Écologiques autant qu’esthétiques, toutes ces maisons réalisent ici le souhait de beaucoup d’entre nous qui est de posséder une véritable cabane moderne dans les arbres. Une maison qui tout en respectant les rêves de notre enfance, ne sacrifierait pourtant rien au confort.

Après les cabanes dans les arbres, les yourtes mongoles ou les roulottes, voici une nouvelle forme d’hébergement pour le moins original dans la région. A Cornillé, à 35 km à l’est de Rennes, d’impressionnants tonneaux en bois de 3 m de haut, également appelés foudres, ornent depuis peu le jardin des Busson. « On les a récupérés auprès d’une ferme cidricole du coin sans savoir au début ce qu’on allait en faire », indique Françoise Busson, la propriétaire des lieux.

Le couple pense au départ les transformer en abri pour leurs chevaux. Ils optent finalement pour la location pour des couples en quête d’une nuit dans un décor insolite ... « En regardant sur Internet, on s’est rendu compte que cette proposition n’existait pas », poursuit F. Busson.
 
Après plusieurs mois de travaux et de décoration, le premier tonneau, baptisé "Pomme d’Amour", accueille depuis quelques semaines ses premiers visiteurs. Les quatre autres nids douillets seront prêts d’ici à l’an prochain, disposés en rond autour d’une petite place de village « comme chez les Gaulois ou les Indiens », plaisante Denis, le mari. Trois autres tonneaux sont également réquisitionnés en guise de sanitaire et de salle à manger. « Il nous reste encore une dizaine de tonneaux. On attend de voir si le concept fonctionne avant d’envisager d’en transformer d’autres », conclut Françoise Busson.

Les ingénieurs de la société américaine US Submarines (société connue pour concevoir des sous marins destinés à une clientèle fortunée) et les designers Franck Darnet et Karine Rousseau, ont imaginé la première maison sous marine : H2OME !

Elle sera immergée entre 10 et 18 mètres de profondeur au large des côtes de Bélize (Guatemala) en Amérique latine.

Les heureux locataires pourront accéder à H2OME par une berge accessible par bateau, hélicoptère ou sous-marin.

A partir de là,  un sas central accueillera un ascenseur qui conduira les occupants au cœur de la maison de forme cylindrique.

La maison sous marine, de 340 m2, sur deux niveaux, comprendra un salon, une salle à manger, un coin bar, une bibliothèque, trois chambres, trois salles de bain et une cuisine.

Toutes les pièces bénéficient d’un vue panoramique exceptionnelle sur les fonds marins, un système d’éclairage extérieur est même prévu.

La société US Submarine propose, en association avec le Musée océanographique de Monaco, d’implanter des coraux et des végétaux tout autour de la maison. Les concepteurs ont même été jusqu’à imaginer un système d’alimentation afin de s’assurer que faune et flore soient toujours présents. L’intérieur n’aura rien à envier aux intérieurs de luxe puisque H2OME a été conçu pour être un véritable palace flottant tant en terme d’aménagement que de fonctionnalité. Le tout en respectant une charte respectueuse de l’environnement.

Son Prix ?!!    
Les contraintes techniques auraient été réglées, une seule interrogation demeure celle du  prix de cette maison sous- marine ?

On parle de 10 millions de dollars ... mais le rêve n’a pas de prix et il aurait déjà séduit un jeune anglais. 

ARC EN CIEL DE PARAPLUIES DANS LES RUES D' AGUEDA AU PORTUGAL.

Elle pourrait être son arrière-petite-fille ... Moussali Mohammed al-Moujamaie, un fermier irakien âgé de 92 ans s’est marié, en secondes noces, avec Mouna Moukhlif al-Joubari, de 70 ans sa cadette, jeudi soir, dans le village dont lui et sa femme sont originaires.
Le mariage a été célébré en grande pompe, l’aïeul avait notamment convié des notables des tribus de la région de Goubban, près de Samarran, dans le centre de l’Irak.

Le fermier souhaitait surtout  célébrer ses noces conjointement avec ceux de deux de ses petits-fils, âgés de 16 et 17 ans.

"Je suis tellement content de m’être marié aux côtés de mes petits-fils" a déclaré l’époux, ajoutant qu’il avait plusieurs fois fait reporter les noces de ses petits-enfants "afin de pouvoir trouver une femme et l’épouser à la même date". Aussitôt trouvée, aussitôt épousée : Mouna Moukhlif al-Joubari, 22 ans, a pour sa part affirmé espérer "rendre son mari heureux et être acceptée par ses fils".

La fête, qui a duré plus de quatre heures, a été accompagnée de chansons, danses et de tirs d’armes à feu pour célébrer ce mariage insolite.

Avant de trouver Mouna, Moussali Mohammed était veuf depuis trois ans. Son premier mariage avait duré 58 ans dont étaient issus 12 fils et quatre filles.
 

(source : le Net)

En se promenant dans la nature finlandaise, la photographe Sylwia Domaradska a observé au loin un ours brun errer sur les berges du lac. Puis soudain, il s’est arrêté et a contemplé son reflet dans les eaux du lac.

Avec ses puissantes griffes, sa mâchoire béante et son imposante musculature, l’ours brun est considéré comme étant un redoutable prédateur. Pourtant, c’est aussi un animal calme, solitaire qui aime se promener paisiblement dans les bois, comme en témoignent les superbes clichés capturés par une photographe britannique âgée de 37 ans.

