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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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NINA GEOMETRIEVA est un graphiste et illustrateur de Skopje, en Macédoine. Dans son dernier projet sur Behance , Nina conteste téléspectateurs de faire défiler son image massif 725 x 240 076 pixels et d’expérimenter ce que qu’il peut seulement décrire comme une sorte de "arc en ciel faisceau laser."
Ses choix de la palette de couleurs sont impressionnantes et le défilement vers le bas incroyablement longue, le graphique est rafraîchissant et agréable. Jesus Diaz de Gizmodo a fait un gif assez impressionnant du graphique de Nina
Espace : La chute d’une météorite provoque un flash lumineux inédit de la lune ... En percutant la Lune, une météorite a provoqué un flash de lumière comme les astronomes n’en avaient jamais vu sur l’astre mort.
Une météorite de près d’un mètre et demi de diamètre et d’environ 400 kg a donné lieu à un flash lumineux spectaculaire lorsqu’elle a percuté la lune en septembre dernier.
Parce qu’elle n’est pas protégée par une atmosphère comme l’est la Terre, la Lune n’est pas à l’abri de ce genred’événements – sa surface constellée de cratères en témoigne.
Mais jamais l’impact d’un objet tombé du ciel n’avait produit un flash de lumière comme celui du 11 septembre 2013, lorsqu’une météorite a atterri dans la mer des Nuages – la Mare Nubium en bon latin – à une vitesse de 61.000 km/h.
"Tous les gens qui, par chance, regardaient la Lune à ce moment-là ont pu voir le flash de lumière", explique la Royal Astronomical Society de Londres dans un communiqué.
D’ordinaire, le flash ne dure qu’une fraction de seconde après une collision. Cette fois-ci, la lumière était presque demême intensité que celle de l’étoile polaire et a duré huit secondes, comme le montre la vidéo d’un astronome espagnol.
"À cet instant, j’ai compris que j’avais vu un événement très rare et tout à fait extraordinaire", a expliqué José Madiedo, de l’Université de Huelva.
(Source : Ouest France)
Australie : l'incroyable vol d'une statue de mangue géante !
Capitale de la mangue de l’Etat australien du Queensland, la ville de Bowen avait pour fierté l’immense fruit trônant fièrement à l’entrée de la ville. Une gigantesque statue de dix mètres de haut pour quelques sept tonnes du nom de "Big Mango", "grosse mangue" en anglais. Un véritable monument dont les dimensions semblent peu propices à tout déplacement. En pourtant. La stupeur des habitants de la ville, lundi dernier, a dû être palpable à la découverte de son socle vide. Des voleurs ont en effet profité de la nuit paisible de ce coin reculé pour commettre le larcin du siècle, en dérobant la célèbre mangue.
Le vol, qui a étonné tant pour sa prouesse logistique que pour ses motivations obscures, a fait l’objet d’une forte mobilisation de la part des habitants. Notamment sur les réseaux sociaux, où différentes images fortes d’une certaine autodérision furent partagées. D'autant plus que les caméras de surveillances surveillant le fruit étaient parvenues à filmer la scène.
Un coup de publicité :
Finalement, il n’a fallu que quelques heures pour retrouver le coupable, qui s’est lui-même dénoncé. Il s’agit en réalité de Nando’s, une chaîne de restauration spécialisée dans le poulet. "La disparition de la ‘Big Mango’ a fait pas mal de bruit et nous confessons que Nando’s était derrière le déménagement de cette attraction touristique de sept tonnes", a ainsi avoué l’enseigne sur son site Internet, remerciant "les gens de Bowen de se montrer fair-play à leur égard après cet emprunt de leur jolie mangue". Ayant publié la vidéo expliquant le processus du larcin, la firme a déclaré qu’elle expliquera les raisons de ce geste après avoir avoir remis la statue en place. Pas tout de suite, visiblement. En effet, celle-ci a déclaré avoir "de grands projets" pour le monument. Une chose demeure néanmoins certaine : ses ingénieurs ont réalisé une véritable prouesse.
