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RECHERCHE et TECHNOLOGIE

Plus de pile : voici la batterie à chaleur corporelle !

Publié à 13:55 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie batterie à chaleur corporelle
Plus de pile : voici la batterie à chaleur corporelle !

La société franco-italienne STMicroelectronics a profité du CES pour nous présenter une nouvelle génération de batterie, conçue pour tirer son énergie de la chaleur corporelle. Un accumulateur capable d’alimenter un objet connecté, comme un capteur d’activité ou une smartwatch, sans besoin de recharger. Étonnant.

 
Oubliez toutes les polémiques concernant l’autonomie risible de la quasi-majorité des objets connectés portables et autres capteurs d’activité divers. C’est sur l’espace de STMicroelectronics au CES de Las Vegas que nous avons rencontré le futur probable de l’énergie pour produits portables.
Il s’agit en effet d’une batterie tirant son énergie… de la chaleur corporelle. Il suffit donc de porter une montre ou un accessoire en contact avec la peau pour que le corps humain alimente l’objet. Une technologie fondée sur le système de récolte d’énergie TEGWear de la société Perpetua couplé à une batterie EnFilm à couche mince de chez STMicroelectronics.
 
Ce couple permet d’alimenter en énergie un bracelet à capteurs d’activité (photo ci-dessus). À l’intérieur, en plus de la fameuse batterie à chaleur corporelle, on trouve une puce mobile ARM Cortex-M3 (STM32L), un accéléromètre à trois axes, des capteurs de pression, d’humidité et de température, un magnétomètre et un module Bluetooth, tous conçus par STMicroelectronics.Et si tout cela a déjà l’air extraordinaire, sachez que la technologie thermoélectrique va encore plus loin que cette première batterie puisque Perpetua teste un modèle d’accumulateur grand comme une pièce de 2 centimes d’euro et ultra fin.  
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Chez STMicroelectronics, on se prend ainsi à imaginer le futur pas si lointain des montres connectées, équipées de micro capteurs et surtout de ces batteries quasi autonomes, ultra plates et pliables, comme son écran tactile.
 
En résulte une montre connectée, épaisse de seulement 2 ou 3 mm, alimentée par la chaleur de notre corps. Bien entendu, ce n’est pas pour cette année et la montre en question n’est qu’un simple exercice de style, mais au regard des avancements technologiques (puissance, miniaturisation) présentés par STMicroelectronics en matière de capteurs d’activités et de ressources énergétiques, le concept semble parfaitement atteignable d’ici à trois ans.
 

C’est en tout cas l’une des (impressionnantes) pistes suivies par la firme franco-italienne dans le développement des objets connectés. Déjà bien présente, grâce à ses capteurs, dans les produits actuels (Nike FuelBand, produits FitBit, Up de JawBone, fourchette connectée HAPIfork, montre Pebble), elle investit et se rapproche de plusieurs centaines d’acteurs de ce marché en pleine expansion. De quoi avoir plus d’un pied dans un secteur qui pèsera bientôt des dizaines de milliards de dollars.

(Source : Daily Geek Show)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       

Des sismologues creusent la croûte terrestre au Japon !

Publié à 13:23 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie croute terrestre sismologues
Des sismologues creusent la croûte terrestre au Japon !

Des sismologues creusent la croûte terrestre au Japon !       

Une équipe de sismologues a entamé vendredi une nouvelle mission de quatre mois pour creuser la croûte terrestre au large du Japon, afin de déterminer l’origine des tremblements de terre. Ces scientifiques ont appareillé à bord du Chikyu (le "Terre"), un navire de quelque 57.000 tonnes équipé d’une tour de forage de 121 mètres de haut capable de creuser jusqu’à 7.000 mètres sous le fond de la mer. 

 

Parti du port de Shimizu (centre du Japon), ce bateau va les emmener à 80 km de la côte où l’équipe va reprendre un travail de forage entamé en 2007 et conduit régulièrement depuis sous l’océan Pacifique. Les chercheurs vont creuser vers la faille Nankai ("la faille de la mer du sud"), là où la plaque de la mer des Philippines glisse sous la plaque eurasienne.

