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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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L'artiste Oleg Timoshin est né en Extrême-Orient à Spassk. Il est diplômé de l'école de théâtre et d'art de l'état biélorusse ...
HONG-KONG : Quand modernité et tradition se mèlent ...
« Même si les prédicateurs chrétiens s’efforcent de rappeler le commandement donné par Jésus : « Aimez vos ennemis », on trouve vraiment très peu de personnes capables de l’appliquer. La plupart ne savent même pas aimer leurs amis, alors comment vont-ils aimer leurs ennemis ? C’est tellement difficile ! Pour parvenir à cette conception désintéressée, impersonnelle de l’amour, il faut se lier à un être qui nous en donne l’exemple le plus éclatant : le soleil. Regardez : de quelque façon que se conduisent les humains, le soleil continue à leur envoyer sa lumière et sa chaleur, il les nourrit, il les vivifie. Si vous voulez connaître la plus haute morale, c’est auprès du soleil que vous la trouverez, et seulement auprès de lui. Et comme ce qui en vous représente le soleil, c’est votre esprit, en regardant le soleil, efforcez-vous de vous élever en vous-même jusque dans ces régions de l’esprit où vous sentez que rien ne peut vous atteindre. Car c’est de là seulement que vous pourrez continuer, quoi qu’on vous fasse, à envoyer votre lumière et votre amour. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Rodemack est sanglée de fortifications : une ceinture parfaitement conservée de près de 900 mètres de long aménagée en promenade). Aussi le coeur de la cité s’organise t-il en un entrelacs de ruelles.
Au Pays des Trois Frontières, il y a des vocations que l’on ne peut cacher. Au point de rencontre de la France, de l’Allemagne et du Luxembourg, Rodemack la Mosellane ne pouvait que devenir une place forte. Les façades des maisons et les entrées des caves affichent les signes distinctifs de l’habitat rural lorrain traditionnel. Une belle plongée dans une histoire des plus agitées.
« La petite Carcassonne lorraine ! » En découvrant Rodemack, situé aux frontières de la France, de l’Allemagne et du Luxembourg, on comprend mieux pourquoi elle a hérité de ce surnom. Ce bourg médiéval, qui fut jadis la place forte des seigneurs de Rodemack, puis des margraves (seigneurs) de Bade, se blottit derrière 700 mètres d’impressionnantes murailles percées de meurtrières et ponctuées de tours rondes.
L’ensemble est dominé par un château, remanié au fil des siècles avant d’être démantelé en 1821. Si ces vestiges ne présentent que peu d’intérêt architectural, le site offre un beau point de vue sur le village.
Voici la porte de Sierck et ses deux tours. Tout au long des murailles, de semblables édifices peuvent être admirés.
C’est par la majestueuse porte fortifiée de Sierck, élevée au XVIe siècle, que l’on pénètre dans Rodemack intra-muros. À l’intérieur s’alignent le long des ruelles pavées de jolies maisons au crépi gris et aux fenêtres cintrées caractéristiques de l’habitat rural lorrain. L’église Saint-Nicolas (fin XVIIIe) vaut le coup d’oeil pour son harmonieuse simplicité.
Ici, rien de spectaculaire, non, mais il y flotte un doux parfum légèrement suranné avec ses vieilles enseignes, son relais de poste télégraphe, sa distillerie communale, son ancien lavoir et ses bildstocks (petits calvaires). Il faut notamment flâner, au pied des remparts, dans son jardin d’inspiration médiévale, espace clos foisonnant de plantes condimentaires, médicinales et aromatiques.
Ces jardins aménagés font le plaisir des touristes, et la fierté des habitants !
Il y a 40 ans, Rodemack était une ruine :« Le village était à l’abandon. Intra-muros, c’était un désert, il ne restait quasiment plus une maison habitée, détaille Franck Czachor, le secrétaire de mairie. La renaissance date des années 1970, grâce à une population nouvelle et jeune qui s’est passionnée pour le patrimoine exceptionnel de Rodemack. Ces habitants ont monté un collectif, qui est devenu l’association Les amis des vieilles pierres pour la sauvegarde de Rodemack. »
Perchée en haut du village, la chapelle Notre-Dame (1658) aurait été bâtie par les Rodemackois au sortir de la guerre de Trente Ans, afin de faire les louanges de la Vierge qui les sauva des grandes épidémies et leur apporta la paix.
