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Le Carnaval de Venise ... remonte au moyen-âge !

Publié à 16:28 par yvonne92110 Tags : évènements ponctuels carnaval de venise moyen age
Le Carnaval de Venise  ...  remonte au moyen-âge !

LE CARNAVAL DE VENISE ... 

 

 Le carnaval de Venise est une fête traditionnelle italienne remontant au Moyen Âge. Apparu vers le Xe siècle, il a été institutionnalisé et « codifié » durant la Renaissance.

 Après une période d'éclipse au cours du XXe siècle, il est réapparu, sous sa forme actuelle, en 1979.

 

Le carnaval de Venise se déroule tous les ans vers la fin du mois de février ou le début du mois de mars, au cours de la période de douze jours précédant le Mardi Gras.

Il attire des foules considérables venues du monde entier pour participer à la fête, en se déguisant et, devenu une attraction touristique planètaire, il a quelque peu perdu son authenticité et son caractère vénitien.

 En 1004 le carnaval était déjà mentionné dans une charte du doge Vital Faliero de Doni, et en 1269 le Sénat prescrivait qu'on eût à considérer la veille du Carême comme un jour de fête (Mardi Gras).

 On pouvait alors porter le masque, grâce auquel on retrouvera plus tard une ombre de l'égalité perdue au cours du temps, quand, sous des vêtements d'emprunt, les nobles fraternisaient encore avec le peuple.

 

 Inspiré par la Commedia dell'arte, le déguisement traditionnel est la bauta, comprenant le tabarro, la larva et le tricorne, ou encore le masque d'Arlequin (son habit est coloré à losanges : au XVIe siècle, loin d'être élégant, l'habit était simplement rapiécé pour figurer les haillons d'un mendiant).

Autrefois, ces déguisements permettaient à tous les Vénitiens, quelle que soit leur condition sociale, de participer à la fête.

 

 Mais suite à des problèmes, le carnaval fut interdit par Napoléon Bonaparte durant plusieurs années et ensuite autorisé à nouveau par les Autrichiens. Réapparu à la fin des années 1970, c'est aujourd'hui l'un des carnavals les plus connus au monde.

Le Carnaval de Venise ... Merci à l'auteur du poème !

Publié à 16:48 par yvonne92110 Tags : poème carnaval de venise auteur inconnu merci
Le Carnaval de Venise  ...  Merci à l'auteur du poème !
Carnaval de Venise 


Beau masque, qui es-tu ?
Sous l'or et le brocart de tes charmants atours
Dans tes fines dentelles et le mystère autour
Beau masque, où vas-tu ?

Dans Venise la belle se profilent des ombres
Bruissent les étoffes jusque dans la pénombre
De si jolies marquises ouvrent des éventails
Glissent des mains gantées sur les robes de faille

Près du Palais des Doges, portant tricorne noir
L'inquiétant chevalier s'avance dans le soir
Bijoux étincelants, secrètes Vénitiennes
Mêlent le bleu d'azur et la terre de Sienne

Et voici Arlequin qui cherche Colombine
Pose un Pierrot lunaire que des peintres dessinent
Les gondoles serpentent au long du Grand Canal
Sur le pont Rialto une silhouette pâle

Beau masque, rêves-tu ?
Le chant des violons rythme le menuet
S'envolent les accords vers les sombres nuées
Beau masque, pleures-tu ?

(auteur inconnu)

Conversation à l' Elysée ... Epigramme d'humour !

Publié à 17:02 par yvonne92110 Tags : humour conversation à l elysée épigramme
Conversation à l' Elysée  ...  Epigramme d'humour !

 

  Un vrai petit bijou ! Bravo à l'auteur anonyme de cette épigramme !

De temps en temps, il est bon de flirter avec le français du Grand Siècle !

 

Conversation enregistrée par le majordome de l’Élysée :

 

 François le Bon, Président Monarque 
 Ségolène, Madame Royale, duchesse de Poitou-Charentes 
 Valérie de Twitweiler, Madame de Maintenant

  

 

François 
Je vous ai fait venir toutes deux jusqu’à moi, 
Pour mieux vous faire part de mon réel émoi. 
Je me dois désormais de gouverner la France, et je veux me vouer à cette gouvernance sans me voir infliger chaque jour le souci de devoir arbitrer vos permanents conflits ! 
Je veux que dès demain l’ensemble de la presse 
S’abstienne de parler du cas de mes maîtresses. 
Le trône que j’occupe exige que je sois 
Digne de la posture que l’on attend de moi. 
 
