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Stop aux arnaqueurs en tous genres ...

Publié à 11:09 par yvonne92110 Tags : coup de gueule stop aux arnaqueurs en tous genres
Stop aux arnaqueurs en tous genres   ...

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Asnières : Mieux connaître le Cimetière des Chiens ...

Publié à 11:29 par yvonne92110 Tags : animaux asnières mieux connaitre cimetière chiens
Asnières : Mieux connaître le Cimetière des Chiens  ...

A l'entrée du cimetière se dresse un monument construit en 1900 à la gloire de Barry, chien qui vécut au XIXème siècle et qui aurait "sauvé la vie à 40 personnes" et été "tué par la 41ème". Il avait pour maîtres les moines de l'hospice suisse du grand saint Bernard. - (photo ci-dessus) -  !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Située au nord-ouest de Paris, sur la rive gauche de la Seine, la Ville d'Asnières sur Seine était, au XIXème siècle, une destination dominicale privilégiée pour des Parisiens en quête de verdure et de distractions.

 

L'île des Ravageurs fait alors face aux bords de Seine tant appréciés. Selon la légende, l' île longtemps inoccupée, aurait abrité un repaire de brigands au XIXème siècle. En fait, il s'agissait de chiffonniers qui ramassaient tissus, métaux et autres objets abandonnés pour les revendre.

 

Profitant de la toute nouvelle loi autorisant l'enfouissement des animaux, Georges Harmois et Marguerite Durand créent le 2 mai 1899 la Société française anonyme du Cimetière pour chiens et autres animaux domestiques.

 

Le 15 juin 1899, la société achète au baron de Bosmolet la moitié de l'île des Ravageurs située en amont du pont de Clichy. Ce cimetière est le premier cimetière animalier au monde à voir le jour.

   

 

Après avoir obtenu l'assurance que la loi du 21 juin 1898 sur l'enfouissement des animaux domestiques serait respectée, le Préfet ne s'oppose pas à la création du cimetière.

A la fin de l'été 1899, le Cimetière des Chiens d'Asnières est officiellement ouvert au public.

 

L'architecte parisien Eugène Petit, dont plusieurs immeubles du XIVème arrondissement portent la signature, est chargé de dessiner l'entrée du cimetière. Il concevra le portail de style Art Nouveau, flanqué de deux portes pour le passage des piétons.

 

En 1976, le comblement du bras de Seine, rendu possible par la disparition d'une seconde île, l'île Robinson, fait perdre au cimetière son caractère insulaire.

 

Les Locataires du Cimetière...

 

Autre témoin du lien unissant hommes et animaux, le monument dressé à la mémoire des chiens policiers victimes du devoir. Érigé en 1912, quelques années après que les commissariats de banlieue furent dotés de chiens de police, il abrite Dora (1907-1920) du commissariat d'Asnières ; Top, plusieurs fois médaillé ; Papillon, huit ans de service dans le XVIème arrondissement ; Léo, tué en service.

 

Mais le cimetière d'Asnières ne serait rien sans la multitude des anonymes, chiens, chats, oiseaux, lapins, tortues, souris, hamsters, poissons, chevaux et même lions, singe, gazelle, fennec, maki dont les sépultures richement sculptées ou simplement fleuries témoignent de l'affection de leurs maîtres.

 

Aussi au hasard d'une promenade, peut on découvrir la reconnaissance d'une mère à qui le chien Loulou "rendit son enfant qui en 1895 se noyait dans la Garonne. Le brave Loulou n'avait que neuf mois et de plus une patte cassée..." Plus loin, un petit chien de pierre tend la patte à un soldat casqué. C'est Mémère, née en 1914 et qui resta quinze ans durant la mascotte des chasseurs à pied.

 

Enfin, anonyme parmi les anonymes, un chien errant vint mourir, le 15 mai 1958, aux portes du cimetière. La direction lui érigea un monument. C'était le 40.000ème animal a être enterré dans la nécropole.

 

L'avenir du cimetière...

 

    Après sa création, le cimetière connaît un succès croissant mais rencontre des difficultés chroniques. La plus récente est certainement celle de 1986, quand le conseil d'administration décide l'arrêt de toute activité et la fermeture définitive du cimetière pour le mois de septembre 1987. Vivement émus, les amoureux du vieux cimetière se mobilisent. La mairie d'Asnières prépare alors un plan de sauvetage et demande notamment le classement du site.

 

Le 29 septembre 1987, la commission départementale des Hauts de Seine, à la demande du ministre de l'équipement, Pierre Mehaignerie, inscrit le site du cimetière des chiens compte tenu de " son intérêt à la fois pittoresque, artistique, historique et légendaire ".

