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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Première photo du jeune couple Obama, interprété par Park Sawyers et Tika Sumpter, dans le «Southside with you» qui sortira sur les écrans en 2016 ...
La production du film «Southside with you», réalisé par Richard Tanne, vient de dévoiler la première photo du scénario inspiré du premier baiser entre Barack Obama et sa future épouse Michelle Robinson. Celui qui deviendra le premier président noir des Etats-Unis est incarné par l'acteur Park Sawyers, qui a déjà joué dans «Zero Dark Thirty» ou «Hyde Park on Hudson».
Cet après-midi de l'été 1989, les Obama déjeunaient à l'Art Institute de Chicago. Ils se sont rendus au cinéma pour découvrir le film «Do the right thing», réalisé par Spike Lee. Anatomie d'une émeute interraciale dans le Brooklyn des années 1980, ce long-métrage polémique à sa sortie offrait un état des lieux de l'Amérique, aussi clairvoyant que rageur.
Les tourtereaux se sont ensuite embrassés devant un glacier Baskin-Robbins, où figure désormais une plaque pour rappeler ce moment. A cette époque, Barack Obama était en première année de droit à Harvard et il travaillait au cabinet de Sidley Austin, où la jeune Michelle était son supérieur.
Pour Park Sawyers, "décrocher le rôle d'Obama était un honneur. J'essaie de rester calme, mais tout le monde me demande : " Vous pensez qu'il ira voir le film ?".
Disparition de Christopher Lee : et Dracula a rejoint les ténèbres ...
Il était mondialement connu pour avoir incarné le Comte Dracula dans une dizaine de films. Mais Sir Christopher Lee, qui vient de s'éteindre à l'âge de 93 ans, était connu par la jeune génération pour ses interprétations du sorcier Saroumane, dans le Seigneur des Anneaux, et du Comte Dooku, dans Star Wars…
C'était un sacré monstre. Mais aussi un monstre sacré. Avec 250 films en 65 ans de carrière, Christopher Lee a mordu à belles dents dans l'histoire mondiale du cinéma. Il a sans doute enterré un autre fameux vampire, Bela Lugosi en incarnant un des plus grands mythes du fantastique, le Comte Dracula.
Christopher Frank Carandini Lee naît en 1922 à Londres. Son père est un colonel anglais. Sa mère, issue d'une lignée de haute noblesse italienne. Un cocktail qui lui donne à tout à la fois un charme latin et une distinction «british», qui lui permettront de jouer aussi bien les prédateurs hideux que le cérébral Sherlock Holmes.
L'horreur ? Il va connaître très jeune celle des camps de concentration, qu'il arpente après la guerre comme capitaine, agent secret de la Royal Air Force. Démobilisé, il débute au cinéma, mais il est trop grand pour jouer les jeunes premiers, trop bizarre pour être un séducteur. Il végète, s'accroche, cachetonne à la télévision. Et puis un jour, c'est le réalisateur Terence Fischer qui lui donne sa chance : Lee a un physique ? Qu'il devienne… le monstre de Frankenstein ! Ce sont ses débuts dans la mythique maison de production anglaise Hammer, qui va révolutionner le cinéma d'épouvante.
Dans les années 50, les films sont en couleur. Alors, on ne va pas se priver de faire gicler l'hémoglobine écarlate sur grand écran ! Ces séries B sont méprisées par les critiques d'alors, et pourtant, elles sont magistralement exécutées par de grands réalisateurs comme Terence Fischer, Roy Ward Baker, Jimmy Sangster, de fameux acteurs comme Peter Cushing, inséparable ami de Lee. Rythme millimétré, décors soignés baignant dans une atmosphère gothique et victorienne, personnages habilement stéréotypés… Alors, lorsque Christopher Lee devient Dracula, en 1958, il fait frissonner la planète entière ! On tremble devant cette brutalité sauvage qui surgit soudain chez ce comte apparemment civilisé et si bien élevé ! Il reprendra dix fois le rôle, mais revient dans nos cauchemars sous les traits de la Momie, de Fu-Manchu ou Scaramanga, le méchant de James Bond (1) ! Au fait, Lee était le cousin de Ian Fleming, le papa de 007 !
