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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Linda Nelson Stocks est internationalement connue des amateurs d'art américain (1938-2011).
Inspirée par grand-maman Moïse, Linda a toujours peint ce qu'elle sait et aime. Son art est une fenêtre sur une enfance passée à grandir dans une ferme de l'Illinois. Sa propre grand-mère Belle était une source d'inspiration sans fin avec des histoires de «bon vieux temps» de jupons, de crêtes de buggy et de réunions de famille qui ont favorisé un monde d'imagination que Linda a capturé dans son art unique, chaleureux et coloré. Les œuvres de Linda Nelson Stocks sont disponibles sur une multitude de produits, notamment des calendriers muraux, des cartes, des journaux, des travaux d'aiguille, de la céramique, des estampes à édition limitée et un éventail d'autres produits de qualité.
À sa mort en 2011, la célèbre artiste folklorique Linda Nelson de Woodbury a légué son patrimoine artistique à la Connecticut Community Foundation pour la création du Fonds Linda L. Nelson. Le fonds fournit un soutien pour aider à répondre aux besoins en matière de santé et aux problèmes de santé émergents dans le Connecticut. Grâce aux fonds qu'elle a donnés et aux redevances de ses œuvres, Linda Nelson a un impact intemporel sur la communauté qu'elle a appelée son foyer.
Paris dans l’œil du peintre Foujita ...
A travers les siècles, notre capitale n’a cessé d’attirer les plus grands artistes qui venaient s’y former et chercher leur inspiration. Mais, s’il y a une période durant laquelle Paris a réellement rayonné sur le plan artistique, c’est bien dans les années 1920-1930 ! Ces fameuses Années folles qui ont véritablement mis le quartier de Montparnasse sur le devant de la scène ! Terrain d’expérimentation privilégié des artistes de l’avant-garde (qui se faisaient plus communément surnommés les Montparnos), ce quartier est en peu de temps devenu une vraie légende !
« Les Montparnos » (bar du quartier Montparnasse). Au centre, Foujita. Aquarelle de Sem. Paris, 1928. © Roger-Viollet
Or, lorsqu’on évoque cette époque, on pense d’abord à Picasso, Matisse, Duchamps, Modigliani, Man Ray, Dalí, ou encore Soutine. Mais, l’on omet bien souvent de parler de Foujita, ce peintre, dessinateur et graveur franco-japonais qui a mis un véritable coup de pied dans la fourmilière à son arrivée à Paris, en s’imposant par son style original et novateur empreint de sa double influence, occidentale et orientale.
Sa vie, son oeuvre :Léonard Foujita (de son vrai nom Tsuguharu Fujita) débarque à Paris dans les années 1910 et décide de retrouver ses homologues à Montparnasse. Il s’installera d’abord à l’Hôtel d’Odessa. Puis deux années plus tard, il rejoindra Soutine et Modigliani, cité Falguière, avant d’emménager au n°5 de la rue Delambre avec sa première femme Fernande Barrey où il installe son atelier. Il passera également une partie de sa vie du côté de l’avenue Saint-Martin, du square Montsouris, ainsi que de la rue Lacretelle.
Foujita (1886-1968), peintre français, à la fenêtre de son atelier du square Montsouris, à Paris XIVème arr.. © Albert Harlingue / Roger-Viollet
Épris du style occidental depuis ses débuts aux Beaux-Arts de Tokyo, à son arrivée à Paris, Foujita a une véritable révélation lorsqu’il rencontre Pablo Picasso et se range aussitôt du côté de l’avant-garde. Il côtoiera tous les plus grands : Modigliani, Orloff, Soutine, Derain, Matisse, Braque, … et deviendra célèbre pour ses nombreuses aquarelles, ses nus et ses différents tableaux de femmes, d’enfants et de chats.
Autoportrait dans l’atelier, 1926, musée des Beaux-Arts de Lyon. © Fondation Foujita
Sa patte si caractéristique fait très vite de lui un peintre à grand succès, exposé dans tous les Salons de peinture parisiens mais également dans le monde entier, si bien qu’il devient un des artistes les mieux payés. La technique qu’il emploie pour ses œuvres est en effet pour le moins atypique et remarquable : sur des fonds ivoire de sa fabrication, il dépose de fins et vigoureux traits noirs et de fines couches de couleurs à l’huile posées en transparence.