 

L’intense activité géologique de cette zone pourrait entraîner à plus ou moins long terme un séisme potentiellement dévastateur, beaucoup plus puissant que celui de magnitude 9 du 11 mars 2011 intervenu à un millier de kilomètres au nord-est de cette région et qui avait entraîné un tsunami géant. Le gouvernement japonais a dévoilé l’an passé un scénario catastrophe, selon lequel de méga-secousses au niveau de la faille Nankai doublées d’un tsunami pourrait tuer plus de 320.000 personnes au Japon.

 

C’est pour en savoir un peu plus sur les facteurs déclencheurs de ces mouvements que les scientifiques veulent creuser jusqu’à 3.600 mètres sous le fond de l’océan lors de cette mission. Ce travail doit préparer une nouvelle mission de forage l’an prochain au même endroit, au cours de laquelle ils espèrent sonder jusqu’à 5.200 mètres, là où les plaques se frottent.

 

"Ce serait la première fois qu’un forage atteindrait directement une zone sismique, là où une énergie considérable peut être générée, provoquant des mouvements de la croûte terrestre le long des failles en entraînant des tsunami", a expliqué Tamano Omata, chercheur à l’Agence japonaise des sciences et technologies marines et terrestres.

 

Les scientifiques veulent placer des capteurs dans la croûte terrestre, qui seront reliés à un système d’analyse situé sur la terre ferme. "Nous voulons pouvoir étudier comment la croûte terrestre bouge dans les instants qui précèdent les tremblements de terre", de façon à mieux prévoir de futurs séismes, a ajouté M. Omata. Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, le Japon subit environ 20% des séismes les plus puissants enregistrés chaque année sur la planète.

 

(Source : AFP)

Unique en France ... un Robot lycéen !

Publié à 21:25 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie unique en france robot lycéen
Unique en France   ...  un Robot lycéen !

Un "robot lycéen" unique en France expérimenté en Rhône-Alpes Un "robot lycéen", unique en France et destiné à remplacer en classe les élèves absents, sera expérimenté à partir de la rentrée prochaine dans trois lycées de Rhône-Alpes, ont annoncé mardi le rectorat et le conseil régional.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Ce tube sur roulettes, surmonté d'une tête blanche équipée d'une caméra et percée de deux globes, "permet à l'élève de se télétransporter dans la classe", a assuré Bruno Bonnell, fondateur de la société Awabot chargée du projet.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              A la différence d'une simple retransmission, le robot se déplace et peut participer au cours. Sur commande de l'élève, immobilisé chez lui ou à l'hôpital, il "assure une forme de présence", souligne Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Stimuler l'innovation !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Cet engin "rustique", car destiné aux lycéens, selon Bruno Bonnell, sera testé en trois exemplaires répartis dans trois lycées, La Martinière-Montplaisir à Lyon, Claude Fauriel à Saint-Etienne et Joseph Marie Carriat à Bourg-en-Bresse (Ain).

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Pendant deux ans, jusqu'à la rentrée 2016, il s'agira d'améliorer l'interface logicielle, explique M. Bonnell. Comment animer ce robot sans bras pour lui faire "lever la main" ? Faut-il qu'il bouge pour qu'on ne l'oublie pas ? A quel point doit-il être robuste ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Pour un coût total de 490.000 euros, il s'agit aussi de stimuler l'innovation dans les 300 entreprises "directement impliquées dans la robotique en Rhône-Alpes", selon M. Queyranne, et d'intéresser les élèves au sujet.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    "Cent pour cent des étudiants qui se formeront à la robotique trouveront un travail !", promet ainsi Bruno Bonnell, ancien président d'Infogrames et Atari, PDG de la société Robopolis et chantre de la "robolution".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      C'est la première fois que des fonds publics financent une telle expérimentation, mais d'autres projets sur fonds privés "ont déjà été menés aux Etats-Unis et en Russie, avec des robots de marque différente", indique le dossier accompagnant le projet.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Le robot, commercialisé par la société américaine Anybots, coûte aujourd'hui 12.600 euros, un coût "déjà réduit de moitié par rapport à l'an dernier et probablement divisé par cinq d'ici trois ans", selon Bruno Bonnell.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       La majeure partie du projet est consacrée au développement de l'interface logicielle, qui pourra à terme "piloter n'importe quel robot", par exemple un "robot européen de téléprésence" que le patron d'Awabot appelle de ses voeux.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Le reste du budget servira à "accompagner les élèves malades, leur famille et l'ensemble du corps enseignant" pour favoriser la prise en main du robot "et intégrer cette expérimentation" dans un programme pédagogique.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Les lycéens qui bénéficieront du robot seront sélectionnés par les établissements "selon des critères restant à définir". Pour les élèves gravement malades ou handicapés, il existe en revanche d'autres solutions dans des établissements adaptés.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            (source : AFP)