Royale 
Vous êtes mal parti  !  Lié à cette garce, 
Vous resterez toujours le dindon de la farce !  
Maintenant 
Holà, Madame, holà ! Chantez un ton plus bas. 
Ce sont là des propos que je n’accepte pas ! 
Vous vous trompez de genre, car en cette occasion, 
L’on doit parler de dinde et non pas de dindon.  
Royale 
Nous sommes bien d’accord ! Je vois avec bonheur 
Que vous vous estimez à votre vraie valeur ! 
Maintenant 
Votre appréciation quant à elle m’enchante : 
Vous êtes trop aimable en vous voulant méchante ; 
Une injure de vous frise le compliment.  
Royale 
Pour vous complimenter encore un bref moment : 
L’homme doit sa fortune à sa première femme ; 
Enivré de gloriole, il en devient bigame, 
Et il doit la suivante à sa bonne fortune  
  
Maintenant 
Vos considérations ne sont guère opportunes : 
Ce n’est qu’avec François que vous avez trouvé 
L’éphémère moyen de vaguement briller. 
Puisant dans son esprit, sa force et sa raison 
Les moyens de servir vos propres ambitions, 
Vous avez tout gâché en y mettant du vôtre, exaspérant les uns, faisant rire les autres ! 
Et depuis vous avez, sans perdre vos grands airs, 
Entassé joliment défaites et revers. 
Vous vous croyiez précieuse et fûtes ridicule, 
Vous espériez compter et ne fûtes que nulle !  
Royale 
Permettez-moi, Madame, avec tout le respect
Que l’on se doit d’avoir pour qui est au sommet, 
De très modestement vous dire sans ambages  que le peu que j’obtins, je l’obtins sans « jambage » ! 
Tout ce que j’ai perdu, je peux le regagner Sans devoir pour autant coucher à l’Élysée. 
Je ne dois qu’à moi seule les postes que je brigue, 
Perdant ainsi sans honte et gagnant sans intrigue. 
Quant à vous, l’on pourrait demain vous replonger 
Dans l’aimable néant dont vous fûtes tirée. 
Adieu, Madame, adieu, et n’étant point méchante, 
Je vous laisse rêver « hollandemains » qui chantent ! 
 
François 
Eh bien voilà, voilà ; je crois que nous avons 
Fait assez bien le tour de la situation ! 
Il est bon que parfois des vérités se disent, 
Qu’on puisse se parler avec pleine franchise. 
De la paix retrouvée, ces mots sont le prélude, 
Et tout va donc rentrer dans la normalitude. 
(à Royale) 
Embrasse les enfants, dis-leur qu’à eux je pense.  
(à Maintenant) 
Toi, viens faire l’amour avec la Présidence
Maintenant pour rigoler un peu sans penser «hollandemain »!                     (texte trouvé sur le Net)       

Douce nuit à chacun(e) ... faites de beaux rêves !

Publié à 21:27 par yvonne92110 Tags : douce nuit à vous faites de beaux reves

Bon week-end mes ami(e)s ... avec Betty Boop !

Publié à 21:29 par yvonne92110 Tags : bon week end mes amis avec betty boop

Bon dimanche mes Ami(e)s ... Repos et détente !

Publié à 15:44 par yvonne92110 Tags : bonne journée bon dimanche les amis pas de stress

La pensée du ... Lundi 18 Février 2013 !

Publié à 13:35 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du  ...  Lundi 18  Février 2013  !
« Un Maître instruit ses disciples par la parole, mais il les instruit aussi dans le silence. Lorsqu’il leur parle, il va vers eux, et lorsqu’il garde le silence, c’est aux disciples d’aller vers lui pour essayer de saisir ses pensées, pour le rejoindre dans les régions éloignées où son âme vit et respire. Voilà encore un exercice à faire : chercher à rejoindre son Maître, partir à sa suite dans l’espace, monter, s’élever jusqu’au plan mental supérieur, le plan causal.
Le silence d’un Maître peut instruire le disciple autant que ses paroles. Là, c’est son âme qui reçoit : elle voit, elle sent, elle enregistre les pensées du Maître. S’il ne sait pas tout de suite ce que son âme a capté, c’est qu’il faut du temps pour que son cerveau s’en imprègne. Mais un jour, plus tard, il lui viendra des pensées, il fera des découvertes, il aura des réminiscences dont il ne connaîtra même pas l’origine. Ce sera tout simplement quelque chose qu’il avait, il y a longtemps, capté auprès de son Maître. »                        Omraam Mikhaël Aïvanhov

Légendes de Bretagne ... Le cheval enchanté !

