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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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La France se fige à midi pour une minute de silence, premières ripostes à Raqa ...
La France, qui renoue lundi avec son quotidien après les plus sanglants attentats de son histoire, se figera à midi pour une minute de silence, au lendemain d'une première riposte de Paris qui a bombardé un fief du groupe Etat islamique (EI) en Syrie.
De leur côté, les enquêteurs poursuivent leur travail d'identification des kamikazes jihadistes, qui ont causé la mort d'au moins 129 personnes, et de leurs connexions en Belgique et Syrie.
Sur le plan politique, le président François Hollande s'adressera à 16H00 aux députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles pour "rassembler la Nation dans cette épreuve".
Après un weekend de sidération et de recueillement, les Français tenteront de reprendre le cours d'un quotidien désormais placé sous très haute surveillance. Malgré l'état d'urgence décrété vendredi soir, "il faut continuer à vivre", a exhorté dimanche le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.
En région parisienne, les écoles fermées samedi rouvrent lundi matin, avant les musées, salles de spectacle et autres établissements culturels à 13H00.
Ce retour pénible à la "normale" sera toutefois marqué par une minute de silence à travers tout le pays à 12H00, en hommage aux victimes -au moins 129 morts et 352 blessés- des attaques revendiquées par l'organisation État islamique (EI) qui ont frappé vendredi soir le Stade de France, la salle de spectacle du Bataclan et plusieurs bars et restaurants parisiens.
Cent trois victimes ont d'ores et déjà été identifiées, a indiqué Manuel Valls.
Après la revendication des attentats par l'Etat Islamique (EI), la France a lourdement bombardé dimanche soir le fief de l'organisation jihadiste à Raqa, dans le nord de la Syrie, détruisant un poste de commandement et un camp d'entraînement. François Hollande avait averti samedi que la France serait "impitoyable" sur les terrains intérieur et extérieur après des attentats qualifiés "d'acte de guerre".
Les enquêteurs poursuivent, eux, leurs investigations sur les "trois équipes de terroristes" qui auraient, selon la justice, mené ces attaques.
- Des attentats "préparés à l'étranger"-
Après avoir identifié Omar Ismaïl Mostefaï, né à Courcouronnes (Essonne) et fidèle d'une mosquée de la banlieue de Chartres, comme un des assaillants du Bataclan, deux autres des sept kamikazes ont été identifiés dimanche. Tous deux, résidant en Belgique, sont de nationalité française.
L'un, Bilal Hadfi (30 ans) est l'un des trois qui se sont fait sauter au Stade de France. L'autre, Brahim Abdeslam (31 ans) s'est fait exploser boulevard Voltaire, sans faire de victimes.
Ce dernier fait partie d'une fratrie sur laquelle se concentrent les enquêteurs: un de ses frères, Mohamed, a été placé en garde à vue en Belgique.
Les services antiterroristes sont sans nouvelle d'un troisième, Salah, qui pourrait être un des kamikazes ou en fuite, selon des sources proches du dossier. La justice belge a émis un mandat d'arrêt international et la police française a lancé un appel à témoin à l'encontre de cet "individu dangereux". Il a été identifié comme ayant loué une Polo noire immatriculée en Belgique retrouvée garée devant le Bataclan, où une prise d'otage sanglante a fait au moins 89 morts.
Brahim a de son côté loué une Seat noire, également immatriculée en Belgique et retrouvée à Montreuil, en proche banlieue parisienne, avec à son bord trois kalachnikov, onze chargeurs vides et cinq pleins.
Les liens avec la Belgique sont désormais clairs. "Les attentats abjects qui nous ont frappés vendredi ont été préparés à l'étranger et ont mobilisé une équipe d'acteurs situés sur le territoire belge et qui ont pu bénéficier, l'enquête le dira, de complicités en France", a affirmé Bernard Cazeneuve dimanche, après un entretien à Beauvau avec son homologue belge Jan Jambon.
Sept personnes sont en garde à vue en Belgique, où l'enquête se concentre sur la commune bruxelloise de Molenbeek, considérée comme une plaque tournante des jihadistes en Europe.
- L'union nationale malmenée -
Les enquêteurs veulent aussi établir précisément les connexions existant avec la Syrie.
Objet d'une fiche S de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en 2010, mais passé sous les radars depuis, Mostefaï a très vraisemblablement séjourné en Syrie entre 2013 et 2014. Hadfi y est aussi allé, selon une source proche de l'enquête, et la question se pose pour d'autres assaillants, identifiés ou en voie de l'être.
Sur le plan politique, après avoir consulté individuellement les dirigeants des différentes formations politiques dimanche, François Hollande s'adressera aux 577 députés et 348 sénateurs, réunis en Congrès à Versailles, pour réaffirmer sa détermination face à la menace terroriste et "rassembler la Nation".
