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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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« Pour devenir véritablement créateur, l’homme doit faire appel à certaines facultés en lui afin d’entrer en relation avec le monde spirituel. Car c’est du monde spirituel qu’il reçoit ce souffle que l’on appelle l’inspiration. Il est important de connaître les conditions favorables à l’inspiration, car elles ne nous visitent pas par hasard. Vous direz qu’il vous est arrivé de recevoir une inspiration dans des circonstances, des endroits ou des positions un peu invraisemblables. Cela peut en effet arriver : vous êtes en train d’éplucher des légumes, de ramasser un objet ou de mettre vos chaussures, et soudain un courant vous traverse, une image s’impose à vous : vous sentez que vous avez reçu une révélation. Au contraire, vous pouvez réunir toutes les conditions matérielles idéales pour que l’inspiration vienne vous visiter et vous ne recevez rien. Le souffle divin ne vient pas nécessairement visiter celui qui est assis en position de lotus, les yeux fermés au milieu de nuages d’encens ; ce n’est pas de ces conditions-là que je parle. La première condition à remplir pour être inspiré est de veiller à la pureté de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Quand le terrain est préparé, l’esprit peut venir quelle que soit la situation ou la posture dans laquelle vous vous trouvez. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
L’enfer de la Bastille ...
C’est sous le règne de Charles V, entre 1370 et 1383, que le prévôt de Paris Hugues Aubriot construisit le Bastille. Elle changea de rôle au cours des âges en étant tour à tour forteresse, arsenal, prison sous Louis XI, entrepôt d’armes et lieu de réception sous François 1er.
Sous Henri IV, elle eut la charge de protéger le trésor royal !
C’est le Cardinal de Richelieu, sous le règne de Louis XIII, qui transforma définitivement la Bastille en prison d’état.
Elle comptabilisait 42 cellules et accueillait principalement des « hôtes » de marques. C’est pourquoi elle disposait d’un confort peu habituel pour une prison. Les prisonniers du roi bénéficiaient (moyennant finance bien sûr) de bois de chauffage, du même repas que le gouverneur, d’une relative liberté de mouvement au sein de la prison et du droit à recevoir des visites et des lettres (auxquelles ils pouvaient répondre).
C’est dans ces geôles « luxueuse » que la prison abrita entre autre : Montaigne en 1589, Charles d’Angoulême de 1604 à 1616, le Masque de Fer, Voltaire, Beaumarchais et le marquis de Sade.
Toutefois, hormis ces cellules destinées aux prisonniers de haut rang, il y eut, dès la fin du XVIIe siècle, deux autres catégories de cellules à la Bastille :
Les pailleux, dans lesquelles étaient enfermés les prisonniers issus du peuple qui n’avaient pas d’argent. Les condamnés, enchainés parfois, dormaient sur une paillasse changée une fois par mois. Ils vivaient de la charité et du « pain du roi » (il s’agissait du pain que le roi accordait aux prisonniers).
Les cachots, étaient situés au même niveau que les douves entourant la Bastille :
L’un d’entre eux servait de salle de torture, les autres étaient destinés aux prisonniers récalcitrants. L’ironie de l’histoire veut que ce soit Louis XVI qui supprimera la torture le 24 août 1780 et en 1788, les cachots ainsi que les lettres de cachets le 26 juin 1789.
Pour bien comprendre ce que la Bastille représentait pour les parisiens :
Imaginez-vous une forteresse de 66 mètres de long, 34 de large et 24 de haut entourée de douve et qui dominait tout le quartier par son aspect imposant et lugubre. En outre, aucun autre bâtiment n’incarnait à ce point le caractère arbitraire du pouvoir royal.
Les lettres de cachets (signées du Roi ou de ses ministres, elles permettaient d’emprisonner quelqu’un sans procès), les cachots, la torture, tout cela hantait les esprits.
Lentement mais sûrement la Bastille devenait le symbole de cette monarchie absolue de droit divin, qui avait échouée à réformer la justice et la fiscalité du royaume. Sa détestation allait en grandissant d’année en année pour atteindre son point d’orgue durant la Révolution Française.
De début mai à début juillet 1789, la Révolution commence sous un aspect juridique, les députés du Tiers Etat s’opposent au Roi. Le 17 juin sur la proposition de l’Abbé Sieyès quelques membres de la Noblesse du Clergé et du Tiers Etats prennent le titre d’Assemblée Nationale.
Mais c’est le 12 juillet, quand Paris apprend que le contrôleur général des finances Necker à été renvoyé par le roi la veille que tout s’accélère : les échauffourées commencent… Dans l’après midi, Camille Desmoulins, qui n’est alors qu’un journaliste, exhorte alors les parisiens à préparer leur défense. Il faut donc s’armer, direction les Invalides !
Après les émeutes des 12 et 13 juillet les révolutionnaires, qui ne sont encore que des émeutiers, s’emparent le 14 juillet à 10 heures d’environ 35 000 fusils entreposés aux Invalides. Ils ne leur manquent plus que la poudre et les balles. Une rumeur enfle alors : il y en aurait à la Bastille !
Une délégation de l’Assemblée des électeurs de Paris se rend à la Bastille à 10h30 pour demander le retrait des canons placés sur les tours et derrière le pont levis ainsi que la distribution de la poudre et des balles. La délégation est cordialement reçue par le gouverneur de la prison, Bernard-René Jordan de Launay, qui les invite même à déjeuner mais n’accède pas à leur requête.
Une heure plus tard Jacques Alexis Thuriot et le procureur de Paris, Louis Ethis de Corny, à la tête d’une deuxième délégation, se rendent de nouveau à la Bastille ; De Launay leur assure qu’il ne tirera pas le premier.
Les émeutiers des Invalides arrivent alors avec cinq canons pris le 13 juillet aux Invalides et aux Garde-Meubles. Des militaires, ralliés à la cause révolutionnaire, utilisent les canons et font feu sur les portes de la prison. Une explosion retentit alors et les émeutiers, la prenant pour une attaque ordonnée par le gouverneur de la Bastille, lancent l’assaut. Certains d’entre eux pénètrent dans la forteresse et se mettent à frapper les chaînes du pont-levis à coup de haches.
C’est à 13h30 que les défenseurs de la Bastille ouvrent le feu sur la foule faisant une centaine de morts.
Après les échecs d’une troisième puis d’une quatrième délégation les négociations sont rompues et à partir de 15h30 la véritable attaque de la Bastille commence. Ayant obtenu la promesse qu’aucune exécution n’aurait lieu si la Bastille se rendait, la garnison rend les armes à 17 heures. Les émeutiers investissent la forteresse, prennent les balles et la poudre et libèrent les sept prisonniers présents (deux fous, un noble assassin enfermé suite à la demande de son père et quatre faussaires).
A propos des prisonniers de la Bastille saviez-vous que les révolutionnaires, déçu d’en trouver si peu dans ce symbole de l’oppression du pouvoir royal, en ont inventé un ? Le Comte de Lorges ! Il aurait été embastillé durant 32 ans avant que les révolutionnaires ne viennent le libérer et le porter en triomphe dans les rues de la capitale ...
La garnison est faite prisonnière et est emmenée à l’Hôtel de Ville pour être jugée. Arrivé en place de Grève le gouverneur de Launay est lynché, poignardé à coup de baïonnette, reçoit un coup de feu et sera décapité au canif par un jeune garçon boucher.
Sa tête sera aussitôt fichée sur une pique et promenée dans les rues de la capitale.
Dès le lendemain, il y a 225 ans aujourd’hui, la Bastille est démolie.
Certaines de ses pierres serviront de «reliques » dans lesquelles on taillera des répliques miniatures de la forteresse mais la plus grande partie sera utilisée pour la construction du pont de la Concorde.
Une dernière anecdote pour terminer : savez-vous que l’une des clefs de la Bastille se trouve à Mount Vernon, la résidence de George Washington désormais transformée en musée ? C’est le marquis de La Fayette qui la lui avait envoyée !
LE SHIATSU ...
Shiatsu ou quand la pression soulage :
Besoin de soigner votre mal de dos ou votre vague à l’âme ? Peut-être les deux à la fois ? Cousine de l’acupuncture, cette technique japonaise libère des stress de la vie par simple pression des doigts.
Commençons par un peu de japonais pour comprendre la réalité du shiatsu (prononcez « shiatsou »). « Shi » signifie « doigts », « atsu », pression.
C’est en effet avec ses doigts, et particulièrement avec ses pouces, que le praticien effectue des pressions – plus ou moins appuyées et plus ou moins longues – tout le long des méridiens, canaux invisibles dans lesquels circule l’énergie. Issu du « an-ma », un massage ancestral nippon, le shiatsu a été reconnu au Japon comme médecine à part entière en 1954.
Une thérapie corps-esprit :
La magie du shiatsu réside dans cette capacité à soigner rapidement les maux du corps comme ceux de l’âme. Nombreux sont ceux qui viennent pour être soulagés d’une douleur physique, et repartent apaisés d’une souffrance morale. Le shiatsu n’est pas pour autant une thérapie miracle.
Maladies chroniques, dépressions ou problèmes de dépendance ne se soignent pas en une séance. « Mais le shiatsu peut être d’une aide sérieuse », assure Isabelle Laading, praticienne et enseignante en Saône-et-Loire, auteur de “Shiatsu, voie d’équilibre” (Désiris, 1999). Le centre de désintoxication pour alcooliques où elle exerce a d’ailleurs obtenu le meilleur taux de réussite du département.
Dans le cas de maladies graves – cancer, sida, maladie d’Alzheimer, etc. – le shiatsu ne guérit pas, mais peut soulager. Ainsi, plusieurs praticiens attestent qu’il permet d’atténuer les effets secondaires d’une chimiothérapie ou d’une trithérapie.
Il existe cependant des contre-indications. Un shiatsu ne devra pas être effectué sur des lésions ouvertes, des inflammations, des ulcères, ou dans le cas de malformations graves. Claude Didier, le secrétaire général de la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), le déconseille aux grands asthmatiques et aux cardiaques.
En cas de fragilité osseuse, surtout chez les enfants et les personnes âgées, la manipulation sera plus douce et, sur une femme enceinte, certains points abortifs ne seront pas travaillés.
Equilibrer le ki :
Conserver ou restaurer cette énergie vitale qui nous anime – appelée ki au Japon, équivalent du qi (ou ch’i) en Chine – telle est la vocation du shiatsu. « Dans des conditions de bonne santé, l’énergie s’écoule librement et de façon équilibrée à travers les méridiens.
Quand un fonctionnement inhabituel des organes internes ou une stimulation externe anormale se produit, l’énergie stagne, ce qui entraîne la maladie. Aussi, afin de guérir, l’énergie doit-elle être libérée et régularisée », explique maître Masunaga dans Zen Shiatsu (Trédaniel, 1985), livre de référence pour la plupart des praticiens français.
Suivant les principes de la médecine chinoise, le shiatsu stimule les points d’acupuncture qui manifestent un manque d’énergie et libère ceux qui ont accumulé un trop-plein.
Il met véritablement le doigt là où ça fait mal. En s’attaquant aux causes et non aux symptômes, les effets bénéfiques peuvent parfois se faire attendre.
Il arrive que l’on sorte de séance avec les mêmes maux, voire que l’on souffre, pendant deux ou trois jours, de nouveaux désagréments, comme des céphalées ou des insomnies.
Inutile de s’inquiéter, c’est le signe que le corps se libère !
Une image pour mieux comprendre : le corps est comme un lac ; lorsqu’un travail en profondeur y est effectué, cela peut faire des vagues.
De quel mal souffrez-vous ?
Le shiatsu traite autant les douleurs physiques que les états d’âme. Il est particulièrement efficace dans les cas de :
Shiatsu-acupuncture :
Les neuf différences avec l’acupuncture :
1) Le shiatsu est une discipline japonaise qui date des années 50. L’acupuncture, l’un des pans de la médecine traditionnelle chinoise remontant au IIe millénaire avant Jésus-Christ
2) Le shiatsu se pratique avec les pouces ; l’acupuncture, avec des aiguilles.
3) Le shiatsu travaille sur l’ensemble des méridiens ; l’acupuncture traite des points particuliers.
4) Seul le shiatsu inclut des étirements, donc un travail sur les articulations et les muscles.
5) En shiatsu, il y a fusion du diagnostic et du traitement : chaque pression détermine l’état énergétique et le traite en même temps.
6) L’intuition et le ressenti jouent une part plus importante en shiatsu.
7) Par l’action du toucher, le praticien de shiatsu « partage » les souffrances de son patient ; l’acupuncture est plus « médicale ».
8) Le shiatsu peut se pratiquer sur soi ou en famille, dans un but de détente, sans visée thérapeutique.
9) L’acupuncture est généralement pratiquée par un médecin, ce qui n’est pas le cas du shiatsu.
Le drapeau Breton, second emoji le plus réclamé lors d'un concours mondial, va finalement être adopté par les systèmes de messagerie !
Après les festivals, les smartphones : décidément, la mobilisation des Bretons pour tenter de coloniser la planète n'a plus aucune limite ! De Cancale à Pornic, les habitants de la péninsule se sont très fortement mobilisés pour porter haut dans le ciel les couleurs blanches et noires du « Gwenn ha du », le fameux étendard aux onze mouchetures d'hermine.
Le but de leur action : voter massivement pour qu'un emoji aux couleurs de la Bretagne soit prochainement adopté sur les tablettes, smartphones et autres réseaux sociaux ! Et cette opération a payé : le petit symbole représentant le drapeau Breton est arrivé deuxième lors du World Emoji Day, organisé le 17 juillet dernier par Emojipédia, moteur de recherche des emojis.
L'annonce des vainqueurs a été officiellement faite en début de semaine par le compte twitter @EmojiAwards, créé pour l'occasion. Outre les gagnants du concours des emojis les plus voulus par les internautes, le compte a également publié des données concernant les emojis les plus échangés en fonction des pays, ainsi que des données exclusives concernant les nouveaux emojis les plus appréciés par les utilisateurs.
Et voilà le résultat ! Aussi incroyable que ça puisse paraître, l'emoji « BZH » arrive deuxième de ce classement mondial, talonné de près par l'emoji « cœur avec les mains » et « ??? », qui sont tous les deux ex aequo.
Détrôné par la « yerba maté » sud-américaine !
Le grand vainqueur du concours, le seul symbole avoir réussi à battre la ferveur armoricaine, c'est l'emoji « maté » : une boisson extrêmement populaire dans certaines régions d'Amérique du sud, notamment en Argentine, au Chili, en Uruguay, au Paraguay, en Bolivie, ainsi que dans le sud du Brésil où il est localement appelé chimarrão. Bon, à cinq pays contre un, difficile pour nos Bretons de rivaliser à armes égales, ce qui rend d'autant plus honorable leur position sur la seconde place de ce podium international !
Car ce n'est pas qu'une question de classement : derrière ce concours, qui demandait aux internautes du monde entier de voter pour les idées d'emoji qu'ils souhaitaient le plus voir mis en place, Emojipedia s'est engagé à ce que les emojis gagnants soient effectivement créés... afin d'être ajoutés à la liste toujours grandissante de ces petits symboles qui permettent d'exprimer nos émotions.
Oui, cela veut donc dire que très prochainement, l'emoji « BZH » va faire son apparition !
Un nouveau caprice dévoilé ... (sourire un peu ne nuit à personne) !