Dans les années 2000, Dracula va resurgir de sa crypte, porté par une génération de réalisateurs qui se sont gavés de ses films dans leur jeunesse, et qui lui vouent un culte absolu : Lee apparaît dans «Sleepy Hollow» et «Charlie et la Chocolaterie» de Tim Burton, et surtout dans deux sagas cultes : «Le Seigneur des Anneaux»où il est le sorcier Saroumane, et «Star Wars» où il manie avec l'aisance de ses 80 printemps le sabre laser du méchant comte Dooku. Inoxydable…
Cet homme qui parlait six ou sept langues, dont un français parfait, a été anobli en 2001 et il prêtait sa voix d'outre-tombe à un groupe de métal ! C'était un gentleman adulé par ses pairs, le président de l'association des cascadeurs, une légende vivante. Le voilà parti vers un royaume des ténèbres qui sera ravi de retrouver un complice de toujours. Nous, on le croyait immortel.
(1) Christopher Lee avait tourné en 1978 «Passeur d'hommes» avec Anthony Quinn, dans les Hautes-Pyrénées. Il jouait le rôle d'un chef gitan. Plusieurs scènes ont été tournées à l'abbaye de l'Escaladieu et à Arreau.
Il avait rencontré JJR Tolkien !Comme un personnage de film fantastique, Christopher Lee a eu plusieurs vies, qui se sont télescopées les unes avec les autres dans le temps. Dans les années 50, alors qu'il était encore un acteur de second plan, il dévore la trilogie du Seigneur des Anneaux, de JJR Tolkien. Ce livre a eu à l'époque un succès considérable, et JJR Tolkien est devenu une sorte de star. «Un jour, j'étais dans un bar, et quelqu'un dit : regardez ! C'est le Professeur Tolkien ! Nous avons vu un Anglais typique, les pieds sur terre, fumant sa pipe !» se souvenait Christopher Lee. Et donc, sa joie fut immense lorsque Peter Jackson lui proposa le rôle du sorcier Saroumane pour sa trilogie du Seigneur des Anneaux : Lee était le seul de l'équipe à avoir approché Tolkien, mort en 1973 !
Cannes : la réaction poignante de Vincent Lindon ...
Quel final, quelle soirée et quel palmarès ! L'édition 2015 du festival de Cannes s'est achevée en apothéose dimanche soir avec 3 récompenses majeures pour le cinéma français : deux prix d'interprétation et une palme d'or.
La voix des frères Coen a fait résonner à trois reprises la Marseillaise : du jamais vu dans l'histoire du festival de Cannes. Le cinéma français n'avait pas connu pareille fête depuis 2011 et la double aventure The Artist et Polisse. Le palmarès tricolore euphorique n'était pas gagné car les films de Audiard, et de Maiwenn ont été reçus un peu fraîchement par la majeure partie de la critique, celui de Brizé faisant quasi l'unanimité sur le nom de Vincent Lindon.
"Ce matin, j'ai les larmes aux yeux de fatigue d'émotion car je n'ai pas encore atterri"
Vincent Lindon FacebookTwitterLinkedin
L'acteur était d'ailleurs en larmes dimanche soir sur la scène du palais des festivals. "J'ai très peu dormi. Ce matin, j'ai les larmes aux yeux de fatigue d'émotion car je n'ai pas encore atterri. J'ai que des gestes de sympathie de gens proches et même lointains. Je vais savourer, en profiter. C'est génial. Je vis un moment extraordinaire. Je suis comme un enfant, quand quelque chose d'extraordinaire m'arrive, je n'ai pas de pudeur. je le partage avec tout le monde"
Vincent Lindon a une filmographie impressionnante depuis 1/4 de siècle et c'est pourtant son 1er prix d'importance : est-ce que cette reconnaissance-là manquait ? "Cela ne me manquait pas. J'espère toujours mais je n'attends rien. Je n'ai aucune aigreur en moi, aucune rancune, aucune rancœur. Cela m'allait très bien de ne pas avoir de prix. Par contre, le prix m'a rendu fou de bonheur."
