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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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La réforme territoriale arrive à l'Assemblée nationale. La mission des députés est quasi-impossible : dessiner une carte consensuelle des régions de France.
L'Assemblée s'attelle à partir de mardi 15 juillet à un exercice quasi-impossible : dessiner une carte consensuelle des régions de France, en débattant du premier volet de la réforme voulue par François Hollande, qui a pour ambition de "transformer pour plusieurs décennies l'architecture territoriale de la République".
On attendait davantage le Sénat, représentant selon la Constitution des collectivités locales, sur ce débat. Mais, sous l'effet d'une alliance hétéroclite entre communistes, radicaux de gauche et UMP, les sénateurs ont rejeté la carte proposée par le gouvernement, se privant ainsi du pouvoir de l'amender et laissant la main aux députés jusqu'à la seconde lecture prévue à l'automne.
Face à cette "page blanche" du Sénat, les députés, sous la proposition du rapporteur Carlos Da Silva (PS), suppléant de Manuel Valls, ont rétabli en commission la carte gouvernementale de 14 régions (au lieu des 22 actuelles) avec une seule modification : le Limousin uni à l'Aquitaine et non à la nouvelle région Centre-Poitou-Charentes.
Mais ce découpage frustre de nombreux députés, à droite comme à gauche, peu convaincus par l'argument présidentiel de "régions de taille européenne", en charge du développement économique. Dessinées selon l'UMP "sur un coin de table", ces régions sont pour l'écologiste François de Rugy le résultat d'un "mariage improbable entre la technocratie et les baronnies locales socialistes".
En dépit des avertissements du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, selon lequel "il n'existe pas de carte qui respecte à la fois l'efficacité économique, les fleuves et les vallées et les préférences des coeurs", les amendements vont donc pleuvoir, même s'il n'est pas sûr qu'au final, lors du vote le 23 juillet, la carte soit très éloignée du "plus petit dénominateur commun" actuel, selon Carlos Da Silva.
L'exercice est d'autant plus compliqué que le gouvernement a posé comme principe la fusion entre régions inchangées alors que les départements de ces régions ne regardent pas tous dans la même direction. Le droit de quitter une région pour une autre ne leur serait ouvert que dans un deuxième temps, en 2016, après les élections cantonales et régionales reportées par le projet de loi de mars à décembre 2015. Ce transfert devrait être approuvé par une majorité des trois cinquièmes du conseil général et des deux conseils régionaux concernés. "On aurait dû tout faire en même temps", déplore le député-maire du Touquet (Pas-de-Calais) Daniel Fasquelle (UMP), partisan du rattachement de la Somme voisine à sa région.
Au nord, c'est Picardie-Champagne-Ardenne qui ne passe pas. Les Picards plaident en majorité pour un rattachement au Nord-Pas-de-Calais, mais Martine Aubry, maire de Lille, et Daniel Percheron, président du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, ont peur de voir un telle région aux mains du Front national en 2015. Les élus de Champagne-Ardenne se verraient, eux, davantage avec la Lorraine.
A l'ouest, les Bretons, toutes sensibilités confondues, refusent avec véhémence toute fusion avec les Pays-de-la-Loire, réclamée par l'ex-Premier ministre, le Nantais Jean-Marc Ayrault. En revanche, ils réclament le rattachement de la Loire-Atlantique au nom de la "réunification historique" de la Bretagne.
Les élus du Poitou-Charentes, comme Delphine Batho (PS) ou Dominique Bussereau (UMP), jugent "absurde" de ne pas être rattachés à Bordeaux et l'Aquitaine. Mais les élus du sud de l'Aquitaine préféraient plutôt s'associer à Midi-Pyrénées ...
Certains ont des idées plus originales. Les écologistes veulent créer de nouvelles régions, Savoie et Catalogne. L'UDI Jean-Christophe Fromantin propose une carte alternative de huit grandes régions fondées sur le lien entre une métropole et une région : Paris, Lille, Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes, Strasbourg et Clermont-Ferrand ...