 

En mai 1989, la mairie d'Asnières rachète à la Société Française anonyme du cimetière pour chiens et autres animaux domestiques le terrain et en confie la gestion à une société indépendante. Enfin, le 1er février 1997, la mairie d'Asnières reprend en main la gestion du cimetière pour aborder sereinement son second siècle d'existence. Des travaux de restauration ont lieu en 2001.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Les locataires du cimetière  :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Avec les années, le cimetière se peuple de monuments et de sépultures importantes. Dès 1900, la direction fait ériger, face à l’entrée du cimetière, un monument à la gloire de Barry. Ce chien, qui vécut au début du XIXe siècle, appartenait aux moines de l’hospice du grand Saint Bernard. La légende veut qu’après avoir "sauvé la vie à 40 personnes, il fut tué par la 41ème !…"

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Autre témoin du lien unissant hommes et animaux, le monument dressé à la mémoire des chiens policiers victimes du devoir. Érigé en 1912, quelques années après que les commissariats de banlieue se furent dotés de chiens de police, il abrite Dora (1907-1920), du commissariat d’Asnières ; Top, plusieurs fois médaillé ; Papillon, huit ans de service dans le XVIème arrondissement ; Léo, tué au service …

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Des animaux vedettes et des animaux de vedettes ont également trouvé un dernier refuge au Cimetière d’Asnières. Rintintin, le valeureux héros du feuilleton télévisé ; Prince of Wales, dont l’épitaphe explique qu’il "parut 406 fois sur la scène du Théâtre du Gymnase" en 1905 et 1906 ; Kroumir, le chat d’Henri de Rochefort, dont on raconte qu’il est mort de chagrin quatre jours après son maître ; et les animaux de compagnie de Camille Saint-Saëns, de Courteline, de Sacha Guitry, de princes et de ducs…

                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Mais le cimetière d’Asnières ne serait rien sans la multitude des anonymes, chiens, chats, oiseaux, lapins, hamsters, poissons, chevaux et même singe, dont les sépultures richement sculptées ou simplement fleuries témoignent de l’affection de leurs maîtres.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Ainsi, au hasard d’une promenade, peut-on découvrir la reconnaissance d’une mère à qui le chien Loulou "rendit son enfant qui en 1895 se noyait dans la Garonne. Le brave loulou n’avait que neuf mois et de plus une patte cassée…". Plus loin, un petit chien de pierre tend la patte à un soldat casqué. C’est Mémère, née en 1914, et qui resta quinze ans durant la mascotte des chasseurs à pied.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Ailleurs, sur des plaques de marbre, entourées de fleurs, un nom, deux dates et une photo. Pour Pupuce, Sultan, Minouchette, Ulysse ou Rubis.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Enfin, anonyme parmi les anonymes, un chien errant vint mourir, le 15 mai 1958, aux portes du Cimetière. La direction lui érigea un monument. C’était le 40.000ème animal à être enterré dans la nécropole … Les chats vivants y ont aussi leur domaine, "la maison des chats", entretenue par une association qui leur apporte assistance.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Infos pratiques :

Le cimetière des chiens :
4, pont de Clichy
Tél. : 01 40 86 21 11
Train : gare d'Asnières-sur-Seine.
Lignes L et J
Bus 540-54

Ouvert tous les jours, sauf le lundi :
                                                                                                                                                                                                                                                                             Horaires d’été :
- de 10h à 18h du 16 mars au 15 octobre
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Horaires d’hiver :
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Mylène Farmer : un voyage "Interstellaires" à la hauteur !

Publié à 17:01 par yvonne92110 Tags : people Mylène Farmer un voyage Interstellaires
Mylène Farmer : un voyage "Interstellaires" à la hauteur !

Mylène Farmer : un voyage "Interstellaires" à la hauteur ...

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      C'est certainement notre artiste française la plus mystique mais aussi la plus discrète. Mylène Farmer s'est employée depuis de nombreuses années à vivre loin des caméras, choisissant chacun des moments où elle revient dans la lumière. D'une classe jamais contestée, la plus rousse de nos artistes prouve qu'elle reste dans le coup et propose un voyage Interstellaires à la hauteur des attentes.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          A 54 ans, Mylène Farmer n'a rien perdu de sa superbe. Cela commence avec l'objet. L'imagerie soignée de son nouvel album Interstellaires,signée Ralph Wenig donne clairement l'envie de s'intéresser au projet. Depuis 2005 et l'album Avant que l'ombre ..., la qualité des supports n'était plus là. Que ce soit pour Point de suture(2008), Bleu Noir (2010) ou Monkey Me (2012), c'était à se demander si l'artiste ne voulait pas saboter son travail. Comment la protégée de Pascal Nègre avait-elle pu proposer de telles inepties malgré son rang d'artiste intouchable chez Universal Music ? avec ce nouvel album l'artiste ne néglige aucun aspect de sa communication et offre même de nouvelles photos sur lesquelles elle apparait rayonnante. Elle prouve aussi pour toutes les dames que vieillir a parfois du bon.