Jacques Audiard, artisan d'un cinéma exigeant, Palme d'or pour "Dheepan"
Jacques Audiard, qui a reçu dimanche la Palme d'or du Festival de Cannes pour "Dheepan", est un artisan du cinéma aussi rare que discret, dont les films, sombres et violents, touchent le grand public sans céder à la facilité.
"Recevoir un prix de la part des frères Coen, c'est quelque chose d'assez exceptionnel. Je vous dois infiniment", a-t-il déclaré très ému.
"Sur mes lèvres", "Un prophète", "De rouille et d'os"... Avec sept films en 21 ans, il s'est imposé comme l'un des réalisateurs les plus originaux du cinéma français et collectionne les récompenses.
Mais s'il est né "dans la marmite", le fils de Michel Audiard a attendu l'âge de 42 ans pour réaliser son premier film, en 1994.
"Vu la famille d'où je viens, le cinéma avait quelque chose de trop immédiatement accessible pour le jeune homme que j'étais. Il a donc fallu que j'emprunte une sorte de détour pour y revenir", expliquait-il en 2009.
Depuis, le réalisateur au crâne rasé, lunettes noires et chapeau à bords étroits, construit patiemment une oeuvre forte, qui doit autant au cinéma français des années 1970/80 dans lequel il a baigné qu'aux grands films américains de l'époque.
A 63 ans, il affirme se sentir "très cinéaste français" et cherche l'excellence pour communiquer, dit-il, "du sens et des émotions" aux spectateurs.
Jacques Audiard met en scène des personnages ambigus, lâchés dans un univers glauque d'escrocs minables, d'affairistes véreux ou d'anciens taulards. Avec parfois une bouffée d'espoir, quand les plus mal barrés - le petit délinquant d'"Un prophète", l'employée sourde et solitaire de "Sur mes lèvres"... - parviennent à s'en sortir.
Avec "Dheepan", il a mis en scène le parcours en France de réfugiés sri-lankais, confrontés à la vie et à la violence dans une cité.
- L'école française et l'influence américaine -
Né le 30 avil 1952 à Paris, il se destine d'abord à l'enseignement, pour ne pas s'inscrire trop tôt dans les pas de son père, le dialoguiste vedette de l'époque. Mais le cinéma le rattrape. Il débute comme monteur et s'essaie à l'écriture de scénarios. Un travail qui n'est pas, selon lui, suffisamment reconnu en France. Le métier de scénariste "existe à peine, on peut même parler d'une espèce d'inexistence. Et c'est celle que j'ai mené pendant dix ans", confie-t-il.
Il coécrit avec son père le scénario de "Mortelle randonnée" (1983) de Claude Miller et travaille sur une dizaine de films avant d'aborder la réalisation.
"Regarde les hommes tomber" (1994), sorte de road-movie avec un trio d'acteurs haut de gamme - Jean-Louis Trintignant, Mathieu Kassovitz, Jean Yanne - lui vaut le César de la meilleure première oeuvre. Il enchaîne avec "Un héros très discret" (1996) et "Sur mes lèvres", cinq ans plus tard, qui rafle trois Césars en 2002, dont celui du meilleur scénario (coécrit avec Tonino Benacquista).
Cinéphile passionné - "une espèce dont la disparition a été signalée dans les années 1980" - ses références sont aussi littéraires et musicales. "On lisait beaucoup à la maison". Le choix des comédiens - Emmanuelle Devos, Vincent Cassel, Tahar Rahim, Niels Arestrup, Matthias Schoenaerts -, compte également dans le succès public de ses films.
Après "De battre mon coeur s'est arrêté" (2005), remake d'un film noir américain de 1978, il écoeure la concurrence avec "Un prophète", superbe film d'apprentissage, Grand prix du jury à Cannes en 2009, nominé aux Oscars, qui récolte neuf Césars.
