L’image du jour : Eclipse au dessus de New York du 3 novembre 2013.              Crédit photo : Chris Cook         

Hawaï est une île paradisiaque merveilleusement luxuriante, pleine de plantes et d’animaux exotiques. Mais il a aussi quelques espèces sur la liste des espèces en voie de disparition. Cette semaine, 15 autres ont été ajoutés à la liste, y compris deux espèces animales et 13 espèces végétales. Dans l’ensemble, Hawai’i est le foyer de 431 espèces en danger ou menacées, ce qui est beaucoup plus que n’importe quel autre état. Je ne vais même pas essayer de les énumérer tous, mais voici quelques-uns de faune et de flore menacées d’extinction à l’état Aloha.

Blackburn ’ s Sphinx Moth :

Les biologistes pensaient que ce papillon Hawaiian était éteinte dans les années 1970, mais il a été redécouvert en 1984. Voilà de bonnes nouvelles! Malheureusement, son habitat s’est rétréci. Il a vécu sur six îles, mais il est maintenant seulement  sur trois. Sphinx Moth de Blackburn est également le premier insecte Hawaiian être mis sur la liste . Physiquement, le sphinx est un spécimen impressionnant avec une envergure de 5 pouces. Menaces pour l’insecte,  la perte d’habitat, les fourmis et les guêpes non indigènes, et la perte de sa plante hôte.

Po ’ ouli :

Awww. Cet oiseau est si doux. C’est l’une des cinq espèces de honeycreeper. Il vit à des altitudes relativement élevées dans les forêts tropicales de l’île de Maui, bien que les preuves fossiles indiquent que l’oiseau était autrefois très répandu. Le po’ouli est un oiseau difficile à trouver. En fait, il n’a même pas été découvert avant 1973. Il vit dans le sous-bois de la forêt tropicale à 4.900 pieds. Quand l’oiseau a été découvert, les biologistes pensaient qu’il n’y avait que 200. Maintenant  il y a seulement trois individus. Les menaces comprennent les espèces d’oiseaux non indigènes, la destruction de l’habitat et des maladies aviaires.

Chauve-souris cendrée hawaïenne :

Alors que la chauve-souris cendrée est très répandue sur le territoire continental des États-Unis, cette sous-espèce est considérée comme menacée d’extinction en vertu de la Loi sur les espèces en voie de disparition. Il a été trouvé une fois sur cinq îles hawaïennes, mais a été complètement éradiquée de O’ahu. La disparition de la chauve-souris cendrée hawaïenne de O’ahu semble avoir été motivée par la perte d’habitat.

lo ' ulu :

La liste des espèces menacées n’est pas réservé aux animaux. Les plantes présentent, ainsi, et il ne va pas beaucoup plus en danger que le Pritchardia viscosa , communément connu sous le lo’ulu. C’est un palmier avec un habitat très limité. Il ya en fait 23 espèces de Pritchardia originaire d’Hawaii, et tous sont en danger. Pour la lo’ulu, cependant, la situation est particulièrement critique. En 1992, l’ouragan a détruit la moitié Iniki de la population sauvage existante; maintenant il ya seulement quatre de ces arbres laissés. Les menaces comprennent la concurrence des espèces végétales non indigènes et les animaux de manger ses graines.

Hawaiian phoque moine :

Enfin (et peut-être le plus adorable), nous avons le phoque moine d’Hawaï. Il est issu d’une famille de super-espèces rares, il y a moins de 600 phoques moines de Méditerranée à l’état sauvage, et le phoque moine des Caraïbes a été vu dans les années 1950 et est considéré comme éteint. En 2010, on pensait qu’il n’y avait que 1.100 individus dans la nature. À Hawaii, cependant, ils apparaissent à récupérer. Le phoque moine de Hawaii était autrefois presque disparu de l’Etat, mais en 2004, cette population a augmenté à environ 150. En 2008 il ya eu 43 chiots enregistrés. Il y a un mélange de menaces naturelles et anthropiques au phoque moine d’Hawaï, y compris les rapports asymétriques entre les sexes, un taux de survie des juvéniles est bas, les débris marins et de la chasse au cours des 19ème et 20ème siècles.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Il y a littéralement des centaines d’autres plantes et d’animaux sur la liste des espèces en voie de disparition.