Armée de son appareil, Sylwia Domaradska se promenait dans le Kainuu, une région de l’est de la Finlande, à la recherche d’animaux à photographier quand elle a surpris l’ours brun. Il était autour de minuit mais il faisait encore jour. En effet, dans cette région finlandaise, le jour dure quasiment 24 heures au cours des mois d’été.

Si les ours sont d’ordinaire plutôt nocturnes, à cette période de l’année, ils peuvent donc difficilement attendre la nuit pour sortir.

Une remarquable chance pour la photographe qui a bien distinguer l’animal.

Au vu de son apparence plutôt petite, il s’agissait sans doute d’un jeune ours, peut-être âgé de deux ou trois ans, d’après la Britannique. "Il était très prudent, dans la mesure où, à cet âge, il doit faire attention aux femelles avec des petits et aux mâles plus âgés", a t-elle raconté citée par le Huffington Post.

Au moment où elle l’a aperçu, l’ours se promenait très tranquillement sur les berges du lac en quête de nourriture, sans même faire attention à la présence de la photographe.

Puis il s’est arrêté et s’est approché du bord pour regarder dans l’eau. Son reflet est alors apparu et l’animal a continué de fixer le lac. Regardait-il son propre reflet ou tentait-il de percer la clarté des eaux à la recherche de poissons ?

Difficile à savoir… Mais "il semblait regarder son propre reflet – comme il est resté au même endroit pendant un moment", a témoigné la photographe. D’ailleurs, quand l’ours a lentement continué de longer les bords du lac, il a maintenu son regard sur l’eau.

"C’était vraiment assez incroyable à voir", a t-elle ajouté, "et puis [l'ours] a disparu". Mais la photographe a largement eu le temps d’immortaliser le moment et de capturer l’incroyable vue de cette sorte de "double paysage". "Les conditions étaient absolument parfaites pour ce genre d’images. Le reflet était parfaitement immobile et la ligne entre le reflet et les vrais arbres créait très peu de flou. C’était comme un rêve. Il était presque difficile de voir quand le reflet démarrait", a t-elle décrit.

"En réalité, j’étais partie avec l’intention de prendre différentes images. J’espérais voir des ours se baigner et s’éclabousser dans l’eau et à la place, ceci est arrivé", a t-elle encore ajouté. "Mais ça ne s’est pas avéré si mal, n’est-ce-pas ?"
(Source : Maxi Sciences)

Femme, homme ou  … transgenre. Désormais les citoyens népalais pourront choisir la mention sur leur passeport. Ce mardi, Hemanta Rawal, un porte-parole de la Cour suprême du Népal l’a annoncé officiellement : « La Cour suprême a statué sur la requête réclamant une nouvelle catégorie. La Cour a ordonné au gouvernement d'appliquer la décision. » Comme dans l’Etat australien de Nouvelle-Galles du Sud, les personnes appartenant à un troisième genre sont maintenant officiellement reconnues. Une décision qui réjouit la principale association de défense des droits des homosexuels au Népal, Blue Diamond Society ... « Nous sommes très contents. Cette décision est plus simple pour ceux qui s'identifient comme appartenant au troisième genre. Maintenant, ils peuvent voyager à l'étranger avec un passeport qui leur donne une reconnaissance », s'est félicité le président de l’association, Sunil Babu Pant.

Une première décision en 2007 :

Ce verdict de la Cour suprême fait suite à d’autres décisions en faveur des personnes transgenres au Népal. En janvier dernier, le gouvernement avait annoncé l’entrée en vigueur d’un troisième genre sur les certificats de citoyenneté, qui font office de papiers d’identités dans le pays. Une mesure qui avait été approuvée par la Cour suprême en 2007, mais avait mis plus de cinq ans à entrer en vigueur. A l’époque, les militants en faveurs des droits des LGBT (lesbiennes, gay, bisexuels et trans) avaient fait savoir qu’il était très difficile pour les transgenres de trouver un emploi, s’inscrire dans un établissement scolaire ou accéder à la propriété sans papiers appropriés.

(source - http://www.elle.fr)

Plus de 11.000 participants au 25ème "Dîner en blanc" de Paris ... Plus de 11.000 personnes participaient jeudi soir dans deux lieux parisiens d'exception, au pied de la pyramide du Louvre et près des fontaines du Trocadéro face à la Tour Eiffel, au 25ème Dîner en blanc, événement mondain et spectaculaire organisé sans autorisation. 

 

Selon des consignes rigoureuses les participants, tous vêtus de blanc, ont convergé vers les deux lieux publics choisis dans le plus grand secret pour ce très chic pique-nique qui fonctionne selon le système du parrainage.

Venus en transports en commun pour ne pas créer de difficultés de circulation, les convives ont apporté avec eux tables et chaises pliantes, nappes blanches, mets fins et pour certains ... chandeliers, pour ce dîner en plein air.

Créé en 1988, le concept qui se résume à un "flash mob chic et mondain", avec la bienveillance des autorités, s'est exporté depuis quelques années dans une quarantaine de pays.

En quelques minutes, le dîner s'est mis en place, sous le regard des badauds médusés.

Inventés en 1988 par le Français François Pasquier et une poignée d'amis épicuriens, qui rêvaient de dîner en plein air dans les plus beaux endroits de Paris, ces élégants pique-niques connaissent désormais un succès international.

Selon un code de bonne conduite basé sur l'art de vivre, l'endroit est laissé intact à la fin du dîner, toujours avant minuit.

Pour le 25ème anniversaire, un feu d'artifice devait être tiré près des fontaines du Trocadéro.