"De rouille et d'os", trois ans plus tard - la relation compliquée entre un vigile bagarreur et une dresseuse d'orques amputée - confirme sa fascination pour la violence et les personnages borderline. "J'ai un problème avec la violence, dit-il. Je l'ai en horreur et pourtant j'y reviens".
La Suède remporte l'Eurovision pour la sixième fois ...
La Suède, éternelle favorite du concours Eurovision, a de nouveau remporté samedi soir la compétition musicale aux 200 millions de téléspectateurs, grâce à Mans Zelmerlow, un jeune premier de 28 ans.
C'est la sixième fois que le pays d'ABBA - vainqueurs en 1974 - gagne le concours, et la première fois depuis 2012. Seule l'Irlande a fait mieux (7 victoires).
Mans Zelmerlow et "Heroes", sa chanson aux rythmes pop et aux sonorités électroniques, a devancé de 52 points la beauté russe Polina Gagarina.
Le trio italien Il Volo finit troisième, devant le Belge Loïc Nottet.
Mans Zelmerlow a longtemps été devancé par Polina Gagarina pendant l'annonce des votes, avant d'inverser la tendance sur la fin.
"Je croyais vraiment que la Russie ou l'Italie allaient gagner", a déclaré le vainqueur, radieux, lors de sa conférence de presse.
"Je suis fier et plein de joie... Heureux, oui", a-t-il ajouté.
Le tiercé final a donné raison aux parieurs, qui l'avaient pronostiqué dans cet ordre.
La France, dernière en 2014, a fait à peine mieux cette année : la chanteuse Lisa Angell a fini 25ème sur 27 avec "N'oubliez pas", une chanson sur la Première guerre mondiale qui paraissait en décalage avec le reste du programme.
Lisa Angell a confié sa déception au micro de RTL : "Artistiquement, bien sûr que je le vis comme une injustice (...), je pense que la musique et la politique, ça ne marche pas".
L'Autriche, vainqueur sortant avec la diva barbue Conchita Wurst et hôte de la compétition, a fait pire encore et partage le bonnet d'âne avec l'Allemagne.
Chanteur, musicien, présentateur à la télé et aussi un peu danseur, Mans Zelmerlow est omniprésent sur les écrans suédois depuis sa participation à l'émission de télé-crochet Idol, en 2005.
Le jeune homme au physique avantageux, fils d'un médecin et d'une professeur d'université, est né à Lund (sud). La chronique de ses amours fait les délices de la presse locale.
L'an dernier, il avait qualifié l'homosexualité de "déviance", avant de faire amende honorable. Début mai, il avait dit au quotidien gratuit Metro qu'il pouvait "absolument" envisager d'entretenir une relation avec un homme s'il se sentait "attiré".
La chaîne publique autrichienne ORF a mené sans le moindre accroc une soirée marquée par une ouverture spectaculaire, lors de laquelle Conchita Wurst a gagné la scène suspendue dans les airs par des fils.
Le vainqueur a été désigné pour moitié par un vote du public et pour l'autre moitié par des jurys professionnels. Ni l'un ni l'autre de ces collèges ne pouvait voter pour le candidat de son pays.
En 60 éditions, l'Eurovision a vu défiler bien moins de classiques que de chansonnettes sans prétention, jouant la carte de la bonne humeur un peu naïve et, souvent, du second degré.
- "Chaque pays envoie sa carte postale" -
Souvent moquée, la compétition a su défier le temps. Elle a reçu samedi à Vienne un certificat Guinness de "plus ancien télé-crochet annuel" de l'histoire de la télévision.
Pour le Belge Jean-Paul Philippot, président de l'Union européenne de radio-télévision (UER/EBU), l'Eurovision est "le contraire" des autres télé-crochets, tels que The Voice.
"C'est la plus grosse audience, non pas pour un format qu'on décline pays par pays, mais pour une émission dans laquelle chaque pays envoie sa carte postale", a-t-il affirmé à l'AFP.