L'année 2014 ... sera-t-elle celle des minis-drones !

Publié à 13:31 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie 2014 année des mini drones
L'année 2014  ...  sera-t-elle celle des minis-drones !
 
Après la phase de l’expérimentation, 2014 pourrait être l’année où des clients commenceront à avoir régulièrement recours aux mini-drones, qui veulent se tailler une part du marché des services aériens.

 

Ailes volantes, quadracoptères ou appareils aux formes moins futuristes, ces minuscules engins volants sans pilote ont un rôle complémentaire à jouer à côté des satellites, des avions et des hélicoptères, estime Emmanuel de Maistre, président de la Fédération française du drone civil.

 

"La cartographie, la surveillance des pipelines, des lignes de chemin de fer ou à haute tension, l’inspection des ouvrages d’art, l’agriculture ou la sylviculture offrent un terrain de jeu énorme", dit-il. "Mais il va falloir du temps pour s’établir sur les différents marchés".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Le mini-drone est plus agile et moins cher à l’heure de vol que l’avion ou l’hélicoptère. Il est plus facile à déployer qu’un satellite et, volant à basse altitude, offre une meilleure définition d’image.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    La ville de Lomé, au Togo, a du attendre 15 mois pour obtenir une carte par satellite complète, en raison de la couverture nuageuse, rappelle M. de Maistre. L’usage d’un drone aurait permis de réduire fortement les délais. Continent peu cartographié, l’Afrique est selon lui un marché prometteur pour les drones, d’autant qu’elle ne s’est pas encore dotée d’une réglementation contraignante.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              La France a été un des premiers pays à adopter en 2012 une réglementation sur l’usage des drones civils, et le premier à autoriser, à des conditions strictes, le vol "hors de vue du pilote". Résultat  : c’est le pays qui compte le plus grand nombre d’opérateurs  : plus de 350 enregistrés auprès de la Direction générale de l’aviation civile, devant la Grande-Bretagne qui en compte 300 et la Suède 130.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Aux Etats-Unis, qui ont les plus gros constructeurs de drones militaires au monde, aucun vol commercial n’est encore autorisé. "Mais les Américains se préparent et les choses peuvent aller très vite dès l’adoption d’une règlementation", prévoit M. de Maistre, également président de l’opérateur Redbird. La FAA (agence américaine de l’aviation civile), promet une réglementation pour les petits drones dès 2014.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              "En France, 2012 a été l’année de la règlementation, 2013 celle de l’expérimentation, 2014 pourrait être celle de l’industrialisation", estime le jeune entrepreneur. attention aux attentes déçues Le marché reste à créer, en répondant aux besoins avec une offre de drone économiquement rentable, client par client.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Le drone a déjà convaincu le groupe de BTP Monnoyeur. Sa filiale Sitech a testé avec succès les mini-drones pour créer les modèles numériques de terrain nécessaires au guidage des engins de chantier. Pour son directeur général Grégoire Arranz, "2014 est l’année où on voudrait entrer dans la production".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              La SNCF pense poursuivre ses expérimentations de drones en 2014, pour passer à la phase opérationnelle en 2015. Ses besoins sont immenses  : 28.000 ponts et viaducs et 10.000 parois rocheuses et remblais à inspecter.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           "Nous sommes convaincus de l’intérêt technique et économique de l’usage des drones pour nos différentes missions", dit Nicolas Pollet, responsable du projet drone à la filiale infrastructure du groupe. Mais les opérateurs doivent encore s’équiper des bons senseurs, et les ouvrages doivent être géo-référencés, notamment avec … des drones.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Pour inspecter des pylones de ses lignes à haute tension, la firme RTE utilise déjà les drones. "En 2014, nous allons poursuivre les expérimentations pour élargir le champ d’expérimentation", notamment suivre la pose de nouvelles lignes, explique Cécile Rozé, responsable du projet Recherche et développement drones.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Bordeaux a lancé en septembre un appel d’offres pour cartographier par drone la ville, en complément des relevés établis par avion. Les opérateurs ont répondu mais il a fallu expliquer que les drones ne pourraient pas tout faire car "il ne faut pas susciter des déceptions", dit Emmanuel de Maistre.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            A cet égard, les livraisons de colis par mini-drones pour dans cinq ans que fait miroiter Amazon, le géant américain du commerce en ligne, ressemblent plus selon lui à un génial coup de publicité qu’un débouché réel. "Économiquement, la livraison par fourgonnette restera longtemps plus rentable".

(Source : AFP)

Alternative à l’électricité gratuite contre lampadaires !

Publié à 10:17 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie alternative contre lampadaires
Alternative à l’électricité gratuite contre lampadaires !
Une alternative à l’électricité gratuite contre les Lampadaires !
 
La compagnie Pro-Teq a développé un spray appelé STARPATH qui, une fois posé, crée un chemin luminescent absolument superbe aux allures de voie lactée. Ce produit innovant est antidérapant mais aussi résistant à l’eau. De plus, il est une véritable alternative écologique puisqu’il pourra remplacer les lampadaires électriques des villes et ainsi guider joliment le chemin aux piétons la nuitActuellement, le projet est installé en Angleterre et couvre près de 140 mètres de chemin dans le parc de  Christ’s Pieces à Cambridge. L’installation n’aura pris que 4h en tout et pour tout et consistait à pulvériser une solution à base de polyrythéane sur le sol, suivie d’une couche de matière qui absorbe et emmagasine l’énergie des rayons UV, pour enfin terminer par une couche de polyaspartique. Le tout ne mettra qu’une petite demi-heure à sécher.

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La créateur de cette superbe innovation explique : « Le STARPATH s’ajuste à la lumière naturelle : s’il fait nuit, le chemin va s’illuminer. Au contraire si il y a de la lumière, il ne va libérer aucune luminosité mais au contraire absorber les rayons UV du soleil pour les « ré-utiliser » plus tard. »


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Déguster des plats électriques ...

Publié à 11:59 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie déguster plats électriques
Déguster des plats électriques   ...

Le scientifique singapourien Nimesha Ranasinghe et son équipe ont développé un nouveau genre d’électrodes qui peuvent retranscrire le goût d’aliments virtuels sur les papilles de la langue. Placées sur le bout de la langue, ces électrodes sont capables de recréer les quatre saveurs principales du goût (le salé, le sucré, l’acidité et l’amertume) en stimulant les papilles.

Les électrodes faites avec des résidus d’argent envoient des signaux reproduisant ces 4 saveurs différentes sur le bout de la langue : les papilles sont alors trompées par des courants alternatifs et des changements de température contrôlés par des éléments semi-conducteurs qui peuvent produire de la chaleur et du froid très rapidement.

Ranasinghe explique : « Nous avons découvert que des stimulations électriques et thermiques non-invasives sur le bout de la langue généraient avec succès les sensations de goût primaires. » Le dispositif est relativement imposant pour l’instant mais les scientifiques pensent être en mesure de le réduire suffisamment pour fonctionner même lorsque l’utilisateur a la bouche fermée.

Pour l’équipe, cet outil pourrait notamment servir dans le domaine de la réalité virtuelle et des jeux vidéo, où les joueurs pourraient ainsi « goûter » la nourriture fictive de leurs jeux. Nimesha Renasinghe pense également que cela pourrait être introduit comme façon de récompenser le joueur. Bien sûr, les programmes télévisés culinaires ne seraient pas en reste non plus !