Publié à 13:41 par yvonne92110 Tags : Légendes de bretagne le cheval enchanté
Légendes de Bretagne  ...  Le cheval enchanté !

Le Cheval Enchanté ...  Légendes de Bretagne ! 

Il était une fois un jeune homme du nom de Tag, qui possédait douze juments qui donnèrent naissance ensemble à onze jolies pouliches alezanes et un affreux gringalet bleu. Mais c’était un poulain qui parlait et Tag subjugé, suivit toutes ses instructions. Bien nourri, le poulain devint un cheval gigantesque. Il était doté de pouvoirs magiques et conseilla à son maître de gagner sur son dos la cour du roi. Les chevaux du roi étaient atteints d’une maladie inconnue et le cheval Tag les guérit par magie. Tag fut nommé chevalier et grand chambellan. Mais une dame de la cour qui le détestait suggéra au roi de l’envoyer lui conquérir le Cheval du Monde.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Aidé par son cheval enchanté, Tag y parvint, mais son ennemie suggéra alors de l’envoyer guérir la Princesse aux cheveux d’or. Il y parvint encore, grâce  l’aide de la reine des oies sauvages, qu’il avait sauvé de la faim. Le roi voulut épouser la princesse sur le champ, mais elle s’y refusa, parce qu’elle ne pouvait se marier sans avoir avec elle les biens contenus dans le coffre de son château. Tag fut encore chargé ‘aller les chercher et y parvint grâce au roi des poissons à qui il avait rendu service.  Alors le roi qui voulait retrouver sa jeunesse lui ordonna de se mettre en quête de l’Eau de Mort et de l’Eau de Vie, car il était possible de rajeunir si l’on était successivement tué puis ressuscité. Tag réussit cette mission moyennant le sacrifice de son cheval, mais dès qu’il eut en sa possession les deux eaux, il arrosa l’animal avec celle de vie et le ressuscita. Quand à la Princesse aux Cheveux d’or, elle versa sur le roi de l’eau de mort…mais se garda bien de l’arroser ensuite d’eau de Vie et put ainsi épouser Tag qu’elle aimait depuis le premier jour.                                 

Légendes de Bretagne ... Bag Noz, le bâteau de la nuit !

Publié à 13:58 par yvonne92110 Tags : légendes de bretagne bag noz le bateau de la nuit
Légendes de Bretagne ... Bag Noz, le bâteau de la nuit !

La Légende du BATEAU DE LA NUIT ...

 

Le Bateau de la Nuit, nommé Bag Noz en breton, a pour capitaine l'Ankou de la mer. L'Ankou est celui qui vient chercher le prochain vivant pour l'emmener faire un voyage sans retour dans l'Autre Monde. Il ne reste capitaine qu'une année, son âme tourmentée et ensorcelée tentant désespérément d'attirer les hommes vers lui. Enfin, son devoir de multiples fois accompli, il peut aller se reposer en laissant sa place d'Ankou de la mer au premier noyé de l'année.

Les marins naviguent et font leur métier, mais dans le Raz de Sein, le Bag Noz surgit n'importe quand devant eux. Ils sont nombreux à l'avoir vu. Le bateau semble aller à la dérive et être à l'abandon, toutes ses voiles dehors. Si les marins veulent l'aborder, le Bag Noz s'éloigne doucement, incitant les hommes à le suivre imperceptiblement toujours plus près des écueils acérés. Ceux qui l'ont suivi sont tous morts.

Mais souvent, les pêcheurs informés comprennent qu'ils sont face au Bateau de la Nuit et ne le suivent pas. Un signe de croix est alors le plus sûr moyen de se protéger et d'éloigner la mort qui rode devant eux. Pourtant, ils savent tous que le Bag Noz est annonciateur d'un décès prochain. Il ne leur reste plus qu'à rentrer au port et à prier pour la paix des âmes des trépassés. Ils savent que sous peu la mort va encore frapper. Doué da bardono an Anaon ! (Dieu pardonne aux défunts).