Anna Macchi, femme de ménage dans un musée italien, ne s’y connaissait visiblement pas en art contemporain.
La jeune femme étant très consciencieuse dans son travail, elle n’a pas hésité à se remonter les manches lorsqu’après avoir ouvert la porte d’une des salles du musée, elle a découvert un "vrai bordel", selon ses propres dires. "J’ai vu tout ce foutoir par terre, les cartons, les bouteilles de verre", confie-t-elle à la Repubblica. "Alors, j’ai pris les cartons, les bouteilles, j’ai tout mis dehors".
Sauf que la boîte en carton remplie de bouteilles vides, comme elle l’appelle, et qu’elle a gentiment jetée à la poubelle était une oeuvre d’art qui devait être exposée à l’occasion du Display Mediating Landscape, un festival d’art contemporain.
"Comment aurais-je pu le savoir " ?, se défend-elle, en affirmant n’avoir aucun sentiment de culpabilité. "J’ai tout simplement fait mon travail". L’assurance de la société de nettoyage qui l’emploie doit désormais rembourser l’oeuvre balancée aux ordures. Une facture qui s’élever tout de même à 10.000 euros.
(Source : Alter Info)
Sous le regard stupéfait des visiteurs du zoo de Chengdu, un homme s’est laissé tomber dans l’enclos abritant un couple de tigres du Bengale.
Un Chinois qui souhaitait se donner la mort en s’offrant lui-même comme repas aux deux tigres d’un zoo a vu son projet échouer, par manque d’intérêt de la part des félins, a rapporté mardi un journal local.
S’étant rendu dimanche au zoo de Chengdu, Yang Jinhai, 27 ans, a escaladé un arbre et s’est laissé tomber dans l’enclos abritant un couple de tigres du Bengale, a indiqué le Quotidien économique de Chengdu.
Sous le regard stupéfait des visiteurs, Yang – un jeune homme au chômage souffrant de dépression et de troubles mentaux selon son frère – «a effectué des mouvements théâtraux» durant une vingtaine de minutes pour inciter les tigres à le manger.
«Je leur demandais de me mordre et je voulais les laisser dévorer ma chair, je ne les rejetais pas», a confié M. Yang, selon des propos recueillis par le quotidien.
Mais après l’avoir écorché et traîné par le cou, les deux tigres s’en sont désintéressés, refusant d’en faire leur repas.
Les employés du zoo ont finalement administré des tranquillisants aux deux animaux avant de secourir le jeune homme, qui s’en est tiré «avec 16 blessures légères» et bénéficie désormais d’un traitement contre la dépression, a rapporté le journal.
(Source : AFP)
Après avoir tenté de camoufler sa maladie en s’épilant plus de deux fois par semaine, Harnaam a décidé de s’accepter telle qu’elle était. Elle s’est convertie à la religion sikhe, qui prône la pilosité et interdit d’ailleurs la coupe des cheveux et l’épilation. "Je ne reviendrai plus jamais en arrière", dit-elle. "Je ne m’épilerai plus jamais le visage parce que c’est comme cela que Dieu m’a faite et j’en suis heureuse".
Pour Harnaam, ses poils n’ont rien de masculin que du contraire. "Je me sens plus féminine, plus sexy", affirme-t-elle. "J’ai appris à m’aimer pour ce que je suis et rien ne peut plus m’ébranler".
(Source : 7s7)
Quand les odeurs nous font voyager dans le temps et l'espace !
L’exposition Urban Olfactory à San Francisco permet au public de découvrir des reconstitutions de parfums et d’atmosphères de divers époques. Un beau projet qui montre à quel point les odeurs ont pu avoir un impact sur la gestion des villes au cours de l’histoire.
Et si on faisait un peu d’histoire avec nos nez ? C’est ce que proposel’exposition Urban Olfactory à San Francisco qui offre aux visiteurs la possibilité de voyager dans le temps et l’espace à travers… les odeurs et les parfums ! On y retrouve aussi bien des reconstitutions odorantes de Paris en 1738, du détroit du Bosphore et de ses épices au Moyen-Âge, de la cour de Louis XIV, d’une autoroute du New-Jersey pendant une tempête ou du port de Rotterdam de nos jours.