(Source : Care2)

Une carte interactive disponible sur Google Drive simule les décès et naissances, en temps réel, dans le monde entier.

Découvrir en temps réel les naissances et les décès dans le monde est désormais chose possible. Docteur en mathématiques et développeur de profession, l’Américain Brad Lyon a en effet créé une impressionnante carte interactive répertoriant en continu, grâce à des points verts et rouges, les morts et naissances sur l’ensemble de la surface du globe.

Une "simulation populaire" :

Relayé par le site The Atlantic, cet outil a initialement été développé dans le but de "proposer une simulation populaire, afin d’observer le nombre de morts et de naissances aux Etats-Unis" explique Bill Snebold, qui en a conçu l’interface. Mais après un coup d’essai, Brad Lyon a décidé d’appliquer ce modèle à l’échelle mondiale. "Et cela a encore plus d’impact", juge le designer. De son côté, Brad Lyon ajoute que cette application basée sur les statistiques traditionnelles permet également d’en "apprendre plus à propos des nouvelles technologies rendues possibles sur le web".

Pour effectuer automatiquement ses mises à jour, la carte utilise une multitude de données, parmi lesquelles celles fournies par la CIA. Toutefois, le résultat peut se révéler relativement imprécis, comme le concède Lyon : "Cette visualisation reste subjective bien sûr, nous ne connaissons pas la structure exacte de la population".

"Tous vos soucis quotidiens deviendront anodins" :

Il faut dire qu’un recensement mondial en temps réel paraît impossible, d’autant que certains pays n’ont pas fourni de statistiques de recensement depuis plusieurs décennies, que ce soit pour des raisons politiques ou faute de moyens. Mais malgré cela, le gadget – disponible sur Google Drive – reste fascinant, et comme le note le chercheur, il suffit de "regarder cette carte et tous vos soucis quotidiens deviendront anodins".

Pour rappel, la Terre compte aujourd’hui 7 milliards d’individus, contre 2,5 milliards en 1950. Et ce chiffre pourrait grimper à 9 milliards d’ici une trentaine d’années, d’après les estimations des démographes.
                                                                                     (Source : Yahoo)

Une famille britannique a dû fuir sa maison après qu’une douzaine d’araignées venimeuses se sont échappées d’un lot de bananes ramené du supermarché.

Consi Taylor, 29 ans, mangeait une banane lorsque de petits points blancs sur la peau du fruit ont attiré son attention. Elle s’est rendue compte qu’il s’agissait d’une douzaine de minuscules araignées qui se sont ensuite répandues sur la table de la cuisine avant d’envahir la moquette. "J’étais à la moitié de ma banane lorsque j’ai vu quelque chose de blanc sur la peau. Je pensais que c’était de la moisissure mais en me rapprochant, j’ai constaté qu’il s’agissait d’araignées", raconte Consi Taylor au Sun.

La famille, inquiète, a fait venir un expert en animaux nuisibles qui a identifié les araignées comme des Phoneutria nigriventer, une espèce mortelle d’Amérique du Sud et a conseillé à la famille Taylor de quitter momentanément sa maison d’Hampton, dans le sud-ouest de Londres. Consi, son mari Richard, Benjamin leur fils de trois ans et Annabel, âgée de quatre mois ont séjourné à l’hôtel le temps que leur maison soit désinfectée.

Intervention du supermarché :
Mr et Mme Taylor ont ramené les bananes chez Sainsbury’s, le supermarché dans lequel ils les avaient achetés et se sont vus d’abord offrir un bon d’achat de 10 livres (12 euros) en compensation. Leur maison a dû être ensuite désinfectée à l’aide de fumigènes et tous leurs vêtements nettoyés par une société spécialisée. Sainsbury’s est donc également intervenu à hauteur de 1.000 livres (1.200 euros) pour la facture d’hôtel, le nettoyage de la maison et des vêtements. La famille a ensuite pu regagner son domicile.

La chaîne de supermarchés a présenté ses excuses à la famille et a assuré que des contrôles rigoureux sur les produits importés étaient opérés à tous les stades de l’importation, ce qui rend ce genre de mésaventure assez rare. Toutefois, ce n’est pas la première fois que ce cas de figure se présente.

L’espèce, une des plus venimeuses parmi toutes les araignées, est également connue sous le nom d’araignée banane? car elle a l’habitude de se loger dans les régimes de bananes. Les spécimens découverts par la famille Taylor étaient encore à leur premier stade de développement mais l’araignée banane peut atteindre de 17 à 48 mm avec des pattes de 130 à 150 mm.