Les chercheurs expliquent également que leur outil pourrait servir au niveau médical, notamment pour permettre aux personnes souffrant d’un cancer de retrouver des sensations gustatives.




(Sources /Daily Geek Show/news Scientist)

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du PIC DU MIDI !

Publié à 12:57 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie réserve étoilée pic du midi
Réserve Internationale de Ciel Etoilé du PIC DU MIDI !

La Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi la 1ère RICE d’Europe continentale et la 6ème au monde elle est devenue label officielle.
 
C’est en juin 2009 que l’Association PIRENE en partenariat très étroit avec le Pic du Midi et l’Observatoire Midi-Pyrénées lançait l’ambitieux projet de créer la 1ère Réserve Internationale de Ciel Etoilé (RICE) en zone habitée d’Europe. A leurs côtés, la Région Midi-Pyrénées, le Conseil gGénéral des Hautes-Pyrénées et les communes concernées s’engageaient pour préserver le ciel étoilé de la pollution lumineuse autour de l’Observatoire du Pic du Midi et dans les espaces naturels haut-pyrénéens.
 
 
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De quoi se réjouir car " cette lutte pour le ciel étoilé initiée par des astronomes a des connexions bien plus importantes avec la protection de l’environnement" selon l’association PIRENE.
 
 
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http://www.cnes.fr/automne_modules_files/standard/public/p10650_11a2097933a11c33de68c815c8dfea10530432_501774253177291_424757253_n.jpg 
 
 
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(texte : humanite-biodiversite)

Hubert Reeves ... "L’humanité est en danger" !

Publié à 16:50 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie h reeves humanité en danger
Hubert Reeves  ...   "L’humanité est en danger" !

L’astrophysicien Hubert Reeves milite pour sauver la planète, et surtout l’humanité : « Il y a urgence à l’horizon d’une cinquantaine d’années. »Photo Jean-Marc Rebour
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De passage à Saint-Tropez pour les Mystères du XXIème siècle, le célèbre astrophysicien,   s’alarme des risques majeurs que pourraient engendrer les dérèglements climatiques.

Tout à la fois inquiet mais l’espoir chevillé au corps, Hubert Reeves, astrophysicien de renommée internationale, aujourd’hui versé dans le combat écologique pour sauver la planète – et, surtout, l’espèce humaine – est de passage à Saint-Tropez. Le 14ème colloque des Mystères du XXIème siècle, qui traite cette année des origines de l’univers, de la vie et de l’homme, lui offre ce matin une tribune, de 10 heures à midi, salle Despas. Deux heures de conférence, au cours desquelles il racontera la belle histoire qu’est la nôtre à travers l’évolution de l’univers et de l’homme, mais aussi celle, moins riante, du comportement des humains vis-à-vis de la nature, et ce depuis qu’il a pu concevoir les premiers outils. Une entreprise de destruction, qui pourrait engendrer une« sixième extinction », celle de l’humanité, si elle rend la planète invivable.

Depuis quelques années, votre démarche est écologique …

Oui. Et il y a de plus en plus urgence à ce que les gens prennent conscience du risque que nous encourons. Hélas, nous somme maintenant loin du Grenelle de l’environnement, et la crise a éloigné la préoccupation environnementale des esprits. Aujourd’hui, on s’appuie sur le fait qu’il y a d’autres problèmes plus urgents.

Est-ce que le risque augmente ?

Bien sûr. L’humanité est en danger, et les clignotants sont au rouge. Les rejets de dioxyde de carbone ne cessent d’augmenter dans l’atmosphère, alors qu’il faudrait qu’ils baissent au moins de 3 % par an. On en est loin. Je ne dis pas forcément que l’humanité risque de disparaître. Mais que la situation peut devenir dans quelques dizaines d’années ingérable et la vie très inconfortable.

On en ressent déjà les prémices ?

Oui. Les tempêtes de plus en plus fortes, les inondations, les froids qui se font plus vifs, les vagues de chaleur. Ce dérèglement peut être encore plus fort.