Si les bluettes à grand renfort de violons s'empilent au palmarès, les bizarreries ont aussi toujours eu leur place au programme.
La géopolitique s'immisce toujours aussi un peu dans la soirée. L'an dernier, en pleine crise ukrainienne, les candidates russes avaient été copieusement sifflées.
Un écueil que Polina Gagarina a évité avec succès, avec sa chanson il est vrai très consensuelle sur la beauté de l'amour.
Eurovision 2015 à Vienne – Lisa Angell défendra les couleurs de la France –
Lisa Angell, de son vrai nom Virginie Vetrano, est née le 21 septembre 1968 à Paris. Lisa Angell a grandi à Nice, et a participé de 11 à 14 ans à plusieurs radio-crochets lors du Carnaval de Nice. Elle en sort vainqueur quatre années de suite. À 15 ans, elle entame au Conservatoire de Nice une formation de chant classique qu’elle arrête rapidement. Elle n’abandonne pas le chant et en fait son métier qu’elle exerce notamment en faisant du piano-bar sur la Côte d’Azur. Elle y chante essentiellement de la variété, mais aussi des titres en italien, en espagnol, et en anglais.
Après avoir fait tous les piano-bars de la côte d’Azur, Lisa décide en 2001 de s’installer à Paris où elle rencontre Didier Barbelivien. L’expérience n’est pas concluante et Lisa Angell retourne sur la Côte. En 2009, sur le point de rejoindre définitivement son époux et sa fille à Macao, elle rencontre Dani Lary et Patrick Sébastien sur le plateau du Plus grand cabaret du monde. Ce dernier lui propose de chanter dans l’émission Les années bonheur. Patrick Sébastien l’a produit et lui écrit des chansons de son premier album Les Divines sorti en 2011.
Produit par Philippe Swan, son deuxième album Des mots … sort en 2013. Le premier single est Je saurai t’aimer. Il s’agit d’une reprise du titre de Mélanie Cohl (représentante de la Belgique, Eurovision 1998). A partir de septembre 2013, elle participe régulièrement à l’émission hebdomadaire Les chansons d’abord sur France 3 présentée par Natasha St-Pier (Eurovision 2001). Son troisième album Frou-Frou est sorti en 2014.
Choisie par France 2, Lisa Angell défendra les couleurs de la France, à l’Eurovision en mai prochain, à Vienne. La Chanson que Lisa Angell interprètera s’intitule « N’oubliez pas ». Ce titre a été écrit par Robert Goldman, le frère de Jean-Jacques Goldman.
. " Il ne me reste que des larmes
Ces quelques notes venues d’autrefois
Et le chant de nos prières
Nos cœurs qui espèrent
Et le vide sous mes pas.
Il ne me reste que les cendres
De mon village plongé dans le silence,
Je ne suis qu’une blessure
Un cœur sans armure,
Comment survivre après ça.
Mais je suis là, je n’oublie pas
Dans mon village balayé par l’histoire
Et je vis là, n’oubliez pas
Effacé des cartes et des mémoires.
Je me souviens du rire des enfants
La voix des hommes quand ils partaient au champ
Les fêtes des moissons
L’odeur dans les maisons
Les éclats d’amour et de joie.
Mais je suis là, n’oubliez pas
Effacé des cartes et des mémoires
Quand ils sont arrivés
Cachés derrière leurs armes
Ils étaient des milliers
Ils riaient de nos larmes
Ils ont voulu détruire
Nos croyances et nos âmes
Avec des mots de haine
Que l’on n’connaissait pas.
Je suis ici ce soir
Au milieu de ces ruines
Pour vous parler d’espoir
Et vous chanter la vie
Et je fais le serment
Quand séchera le sang
De reconstruire ma ville
Bien plus belle qu’avant.
Mais n’oubliez pas ".