(Source : 7s7-jack35)

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C’est à l’occasion de l’exposition universelle  de Paris en 1867 que les premiers bateaux-mouches firent leur entrée dans la capitale.

À la suite d’un concours lancé par les organisateurs de l’exposition, le constructeur naval lyonnais Michel Félizat remporta le prix et achemina une trentaine d’exemplaires de ses bateaux construits dans ses ateliers implantés dans le quartier de la Mouche à Lyon (d’où leur nom).

Après la guerre, le transport fluvial de voyageurs disparut rapidement au profit des transports terrestres et  souterrains (Métro). C’est à ce moment-là que Jean Bruel  acquit un des derniers bateaux de l’exposition universelle, afin de proposer des promenades touristiques sur la Seine. Il déposa la marque  "Bateaux Mouches" en 1950.

Afin de faire parler de sa nouvelle activité touristique sur la Seine, Jean Bruel inventa le personnage mythique de Jean-Sébastien Mouche, qu’il présenta comme le concepteur des Bateaux Mouches. Avec l’accord de ce dernier, un journaliste rédigea une biographie de l’imaginaire Monsieur Mouche, dont il fait à la fois le collaborateur du baron Haussmann, le fondateur d’une police de renseignements  surnommés les « mouchards » et enfin, l’inventeur des fameux bateaux-mouches.

Durant l’inauguration de son bateau en 1953, la presse évoqua cet événement insolite, acte fondateur d’une nouvelle activité touristique sur la Seine qui attira depuis des millions de visiteurs.

Ce canular a survécu pas mal de temps, et aujourd’hui encore il arrive qu’on s’y laisse prendre.

http://www.pariszigzag.fr

Vous avez toujours rêvé d’explorer l’antique épave d’un bateau coulé il y a des centaines d’années ? C’est désormais possible grâce à Google Street View qui vous emmène à la découverte du Mary Celeste, un bateau vapeur coulé en 1864.

Partir explorer les vestiges d’un bateau coulé en 1864 ? Cela vous tente ? Alors, ceci est pour vous ! Google Street View est parvenu à cartographier l’épave de la Mary Celeste, un bateau à vapeur américain vieux de plusieurs siècles. Coulé au large des Bermudes en 1864, le bateau repose maintenant à 17 mètres sous le niveau de la mer.

Il n’est toutefois pas en trop mauvais état, l’une des ses roues est même toujours intacte. L’épave a fait son entrée dans Google Street View grâce à des images de la Catlin Seaview Survey et permet aux internautes d’explorer les restes du bateau, sans se mouiller ! Une façon d’avoir un nouvel aperçu de l’Histoire des États-Unis. En effet, la Mary Celeste était un bateau à vapeur à aubes qui a été coulé en 1864, lors d’une mission.

Plonger les pieds au sec !

Le bateau était chargé de faire passer des vivres et des munitions aux forces Confédérées durant la Guerre Civile. Long de 68 mètres, le vaisseau a été construit à Liverpool par William C. Miller & Sons. Commandé par Crenshaw and Company, une entreprise de gestion durant la guerre, le bateau à vapeur a joué un rôle important dans le conflit en faisant passer des marchandises entre les Bermudes, Nassau et l’Angleterre.

La Mary Celeste a notamment transporté du coton de Wilmington, en Caroline du Nord, jusqu’aux Bermudes, revenant avec des munitions et de la nourriture. Il aurait ainsi effectué huit voyages à risques avant de couler. Ainsi, le 14 septembre 1864, le bateau a quitté le port des Bermudes rempli de viandes et de munitions pour Wilmington. Mais il n’a jamais atteint sa destination.

Un site populaire parmi les plongeurs :

D’après les spécialistes, la Mary Celeste aurait probablement heurté un récif. Heureusement, la plupart de l’équipage serait ressorti vivant du naufrage. Situé au large de la côté sur des Bermudes, l’emplacement de l’épave est aujourd’hui un site réputé et populaire parmi les plongeurs. Bien qu’un peu recouvertes par le sable, plusieurs structures du bateau sont clairement visibles, même si elles ont également été investies par les algues et autres mousses marines.

(Source : Maxi Sciences)