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Sublimes coqs ... réalisés avec des fleurs !

Publié à 13:38 par yvonne92110 Tags : artistes divers sublimes coqs réalisés avec des fleurs

La légende de Carnac ... " L' Armée pétrifiée" !

Publié à 13:45 par yvonne92110 Tags : légendes de bretagne carnac l armée pétrifiée
La légende de Carnac    ...   " L' Armée pétrifiée"  !

Légende de Carnac ..."L'armée pétrifiée"

  

Comme dans le mythe grec de Persée et de la Méduse , la légende de Carnac immortalise une puissante armée ...

 

Les temps étaient durs pour le vieil homme chassé de Rome. Corneille avait été pape, pontife sans autre puissance que celle de sa foi ardente et de la ferveur de ses disciples. Mais c'était encore trop tôt pour l'empereur , et il avait dû fuir la puissance romaine, toujours plus loin.

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Le mois d'Avril n'était pas loin quand il parvint au bord du Grand Océan d'Armorique. Il savait que les éclaireurs de l'armée romaine étaient sur ses traces et le cherchaient pour le mettre à mort. Etrangement, ce bout du monde, cette mer immense insufflèrent une force nouvelle dans le corps du pieux vagabond. C'est ici, qu'il délivrerait une fois encore son message d'espoir, il voulait vivre pour les hommes de cette terre et même pour les braves animaux qui avaient tiré son attelage jusqu'ici. Des paysans semaient dans l'un des petits champs qui couraient jusqu'au rivage. Corneille interrogea leur chef. Quelle graine confiaient-ils au sol ? de l'avoine, affirma l'homme. "Alors prépares toi à la moissonner dès demain", répliqua t'il, bénissant le champs d'un geste ample. Le lendemain au premier soleil, l'avoine mure ondulait sous le vent. Les fermiers commencèrent à la coucher sous leur faux, dans une bonne odeur d'herbe.

                                                                                                                                                                                                                                                      Un nuage de brume s'éleva à l'horizon, l'armée romaine arrivait dans un tintamarre d'épées et de cuirasses. Les cultivateurs s'immobilisèrent. "Avez vous vu récemment un homme âgé, dans un char mené par des boeufs ?" interrogea l'officier drapé de rouge. " Il est passé pendant que nous semions cette avoine", lui répondit un enfant. Le centurion avisa le paysage désert, la côte, les près et les champs sans relief. "Notre gibier doit être remonté au Nord depuis bien des jours, songea t-il. Malgrè le pas lent de ses boeufs , il aurait donc des mois d'avance sur nous". Le lendemain, il reprit tout de même sa traque - la gloire de Rome exigeait une victoire - mais soudain, au milieu de la lande, des centaines de boeufs, surgis de nulle part, chargèrent sans pitié. Les javelines rebondissaient sur leur cuir, les flèches se brisaient et plus d'un guerrier resta sur le terrain, piétiné par les durs sabots. L'affront devenait intolérable, il fallait exterminer ce Corneille pour l'honneur de Rome. Des renforts arrivèrent de garnisons voisines, la poursuite commença et au bout de quelques heures, les soldats découvrirent leur proie, marchant à côté de sa charrette.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Les Dieux étaient avec eux, car le vieillard s'était engagé sur une mince langue de terre cernée par la marée haute. Le centurion allait ordonner à ses hommes de se déployer pour prévenir la fuite de leur victime quand sa vision s'obscurcit. Ses paupières se fesaient pesantes, et sa bouche peinait à articuler. Sous ses yeux qui perdaient leur lumière, ses hommes devenaient gris, nul souffle ne soulevait leur poitrine. Il ne distinguait plus leurs visages ni leurs corps. Armes et armures, tout se fondit dans une même gangue pierreuse, lourde et mate.

                                                                                                                                                                                                                                               Des paysans qui  passaient par là s'immobilisèrent devant l'inconcevable image qui s'offrait à eux. Là où s'était tenue une importante armée, des pierres s'élevaient sur plusieurs rangées vers l'est, aussi loin que portait le regard. Devant la mer, Corneille élevait ses mains jointes vers le soleil. Le silence pesa interminablement sur ce petit morceau d'Armorique. Enfin, une alouette chanta, les boeufs reprirent leur marche et les fermiers leur route, comme si rien autour d'eux n'avait changé  ... 

                                                                                                                                                                                                                                                                                  Le gigantisme de Carnac, qui compte 3000 pierres réparties sur trois alignements force l'admiration autant que la rêverie. Mais ces silhouettes muettes gardent, pour elles, leur secret.

La légende du château de Trémazan ... Finistère !

