses nettes, précises, pleines d'à propos, empreintes d'une forte conviction » relatera-t-il. Le fait que la jeune fille répète les paroles transmises par la Vierge, empreintes de mots ou expressions qu'elle ne pouvait, pense-t-on, pas connaître eu égard à son manque d'instruction, sera un argument décisif. C’est après quatre ans d’enquêtes et de réflexion, que l'évêque rend son avis favorable, le 18 janvier 1862 : « Nous jugeons que l'Immaculée Marie, Mère de Dieu, a réellement apparu à Bernadette Soubirous, le 11 février 1858 et les jours suivants, au nombre de dix-huit fois, dans la grotte de Massabielle, près de la ville de Lourdes ; que cette apparition revêt tous les caractères de la vérité, et que les fidèles sont fondés à la croire certaine. Nous soumettons humblement notre jugement au Jugement du Souverain Pontife, qui est chargé de gouverner l'Église universelle ».

Entre-temps, la foule des pèlerins venant voir la grotte et y demander de l'aide à Marie n’avait cessé de croître, venue de toute l'Europe, et les témoignages de miracles accomplis à la source de Massabielle s’accumulaient et faisaient grand bruit. Le verdict de l’évêque accroît encore cette popularité, et c’est ainsi que Lourdes, modeste chef-lieu des Pyrénées, soigneusement évité par le tourisme thermal alors en pleine explosion — son eau n'avait pas les propriétés curatives attribuées à celles de Luchon, Cauterets ou Bagnères-de-Bigorre — est devenue en quelques années la ville touristique la plus fréquentée de la région.

Mais revenons à Bernadette Soubirous, et voyons en quoi sa vie fut changée par ces évènements. Après la dernière apparition, la jeune fille n’a toujours pas fait sa communion et pour cela, elle doit toujours apprendre à lire et à écrire en Français. Elle est donc admise à "l'école des indigents", à l'hospice de Lourdes, tenu depuis 1836 par les Sœurs de la Charité de Nevers. Elle y apprend à lire et on lui enseigne le catéchisme et un métier. Les observateurs de l'époque notent que son recueillement en prière est impressionnant, mais aussi qu’elle est gaie, enjouée, espiègle et plutôt autoritaire avec ses compagnes — qui l'apprécient néanmoins beaucoup.

À l'extérieur, un culte inquiétant semble voué à la jeune bigourdane. On vend sa photo, les journaux parlent d'elle, on veut la voir. Ce tapage, dont Bernadette n’a probablement pas conscience, n’est pas pour plaire à l’Eglise l'essayiste Ruth Harris (Lourdes. La grande histoire des apparitions, des pèlerinages et des guérisons, Jean-Claude Lattès, 2001), affirme même que Bernadette devait « disparaître » de son vivant afin que l'Église puisse maîtriser totalement la capitalisation des miracles lourdais.

Pour une jeune fille sans dot, la vie de sœur était difficilement envisageable, mais Bernadette la célébrité de Bernadette Soubirous fait que divers couvents sont désormais prêts à l'accueillir, et le 7 juillet 1866, elle rejoint la congrégation des Sœurs de la Charité à Nevers. Elle ne reverra jamais les Pyrénées.

Bernadette Soubirous restera treize ans dans la congrégation, au sein de laquelle elle sera traitée sans égards spéciaux. Elle est toujours d’une obéissance à toute épreuve, comme en témoigne cette anecdote : on avait interdit à Bernadette de retourner à la grotte et on lui demanda : « Si la Vierge t’ordonnait d’y aller, que ferais-tu ? ». Bernadette répondit : « Je reviendrais demander la permission à Monsieur le Curé ».

Elle occupera successivement des postes d'aide infirmière, de responsable de l'infirmerie et de sacristine. Les quatre dernières années, elle est surtout malade, et son action religieuse sera surtout faite de prière et de recueillement. Elle écrit également quelques unes de ses pensées dans des carnets. Ces écrits sont des témoignages d’humilité, de foi et d’abnégation. « On n’aurait pas de mérite si on ne se dominait pas ! », «écrit-elle par exemple.

Atteinte, en plus de son asthme, d'une tuberculose osseuse, elle meurt le 16 avril 1879 à Nevers, à l'âge de trente-cinq ans.

Pour les besoins du procès en canonisation, son corps doit être reconnu. Son cercueil sera ouvert trois fois et son corps retrouvé intact.

Lors des exhumations, son corps fut lavé et le contact avec les "détergents" avait noirci sa peau mais on apprend par les docteurs Talon et Comte, chargés de l'examen du corps après 1923 que « le corps de la vénérable Bernadette est intact, le squelette complet, les muscles atrophiés mais bien conservés ; la peau parcheminée paraît seule avoir subi l'humidité du cercueil. Elle a pris une teinte grisâtre et est recouverte de quelques moisissures et d'une certaine quantité de cristaux de sels calcaires (…) ». Dans son livre de 1999, Dominique Lormier nous dit également que quelques années plus tard, la peau de Bernadette Soubirous a noirci, et que son visage et ses mains ont donc été recouverts d'un très fin masque de cire pour la présentation publique.

Elle repose depuis 1925 dans une châsse de verre et de bronze dans la chapelle de l'Espace Bernadette, à Nevers.

Bernadette Soubirous a été béatifiée le 14 juin 1925 puis canonisée le 8 décembre 1933.

Commentaires (1)

bernie
bonjour
passe une bonne journée ainsi qu'un bon week end enneigé peut être chez nous bises
http://moibernie.centerblog.net


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