Objectif d’alors : défricher et lancer des chantiers de restauration pour remonter ou restaurer les fortifications. « Le collectif a fait bouger les choses en remettant en valeur le village. À chaque fois que je retombe sur d’anciennes photos, j’ai du mal à retrouver l’endroit exact, tant ça a changé ! C’est le jour et la nuit : les anciennes ruines sont désormais des maisons appréciables et l’on se déplace de loin pour voir le village… »
La consécration :En 1987, Rodemack entre dans le prestigieux cercle des « Plus beaux villages de France ». « Aujourd’hui, on ne restaure plus, mais on entretient. La difficulté reste de maintenir et de créer des commerces… Mais ce qui fait la force du renouveau de Rodemack, c’est son dynamisme associatif. D’autres villages dans la région ont le même potentiel, ou plus, mais des acteurs locaux ont porté haut nos couleurs, en témoigne notre fête médiévale, parmi les plus importantes de Lorraine ! »
La première forteresse de Rodemack est élevée au XIIe siècle par les seigneurs de Rodemack. En 1492, ces vassaux du comte de Luxembourg voient cependant leurs biens confisqués pour félonie – l’empereur Maximilien d’Autriche leur reproche de s’être alliés aux Français – au profit du margrave de Bade qui en fait une forteresse militaire d’importance. C’est de la moitié du XVIe siècle que date la Maison des Baillis, juste en dessous du château, face à l’office de tourisme.
Le bourg passera ensuite aux mains de la France et de l’empire germanique, jusqu’à son annexion officielle à la France en 1769. Jusqu’à la Première Guerre mondiale, Rodemack, par sa situation, est au carrefour de bien des conflits. En 1815, le général Hugo (père de Victor), gouverneur de Thionville, y réussit à contenir l’armée prussienne, au cours des Cent-Jours.
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Le chat Norvégien, aussi appelé chat des forêts Norvégiennes ou norsk skogkatt, a tout du félin.
C’est un grand chat au corps charpenté, musclé avec une abondante fourrure.
À l’origine chasseur, le chat Norvégien est en fait un animal de compagnie idéal très affectueux.
Descriptif et caractéristiques du chat Norvégien :
Le chat Norvégien est un chat à l’allure robuste et à la musculature puissante.
Sa tête est caractéristique avec sa forme triangulaire et ses deux grandes oreilles à la base mais qui se terminent en forme arrondie. Les yeux en amande du chat Norvégien sont de couleur vert-or à bleu.
Il a la particularité de posséder des pattes arrière plus longues que celles de devant. Ses pieds sont larges et ronds dotés de touffes de poils entre les doigts.
Le chat Norvégien est très reconnaissable grâce à son opulente fourrure qui le protège de la pluie comme des températures basses.
Origine du chat Norvégien :
Le chat Norvégien est l’un des chats les plus anciens. On trouve sa trace déjà à l’époque des Vikings. Il était utilisé notamment comme chasseur de rats, dans les endroits où la nourriture était stock ée.
Le chat Norvégien a vécu longtemps à l’état sauvage dans les forêts Norvégiennes. Il n’est pas le fruit d’une sélection poussée mais bien d’une évolution naturelle.
Ce n’est qu’à la fin des années 1930 que son élevage a commencé.
Caractère et comportement du chat Norvégien :
Si le chat Norvégien a tout en apparence d’un animal sauvage, c’est en fait un chat qui s’est parfaitement adapté aux conditions de vie de l’homme, malgré ses origines de chasseur.
Même s’il a gardé une certaine indépendance, le chat Norvégien est très proche de ses maîtres et il est très affectueux.
Il adore jouer avec les enfants et préfère, compte tenu de sa vivacité, vivre avec des personnes non sédentaires.
Comment prendre soin de son chat Norvégien :
L’épaisse fourrure du chat Norvégien nécessite un brossage régulier pour éviter que ses poils s’emmêlent, et un brossage même quotidien en période de mues, qui peuvent être très importantes.
S’il s’adapte très bien à la vie en appartement, il faut penser à lui fournir de quoi se dépenser, sauter, comme un arbre à chat par exemple.
Paris : la police judiciaire dit adieu au 36, quai des Orfèvres !
Le siège de la PJ de la préfecture de police de Paris,sur l’Île de la Cité (IVème) depuis un siècle, déménage aux Batignolles, porte de Clichy.(XVIIème), dans le « Bastion », le bâtiment ultramoderne du futur tribunal, avec vue sur le périphérique .