Publié à 15:05 par yvonne92110 Tags : légendes de bretagne le chateau de trémazan
La légende du château de Trémazan   ...  Finistère !
Le château de Trémazan dresse encore aujourd’hui les ruines de son impressionnant donjon du XIIIème siècle à Landunvez, au pays des Abers et de la Côte des Légendes.
 

 

    Si l'on ne peut y pénétrer (les risques de chutes de pierres étant trop importantes) on peut l'admirer du belvédère. L'histoire, rapportée par un texte d'Albert Legrand au XVIIème, rappelle la tragédie qui s'y déroula au début du VIème siècle. Domaine de la famille des du Chastel depuis toujours, il porte encore l'empreinte du souvenir de Gurguy et Haude de Trémazan.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   La méchante marâtre anglaise pendant l'absence du fils, fit endurer mille tortures à la douce Eode, demeurée près de son père. Elle congédia d'abord ses demoiselles et servantes, puis la força à faire le service de la maison, à puiser de l'eau, à balayer les salles, à se mettre de cuisine, à laver la vaisselle, ne la nourrissant que de gros pain sec et de viandes grossières, lui enlevant ses beaux habits pour la forcer à se revêtir de rude laine; finalement l'envoya en une sienne métairie où on lui fit garder les vaches comme une simple pauvresse en haillons.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Eode, à laquelle jamais n'échappa parole d'impatience, y demeura près de douze ans, conservant inviolablement le lys de sa virginité. Dans sa pénurie elle trouvait encore moyen de porter l'aumône aux pauvres gens, et ne murmurant pas même en son cœur une plainte contre sa cruelle marâtre. 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     
Vers cette époque, ayant passé une dizaine d'années au service du roi de France, Tanguy s'en vint au pays, si brave et en tel équipage qu'on ne le pouvait reconnaître. Comme il s'informait d'Eode à la marâtre, celle-ci le prenant pour un riche seigneur qui voulait la rechercher en mariage , la lui déchiffra comme une fille perdue et abandonnée, et lui affirma qu'elle avait été obligée d'éloigner du logis cette peste pour ne pas tolérer les infamies qu'elle commettait journellement dans sa maison.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Tanguy crut aussitôt les calomnies de cette femme, et laissant ses gens au château de son père s'en alla chercher  sa soeur. L'ayant trouvée près d'une fontaine en train de laver quelques hardes, il l'appela par son nom :  Eode ! Eode ! Celle-ci qui ne le reconnaissait pas , ne sachant à quelle fin ce gentilhomme l'interpellait , laissa ses hardes et s'enfuit. Alors Tanguy, se figurant qu'elle n'osait se présenter devant lui parce qu'elle avait forfait à l'honneur, mettant en main l'épée, la poursuivit vivement et, l'ayant rattrapée, lui déchargea un si grand coup sur le col qu'il lui trancha la tête.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Les habitants du hameau étaient sortis de leurs maisons, et fondant en larmes à cette vue, il s'enquit d'eux, seulement alors, quelle vie avait menée sa soeur, il apprit que c'était une sage, sainte, vertueuse demoiselle, qui avait étonné tout le pays par son admirable patience à supporter les outrages de sa marâtre.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Ayant ouï ce récit, et voyant qu'au seul rapport de l'infâme épouse de son père, dont il connaissait pourtant la malice, il avait si malheureusement massacré son innocente soeur, il pensa mourir de douleur et de déplaisir.
                                                                                                                                                                                                                                                                                 De retour à la maison il se fit reconnaître, puis alors récita à son père ce qu'il avait fait et que, de sa propre main, il avait tué sa chère Eode.
                                                                                                                                                                                                                                         Galonus fut extrêmement affligé de cette triste nouvelle. Quant à sa femme, elle ne put retenir sa joie tant elle haïssait sa belle-fille.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Mais Dieu, qui fit sortir l'huile du rocher, tira de ce massacre la conversion de Tanguy et la punition exemplaire de la marâtre, ainsi que nous allons voir.
                                                                                                                                                                                                                                                                        Comme ils étaient en la salle, mangeant et buvant à l'ordinaire, Eode, tenant sa tête à la main entra, puis l'ayant posée sur ses épaules se récapita d'elle-même, et interpellant sa belle-mère, lui reprocha sa perfidie et sa lâcheté inique, et lui annonça la soudaine vengeance de Dieu.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Alors, il se fit un grand éclat de tonnerre, et la marâtre, tombant à terre, vida ses boyaux et intestins et, blasphémant Dieu en une vraie hérétique qu'elle était, rendit son âme en présence de tous les assistants terrifiés.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Tanguy subitement touché, se jeta aux pieds d'Eode qui, lui mettant la main sur l'épaule lui pardonna de tout son coeur, puis l'ayant accolé, lui ordonna pénitence. Alors elle s'assit près de la pierre du foyer, regarda quelques temps les siens en souriant, puis laissa échapper sa belle âme. Ce fut le 18 novembre en l'an 545, ainsi que les bréviaires du pays en font mémoire. Son corps fut inhumé en l'église paroissiale de Landunvez, au sépulcre de ses ancêtres.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Quant à Tanguy, étant sorti de la maison de son père, il s'en vint trouver saint Pol à Occismor, confessa son péché et fut reçu par le grand apôtre du Léon.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Puis alors, il se retira au monastère de l'abbaye du Relec, en ce temps nommé l'Oratoire de Gerber, qui signifie "courte parole", parce que le silence était la règle de cette sainte maison.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Mais à cette époque advint sur un rocher, de pen ar bed le naufrage d'un navire Léonais qui allait trafiquer en Egypte. Ce navire portait la relique de Saint Mathieu, apôtre et évangéliste. Poussé par les flots, il heurta de rudesse un grand écueil qui paraissait à fleur d'eau. Les matelots du dedans crièrent miséricorde, pensant être tous perdus, mais, chose merveilleuse, le roc se fendit en deux, donnant passage au vaisseau chargé du précieux trésor.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                          En mémoire de ce miracle, Tanguy auquel cette côte appartenait, pour terminer sa repentance construisit en ce lieu la fameuse abbaye qui depuis, s'est appelée Saint Mathieu, puis mourut quelques temps après vénéré par tous et sanctifié par les larmes qu'il répandit en expiation du meurtre de sa soeur bien aimée.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 C'est de ce saint que les seigneurs du Chastel, qui tenaient la terre de Tremazan, ont retenu le nom de Tanguy, que les français écrivent Tanneguy en prononçant à la manière armoricaine.                                                                                                                                                                                                 Le mot tan-gwir veut dire vrai feu
Extrait du livre "Au pays de mes ancêtres d'Auguste Bergot".

