Chaque printemps, l’Hôtel de glace de Québec, au Canada, est démoli pour renaître l’hiver suivant : 500 tonnes de glace et 15 000 de neige, une trentaine d’artistes et plus de cinq semaines sont nécessaires à sa construction. Il est ouvert de début janvier à fin mars, et l’on peut le visiter, y dormir et même s’y marier !

 

Face à la demande, l’hôtel s’est agrandi : 44 chambres cette année contre 36 auparavant. De quoi accueillir plus d’une centaine de clients chaque soir. Quinze chambres sont des suites, toutes décorées différemment. Le prix à payer pour y passer la nuit ? Supporter une température de -5° et dépenser plus de 199 $ canadiens par personne ...                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            (source : "Ouest France")

Quand sonnent les cloches de l'église de Santa Maria Assunta à San Donaci dans la région de Brindisi (sud), à 17H00 chaque après-midi, le berger allemand âgé de 12 ans quitte la place du village où sont assis les anciens et s'installe devant l'autel.

Sauf quand il pleut trop, Tommy n'a pas manqué un jour à l'église depuis qu'il a accompagné le cercueil de sa chère maîtresse, au moment de son enterrement. Le curé, Don Donato Panna, accepte désormais la présence tranquille du quadrupède somnolant près de l'autel, raconte le quotidien Il Messaggero.

Sa maîtresse portait le nom en dialecte local de "Maria tu lu campu"  -"Marie des champs"-. Elle vivait seule, avec quatre chiens errants qu'elle avait recueillis, dont Tommy, et les entourait de son affection. Tommy était son préféré et la suivait toute la journée quand elle sortait de chez elle et allait faire les courses, l'attendant à la sortie de l'épicerie ou de la boulangerie.

Avant sa mort, Tommy restait toujours patiemment à la porte de l'église. Mais depuis que Don Panna lui avait permis d'y entrer le jour des obsèques, Tommy assiste aux mariages, aux baptêmes et aux enterrements.

Dès qu'il entend les cloches et qu'il voit un cortège funèbre entrer dans l'église, il suit le cercueil comme s'il espérait revoir celle qui l'avait sortie de sa condition précaire de chien errant ... Il a été désormais adopté par tout le village, rapportent les médias italiens.

Cinq femmes, des touristes qui voulaient se rendre à Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, sont arrivées dimanche dans un village du Finistère abritant une chapelle Notre-Dame-de-Lourdes… à 800 km de leur destination !

 

La propriétaire du bar-tabac Ti Manée, à Leuhan, dans le Finistère, n’en revient toujours pas : dimanche, une voiture occupée par cinq femmes, de type asiatique, d’une trentaine d’années, se gare devant l’établissement. Quatre en sortent pour demander, en anglais, où se trouve Lourdes.

 

Un GPS farceur :

 

« Elles sont venues me voir avec un papier de réservation dans une résidence à Lourdes… mais quand j’ai vu Lourdes 65100, j’ai dit : « Ce n’est pas tout à fait le même endroit ! » », a indiqué la propriétaire, Manée Peron.

 

Arrivées la veille à Roissy en avion, en provenance de Los Angeles, ces touristes avaient loué une voiture et programmé sur le GPS leur destination : Lourdes.

 

« Elles ont dû taper Lourdes dans le GPS sans mettre le département, et puis voilà, elles ont débarqué à Leuhan … »

 

Il est vrai que la petite commune de Leuhan (700 habitants) abrite une charmante chapelle, érigée à la fin du XIXe siècle, au lieu-dit Lourdes, là où se trouvait un oratoire abritant une statue de Notre-Dame-de-Lourdes. Mais Leuhan n’a pas l’habitude d’attirer des pèlerins d’Outre-Atlantique !

 

800 km de route en plus à faire :

 

Après quelques explications laborieuses en anglais, ces braves touristes, fort marries, ont dû se rendre à l’évidence et … reprogrammer leur GPS pour Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées.

 

« Elles étaient complètement désorientées et carrément désespérées, du coup je n’ai pas poussé le bouchon à leur faire visiter la chapelle de Lourdes, franchement ça aurait été mal venu », a ajouté la propriétaire du bar-tabac. « Je leur ai montré une carte et leur ai indiqué la route pour les Pyrénées … »

 

Les cinq touristes sont donc reparties, sans même prendre le temps d’un petit café, pour Lourdes, à quelque 800 kilomètres de là !

Une jeune femme de 20 ans, déjà mère de trois enfants, a donné naissance à six bébés dans le Michoacan, un Etat de l’ouest du Mexique.

 

« Les enfants sont nés jeudi et ils sont en parfaite santé », tout comme leur mère Salud Romero, a annoncé Patricia Mora, la femme du gouverneur du Michoacan et la présidente honoraire du Système pour le Développement intégral e la Famille (DIF) de la localité.

 

Avant d’accoucher, « la jeune femme est venue au DIF pour solliciter une aide pour les couches et le lait, et elle nous a alors confié qu’elle serait mère de six bébés », quatre filles et deux garçons.