Plus globalement, l'UMP et l'UDI reprochent au gouvernement d'avoir commencé par "légiférer sur la carte avant de débattre des nouvelles compétences" des régions, ce qui se fera à l'automne dans un second projet de loi. Si on avait fait cela, "ils nous auraient reproché l'inverse", rétorque-t-on au PS.
Les grandes lignes sont cependant connues : les grandes régions et des intercommunalités agrandies (ou des métropoles) verraient leurs compétences renforcées au détriment des conseils généraux. Ces derniers seraient voués à disparaître en 2020, sauf peut-être en zone rurale, via une réforme constitutionnelle. Le gouvernement espère à dix ou quinze ans au moins 12 milliards d'économies de cette réforme.
Intervention du 14 juillet : Hollande ou "la constance de l'édredon" !
"Non-événement", "plaidoyer pro domo", "président Coué" : la presse de mardi 15 juillet étrille François Hollande, jugeant sévèrement l'intervention présidentielle du 14 juillet, la trouvant aussi dénuée d'annonces concrètes que de raisons d'espérer.
"Le Figaro" fustige celui qu'il nomme "le président Coué". Paul-Henri du Limbert écrit que "le président de la République est un bien étrange docteur" qui "diffuse lui-même la maladie, la propage et l'amplifie, puis vous annonce que, si vous êtes malade, c'est que vous le voulez bien".
"Soucieux de mieux incarner la fonction, le chef de l'Etat a choisi d'en rester aux généralités. Présider, c'est survoler", persifle Rémi Godeau dans "L'Opinion".
"J'échoue mais je persiste. Ainsi pourrait être résumé le laborieux plaidoyer pro domo du président de la République", cingle Patrick Apel-Muller dans "L'Humanité".
Moins sévère, "Libération" sous la plume de son nouveau directeur Laurent Joffrin note que, même si "les arguments ont défilé en bon ordre", il manque au discours présidentiel "les résultats, sans lesquels la crédibilité ne peut revenir" et "surtout, aux yeux des électeurs qui ont porté Hollande au pouvoir, une vraie raison d'adhérer".
Est-il "trop faible dans les sondages pour ne pas être sur la défensive ?" se demande Cécile Cornudet dans "Les Echos", constatant que "François Hollande consacre son énergie à montrer que c'est lui qui dirige" et "s'empêche de prendre la hauteur qu'il rêverait de prendre".
Sur le fond, François Ernenwein de "La Croix" a retenu la présentation d'un "agenda chargé, destiné à valoriser l'action du président et de son gouvernement. En attendant les effets et les bénéfices d'une hypothétique reprise. Que tout le monde continue à espérer".
La "conversion assumée au social-libéralisme" fait soupirer Yves Harté dans "Sud-Ouest". "Tout François Hollande est là, dans cette posture tactique entre constance de l'édredon et obstination du culbuto. Rien de ce qui se produit ne saurait ébranler sa sérénité. Si tout change autour de lui, il s'adapte pour mieux rester immobile".
Il s'agissait donc, explique Pascal Coquis dans "Les Dernières Nouvelles d'Alsace", "moins pour le président de porter un message que de faire acte de pédagogie et de redessiner les contours d'une politique qui ne porte pour l'instant pas ses fruits".
Pour Michel Urvoy de "Ouest France", "François Hollande est toujours impuissant à se projeter, et à nous projeter, dans la France de demain".
Ce que Laurent Bodin résume d'un trait cruel dans "L'Alsace" : "Le président s'exprime, mais finalement ne dit rien".
Pour Dominique Garraud dans "La Charente libre", "le paradoxe de ce non-événement en termes d'annonces concrètes, est que jamais sans doute François Hollande n'est apparu aussi déterminé à assumer sa trajectoire qui le plonge depuis des mois dans des abîmes d'impopularité".
Leonid Afremov est un artiste impressionniste moderne russo-israélien qui travaille principalement avec un couteau et huiles palette. Peintures vives de Afremov sont ornés de l'architecture espagnole et romane, la lumière électrique brillant et un thème automnal permanente, d'or.