 

Plaisir certain pour l'objet expliqué, place maintenant au contenu, le plus important finalement. Quoi que ! avec la mouvance actuelle du marketing, aucun aspect d'un projet n'est vraiment à négliger. Et c'est simple : l'album s'ouvre sur son tube ! C'est clair, net et précis que le morceau "Interstellaires" est LA perle de l'album. Le titre n'est pas sans rappeler un certain "XXL" et a le même pouvoir entêtant. Là encore il faut remonter assez loin dans la biographie de l'artiste pour y trouver un titre qui a marqué les esprits. "Interstellaires" a un refrain planant, galactique, où il fait bon se perdre. Il pourrait bien rejoindre l'équipe des tubes à la "Désenchantée" ou encore "California". Du bonheur pour les oreilles. Le voyage se poursuit dans les meilleures conditions lorsque nous arrivons sur "Stolen Car", en duo avec Sting. C'est le prodige The Avener qui fera renaitre ce -déjà- tube de Sting et trouvera la combinaison parfaite pour faire exploser ce titre mêlant sonorités orientales et pop à merveille. Une belle ouverture potentielle -autant pour le Dj que pour la chanteuse- sur le marché américain, pour la première fois de sa carrière. Au fond, dans un milieu interstellaire, l'ambition ne peut avoir de limites.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                           La construction du titre "A rebours" est intéressante, combinant les couplets parlés aux refrains chantés. Le contraste permet de donner du rythme à un morceau qui n'en a pas vraiment. Cela casse le côté ballade lancinante et permet d'arriver au bout du morceau sans trop de difficultés. Mylène a ce chic de toujours être sur le fil, sans jamais vraiment viser à côté. C'est le constat que nous ferons sur "C'est pas moi" où les synthétiseurs auraient pu avoir un côté ringard, mais finalement le refrain gonflé à renfort de sonorités plus rock aide à la préserver du hors-sujet. Il est marrant comme des images de live viennent à l'écoute de ces nouveaux titres, comme s'ils avaient été taillés pour la scène. Ce terrain de jeu favori pour l'artiste sera l'occasion d'y présenter de nouvelles chorégraphies pour donner toujours plus de reliefs à des titres qui s'y prêtent. Le voyage se met en pilote automatique quand nous arrivons sur la douce ballade "Insondables", le deuxième extrait de ce nouvel album. Pas vraiment le titre que nous retiendrons dans cet album, agréable, sans plus. Le morceau ne décolle pas vraiment et reste très monotone... ben alors Mylène, c'était sûrement pour nous obliger à refaire le plein de carburant avant de poursuivre le voyage.

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Quand on parle de voyage, on arrive bien vite sur la planète Mylène. Dans "Love Song",l'artiste nous fait atterrir directement dans le refrain, histoire d'y mettre les deux oreilles dans le plat si on peut dire. En fait le morceau est marquant par l'absence de couplets, la chanteuse se contentant de répéter, tels des interludes, "Love Song, Love Song" entre deux refrains et ponts musicaux. Curieuse façon de construire un morceau mais après tout pourquoi pas se concentrer sur la partie qui fait mouche dans un bon morceau : son refrain ! "Pas d'access" ressemble un peu à "L'Âme-Stram-Gram" dans son côté rengaine entêtante. Très électronique et saccadée, la rythmique est efficace et nous plonge dans un univers qui sonne un peu à la Daft Punk. Encore des français, décidément la qualité rime avec bleu-blanc-rouge.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Le hic devait arriver et c'est dans "I want you to want me" que nous allons le trouver. Nous parlions d'ouverture sur le marché US un peu plus haut, et même si ce n'est pas la première fois que la chanteuse s'essaye à la langue de Shakespeare, ici la ballade avait clairement une vocation à être exploitée si le succès est au rendez-vous. Pourtant le morceau, en plus d'être d'un ennui sans nom, pèche par l'accent affreux de la chanteuse. Ce n'est pas vraiment la meilleure idée qu'elle ait eu, et le titre ne trouve vraiment pas faveur à nos yeux. Dommage pour l'ouverture américaine, il est en effet plus sûr de miser sur "Stolen Car" où le rythme l'emporte sur l'accent.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Qui dit voyage dans la galaxie dit forcément une escale par la station "Voie lactée". Comme nous sommes -la Terre- en son sein, et plus précisément à sa périphérie, il est difficile de connaître sa forme exacte. La chanteuse nous invite à l'imaginer, l'idéaliser, pour mieux s'y plonger. Comparée à des flocons d'air, de neiges en hiver qui fondent au printemps, la Voie lactée s'éveille sous nos yeux et nous délecte d'un parfum de douceur. C'est tout l'art de Mylène de nous susurrer des mots et de nous faire évader au fil des notes. Après la "Love Song", place à la "City of Love",vous avez dit raccord express avec le thème ? pas la révolution non plus dans ce titre, mais un refrain accrocheur où la voix haut perchée de l'artiste fait son effet. Elle a cette tessiture si particulière tel un violencelle en action, avec un côté aérien qu'on ne retrouve que chez elle. Ne cherchez pas mesdemoiselles, Mylène est unique, ce qui en fait une icône incontestée et indétrônable.