Foujita (1886-1968), peintre français d’origine japonaise. Paris, vers 1925. © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet
Youki Desnos posant pour Foujita (1886-1968), peintre et graveur japonais. Années 1920. © Albert Harlingue / Roger-Viollet
Nu couché à la toile de Jouy, 1922, musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, don de l’artiste en 1961. © MAM Paris
Il s’attache à dépeindre, dans nombre de ses tableaux, la vie parisienne durant la Belle Epoque : l’ambiance conviviale et populaire qui règne dans ces cafés, l’atmosphère joviale des bals et les débordements qui pouvaient s’en suivre… On se souviendra notamment d’œuvres cultes comme Au Café, La Terrasse du Dôme, Un bistrot à Saint-Germain-des-Près, Couple dansant, Rixe à la Rotonde …
Foujita (1886-1968), peintre français d’origine japonaise, et son modèle Youki Desnos. Deauville (Calvados), vers 1925. © Maurice-Louis Branger / Roger-Viollet
Au Café, Paris, 1949, musée national d’Art Moderne. © artifexinopere.com
Toits de Paris par Vincent Van Gogh en 1886.
Rue Lepic par Vincent Van Gogh en 1887
Les jardins de Montmartre par Van Gogh en 1887
Boulevard de Clichy par Vincent Van Gogh en 1887.
Les oeuvres sculpturales en papier de l’artiste indienne Gunjan Aylawadi ...
Les motifs de son œuvre sont inspirés par son enfance en Inde, où elle était constamment entourée d’ornements géométriques répétitifs que l’on retrouve dans l’art et les détails architecturaux du pays.
Ces motifs sont résumés ou repris dans son travail sur papier. Gunjan Aylawadi vit et travaille désormais à Sydney, en Australie.
(Photos © Gunjan Aylawadi)
A Venise, six bras géants se joignent au-dessus de l'eau pour célébrer la rencontre des cultures ...
A Venise, l’artiste Italien Lorenzo Quinn a réalisé une œuvre remarquable au-dessus de l’eau. Six bras géants qui se joignent ont été sculptés pour sensibiliser sur l’humanité et ses différences.
En 2017, l’artiste s’était déjà fait remarquer lors de la Biennale de Venise avec son œuvre « Support ». Il a décidé de réaliser une suite à ces mains géantes non plus pour alerter sur le changement climatique mais cette fois pour livrer un message d’espoir plein d’humanité.
Ce nouveau projet intitulé « Building Bridges » est sculpté en résine et représente six bras dont les mains se joignent et forment un pont au-dessus de l’eau vénitienne.
L’œuvre symbolise la rencontre et l’union entre des personnes aux cultures différentes. « L’humanité n’a jamais grandi en créant des barrières. Elle grandit toujours quand elle ouvre ses frontières et accueille de nouvelles cultures. Venise en témoigne… Elle a toujours été un moteur de la croissance européenne », a expliqué le sculpteur auprès d’Associated Press.
Les six paires de membres ont été installées sur un ancien chantier naval, accolées à la lagune de Venise. Ils représentent l’amour, la sagesse, l’espérance, l’entraide, l’amitié et la foi. La nuit, les passants peuvent même admirer l’œuvre éclairée sous tous ses angles.
Pour découvrir l’œuvre de cet artiste, N’hésitez pas à vous rendre sur son site internet et sur son compte Instagram pour retrouver l’ensemble de ses œuvres.
Paris, éternel terrain de jeu de Pablo Picasso ...
Il est considéré comme l’un des plus grands artistes du 20ème siècle, auteur de près de 50 000 œuvres. Il s’agit de l’une des villes les plus visitées au monde. Il fallait bien que Pablo Picasso et la ville de Paris aient une histoire commune.
Un jeune Espagnol débarque dans la capitale :L’histoire d’amour entre Paris et Picasso commence en 1900, lorsque le jeune artiste se rend pour la première fois dans la capitale avec son ami Carlos Casagemas. C’est là qu’il découvre le travail de Toulouse-Lautrec, Cézanne ou encore Gauguin. C’est aussi à Paris qu’il commence à se forger une certaine réputation et qu’on commence à lui acheter quelques toiles. Le jeune Pablo Ruiz Picasso est même sélectionné pour représenter l’Espagne à l’Exposition Universelle de 1900 avec sa toile, Les Derniers Moments. Quelques mois plus tard, l’artiste décide d’abandonner le nom de son père pour prendre celui de sa mère, il faut désormais l’appeler Picasso.
Les joies et les peines de sa vie parisienne :Alors qu’il commence à se faire un nom, Picasso connaît une période difficile avec le suicide de son ami Casagemas. Grâce à un ami, il s’installe au 130 ter boulevard de Clichy et travaille notamment sur quelques dessins qu’il vend à des périodiques humoristiques parisiens. Le succès est en marche et les commandes s’enchaînent. Il réalise par exemple plusieurs dizaines d’œuvres en 1901 pour son exposition dans la galerie d’Ambroise Vollard, célèbre marchand d’art.