Mais cette réunion solennelle prendra une dimension politique.
Le parti Les Républicains a demandé -et obtenu- que les groupes parlementaires puissent aussi faire entendre leur voix à cette occasion. Chacun d'entre eux s'exprimera dix minutes à l'issue du discours, une fois le chef de l'Etat parti.
Dix mois après l'unanimité politique suscitée par les attentats de janvier, quelques voix dissonantes se font entendre, notamment celle de l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.
Le président des Républicains a notamment demandé "des modifications drastiques de notre politique de sécurité", avec bracelets électroniques et mise en résidence surveillée pour toutes les personnes fichées comme radicalisées, ainsi qu'une "nouvelle politique de l'immigration" au niveau européen.
Il a affirmé vouloir "l'unité nationale, la solidarité nationale pour une meilleure sécurité, pas simplement pour faire des discours".
Les témoignages de solidarité se sont poursuivis dans le monde entier. Ainsi, les drapeaux américains seront mis en berne à la Maison Blanche et sur d'autres bâtiments officiels à travers le pays et à l'étranger, jusqu'au coucher du soleil jeudi.
Syrie: bombardement massif français sur le fief de l'EI à Raqa ...
Dix chasseurs-bombardiers français ont largué 20 bombes dimanche soir sur le fief de l'organisation Etat islamique (EI) à Raqa, dans le nord de la Syrie, détruisant un poste de commandement et un camp d'entraînement, a annoncé le ministère français de la Défense.
"Le premier objectif détruit était utilisé par Daech (acronyme de l'EI en arabe) comme poste de commandement, centre de recrutement jihadiste et dépôt d'armes et de munitions. Le deuxième objectif abritait un camp d'entraînement terroriste", a détaillé le ministère dans un communiqué.
Douze appareils, dont dix chasseurs, ont été engagés simultanément à partir des Emirats arabes unis et de la Jordanie. La France dispose respectivement de six Rafale et six Mirage 2000 dans ces deux pays.
"Planifiée sur des sites préalablement identifiés lors des missions de reconnaissance réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec les forces américaines", a précisé le ministère.
L'EI a revendiqué samedi la vague d'attentats de vendredi soir à Paris, qui ont fait au moins 129 morts et plus de 350 blessés.
Le président français François Hollande avait averti samedi que son pays serait "impitoyable" sur tous les terrains, intérieur et extérieur, après les attentats qu'il a qualifiés "d'acte de guerre".
Les frappes de dimanche soir sont sans commune mesure avec les quatre précédents raids français, qui ont mobilisé beaucoup moins de chasseurs et avaient visé des sites plus au sud en Syrie à Deir Ezzor.
La France, qui participe depuis un an à la coalition internationale contre l'EI en Irak, a décidé en septembre d'élargir ses opérations à la Syrie. Elle affirme avoir gardé son autonomie de décision dans le choix des cibles dans ce pays alors qu'elle est pleinement associée à la coalition internationale en Irak dirigée par Washington.
Les premières frappes françaises en Syrie en septembre avaient ciblé deux centres d'entraînement de jihadistes suceptibles de mener des attaques en Europe. Les cibles ont ensuite été élargies à des sites pétroliers exploités par l'EI et ce dimanche à un poste de commandement.
La France, qui veut intensifier ses opérations en Syrie, va pouvoir bénéficier, outre le renseignement réuni par ses propres avions de reconnaissance depuis un mois, d'une coopération accrue avec les Américains en la matière.
Le ministre de la Défense français Jean-Yves Le Drian et son homologue américain Ashton Carter ont convenu dimanche d'augmenter le partage de renseignement lors d'un entretien téléphonique. "On travaille à l'intensification des frappes", a-t-on souligné dans l'entourage de M. Le Drian.
"Sur ce terrain, nous avançons bien grâce aux patrouilles de reconnaissance (françaises) qui se muliplient et grâce à l'ouverture de plus en plus nette de nos amis américains", a-t-on ajouté, en parlant d'un "tournant" depuis les attentats.
Depuis deux jours, le travail est "beaucoup plus nourri" avec les Etats-Unis pour l'identification des cibles, a-t-on poursuivi, notant qu'un "certrain nombre de malentendus" se sont dissipés.
La France va aussi déployer en décembre le porte-avions Charles-de-Gaulle dans le Golfe qui, avec 24 appareils à bord, triplera sa capacité de frappes. Elle continue en revanche d'exclure toute intervention militaire au sol.
Déraillement d'un TGV en Alsace. Les boîtes noires du TGV retrouvées ...
La SNCF a confirmé dimanche la présence d'enfants à bord du TGV d'essai qui a déraillé alors qu'il circulait en direction de Strasbourg, samedi à hauteur d'un pont de la futur LGV. Selon le parquet, la motrice du TGV a percuté le pont avant de dérailler.Selon les premiers éléments de l'enquête, la motrice a « percuté » le pont et « le train a ensuite déraillé avant de basculer sur le talus de la ligne ferroviaire », a déclaré le procureur-adjoint du parquet de Strasbourg, Alexandre Chevrier.