                                                                                                                                                                                                                                                                                            Depuis, là seulement, pousse une fleur qu'on a applelée en souvenir de l'évènement : bouzellou an intron, (les boyaux de la dame). 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Les sires du Chastel tiraient leur titre de ce même donjon de Trémazan qui s'appelait dans le pays Tremazan le Chastel ; leurs armes se composaient d'un fascé d'or et de gueules de six pièces avec la devise De vad e teui tu viendras à bien. Ils ont toujours été plus français que bretons.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Outre Bernard le Croisé, on trouve dans leur généalogie un grand maître de la maison du roi en 1449 et un grand panetier de France tué au siège de Pontoise en 1441. Ils se sont fondus dans la maison de Rieux, puis leur terre a passé aux Scepaux, aux Gondi et en fin de compte aux Gontaut-Biron.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Malgré la conversion de leur premier ancêtre ils gardèrent dans le caractère je ne sais quoi de féroce. On se souvient que c'est un Tanneguy du Chastel qui, sur le pont de Montereau, asséna sur la tête de Jean sans Peur le fameux coup de hache qui fit le trou par lequel, comme le disait plus tard à François 1er le prieur des Chartreux de Dijon, les anglais pénétrèrent dans le royaume de France.

Un peu de douceur ... dans un monde de brutes !

Publié à 15:41 par yvonne92110 Tags : enfants un peu de douceur dans un monde de brutes

Qu'elle est Belle ...

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Romantiquement vôtre ...

Publié à 16:29 par yvonne92110 Tags : belles femmes romantiquement votre

La pensée du jour ... Mercredi 19 novembre 2014 !

Publié à 09:32 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour    ...   Mercredi 19 novembre 2014  !
« Méditez quelquefois sur cette belle image de la transparence… Vous comprendrez que pour que la vie passe, pour que la lumière passe, pour que les courants célestes passent, on doit leur ouvrir la voie, c’est-à-dire devenir transparent. Tout dans la nature souligne cette loi. Pourquoi les pierres précieuses sont-elles tellement estimées ? Parce qu’elles sont colorées, bien sûr, mais surtout parce qu’elles sont transparentes : elles laissent passer la lumière… Comment la nature a-t-elle réussi à travailler aussi magnifiquement sur certains minéraux, à les purifier, les affiner pour en faire ces merveilles que nous admirons aujourd’hui : cristal, diamant, saphir, émeraude, topaze, rubis… ? Et si la nature y a réussi, pourquoi l’être humain n’arriverait-il pas à faire ce même travail en lui-même ?
Toute la pratique spirituelle doit tendre vers ce but. Lorsque nous serons parvenus à tout purifier dans notre cœur et dans notre âme jusqu’à devenir limpides, transparents, le Seigneur qui apprécie beaucoup les pierres précieuses nous mettra sur sa couronne. C’est une image, bien sûr, mais elle correspond à quelque chose de très réel. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov