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Vieillir ... selon Bernard Pivot !

Publié à 16:28 par yvonne92110 Tags : réflexion vieillir selon bernard pivot
Vieillir  ...  selon Bernard Pivot !

VIEILLIR selon Bernard Pivot

(Extrait de son livre  paru en avril 2011 : "Les mots de ma vie" !)

Vieillir, c'est chiant. J'aurais pu dire : vieillir, c'est désolant, c'est insupportable, c'est douloureux, c'est horrible, c'est déprimant, c'est mortel. Mais j'ai préféré « chiant » parce que c'est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.

Vieillir, c'est chiant parce qu'on ne sait pas quand ça a commencé et l'on sait encore moins quand ça finira.

Non, ce n'est pas vrai qu'on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.

On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi. Même à cinquante ans, c'était encore très bien.

Même à soixante. Si, si, je vous assure, j'étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.

Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps ... mais quand ? j'ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l'âge qu'ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.

J'ai lu dans leurs yeux qu'ils n'auraient plus jamais d'indulgence à mon égard. Qu'ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m'en rendre compte, j'étais entré dans l'apartheid de l'âge. Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage respectueux », Avec mes sentiments très respectueux ». Les salauds !

Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect... Les cons ! Et du «cher Monsieur Pivot» long et solennel comme une citation à l'ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !

Un jour, dans le métro, c'était la première fois, une jeune fille s'est levée pour me donner sa place. J'ai failli la gifler.

Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.

Non, non, pas du tout, a-t- elle répondu, embarrassée.

J'ai pensé que ? » Moi aussitôt : «Vous pensiez que ? --

Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir ... Parce que j'ai les cheveux blancs ... ?

Non, c'est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça été un réflexe, je me suis levée ...--

Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous ... ?

Non, oui, enfin un peu, mais ce n'est pas une question d'âge ... --

Une question de quoi, alors ... ?

Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois ? »

J'ai arrêté de la taquiner, je l'ai remerciée de son geste généreux et l'ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.

Lutter contre le vieillissement c'est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.

Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise,

ni à l'amour, ni à la sexualité, ni au rêve.

Rêver, c'est se souvenir tant qu'à faire, des heures exquises.

C'est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.

C'est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l'utopie.

La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.

J'aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l'adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart, soit, du même, l'andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l'au-delà.

Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.

Avec l'âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.

Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?

Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.

Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. Après nous, le déluge ? Non, Mozart.

La pensée du Jour ... Samedi 19 Janvier 2013 !

Publié à 16:36 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du Jour  ...  Samedi 19 Janvier 2013 !
« Ce n’est pas nécessairement à cause de ce que vous faites que les gens éprouvent pour vous de la sympathie ou de l’antipathie, mais à cause de ce que vous êtes, de ce qui émane de vous et qui s’accorde ou non avec ce qu’ils sont eux-mêmes profondément. Et quelquefois, ce qui est terrible, c’est que si vous faites du bien à quelqu’un qui éprouve instinctivement de l’antipathie pour vous, non seulement vous ne changerez pas ses sentiments à votre égard, mais vous lui deviendrez encore plus insupportable.
Cela vous étonne peut-être, mais c’est ainsi. Si vous êtes instinctivement antipathique à quelqu’un, au lieu de reconnaître votre gentillesse, votre bonté, il vous prêtera des intentions malveillantes, il inventera à vos actes des mobiles suspects et cherchera à vous nuire. Alors, si vous le pouvez, éloignez-vous un peu afin qu’il vous oublie. Jusqu’à maintenant vous n’avez peut-être jamais tellement eu à expérimenter cet aspect de la psychologie humaine, mais sachez qu’il existe et soyez vigilant pour ne pas avoir à en souffrir. Que cela ne vous empêche pas de continuer à faire le bien, mais apprenez à étudier les êtres qui vous entourent. »                                        Omraam Mikhaël Aïvanhov

Attendrissant poème de M. Reynaud ... Le petit Chien !

Publié à 17:00 par yvonne92110 Tags : poèmes merci à son auteure le petit chien
Attendrissant poème de M. Reynaud ... Le petit Chien !

Le petit Chien !

 

Je suis un petit chien, mais j’ai déjà quinze ans.

Si je présente bien, mon âge je le sens.

 Mon cœur est fatigué, j’ai des douleurs partout,

 Ma vue a bien baissé, je n’entends plus du tout.

 

 J’aimais bien la montagne quand j’étais casse cou.

 Le vertige me gagne, je fatigue beaucoup.

Je vais plus doucement et je marche très peu.

Je dors bien plus longtemps, j’ai caché tous mes jeux.

 

Quand une chienne passe, Je redeviens fringant,

 Je fais preuve d’audace, je me sens élégant.

 Mais dès qu’elle est partie, je retrouve mon âge

Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage.

 

 Mes maîtres m’aiment autant que quand j’étais petit.

 Ils me disent souvent que j’ai changé leur vie.

La mienne aura été faite de grandes joies,

 J’aurai été choyé, j’aurai été un roi.

 

Quand il faudra partir, je ne gémirai pas.

 Je voudrais m’endormir, blotti entre leurs bras.

 

(Madeleine Reynaud)

Oui, un peu de neige à Paris ... depuis hier soir !

Publié à 17:25 par yvonne92110 Tags : saisons oui un peu de neige à paris depuis hier soir

Vrai qu'il fait pas bein chaud ... ma bonne Dame !

Publié à 17:31 par yvonne92110 Tags : humour vrai qu il fait pas bein chaud ma donne dame

La pensée du Jour ... Dimanche 20 Janvier 2013 !

Publié à 13:03 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du Jour ... Dimanche 20 Janvier 2013 !
"Chaque jour, vous circulez au milieu d’une quantité d’objets. Et voilà qu’aujourd’hui vous êtes pressé, agité, et en passant vous bousculez une chaise. Ça vous agace, car la voilà maintenant comme un obstacle devant vous, et vous lui donnez un coup de pied. Ce coup lui-même n’a peut-être pas grande importance : ce qui est important, c’est ce qui se passe en vous. Bousculer une chaise en passant révèle qu’on ne sait pas mesurer ses gestes ; et lui donner en plus un coup de pied parce qu’on a été ralenti dans sa marche, est non seulement un manque d’intelligence, puisque ça ne sert à rien, mais aussi un manque d’amour, puisqu’on s’est laissé aller à un mouvement de colère.
Les objets ne sont peut-être pas sensibles à vos réactions. Mais si vous les maniez avec attention, avec douceur, c’est vous qui vous sentez dans de bonnes dispositions, vous harmonisez les courants en vous et autour de vous. Si vous ne savez pas comment agir avec des objets innocents, que ferez-vous alors avec les humains quand ils viendront vous importuner ou qu’ils vous auront fait du mal ?"   Omraam Mikhaël Aïvanhov

Guy de Maupassant ... Nuit de Neige (poème) !

Publié à 13:12 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes g de Maupassant nuit de neige
Guy de Maupassant  ...  Nuit de Neige (poème)  !

                                      Nuit de Neige ... 

 La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.

 

 Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes. L’hiver s’est abattu sur toute floraison ; Des arbres dépouillés dressent à l’horizon Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

 

 La lune est large et pâle et semble se hâter. On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère. De son morne regard elle parcourt la terre, Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.

 

 Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde, Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ; Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement, Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

 

 Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

 

 Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; De leur oeil inquiet ils regardent la neige, Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.

 

(Guy de Maupassant)

Paris sous la Neige ... Quelques vues pour vous !

Publié à 14:39 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments paris sous la neige pour vous
Paris sous la Neige  ...  Quelques vues pour vous !

PARIS sous la Neige : (ci-dessus la Tour Eiffel) !

 
Le Bois de Boulogne :
 
   
Le Louvre vu des Tuileries :
 
 
 La fontaine des Innocents :
 
   Le Jardin du Luxembourg :
 
Les Buttes Chaumont (1) :
 
 La Gare de Lyon :
 
Place de la Nation (oeuvre deDalou) :
Le Carroussel du Louvre :  
  Bercy. salle Omnisport :  
Tempête de neige au Louvre :  
  
La Butte Montmartre :  
Le Jardin des Tuileries :  
Les Buttes Chaumont (2) :
  
 

La SORBONNE ... Un Haut-Lieu de la Capitale !

Publié à 15:16 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments la sorbonne haut lieu capitale
La SORBONNE  ...   Un Haut-Lieu de la Capitale !

(photo ci-dessus : La Bibliothèque de La Sorbonne à Paris)

Robert de Sorbon : le Fondateur de la Sorbonne !!!                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Robert de Sorbon est né le 9 Octobre 1201 à Sorbon dans les Ardennes (région Champagne-Ardennes) et mort à Paris le 15 Aout 1274.

C'est un théologien français, qui est le fondateur du "Collège de la Sorbonne".

Dans le but d'aplanir aux écoliers pauvres les difficultés qu'il avait rencontrés lors de ses études, il établit une société d'écclésiastiques qui, vivant en commun, n'avaient pour s'occuper qu'à donner des leçons gratuites.

Ses amis qui contribuèrent à la nouvelle fondation furent Guillaume le Bray, archidiacre de Reims, Robert de Douai, chanoine et médecin de la reine, Geoffroi de Bar,plus tard, cardinal et guillaume de Chartres, l'un des aumoniers du roi.

Par un acte du 21 Octobre 1250, la reine Blanche, régente pendant la 7ème croisade, céda à Robert de Sorbon pour les écoliers pauvres, une maison sise dans la rue Coupe-Gueule, devant le palais des Thermes.

C'est ainsi que fut fondé à Paris, en 1253, le Collège de Sorbonnequi devint, par la suite LA SORBONNE . La fondation fut confirmée par le roi en 1257.

Outre la théologie, Robert de Sorbon voulut qu'il y ait toujours dans son collège des docteurs s'appliquant particulièrement à la morale et à la résolution des cas de concience; pour cela aussi  La Sorbonne fut consultée de toutes les parties de l'Europe ...

On a de Robert de Sorbon des ouvrages en latin au style plat, voire grossier qui montrent plus de piété que d'érudition.

Les principaux sont  : De conscientia, Super confessione, Iter Paradisi.

- La bibliothèque de Droit, Lettres, Sciences économiques et sociales de l'Université de Reims, qui a été inaugurée en 2006, porte également le nom de Robert de Sorbon.

 

Bibliothèque Robert de Sorbon à l'université de Reims

Poème : hélas encore une triste réalité ... aujourd'hui !

Publié à 15:45 par yvonne92110 Tags : poème merci à son auteure hélas toujours d actualité
Poème : hélas encore une triste réalité ... aujourd'hui !
Misère
----
Il est assis par terre
Et il te tend la main
Pour lui c’est la misère,
La peur du lendemain.
.
Il dit "j'ai faim" tu passes
Tu n’as pas regardé
Sa maigreur ni sa crasse.
Tu t’éloignes pressé.
.
Dans la grande surface
Honteux tu es entré
Mais la honte s’efface
Tu l’as vite oublié.
.
Dans ton caddy s’entasse
Un tas de provisions
Avec ardeur tu chasses
Offres et promotions.
.
Dieu que la vie est chère
Diras-tu mécontent
À la jeune caissière
Qui travaille à mi-temps
.
Avec un beau sourire
Elle dira : c'est vrai !
En te cachant le pire
A quoi ça servirait !
.
Son contrat se termine
Demain, plus de travail
L’avenir lui dessine
Un noir épouvantail.
.
Elle a vu la misère
Dans les yeux du mendiant
Et si son cœur se serre
C’est pour ce qui l’attend
.
Le chômage, les dettes
Peut-être l’expulsion,
Le regard qui rejette
Et nulle compassion
 .
Sais-tu ce qu'elle pense ?
C’est que demain sans doute
Avec indifférence
Tu croiseras sa route.
.
Toujours assis part terre
Las de quêter en vain
Dehors le pauvre hère
Laisse tomber sa main


--
(auteure Anne-Marie LEJEUNE)