Picasso s’installe définitivement à Paris en 1904, direction le Bateau-Lavoir. Il fait alors la rencontre de sa première compagne, Fernande Olivier, mais aussi de Guillaume Apollinaire ou Henri Matisse. Pour ses travaux, il s’intéresse aux arts du cirque et se rend fréquemment au Cirque Médrano, situé boulevard de Rochechouart.
A Paris, Picasso peint l’une de ses plus célèbres toiles, Les Demoiselles d’Avignon, qui marque les grands débuts de la période cubiste de l’artiste. Encore faut-il un atelier digne des travaux de l’artiste. Direction pour cela le 11 boulevard Raspail en 1908. Là-bas, Picasso jouit d’un discret bâtiment d’ateliers, avec cour et jardin. Quelques années plus tard, il déménage de quelques mètres, dans un atelier au 242 boulevard Raspail. Un choix logique car ce quartier de Montparnasse est à l’époque le centre de la vie artistique et intellectuelle parisienne. Une année 1911 décidément mouvementée pour lui puisqu’il est aussi interrogé par la Police lors de l’affaire du vol de la Joconde. En 1918, l’Espagnol se marie avec Olga Khokhlova, danseuse de ballet, dans la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky de Paris au cours d’une cérémonie où il a pour témoins Apollinaire et Cocteau.
La plus grande oeuvre de Picasso est née dans le 6ème arrondissement.En 1937, la guerre civile éclate en Espagne et affecte profondément l’artiste originaire de Malaga. En réponse à cet événement, Picasso réalise ce qui est sans doute son œuvre majeure, Guernica. Un tableau justement peint dans son atelier, situé cette fois 7 rue des Grands-Augustins, dans le 6eème arrondissement de Paris. La toile est même exposée lors de l’Exposition Universelle de Paris de 1937. La même année, Picasso demande sa naturalisation mais voit son offre refusée. C’est la dernière fois qu’il demande la nationalité française. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Pablo Picasso continue de vivre à Paris et ne quittera progressivement la capitale qu’à l’après-guerre.
Le musée Picasso, ultime hommage de Paris au génie espagnol.Si l’artiste finit ses jours loin de la capitale, il reste à jamais attaché à elle. Plus de 40 ans après sa mort, le génie de Pablo Picasso est toujours visible dans la capitale. Une opportunité que l’on doit notamment au musée Picasso, inauguré en 1985. Le lieu renferme la plus riche collection mondiale d’œuvres de l’artiste et couvre toutes ses périodes. Le lieu abrite aussi des œuvres de ses amis ou de maîtres que Picasso admirait, tels que Matisse, Cézanne ou Degas.
Musée Pablo Picasso – 5 Rue de Thorigny, 75003 Paris
Métro : Filles du Calvaire (ligne 8)
Ouvert tous les jours sauf lundi, de 9h30 à 18h
01 85 56 00 36
Ses peintures réalistes et détaillées viennent épouser la forme de la pierre pour faire naître des représentations animales qui sembles presque évidentes. « La forme naturelle de la pierre est une source d’inspiration infinie ». L’artiste ne touche jamais à la forme de la pierre pour arranger une forme ou un contour. Une démarque artistique et proche de la nature qui a débuté durant une ballade au bord d’une rivière un jour où elle a heurté un galet dont la forme lui a rappelé celle d’un lapin. De là est né son art, qu’elle appelle elle-même le « stone art » !
Les Peintures hivernales de Richard Savoie célèbrent la Chaleur de la Période de Noël ...
L’hiver serait la période la plus merveilleuse de l’année : tout est beau et recouvert d’une épaisse couche de neige et chaque maison a une odeur de biscuits au pain d’épice et de vin chaud.
Les incroyables bouteilles de sable d’Andrew Clemens ...
C’est très tôt, vers 17 ans, que l’artiste commence à expérimenter l’assemblage du sable qu’il insère minutieusement dans des bouteilles aux diverses formes.
Dans les premières années de son travail, les œuvres de Clemens étaient géométriques. Puis, petit à petit, il s’est attaché à compliquer son art en élaborant des bouteilles dont les sujets étaient figuratifs.
A l’époque, Clemens vendait ses bouteilles pour 5 à 7 dollars (l’équivalent de 110 à 160 euros aujourd’hui). Il en a réalisé une centaine, a travaillé des heures dessus.
Malheureusement peu sont encore intactes, mais celles qui le sont restent merveilleusement bien conservées.
Aujourd’hui ces bouteilles sont vendues pour des sommes allant jusqu’à 50 000 dollars.