Lorsque la tempête se donne en spectacle et que les embruns fouettent les visages, que les granits se transforment en de gigantesques remparts ruisselants et que le Bag Noz pousse des cris lugubres et froids, l'Ankou aime alors quitter sa barque et venir s'asseoir sur un rocher de l'Ile de Sein. Il aime regarder la mer se déchaîner et s'ouvrir en symphonie sur les écueils. Il sait bien que son travail sera rude à la suite de ce spectacle. Il va falloir prendre tous les morts et leur faire traverser la mer, loin, très loin, vers l'Autre Monde où reposent les âmes.

Mise en garde conte l'oubli :

L'Ankou circule la nuit, debout sur un chariot dont les essieux grincent. Ce funèbre convoi est le "karrig an Ankou", char de l'Ankou (ou "Karriguel an Ankou" littéralement brouette de l'Ankou), remplacé par le "Bag nez", bateau de nuit dans les régions du littoral. Entendre grincer les roues du "Karrig an Ankou" ou croiser en chemin le sinistre attelage sont des signes annonciateurs de la mort d'un proche.

L'odeur de bougie, le chant du coq la nuit, les bruits de clochettes sont également interprétés comme des signes annonciateurs de mort. L'implacable Ankou nous met en garde contre l'oubli de notre fin dernière. Ces sentences sont gravées sur les murs d'ossuaires ou églises :

« Je vous tue tous" (Brasparts et La Roche-Maurice)

"Souviens-toi homme que tu es poussière" (La Roche-Maurice)

ou encore, inscrit en breton, "Maro han barn ifern ien, Pa ho soign den e tle crena" "La mort, le jugement, l'enfer froid, Quand l'homme y songe, il doit trembler .....

Légendes de Bretagne ... Le Menhir de Kerloaz !

Publié à 14:16 par yvonne92110 Tags : légendes de bretagne le menhir de kerloaz
Légendes de Bretagne  ...  Le Menhir de Kerloaz !

Rites et légendes du menhir de Kerloaz !

Les pratiques et les légendes qui se rapportent aux mégalithes en général et aux menhirs en particulier sont nombreuses et variées. Il eut été surprenant que le menhir de Kerloas échappât à la règle.

En effet, dès 1832, un rite nous est rapporté par le Chevalier de Fréminville : "... il (le menhir) présente une particularité que nous n'avons jamais observée sur d'autres : sur deux de ses faces opposées, on voit à la hauteur de trois pieds environ une bosse ronde taillée de main d'homme et ayant à peu près un pied de diamètre. Objets de superstitions dont le but et l'origine se perdent dans la nuit des temps, ces bosses reçoivent encore une sorte de culte bizarre de la part des paysans des environs. Les nouveaux mariés se rendent dévotement au pied de ce Men-hir, et après s'être en partie dépouillés de leurs vêtements, la femme d'un côté, l'époux de l'autre se frottent le ventre nu contre une de ses bosses. L'homme prétend par cette cérémonie ridicule, obtenir des enfants mâles plutôt que des filles, et la femme prétend que par là elle aura l'avantage d'être la maîtresse absolue du logis et de gouverner entièrement son mari."

Selon Sébillot, les jeunes mariés se rendaient au pied du menhir la seconde nuit après leur mariage. La femme embrassait le menhir d'un côté, l'homme de l'autre et si leurs lèvres se trouvaient en face les unes des autres, le ménage était assuré d'avoir des garçons.

En 1911, Guénin nous rapporte que le mégalithe était réputé avoir un pouvoir de guérison et que des personnes venaient se frotter les parties malades aux bosses du menhir. Ce même auteur nous apprend aussi que c'est une "bonne femme" qui l'apporta dans son tablier. D'autres personnes l'attribuent à Gargantua, qui le mit en place, ainsi que tous les blocs de granite plus ou moins gênants qui parsèment les champs de Plouarzel, pour se venger des habitants de cette paroisse car ils ne lui avaient donné à manger que de la bouillie. Par contre, il ne laissa aucune pierre sur le territoire de Plouzané où il fut bien accueilli. Guénin nous apprend encore que, selon un gardien de vaches, le menhir garde un trésor et qu'il pousse tout seul ...

Le texte suivant a été initié par Michel Le Goffic, archéologue départemental et est intégré à l'exposition qui se déroule chaque été à la chapelle Saint-Yves de Plouarzel.

 

Le plus grand menhir de France avec 9,50 mètres ...     le menhir de kerloas, 

 devait mesurer à l'origine 12 m !

 

Mais il y a 200 ans, il fut décapité par la foudre.