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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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ROSES FEUILLETÉES aux POMMES :
* Dégustez chaud ou tiède avec une boule de glace de vanille !
( source : AFP )
Los Angeles - Le milliardaire et star de la Silicon Valley Sean Parker a décidé d’investir un quart de milliard de dollars dans la lutte contre le cancer et de créer un institut consacré à la recherche sur les immunothérapies, nouveau traitement prometteur.
À la tête d’une fortune évaluée à 2,4 milliards de dollars, l’homme d’affaires de 36 ans, incarné par Justin Timberlake dans le film The Social Network, est une personnalité influente et controversée de la Silicon Valley.
Premier président de Facebook, il est accusé d’avoir torpillé l’industrie du disque en fondant le site de partage de musique Napster, et fait aujourd’hui grincer des dents à Hollywood avec son projet de «home-cinéma» Screening Room.
Celui qui se définit comme un «pirate philanthrope» (hacker philanthropist) contribuait déjà à coup de millions de dollars depuis 2005 à la lutte contre cette maladie, et a fondé une organisation, The Parker foundation, l’an dernier, dotée de 600 millions de dollars pour agir dans différents domaines.
«Nous sommes à un tournant dans la recherche contre le cancer et il faut optimiser le potentiel unique des immunothérapies de manière à transformer tous les cancers en maladies pouvant être contrôlées. Cela permettra de sauver des millions de vies», a-t-il déclaré mercredi dans un communiqué pour annoncer son don.
Qualifiée de «plus grosse donation jamais faite dans le domaine de l’immunothérapie», elle s’accompagne de la création de l’Institut Parker pour l’Immunothérapie contre le Cancer, et doit être célébrée mercredi lors d’une soirée de gala à Los Angeles.
Y sont attendues des vedettes comme Orlando Bloom, Sean Penn, ou Katy Perry, de grands noms de la «high tech» comme Jack Dorsey ou des politiciens comme le gouverneur de Californie Jerry Brown.
Les immunothérapies, développées depuis une dizaine d’années, consistent à doper le système immunitaire pour qu’il puisse détecter et détruire les cellules cancéreuses.
Cette maladie pourrait tuer 22 millions de personnes d’ici 2030 selon l’Organisation mondiale de la santé.
Les immunothérapies permettent déjà de combattre efficacement le mélanome, un cancer agressif de la peau contre lequel il n’existait auparavant aucun traitement.
L’ancien président américain Jimmy Carter, qui avait annoncé en décembre dernier être atteint d’un mélanome avec des métastases au cerveau, a récemment indiqué n’avoir plus de trace de cellules cancéreuses après un tel traitement.
L’objectif de l’Institut Parker sera d’accélérer des percées thérapeutiques en favorisant la collaboration entre les meilleurs chercheurs.
Il s’appuiera sur un réseau de 40 laboratoires et plus de 300 chercheurs qui travaillent dans les centres les plus en pointe aux Etats-Unis.
Chacun des centres recevra initialement de dix à quinze millions de dollars d’investissement.
La donation de la fondation Parker intervient trois mois après le lancement par le président américain Barack Obama d’une initiative d’un milliard de dollars du gouvernement fédéral pour mobiliser la recherche sur le cancer, baptisée «Moonshot», en référence au programme de conquête de la Lune dans les années 60.
D’autres riches hommes d’affaires américains ont également fait dans la foulée d’importantes donations pour la recherche anti-cancer, comme l’ancien maire de New York Michael Bloomberg.
En 2014, le milliardaire Daniel Ludwig avait donné 540 millions de dollars à six centres et Phil Knight, co-fondateur de Nike, s’est engagé à verser 500 millions.
Les grandes fortunes sont de plus en plus actives dans l’action philanthropique aux Etats-Unis dans la foulée de l’initiative «Giving Pledge» (promesse de don) lancée en 2010 par Bill Gates et Warren Buffett: quelque 142 milliardaires, notamment Barry Diller, Eli Broad, et Larry Edison se sont ainsi engagés à donner plus de la moitié de leur fortune.
Le patron de Facebook Mark Zuckerberg a promis de léguer 99% de sa fortune, estimée mercredi à 47,4 milliards de dollars.
© Photo AFP JEFF PACHOUD
De quoi considérablement améliorer le quotidien du jeune garçon. "Il va découvrir des choses que nous avons l'habitude de faire à deux mains, que lui a toujours fait à une main et demi. Il fera les mêmes choses, mais différemment", anticipe son père Eric Congétal, au micro de BFM TV.
Pour avoir accès à cette prothèse, les parents de Maxence ont fait appel à la fondation américaine, e-NABLE, qui met en relation des personnes disposant d'imprimantes 3D avec des familles ayant des enfants à qui il manque des doigts ou une main. Déjà plus de 2000 prothèses ont déjà été distribué via la plateforme.
"Ça paye vraiment tout le travail accompli", se réjouit le fabricant de la prothèse Thierry Oquidam, qui a assisté à l'événement. D'après Le Parisien, l'élaboration de la main artificielle a en effet nécessité environ "dix heures de travail préparatoire, de mise à l'échelle, vingt-quatre heures d'impression et trois heures de montage."
Coût de fabrication : moins de 50 euros. Un élément crucial pour l'enfant qui va devoir changer de prothèse plusieurs fois au cours de sa croissance. Et si elle se casse, la famille peut la réparer directement en passant par une imprimante disponible localement.
Stephen Hawking à la première du biopic consacré à sa vie, «Hawking», à Cambridge le 19 septembre 2013.REX/JASON BYE/REX/SIPA
Le scientifique britannique co-signe une tribune dans laquelle il alerte sur la potentielle menace pour l’humanité que constitueraitl’invention de l’IA …
L’intelligence artificielle fait fantasmer et trembler. D’Isaac Asimov àTranscendence avec Johnny Depp et Morgan Freeman, en passant par la série «Battlestar Galactica», les possibles dangers pour l’homme d’une machine intelligente ont déjà été explorés dans d’innombrables variations. Mais quand Stephen Hawking prend la plume pour alerter des dangers de l’intelligence artificielle, la science rejoint la science-fiction.
«Réussir à créer une intelligence artificielle serait le plus grand événement dans l’histoire de l’homme, écrit l’éminent physicien britannique, connu pour sa recherche sur les trous noirs. Mais ce pourrait aussi être le dernier, prévient-il dans une tribune cosignée dans le journal The Independent.» Citant les voitures auto-pilotées, les assistants personnels comme Siri ou les armes autonomes qui décideraient de tuer sur un champ de bataille sans intervention humaine, Stephen Hawking avertit que ne pas prendre au sérieux ce qui est encore de la science-fiction pourrait être «la plus grave erreur de notre histoire».
«On peut imaginer que cette technologie déjoue les marchés financiers, dépasse les chercheurs humains, manipule les dirigeants humains et développe des armes qu’on ne peut pas même comprendre», poursuit le scientifique. «L’incidence à court-terme de l’intelligence artificielle dépend de qui la contrôle, mais l’impact à long-terme dépend de la possibilité réelle de la contrôler.» Stephen Hawking déplore le manque de recherche sérieuse sur ces questions, «alors que nous sommes face à la meilleure, ou la pire chose qui puisse arriver à l’humanité».
(Source : 20 Minutes)
La "Defense Advanced Research Projects Agency" ou DARPA, l’agence de recherche du ministère américain de la Défense, progresse dans ses efforts menés dans le cadre d’un programme de quatre ans pour créer un stimulateur avancé de la mémoire, ont expliqué cette semaine des responsables.
Ces travaux s’inscrivent dans une initiative de 100 millions de dollars du président Barack Obama visant à mieux comprendre la physiologie du cerveau et à percer ses mystères. Ce type de recherche sur la mémoire n’avait pas été entreprise jusqu’alors et soulève des questions éthiques sur le fait de savoir si l’esprit humain devrait être manipulé sous prétexte de réparer des blessures de guerre ou traiter un cerveau vieillissant.
Selon certaines estimations, de telles avancées pourraient bénéficier aux cinq millions d’Américains souffrant de la maladie d’Alzheimer et aux près de 300.000 militaires aux Etats-Unis ayant subi des blessures du cerveau en Irak et en Afghanistan.
"Si vous avez été blessé au combat et que vous ne pouvez plus vous souvenir de votre famille, nous voulons pouvoir restaurer cette mémoire", a souligné le responsable du programme de recherche de la DARPA, Justin Sanchez, lors d’une conférence cette semaine à Washington organisée par le Centre pour la santé du cerveau de l’Université du Texas (sud).
"Nous pensons pouvoir développer des neuroprothèses capables d’interagir directement avec l’hippocampe dans le cerveau pour rétablir la mémoire déclarative", a-t-il dit. Cette mémoire, qui permet de se souvenir des personnes, des évènements et des faits, n’a jamais pu être restaurée une fois perdue.
Jusqu’à présent, les scientifiques ont seulement pu réduire, avec un stimulateur électrique dans le cerveau, les tremblements chez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson et les convulsions chez des épileptiques, ou encore stimuler la mémoire d’individus atteints d’Alzheimer.
Mais selon les neurologues, une approche beaucoup plus subtile est nécessaire quand il s’agit de restaurer une mémoire perdue.
Questions éthiques :
"La mémoire, c’est des configurations et des branchements", note Robert Hampson, un neurologue de l’Université Wake Forest en Caroline du Nord (sud-est), qui participe à la recherche de la DARPA.
Ce scientifique a fait des recherches sur des rongeurs et des singes qui ont révélé que les neurones dans l’hippocampe – siège de la mémoire dans le cerveau – sont activés différemment selon que le sujet voit du rouge ou du bleu, ou la photo d’un visage ou d’un type de nourriture.
Fort de ses observations, ce chercheur et son équipe ont pu étendre la mémoire à court terme de ces animaux de laboratoire en utilisant des neuroprothèses pour stimuler l’hippocampe. Ils ont aussi pu manipuler la mémoire d’un singe pour qu’il se souvienne d’une image qu’il n’avait pas vue.
Selon les neurologues, il serait possible d’améliorer la mémoire d’une personne en aidant seulement le cerveau à fonctionner comme avant la blessure. "L’idée est de rétablir une fonction pour qu’elle soit normale, ou proche de la normale, dans l’hippocampe de façon à ce que la personne puisse accéder de nouveau à ses souvenirs et mémoriser de nouvelles informations", indique encore Robert Hampson.
Ces expériences montrent combien il est facile de manipuler les souvenirs chez des personnes, ce qui ouvre un champ de mines éthique, juge Arthur Caplan, un éthicien médical au Centre médical Langone de l’Université de New York.
"Quand on bidouille avec le cerveau, on bidouille avec l’identité personnelle d’un être", met en garde cet expert, consultant du DARPA. "Le coût d’une altération de l’esprit est de risquer de perdre le sens de soi, un nouveau danger auquel nous n’avons jamais été confronté", estime-t-il.
(Source : AFP)
En 2100, un vaisseau spatial avec à son bord des milliers de personnes pourrait décoller à destination d’un autre système solaire. Science-fiction ? Des scientifiques travaillent sérieusement à ce projet de longue haleine.
Si dans les siècles à venir la Terre se meurt, certains préparent déjà la suite. Il ne s’agit pas de la Nasa et de ses programmes ambitieux, ni même de Mars One et de son projet de colonisation de Mars d’ici dix ans : on parle bien là d’un grand vaisseau destiné à naviguer bien au-delà de notre système solaire.
Et ce ne sont pas des écrivains de science-fiction qui sont dans le coup, mais bien des chercheurs de diverses nationalités, avec le soutien d’universités comme celle de Greenwich (Grande-Bretagne).
Le nom de code ? Projet Perséphone, du nom de la déesse qui après avoir passé l’hiver aux Enfers, rapporte le printemps avec elle à la surface …
Le projet se fonde bel et bien sur des principes de développement durable. Le vaisseau autosuffisant, décrit par The Australian, intégrerait des matières organiques comme des algues, du terreau artificiel, et utiliserait l’énergie solaire pour produire tant ses aliments que des biocarburants.
Le tout pourrait transporter quelques milliers de personnes pour un voyage de plusieurs générations vers une autre étoile. Laquelle ? Ils ne se prononcent pas encore, les progrès de la détection des exoplanètes étant tels que d’ici à ce que le vaisseau soit prêt, on aura probablement identifié la meilleure cible possible pour cette expédition.
Rachel Armstrong, chercheuse et enseignante en architecture à l’université de Cambridge et leader du projet Perséphone, avait présenté le projet en détail lors du Starship Congress d’août 2013.
Le navire amiral idéal selon la scientifique ? Voici comment Rachel Armstrong le décrit :
L’engin devra aussi être capable d’une évolution dynamique plutôt que d’être maintenu dans un état statique. La robustesse et la flexibilité seront ses atouts majeurs, mais aussi sa capacité à s’adapter et à évoluer, comme un écosystème.
Pas question pour cette équipe de miser sur des technologies encore très théoriques de voyages à des vitesses plus rapides que celles de la lumière. Le groupe Icarus Interstellar, qui est à l’origine du projet, est en effet une fondation qui souhaite développer les technologies de voyage interstellaire à partir de ce que nous avons déjà. Son idée phare, lancer une sonde interstellaire robotisée d’ici 2100, se basait déjà sur un système de moteurs alimentés par la fusion nucléaire.
Le Projet Perséphone, lui, se concentre sur l’habitabilité du vaisseau-monde. Le groupe de scientifiques travaillent sur la création d’un "réseau physique d’échanges chimiques pour asseoir l’habitabilité d’un espace non terrestre, et d’établir ce qu’un mode de vie durable peut impliquer."
Ce qui aurait, aussi, des implications pour notre bonne vieille Terre : "Le vaisseau-monde ne vise pas seulement à se préoccuper d’un scénario pour un futur lointain, mais fournit aussi un lieu de discussion pour discuter des problèmes de viabilité de nos villes, notamment en prenant en compte les ressources contraintes de nos environnements urbains."
Perséphone pourrait donc "sauver le monde", à la fois en envoyant des générations de colons à la conquête d’autres systèmes solaires, mais aussi en aidant à repenser notre monde d’ici-bas sur des principes de développement durable…
(Source : Le Nouvel Observateur)
Un robot avec un cerveau d'abeille ...
Des scientifiques britanniques Spécialisés dans l’intelligence artificielle travaillent à reproduire le cerveau de l’abeille afin de le tester dans un robot volant.
L’abeille a un cerveau microscopique.
Néanmoins, ce minuscule amas de matière grise remplit à merveille le rôle de centre de contrôle des missions de ce pollinisateur ailé. Ses capacités d’orientation sont meilleures que celles d’un GPS. Elles permettent à l’abeille de revenir systématiquement à la base, après des périples rondement menés dans des territoires fleuris inconnus, en s’aidant du soleil et d’un sens aigu de l’odorat.
La réponse est évidente. Imaginez un avion en mission de recherche et de sauvetage qui trouverait son chemin sans encombre en terrain inconnu et de même pour le trajet de retour. Ou, si l’on s’en tient à la raison d’être de l’abeille, imaginez qu’on intègre une telle capacité à un engin volant qui irait polliniser les cultures mécaniquement.
C’est précisément l’idée qu’un groupe de scientifiques anglais spécialisés dans l’intelligence artificielle ont en tête, rapporte la BBC.
Ils sont en train de mettre au point un modèle informatique qui, contrairement à d’autres projets d’intelligence artificielle, ne reproduit pas le cerveau de l’homme, du singe ou de la souris. Non, il prend exemple sur l’abeille.
« Les organismes plus simples comme les insectes sociaux ont des facultés cognitives étonnamment avancées », remarque James Marshall de l’université de Sheffield. « Comme le cerveau de l’abeille est plus petit et plus accessible que le cerveau d’un vertébré, nous espérons pouvoir un jour produire un modèle précis et complet que nous pourrons tester dans un robot volant. »
L’université de Sheffield fait équipe avec l’université du Sussex pour utiliser des cartes graphiques, plutôt que des superordinateurs onéreux, afin de créer un pilote « capable de prendre des décisions en fonction de ce qu’il détecte plutôt que de simplement réaliser une tâche préprogrammée », écrit la BBC.
Grâce aux abeilles, petit cerveau ne veut plus dire petite cervelle. Attention : la garantie expire après une piqûre.
Le Son est-il le système nerveux du Cosmos ?
Il existe un moyen de rendre les sons visibles. On appelle « cymatique » cette science énigmatique, qui puise ses racines dans l’histoire de l’univers. Quelle est la nature de l’onde sonore? Que sait-on vraiment de son pouvoir sur nous ?
Allemagne, 18ème siècle. Ernst Chladni est un mathématicien doué et discret. L’homme est aussi musicien et sa passion pour le violon va le conduire à une découverte extraordinaire. Saupoudrant de sable un disque de cuivre, il en frotta le bord avec son archet. La plaque se mit à vibrer et le sable à se déplacer, dessinant d’authentiques formes géométriques. « Qu’on juge de mon étonnement voyant ce que personne n’avait encore vu », dira plus tard son ami et philosophe Lichtenberg, auteur de travaux sur l’électricité statique.
Dans les années soixante, le physicien Hans Jenny sera le premier à révéler ce phénomène oublié. Grâce à l’évolution de l’électronique, il prolonge les recherches et fait varier les supports. Il invente le tonoscope, petit appareil tubulaire assorti d’une membrane sur laquelle on aura versé de la poudre, qui permet de créer des formes étonnantes avec le son de sa voix. Plus d’un siècle après les premières expériences, Jenny livre des observations d’une grande précision sur la nature du son, et invente une nouvelle science : la cymatique. Du grec "vague", la cymatique étudie l’interaction du son et de la matière. Les outils de mesure acoustique modernes ont permis d’étudier ces modulations spontanées : dans l’eau par exemple, un son grave produit un cercle entouré d’anneaux ; un son aïgu accroît le nombre d’anneaux concentriques. Soumise au rythme des oscillations, la variété de formes générées semble sans limite. Hans Jenny parlera de « modèle dynamique mais ordonné ». Quel pouvoir autonome renferme l’onde sonore ?
Toute activité produit du bruit. Du plus retentissant au plus subtil, il est trace du mouvement. Christian Hugonnet, ingénieur acousticien et fondateur de la Semaine du Son, décrit un enchaînement simple : « l’action entraîne la vibration de l’air qui va déplacer des molécules, se choquant les unes aux autres comme pour se transmettre un message ». Avant d’être une manifestation audible, le son se caractérise par un changement moléculaire, sur une surface donnée et en un temps donné. Dans cette équation, nul besoin d’oreille pour considérer qu’il y a dynamique sonore. C’est la fréquence de l’onde qui va diriger toute l’énergie.« Dans l’expérience avec le sable, les grains s’agglutinent là où la fréquence est haute », détaille le spécialiste. La propriété d’un corps à entrer en résonance avec le flux d’énergie va créer la forme. La matière prend la forme de l’énergie qui lui est adressée.
Le son primordial :Spirales, polygones, stries… ces marques sont souvent analogues à celles déjà présentes dans la nature. « J’ai constaté qu’une plaque elliptique soumise à des vibrations sonores reproduit les figures qu’on trouve sur la carapace d’une tortue », constate le photographe Alexander Lauterwasser. Une morphogenèse fondée sur la transmission de codes génétiques nécessaires à la formation des masses et à leur différenciation, et qui révèle un processus harmonieux dans l’ADN terrestre. Dès lors, est-il possible que les formes animales et végétales qui nous entourent – et la matière vivante dans son ensemble – soient elles-mêmes le résultat de vibrations, comme le rapportent de nombreuses traditions ?
Bien avant ces découvertes scientifiques, les cultures traditionnelles du monde entier ont développé leur récit mythologique de la création de l’univers. La voix et le souffle y sont féconds. « Au commencement était le verbe, dit l’Evangile. Les textes celtes sacrés évoquent Trois Cris qui firent éclater l’Oeuf du Monde », rapporte le Docteur Alain Boudet, enseignant et conférencier. « Chez les hindous et les bouddhistes, le principe structurant du chaos d’origine est le mantra Om et les Mayas parlent du chant des Dieux comme du système nerveux de l’univers ». Une cosmogonie universelle, portée par des figures archétypales semblables aux formations cymatiques, telles que les mandalas. Ces mystérieuses corrélations entre figures naturelles et symboliques renverraient à une intuition de la forme, perdue avec le temps : « Cette géométrie originelle est en nous. Nous l’avons oubliée à mesure que le mental s’est imposé », raconte Alain Boudet. Dans son ouvrage Cymatics, le pionnier Hans Jenny conclut à la puissance fondamentale et génératrice de la vibration. Sa périodicité soutient la bipolarité de la vie : le mouvement et la forme. La vibration comme source de toute chose : un constat, mais aussi une opportunité de reconsidérer le monde dans lequel nous évoluons.
Echos d’avenirPythagore disait : « L’homme possède toutes les valeurs du cosmos ». L’auteur du célèbre théorème de géométrie a développé le principe de microcosme, reliant l’organisme humain à l’organisation de l’univers. L’influence du son invite désormais à une nouvelle écoute du vivant. « La biorésonance nous renseigne sur la fréquence optimale de nos organes », explique Andreas Freund, physicien quantique. Au Tibet, les bols chantants sont reconnus pour leurs vertus. Leurs tonalités spécifiques communiquent avec la matière cristalline de notre corps : les os, les tissus et l’eau qui nous compose à 70%. Plus le son est grave, plus l’on travaillera la zone racine du corps. Comme la cymatique, notre résonance cellulaire trace un chemin pour la vibration, réharmonisant notre énergie interne. Un processus identique aux diapasons thérapeutiques employés depuis des siècles en Europe, dont les fréquences en hertz sont réglées pour des actions cibles. Mais pour masser nos entrailles, quel meilleur instrument que la voix ? Le chant harmonique des traditions chamaniques, aussi appelé chant diphonique dans nos conservatoires de musique, est une technique vocale sur deux notes simultanées, par un positionnement de la langue et des lèvres. Curiosité ou évidence biologique, ce son très apaisant ressemble à celui des vents solaires.
La vague de l’action contient à la fois l’intention et son empreinte. « Le son in-forme. Il est porteur d’information », nous dit Andreas Freund. Une attention portée aux messages de la nature, qui permet aujourd’hui de décrypter jusqu’au langage par ultrasons des dauphins ou la sensibilité des plantes. La dimension vibratoire du son sert de modèle dans une recherche de cohérence et d’alignement. Ses explorations scientifiques, artistiques et spirituelles offrent les clés d’une autre conscience de l’homme et de son environnement, vers une nouvelle signature écologique.
Un message viking vieux de 900 ans sculpté sur un fragement de bois enfin décodé ! Depuis plusieurs années, les chercheurs ont essayé de casser une rune d’alphabet Viking appelé Jötunvillur , un code perplexe datant du 11ème ou 12ème siècle qui a été trouvé dans quelque 80 inscriptions dont la pièce rayé de bois trouvé. Récemment runologist Jonas Nordby de l’Université d’Oslo a réussi à déchiffrer le code et découvert le message secret gravé depuis 900 ans dans un l’objet particulier.
Pour le code de jötunvillur, on remplace le caractère runique d’origine avec le dernier son le nom de rune.Par exemple, la rune pour ‘f’, prononcé fe, serait transformé en un ‘e’, tandis que la rune pour ‘k’, kaun prononcée, est devenu ‘n’.
«C’est comme un puzzle", a déclaré Nordby sur le site norvégien forskning.no. «Peu à peu, j’ai commencé à voir un modèle dans ce qui était apparemment combinaisons de sens de la runes."
Cependant, ceux qui pensent que les runes codées révéleront les secrets profonds de la scandinave seront déçus. Les messages trouvés jusqu’à présent semblent être soit utilisé dans l’apprentissage ou avoir un ton enjoué. Dans un cas, le message était «Embrasse-moi». Nordby explique «Nous avons peu de raisons de croire que les codes des runes doivent masquer les messages sensibles, les gens écrivaient souvent de courts messages de tous les jours."
L’acte de codage des messages secrets semble avoir été une activité de loisir parmi les Vikings, comme d’autres inscriptions traduites s’est avéré être railleries ludiques à la personne qui fait le décodage.
(Source : forskning.no)
C’est le système de son plus puissant d’Europe – mais aucun être humain ne pourrait survivre pour l’entendre à la puissance maximale.
Ingénieur Kees van Zijtveldt est debout à côté de la plus grande corne sonore d’Europe Acoustic Facility de l’ESA (LEAF), capable de soumettre des satellites au même bruit que produit un lanceur qui décolle et vole à travers l’atmosphère.
LEAF est une partie intégrante de l’ESTEC de l’ESA du centre d’essais à Noordwijk, aux Pays-Bas, une collection de vols spatiaux installations de simulation sous un même toit. Un mur de la chambre – 11 m de large par 9 m de profondeur et 16,4 m de haut – est intégré à un ensemble d’énormes cornes sonores. Azote abattu par les cornes peut produire une gamme de bruit à plus de 154 décibels, comme si plusieurs jets décoller.
Par mesure de sécurité, LEAF ne peut fonctionner qu’une seule fois toutes les portes fermées. Les murs de béton armé contiennent toute la sécurité contre le bruit, enduits de résine époxy pour tenir compte de bruit pour produire un champ sonore uniforme dans la chambre. L’enceinte elle-même est supporté sur patins de palier en caoutchouc pour l’isoler de son environnement.
(Source : ESA)