Arrivez-vous quand même à vous faire entendre ?

Oui, mais avec des hauts et des bas. Nicolas Sarkozy était très intéressé. Je ne suis pas sûr que François Hollande le soit autant. Nous attendons toujours la création de l’Agence pour la biodiversité. Toutefois, avec l’association « Humanité et biodiversité » que je préside, nous poursuivons sans relâche. Depuis le sommet de Rio, le mot écologie a toute sa place et depuis celui de Stockholm, la biodiversité est aussi entrée dans les têtes. Est-ce que cela va assez vite ? Je ne sais pas. Nous sommes au milieu d’un grand combat entre des détériorations qui se poursuivent (déforestations majeures, pollution et pillage des mers) et des textes législatifs qui arrivent quand même à se faire jour. L’issue est donc incertaine. Mais il y a urgence à l’horizon d’une cinquantaine d’années.

Certains pays polluent plus que d’autres, la Chine par exemple …

C’est certain. En construisant une centrale au charbon par semaine, on peut dire que c’est inquiétant. Mais paradoxalement, la Chine est la plus active dans le domaine de la recherche pour les énergies renouvelables, et il y a un grand mouvement de prise de conscience dans cet immense pays.

Vous avez confiance dans les nouvelles générations ?

Je crois en eux. Le grand-père que je suis a très peur pour ses petits-enfants, mais je suis heureux de voir l’accueil que je reçois ou que l’association reçoit, quand elle se déplace dans les collèges ou les écoles. Il y a 20 ou 30 ans, quelques élèves venaient poliment écouter, heureux d’échapper ainsi à un cours de maths. Aujourd’hui, ils sont très mobilisés, réclament des repas bio, font des expositions. C’est une excellente nouvelle.

Vous voulez rester optimiste ?

Ni l’un ni l’autre. Jean Monnet, parmi les fondateurs de la Communauté européenne dans les années 50, disait : « L’important n’est pas d’être optimiste ou pessimiste, mais d’être déterminé à faire ce qu’il faut faire. » Je le suis.

(Source : Corse Matin)

La nouvelle génération de l’espace ...

Publié à 12:19 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie nouvelle génération espace
La nouvelle génération de l’espace ...

L’espace fascine bon nombre d’entre nous, mais bien peu ont la chance de travailler dans le domaine de la recherche spatiale. Nous avons rencontré trois jeunes ingénieurs qui ont entamé une carrière, la tête dans les étoiles et les pieds sur Terre.

A Helsinki, Maria Komu nous fait découvrir son lieu de travail : l’Institut météorologique finlandais qui dispose d’un laboratoire spatial. "Il y a à peine cinq ans, mon plus grand rêve, c’était simplement de pouvoir toucher quelque chose qui allait dans l’espace," nous confie la jeune femme. "Aujourd’hui, je conçois des instruments qui vont dans l’espace, c’est incroyable !" s’enthousiasme-t-elle. Maria travaille sur un mini-satellite et des instruments météo pour le démonstrateur EDM de la mission ExoMars de l’Agence spatiale européenne (ESA).

Au nord de Londres, découvrons à présent, l’univers d’Abbie Hutty, ingénieur spatial structures chez Astrium. Son travail qui d’ailleurs, la passionne : s’assurer que "le corps du rover ExoMars est assez solide pour pouvoir supporter notamment le lancement, l’arrivée au sol et l’entrée dans l’atmosphère," nous explique-t-elle.

En Espagne, à Cebreros, près de Madrid, Marc Costa Sitjà nous présente l’antenne à gain élevé qui permet à son équipe de communiquer avec le satellite Venus Express (ESA) pour gérer son pilotage. La parabole permet aux scientifiques d’envoyer des ordres de commande à l’engin et de recevoir des données en sa provenance comme une image de Vénus unique qu’ils ont réussi à constituer à partir de toute une série d’observations.

