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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Felipe VI de Bourbon hérite de la monarchie ibérique après l’abdication de son père Juan Carlos... Le roi Felipe salue aux côtés de sa femme Letizia et de ses filles Sofia et Leonor avant d'entrer aux Cortes. (JORGE GUERREO/AFP)
Felipe VI de Bourbon, nouveau roi d'Espagne, a prêté serment jeudi 19 juin au parlement, jurant fidélité à la Constitution, après l'abdication de son père Juan Carlos au terme de 39 ans de règne.
"Je jure de remplir fidèlement mes fonctions, de respecter et faire respecter le Constitution et les lois et de respecter les droits des citoyens et des régions autonomes", a déclaré le nouveau roi, âgé de 46 ans, sous les applaudissements des députés et sénateurs réunis au Congrès.
Le nouveau roi d'Espagne a rendu hommage à son père Juan Carlos, qui a abdiqué en sa faveur, louant son rôle dans "la réconciliation des Espagnols" après la dictature franquiste.
"Un règne exceptionnel devient aujourd'hui partie de notre histoire, avec un héritage exceptionnel", a déclaré Felipe .
Felipe VI de Bourbon est devenu à minuit le nouveau roi d'Espagne, qui doit s'atteler à une lourde mission : rajeunir une monarchie en quête de légitimité et préserver une unité nationale malmenée par le séparatisme catalan.
Moderne et cultivé, le jeune roi en grand uniforme militaire, portant la ceinture de soie rouge de capitaine général des Armées reçue des mains de son père Juan Carlos, qui a signé mercredi son abdication, a juré fidélité à la Constitution de 1978, le socle fondateur de la démocratie espagnole.
Felipe hérite d'une monarchie contestée, selon les sondages, par un Espagnol sur deux, dans un pays miné par la crise économique et le chômage. Resté populaire face au discrédit qui frappe son père, il devra répondre à de nombreux espoirs qu'il aura sans doute du mal à honorer.
Jeudi matin, la cérémonie se déroule devant le Parlement, en l'absence d'invités étrangers. Rompant avec la tradition catholique, la journée sera exclusivement laïque.
Après avoir prêté serment, dans l'hémicycle du Congrès des députés, et prononcé son premier discours de roi, Felipe doit présider un défilé militaire, rappelant sa fidélité à la tradition qui fait de lui le chef des Armées.
Madrid, pour accueillir son nouveau roi, s'est parée de milliers de fleurs et de drapeaux espagnols rouge et or, un décor éclipsant les manifestations républicaines qui avaient suivi l'annonce, le 2 juin, de l'abdication de Juan Carlos et les voix, minoritaires, qui réclamaient au Parlement un référendum sur l'avenir de la monarchie.
Felipe et la nouvelle reine Letizia, une ancienne journaliste de 41 ans, mince et élégante, première souveraine espagnole à ne pas avoir de sang royal, doivent traverser Madrid, en quittant le Congrès, en voiture jusqu'au Palais Royal.
Le couple, accompagné de Juan Carlos et de la reine Sofia, sortira sur le balcon central pour saluer la foule attendue sur la Plaza de Oriente. A leurs côtés, la princesse Leonor, nouvelle héritière, à huit ans, du trône d'Espagne, et sa petite soeur Sofia, sept ans.
Mais le soir venu, dans les bars de Madrid, les supporteurs de football qui encaissaient l'élimination de leur équipe nationale au Mondial, semblaient avoir perdu tout espoir. "Felipe comme Juan Carlos ne peuvent rien faire d'autre que d'être de grands ambassadeurs de l'Espagne. La Constitution ne leur donne pas d'autres pouvoirs", regrettait Manuel Lista, un supporteur de 51 ans.
Tout au long de cette journée, la haute silhouette de Felipe, sorti au fil des années de l'ombre de son père, éclipsera celle de Juan Carlos, le grand absent de la cérémonie et de la réception qui suivra au Palais Royal, en présence de 2.000 invités et des ambassadeurs étrangers. Une décision prise par le roi lui-même, assure la Maison Royale, afin "de donner un plus grand rôle" à Felipe.
Mercredi soir, Juan Carlos, retenant ses larmes, a signé la loi d'abdication, massivement approuvée par le Parlement. Son dernier acte officiel. A 76 ans, après 39 ans d'un règne dont les dernières années ont été marquées par les scandales, c'est un roi usé, marchant avec hésitation, appuyé sur des béquilles, qui passe le témoin à son fils.
Un souverain, monté sur le trône le 22 novembre 1975, deux jours après la mort du dictateur Francisco Franco, longtemps très aimé pour avoir mené l'Espagne vers la démocratie et resté l'interlocuteur respecté de nombreuses capitales étrangères.
En annonçant sa décision, Juan Carlos a transmis à son fils la lourde tâche de rénover la Couronne, laissant place à une "nouvelle génération". Mais Felipe dispose d'une marge de manoeuvre étroite, dans un pays où la crise a engendré une perte de confiance dans les institutions, où le régime de la monarchie parlementaire ne lui laisse que peu de pouvoirs.
Sans doute son premier dossier brûlant, la poussée séparatiste en Catalogne, à quelques mois du référendum d'autodétermination prévu par les nationalistes en novembre, mettra à l'épreuve les talents de diplomate de Felipe, qui parle catalan et entretient des liens privilégiés avec la région.
Parmi les embûches attendues sur son chemin, le roi devra aussi composer avec les retombées du scandale judiciaire qui frappe sa soeur Cristina, inculpée de fraude fiscale. Avec Juan Carlos, Cristina sera jeudi l'autre grande absente.