Lisa Angell a chanté à l’Euroclub de Vienne, Poupée de Cire Poupée de Son, Ne partez pas sans Moi, et N’Oubliez Pas :
La France participe au Concours Eurovision de la chanson, depuis 1956. La France est un des sept pays fondateurs du Concours Eurovision de la chanson, avec l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas et la Suisse. La France fait partie des cinq plus importants contributeurs financiers de l’UER, avec l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie et le Royaume-Uni. Ensemble, ils constituent le groupe dit des « Big Five ». Depuis l’édition 1999 du concours, ceux-ci ont la garantie d’une place automatique en finale.
La France a remporté le concours à cinq reprises : en 1958, avec la chanson Dors, mon amour, interprétée par André Claveau, en 1960, avec la chanson Tom Pillibi, interprétée par Jacqueline Boyer, en 1962, avec la chanson Un premier amour, interprétée par Isabelle Aubret, en 1969 avec la chanson Un jour, un enfant, interprétée par Frida Boccara, et en 1977 avec la chanson L’Oiseau et l’Enfant, interprétée par Marie Myriam.
Le pays a terminé à la deuxième place, à quatre reprises (en 1957, 1976, 1990 et 1991) et à la troisième place, à sept reprises (en 1959, 1965, 1967, 1968, 1978, 1979 et 1981).
Le rideau se lève sur le 68ème Festival de Cannes ...
Le jury est prêt avec les frères Coen en présidents farfelus, le tapis rouge sur le point d'être déroulé et la Croisette en effervescence: le 68e Festival de Cannes s'ouvre mercredi avec l'icône du cinéma français Catherine Deneuve dans un film grave, "La tête haute".
Sur une affiche monumentale, le visage rayonnant d'Ingrid Bergman, autre actrice mythique, qui aurait eu 100 ans cette année, accueille sous le soleil les festivaliers avant l'arrivée du jury. Ses neuf membres s'exprimeront en début d'après-midi lors d'une conférence de presse.
"Nous adorons Cannes et le Festival. Nous y sommes venus si souvent. Ce festival a tant fait pour nous", a déclaré au Figaro, Ethan Coen, réalisateur américain multi-récompensé à Cannes avec son frère Joel.
Le jury devra départager les 19 films en course pour la Palme d'or, décernée le 24 mai. "Nous avons bien l'intention de donner des ordres contradictoires. Puis d'observer là où cela nous mènera. C'est notre méthode", a-t-il plaisanté.
Le coup d'envoi du plus prestigieux festival de cinéma au monde sera donné à 19H00 (17H00 GMT). C'est l'acteur Lambert Wilson, maître de cérémonie déjà l'an dernier, qui reprendra l'habit cannois.
Mais, loin du glamour et "horrifié" par les exactions en Irak et en Syrie, il entend profiter de cette tribune pour opposer les femmes libres magnifiées par le cinéma aux femmes violentées dans certains pays.
"On n'est pas forcément tenus à rester dans le superficiel et la paillette au moment où on ouvre le Festival de Cannes!", a-t-il déclaré à l'AFP. "Je veux opposer la femme mise en lumière par le cinéma, révélée, à celle qu'on tient dans l'ombre, à celle qu'on bâillonne, à celle qu'on violente, à celle qu'on vend".
Grave aussi, le film d'ouverture est une oeuvre âpre de la réalisatrice française Emmanuelle Bercot sur un thème social, la délinquance et la justice des mineurs.
Catherine Deneuve y joue une juge pour enfants, Benoît Magimel -prix d'interprétation en 2001 à Cannes pour "La pianiste" de Michael Haneke- un éducateur, et le jeune Rod Paradot le jeune délinquant.
Oeuvre coup de poing, "La tête haute" sort mercredi dans toute la France.
"C'est un sujet grave, mais quand vous sortez vous avez les larmes aux yeux et en même temps une lueur d'espoir. Donc, je trouve que pour une ouverture c'est pas mal", a déclaré mardi sur RTL le nouveau président du Festival Pierre Lescure, confiant avoir "un peu le trac" avant le coup d'envoi de son premier Cannes.