Deux points d'impacts ont été relevés sur ce pont métallique, dont un causé par la motrice. Un porte-parole de la SNCF a confirmé ce scénario, précisant que dans le choc, le train « a percuté des rambardes de protection » et s'était séparé en deux.
Le bilan humain de l'accident est porté à 11 morts, 25 blessés en urgence relative et 12 en urgence absolue mais pourrait évoluer dans les prochaines heures, a indiqué la préfecture du Bas-Rhin.
Contrairement à une précédente information rapportée par l'AFP, la SNCF n'a pas confirmé qu'on comptait des enfants parmi les victimes. En revanche, elle a confirmé leur présence à bord.
« Quelques enfants » se trouvaient à bord du TGV à l'essai qui a déraillé samedi près de Strasbourg, faisant au moins 11 morts et 37 blessés dont 12 en urgence absolue, a-t-on appris dimanche auprès de la SNCF.
« Il y avait quelques enfants à bord », a indiqué un porte-parole de la SNCF, précisant ne pas savoir si ces enfants faisaient partie des victimes. « L'enquête doit déterminer le nombre de personnes présentes dans le train qui n'étaient pas habilitées à y être », a-t-il ajouté.
Parmi les décombres, des hommes en blanc procédaient à des relevés et à des investigations sur les matériels ainsi que sur la voie ferrée où s'est produit l'accident, a constaté un photographe de l'AFP. « L'objectif est de retrouver éventuellement des corps », a-t-on appris auprès de la préfecture.
Selon le procureur-adjoint du parquet, des boîtes noires de la rame ont été retrouvées sur les lieux. « Mises à l'abri aux fins d'exploitation », elles constitueront « un élément extrêmement important pour comprendre ce qui a pu se passer », a-t-il dit.
Dans la journée, à l'aide d'une grue et de câbles d'acier accrochés à la rame, les secouristes ont sorti de l'eau la motrice arrière et une voiture, sous les regard de dizaines de promeneurs médusés.
Les opérations se poursuivaient dans la soirée avec le treuillage d'un dernier morceau à cheval sur la berge et un bras du canal de la Marne au Rhin, au nord-ouest de Strasbourg. Selon les pompiers, les opérations devaient s'achever dimanche à minuit.
« Par contre, il y en a parmi les blessés », a-t-il rajouté sans pouvoir préciser s'ils étaient « légers ou graves ». « L'enquête doit déterminer le nombre de personnes présentes dans le train » et combien parmi elles « n'étaient pas habilitées à y être », a-t-il ajouté.
Les enquêtes « permettront d'éclairer (...) qui sont ces accompagnants, pourquoi étaient-ils à bord, dans quelles circonstances avaient-ils été admis à monter dans cette rame », a affirmé le PDG de la SNCF Guillaume Pepy, interrogé par la radio France Info.
« Ca n'est pas une pratique que la SNCF reconnaît. On n'est pas dans une phase touristique ou dans une phase amicale. Un train de test est un train de test », a-t-il ajouté.
Samedi, Jérôme Sotty, directeur départemental adjoint des services d'incendie et de secours du Bas-Rhin, avait évoqué la présence d'un corps coincé sous la rame, qui pourrait être celui d'un enfant, en raison de sa faible corpulence.
Arrivés en fin de journée sur les lieux de l'accident, le secrétaire d'État chargé des Transports Alain Vidalies et sa ministre de tutelle Ségolène Royal ont également fait état de cinq disparus, « des personnes encore coincées sous les wagons ».
Interrogée par l'AFP, la direction de la SNCF a souligné que « rien ne permet de faire un lien » avec les attentats de vendredi soir à Paris, rappelant qu'aucun voyageur ne se trouvait à bord de ce train en phase d'essai. « Une enquête interne a été ouverte », a précisé la SNCF.
Les dix tués faisaient partie d'une équipe de 49 techniciens et cheminots à bord de la rame. Le train circulait à quelque 350 km/h au moment de l'accident survenu à Eckwersheim, au nord de Strasbourg, sur la ligne à grande vitesse devant être mise en service au printemps prochain, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
L'accident s'est produit dans une zone dépourvue d'habitations, alors que les essais sur la ligne LGV sont en cours afin de permettre de relier Paris à Strasbourg en 1H48 à partir d'avril 2016.
La LGV Est, d'une longueur totale de 406 km, sera mise en service commercial le 3 avril 2016. Outre le gain de temps entre Paris et l'Est de la France, la seconde phase de la LGV permettra aussi d'assurer une liaison plus rapide entre Luxembourg et Strasbourg (1H36 contre 2H10 actuellement).