Un immeuble vide avec deux fonctionnaires en faction comme des âmes en peine, une page d’histoire qui se tourne, de la nostalgie et quelques fêtes d’adieu un peu remuantes (voir encadré)…Le 36, quai des Orfèvres vit ses dernières heures. Ce mercredi, dans ce bâtiment mythique qui fut jadis une ruche, rythmée par les grandes affaires criminelles aux mains de la fine fleur de la police judiciaire (PJ), il régnait un calme étonnant.
« Des brigades du 36, il n’y a plus que la Crim, indique un fonctionnaire. C’est leur dernier jour. Les Stups sont partis. Les bureaux sont vides ! ». Le ballet de camions de déménageurs s’est tu. « En fait, ça se termine vraiment en fin de semaine prochaine », recadre-t-on à la PJ. Il reste l’Etat major et la direction de la PJ.
Le siège de la PJ de la préfecture de police de Paris (PJPP), logé dans ce bâtiment inscrit aux Monuments historiques, sur l’Île de la Cité (IVe) ferme le rideau après plus d’un siècle de présence (1913). Les policiers ont quitté leurs bureaux vétustes, ses couloirs jaunis, sa cour, son escalier légendaire de 148 marches que Guy Georges, le « tueur de l’Est parisien », Thierry Paulin, le « tueur des vieilles dames » et d’autres ont monté, menottés.
«Les locaux étaient pourris» :
C’est une nouvelle ère qui s’ouvre aux Batignolles (XVIIe). La maison PJ emménage au « Bastion », un bâtiment ultramoderne, visible du périphérique, 10 étages, 30 000 m2, porte de Clichy.
« Evidemment, ça a été douloureux, souffle cet officier de police sous couvert d’anonymat. Quitter le cœur de Paris, cet endroit merveilleux, les petits restos de quartier où on a nos habitudes pour la porte de Clichy… ». « En même temps, poursuit un autre fonctionnaire qui lui a déjà emménagé, ça a beaucoup râlé au début. Mais les locaux du 36 étaient pourris. On est mieux là-bas .»
L'antigang reste :
La seule brigade « rescapée », celle qui a obtenu de rester au « 36 », c’est la BRI (Brigade de recherche et d’intervention), nommée aussi l’antigang, notamment pour intervenir plus vite en cas d’attaque terroriste.
Reste que la disparition du 36 changera quelque peu la physionomie du quartier. Et son ambiance. Au Soleil d’Or, la brasserie du boulevard du Palais, l’un des « grands QG des flics » qui a servi le café à tous les grands commissaires, dont Broussard, « on va les regretter, lâche François, le responsable. En huit ans, on les connaissait tous. C’était devenu une famille. On connaissait les enfants des uns, les mariages des autres. Quand ils avaient bouclé une belle affaire, ils venaient déjeuner. Des moments festifs, d’autres plus graves… ». Le responsable se souviendra aussi du 9 janvier 2015, date de l’attentat de l’Hyper Cacher lorsqu’ils ont reçu le message d’alerte. « D’un seul coup, ils sont tous partis. Ils m’ont dit François on te paiera la prochaine fois ! »
La fête, quelques sirènes, des selfies sur les toits, un découpage d’une petite partie du filet antisuicide… Les policiers ont bruyamment fêté leurs adieux au 36 en fin de semaine dernière.
Jeudi, il y a eu une première soirée. « Il y avait du beau monde, relate un témoin, dont des juges. Des policiers sont montés sur les toits pour discuter, fumer. Il y a eu des selfies. Certains ont même fait marcher les sirènes ! ». A la PJ, on recadre : « Ce sont des effusions de joie liés à des moments de convivialité ! Rien de plus. »
Vendredi, rebelote pour la soirée de la brigade des stups. Mais cette fois, la direction, au courant des joyeuses frasques de la veille, et chagrinée par une inscription laissée au stylo sur un mur, a mis les pieds dans le plat et a notamment demandé, lors du discours, de « respecter les locaux » et… de ne pas sauter dans le filet antisuicide, comme c’est habituellement la tradition en soirée ! Celui-ci avait en effet été fragilisé la veille par une entaille « d’environ 20 cm par 20 cm ».
« Ce qui nous rend nostalgique, indique un policier de la Crim, c’est la vue des toits, un truc de dingue, une vue unique sur Paris ». Tous les 14 juillet, ceux qui étaient de permanence y grimpaient pour voir passer dans le ciel de Paris la patrouille de France ou admirer le feu d’artifice. Jeudi et vendredi, ils voulaient une dernière fois « s’en prendre plein les mirettes ». Mission accomplie.