 

La présidente de cette institution a lancé des appels à des associations et institutions privées pour solliciter des dons de berceaux, de vêtements et d’autres articles pour bébés.

 

Salud Romero, femme au foyer, et son époux Yoshio Salinas, maçon, sont déjà parents de deux petites filles et d’un garçon.

Un homme de 94 ans s’est échappé d’un hôpital de Munich pour fêter comme bon lui semble son anniversaire dans l’une des plus grandes brasseries de la capitale allemande de la bière.

 

Le retraité se trouvait mercredi dans une station de métro, quand il a piqué la curiosité d’un passant, intrigué par une aiguille d’intraveineuse qui dépassait du bras gauche du nonagénaire.

 

Ce dernier a remis le vieil homme légèrement confus aux autorités des transports en commun qui ont appelé la police.

 

« Après plusieurs coups de téléphone, il s’est avéré que le retraité avait fugué d’une clinique munichoise », a indiqué la police dans un communiqué. « Il a lui-même reconnu qu’il se rendait dans une grande brasserie pour fêter son anniversaire », a-t-on ajouté.

 

Selon la police, il a été raccompagné à sa clinique où les médecins l’ont finalement autorisé … à boire une grande « mousse » de son choix.  

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Christine Guémard, à gauche, avec Vincent et Annie Gabillard, boulangers à Sainte-Gemmes-d’Andigné.

Parmi un million de tickets mis en jeu dans 250 boulangeries de six départements, celui que Christine Guémard a rempli, à la boulangerie de Sainte-Gemmes-d’Andigné, a été tiré au sort !

 

Christine Guémard est une cliente régulière de la boulangerie tenue par Annie et Vincent Gabillard, à Sainte-Gemmes-d’Andigné (Maine-et-Loire).

 

Un ticket avec le pain !

 

Un jour de novembre, elle fait comme d’hab’. Elle vient acheter son pain et quelques viennoiseries. Et puis, elle prend un ticket de jeu concours.

 

« Le Jeu du boulanger, mis en place par la fédération départementale de la boulangerie, précise Vincent Gabillard. Six départements étaient concernés : le Maine-et-Loire, la Loire-Atlantique, la Vendée, la Sarthe, la Mayenne et le Morbihan. »

 

« On en avait bien besoin » !

 

250 commerces ont participé à l’opération, un million de tickets ont été édités pour l’occasion. Et Christine a mis le sien dans l’urne, après y avoir mentionné ses coordonnées. A gagner : une voiture.

Le 3 décembre, à la fédération départementale de la boulangerie, à Angers, le coupon de Christine Guémard est tiré au sort. Parmi 999 999 autres …

 

Aujourd’hui, elle est propriétaire d’une petite Volkswagen toute mignonne. « On en avait bien besoin », sourit-elle.

 Un charcutier d'Audierne (finistère) parodie … Arnaud Montebourg !

Une marinière sur le dos et un mixer dans les mains. Le clin d’œil à Arnaud Montebourg est totalement assumé par La charcuterie gourmande, l’association qui regroupe 17 charcutiers traiteurs fabricants du Finistère.

 

« Un clin d’œil qui fasse rire » :

À l’occasion de leur campagne de pub annuelle pour les menus de fêtes, l’un des membres a enfilé la marinière Armor-lux et a posé avec le mixer Moulinex. Il ne manque que la montre pour que la parodie renvoyant à la Une duParisien Magazine  soit parfaite.

 

« C’est volontaire. L’idée est de montrer qu’il n’y a pas que les industriels qui fabriquent français. Nous aussi, les artisans, produisons des produits français,fait remarquer Claude Ravalec, président de l’association basée à Bénodet. En cette période où il y a beaucoup de négatif en terme économique, on voulait faire un clin d’œil qui fasse sourire. »

 

Charcutier mannequin :

C’est donc Thomas Cariou, charcutier traiteur d’Audierne, membre de l’association qui a été désigné pour poser. « On voulait mettre la jeunesse en avant », explique Claude Ravalec. « J’ai tout de suite dit oui. On voulait créer le buzz. La photo est sur notre site Internet et dans les différents points de vente », signale Thomas Cariou qui a tout de suite été reconnu par ses clients et ses fournisseurs.

 

Quant à l’idée de se lancer dans une carrière de mannequin, il semble dans un premier temps catégorique : « Non, je suis charcutier… » Mais après quelques secondes de réflexion, il n’est plus totalement fermé à l’idée. « Mais bon, si on me propose un contrat intéressant … »

Hong Kong et Singapour se préparent à une véritable frénésie nuptiale le 12/12/12, considéré par les oracles chinois du feng shui  comme un jour porte-bonheur.

 

Un jour "porte-bonheur" ... 

Pas moins de 696 demandes de mariages ont été déposées cette année à Hong Kong pour le 12 décembre, symbole d’« amour », soit près de quatre fois la moyenne quotidienne de 177 enregistrées en octobre, a indiqué à un porte-parole de l’administration du territoire chinois.