Nos trois jeunes ingénieurs ont choisi ces métiers pour explorer notre système solaire et peut-être éclaircir ses mystères. Une motivation qui les anime parfois depuis l’enfance. Chacun reconnaît avoir de la chance de mener une vie professionnelle dans un secteur qui les fascine. La Finlandaise Maria Komu aimerait poursuivre son rêve éveillé en visitant "d’immenses chambres à vide et peut-être des simulateurs solaires :c’est ce que je préfèrerais," nous lance-t-elle avant de conclure : "et bien sûr, si je pouvais assister en vrai au lancement d’une fusée, ce serait vraiment cool.

(source : Euronews/ESA)

A propos de l'obésité, des chercheurs ont découvert ...

Publié à 15:57 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie obésité des chercheurs ont
A propos de l'obésité, des chercheurs ont découvert ...

L’obésité est une maladie qui touche près de 15% des français adultes. Pourtant,  nous ne connaissons pas encore entièrement ses mécanismes… Une étude vient d’éclaircir davantage une des causes de l’obésité. En effet, des anticorps liés à l’hormone de la faim empêcheraient cette dernière de se dégrader provoquant ainsi une sensation de faim perpetuelle… DGS vous l’explique en détails.

En temps normal, c’est  l’hypothalamus (une zone de notre cerveau) qui régule la prise de poids et la prise alimentaire en fonction des besoins d’un individu.  De cette façon, après une période de surabondance et de prise de poids, un sujet aura spontanément tendance à réduire son alimentation pour revenir à son poids de forme. Cependant, ce mécanisme est défectueux chez beaucoup de malades obèses… Malgré leurs efforts, ces derniers continuent en effet d’avoir une prise alimentaire trop élevée et ainsi à augmenter leur poids. Cette observation est d’autant plus surprenante que chez la plupart des cas observés, laghréline (hormone de la faim) est retrouvée à un taux normal, voire bas.

Une étude menée par Sergueï Fetissov et son équipe de l’unité de rechercheInserm de l’université de Rouen dirigée par Pierre Déchelotte et en collaboration avec l’équipe d’Akio Inui de l’université de Kagoshima au Japon a révélé le mécanisme moléculaire de ce paradoxe. En effet, les chercheurs ont mis en évidence dans le sang des patients obèses la présence d’immuniglobulines, qui sont des anticorps  reconnaissant la ghréline et qui modulent l’appétit. Liés à l’hormone de la faim, ces anticorps la protège de sa dégradation ce qui a pour résultat un agissement plus long sur le cerveau ainsi que la stimulation de l’appétit.

Sergueï explique : « Les immunoglubines ont des propriétés différentes chez les patients obèses. Elles ont une attirance plus forte pour la ghréline que celles observées chez les sujets de poids normal ou chez des patients anorexiques. C’est cette différence qui permet aux immunoglobulines de transporter plus de ghréline vers le cerveau et de renforcer son action stimulante sur la prise alimentaire. »

C’est  grâce à des expériences sur des rongeurs que l’on doit cette découverte
- Lorsque la ghréline était administrée en étant associée à des immunoglobulines extraites du sang de patients obèses ou provenant de souris génétiquement obèses, elles stimulèrent plus fortement la prise alimentaire.
- Lorsque la ghréline était administrée seule ou associée à des immunoglobulines de personnes ou de souris non obèses, les rongeurs étaient plus enclin à réguler leur prise alimentaire.

Le professeur Pierre Déchelotte souligne : « Notre découverte ouvre une nouvelle piste pour concevoir des traitements agissant au coeur de ce mécanisme pour réduire la prise alimentaire trop importante chez les patients obèses. Ces résultats peuvent également être utilisés pour l’étude de la perte d’appétit, observée par exemple dans les cas d’anorexie. »

Cette découverte pourrait être un grand pas dans le soin de certains cas d’obésité… Et rappelons-le, en France, ce sont 6,5 millions d’individus qui sont touchés par cette maladie ! On peut aisément imaginer que d’ici quelques années, la simple prise d’un médicament qui régulerait la quantité de ces anticorps pourrait être un traitement efficace… Du moins, on l’espère ! Pensez-vous que cette découverte pourrait être la solution au problème de l’obésité ?