Ce sera la deuxième fois dans l'histoire de Cannes qu'une réalisatrice fera l'ouverture du festival, après Diane Kurys il y a presque 30 ans, en 1987, dans un festival marqué par une plus grande présence des femmes.
Outre Emmanuelle Bercot, plusieurs réalisatrices seront en sélection officielle, même si elles ne sont que deux en compétition, les Françaises Maïwenn et Valérie Donzelli.
Avec cinq longs métrages en course pour la Palme d'or, et un quart des films toutes sections confondues, Cannes déroulera cette année le tapis rouge au cinéma français.
Trois films italiens seront aussi en lice dont le dernier opus de Nanni Moretti, qui concourra pour une deuxième Palme d'or après "La chambre du fils" en 2001.
Dans une sélection très européenne - avec aussi des films grec, hongrois et norvégien - trois Asiatiques et deux Américains, seront aussi sur les rangs, dont Gus Van Sant, déjà récompensé lui aussi d'une Palme d'or en 2003 pour "Elephant".
La superproduction fracassante "Mad Max" est attendue jeudi, avant le dernier Woody Allen et le premier film de l'actrice Natalie Portman.
Son époux, Benjamin Millepied, directeur de la danse à l'Opéra de Paris, offrira mercredi lors de la cérémonie d'ouverture une courte chorégraphie inspirée du film d'Hitchcock "Vertigo" ("Sueurs froides").
Alors que la 10ème saison de la série médicale à succès "Grey's Anatomy" est actuellement diffusée en France sur TF1, de l'autre côté de l'Atlantique les téléspectateurs ont une saison d'avance.
Les fans du show imaginé par Shonda Rhimes vont être tristes d'apprendre qu'à l'issue de la 11ème saison, Patrick Dempsey alias le Dr Derek Shepherd, va définitivement quitter la série, dans l'épisode 21 !
C'est dans l'épisode diffusé aux États-Unis le 23 avril 2015 que le sort de Patrick Dempsey a été scellé alors que des rumeurs de plus en plus insistantes commençaient à affirmer que l'acteur était sur le départ, victime de son comportement de "diva" qui aurait agacé l'inflexible Shonda Rhimes. En effet, victime d'un très grave accident de voiture, le personnage de Derek, aussi surnommé Docteur Mamour, est ainsi débranché de la machine le maintenant en vie par sa femme Meredith Grey (incarnée par l'actrice Ellen Pompeo). Un drame pour les millions de fans du programme dont Patrick Dempsey était l'un des piliers.
Ce départ n'est toutefois pas très surprenant puisque l'acteur avait déjà évoqué son envie de partir à l'issue de la 10ème saison. Officiellement sous contrat pour une possible 12ème saison, comme sa consoeur Ellen Pompeo, Patrick Dempsey va donc pouvoir partir plus tôt vers de nouvelles aventures. "Derek Shepherd est et sera toujours un personnage incroyablement important - pour Meredith, pour moi et pour les fans. Je n'imaginais absolument pas dire au revoir au Docteur Mamour. La performance de Patrick Dempsey en Derek a amené le personnage vers un exemple que nous espérons tous comme étant porteur d'espoir - de la joie, de la tristesse, du romantisme, de la peine et toujours un souci de vérité - sur ce que les jeunes femmes devraient avoir comme attente sur l'amour dans sa modernité. Sa perte sera ressentie par tous. Maintenant, Meredith et la famille de Grey's Anatomy sont sur le point d'entrer sur un territoire inexploré. Les possibilités de ce qui va arriver sont infinies. Comme Ellis Grey le dirait ... "le carrousel ne s'arrête jamais de tourner", a ainsi déclaré Shonda Rhimes dans un communiqué.
Le départ de Patrick Dempsey s'ajoute à ceux d'autres personnages phares comme Cristina Yang (Sandra Oh), Izzie Stevens (Katherine Heigl), Addison Montgomery (Kate Walsh) ou encore Mark Sloan (Eric Dane) ...