                                                                                                                                                                                                                                                                                 Après un tel voyage, il fallait bien le clôturer en douceur ! C'est le cas avec "Un jour ou l'autre", épique par sa musicalité, douce comptine rassurante par sa construction sur de vertigineuses envolées aiguës de l'artiste. Les instruments -violons et cornemuses- très présents dans le morceau apporte tout le côté aérien caractéristique des titres de Mylène. Le morceau s'achève sur la phrase "Retrouver un jour ou l'autre une étoile". Fin du voyage, atterrissage en douceur, déverrouillage de la porte opposée, vous êtes arrivés.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Vous le comprendrez en lisant notre analyse titre par titre de ce nouvel album : ce n'est pas la révolution ! Mais force est d'apprécier le projet dans son ensemble et de l'apprécier dans sa globalité. Mylène Farmer a compris depuis sa dernière tournée "Timeless 2013" -où elle proposait plus un concert qu'un show- qu'à 54 elle n'a donc plus l'énergie d'une jeune de 20 ans. Ses nouveaux titres sont donc construits dans cette logique, qu'au moment de leur retranscription sur scène - pour la tournée pressentie pour 2017- la chanteuse puisse les assurer autant dans l'énergie que pour le message délivré. L'album Interstellaires,s'apparente à un voyage musical où tous les styles se côtoient sans jamais tomber dans la surenchère de genres. L'artiste a su trouver le bon dosage pour délivrer un projet soigné et cohérent. Plus que jamais, Mylène Farmer incarne la classe à la française, l'élégance, la distinction, qu'il en devient difficile de s'attaquer à une si grande dame.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Et de là à pouvoir l'apprécier sur scène, c'est comme la nouvelle génération qui est passée à côté du king Michael Jackson,et qui s'en mord les doigts aujourd'hui. A l'époque actuelle il nous reste les monstres Farmer, Hallyday, pour la France,  ou Madonna à l'inter ; il serait dommage de louper nos dernières légendes sur scène, sauf à se "contenter" des jeunes pousses à la Stromae ou encore Christine and The Queens qui ont encore une longue route avant l'accès au Mont Olympe.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Surtout que Mylène est une bête de scène !

Romantiquement vôtre ...

Publié à 17:21 par yvonne92110 Tags : belles femmes romantiquement votre

Belle soirée ... suivie d'une douce nuit !

Publié à 17:23 par yvonne92110 Tags : belle soirée suivie d une douce nuit

La pensée du jour ... vendredi 6 novembre 2015 !

Publié à 10:37 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour   ...   vendredi 6 novembre 2015 !
« Rien de ce que nous possédons, ni aucun des êtres auxquels nous tenons, ne nous appartient vraiment et définitivement. À tout moment nous risquons de les perdre, et au moment où nous les perdons, nous sommes obligés de faire appel à toutes les forces en nous qui nous aideront à supporter cette perte. Ces forces se trouvent dans la foi, l’amour désintéressé, l’humilité, le sacrifice, et nous devons les éveiller en nous consciemment pour le jour où nous en aurons vraiment besoin.
Quand tout va bien pour eux, il est difficile de convaincre les humains qu’ils devraient se concentrer sur l’essentiel afin de rester debout le jour où viendront les épreuves. Car elles viendront, c’est sûr, personne sur terre n’est épargné. Alors, pourquoi attendre d’être dans la misère, les maladies ou les malheurs pour faire appel aux forces de l’esprit ? Si vous êtes déjà bien armé, non seulement vous les surmonterez, mais vous en sortirez renforcé. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Juste pour le plaisir de partager avec vous ...

Publié à 11:00 par yvonne92110 Tags : belles femmes juste le plaisir de partager avec vous