Organisée par le SPUR, l’association de planification et de recherche urbaine de San Francisco, l’exposition offre un regard neuf sur l’histoire et l’évolution des villes. Elle est chapeautée par deux historiens du California College of Arts, David Gissen et Irene Cheng, mais des parfumeurs comme le Français Christophe Laudamiel ont aussi mis leur savoir-faire au service du projet.
Une influence sur le planning urbain :
"Un des points de l’exposition est de penser les odeurs en tant que forces historiques, détaille David Gissen au site The Atlantic Cities. [Cela montre] comment les odeurs d’une ville peuvent la pousser à se transformer, par le biais d’une discipline sociale basée sur des idéologies de la propreté et des modèles rationnels de management municipal. Les odeurs ont sans aucun doute incité certaines idées sur la planification des villes".
Il faut bien le dire, tout n’est pas franchement très agréable aux narines dans cette exposition. Les odeurs sont conservées dans des vitrines à couvercles que l’on n’a pas toujours envie d’ouvrir une seconde fois. Le parfum Paris 1738 utilise ainsi du cassis pour rappeler l’urine et de la pyrazine pour suggérer des égouts à l’air libre.
Heureusement, l’exposition met à disposition des visiteurs des verres remplis de grains de cafés pour chasser immédiatement les mauvaises odeurs et faire oublier à leur nez les sensations désagréables.
De la pollution en bocal :
Il existe également un parfum de pure pollution. "C’est censé capturer l’odeur ambiante de la combustion d’hydrocarbures dans l’air. C’est une odeur très gênante, précise au cas où David Gissen. La première fois que je l’ai sentie, j’ai presque pleuré. En un instant vous ressentez toute la dégradation environnementale qui a lieu".
Si jamais vous passez par San Francisco, l’exposition a lieu jusqu’au 31 mai. L’occasion rêvée d’acquérir le fameux parfum pollution, en vente pour la modique somme de 432 dollars le kilo.
(Source : Maxi Sciences)
Depuis sa naissance, Chandre Oraon a la particularité de voir pousser une queue à la base de sa colonne vertébrale. Aujourd’hui âgé de 35 ans, cet Indien est fier de montrer à tout va ses 36 cm de "queue de singe", qui n’est en fait autre qu’une capillarité exacerbée qu’il laisse pousser joyeusement.
Et pour cause, les singes sont sacrés en Inde et Hanouma est un dieu encore très vénéré dans les villages hindouistes. Cela vaut à Chandre d’être honoré par des foules de croyants désireux de toucher sa queue pour se protéger de la maladie ou simplement pour porter bonheur à leurs nouveaux-nés. Certains feraient même des centaines de kilomètres pour tenter leur chance auprès de cet attribut réputé magique.
Mais bien que vénérée, une queue de singe ne nourrit pas son homme. Chandre est donc obligé de gagner sa vie comme ses concitoyens en cueillant le thé dans les cultures de la région.
(Source : 7s7)
Un somnambule terrorise un campus américain !
Ceci n’est pas un vrai somnambule. Tel est le message qui aurait dû figurer sur cette incroyable statue de somnambule conçue par un artiste particulièrement soucieux du réalisme. Car l’oeuvre d’art, si elle est le fruit d’un travail impeccable, a suscité de vives réactions sur le campus où elle a été posée lundi. Furieuses, de nombreuses étudiantes veulent qu’on la fasse déguerpir.
Ce somnambule n’est pas venu seul et uniquement vêtu d’un slip au milieu de la neige à l’université pour filles du Massachusetts. Réalisation de Tony Matelli, un artiste qui expose ses oeuvres au Davis Museum du campus, la statue a été placée au coeur du cadre de vie des étudiantes.
L’art s’échappe :
"Depuis le cinquième étage, j’ai pu voir les élèves s’arrêter et tenter de communiquer avec la statue. Elles ont pris des ‘selfies’ avec elle et sont venues en groupe découvrir ce nouvel élément de leur environnement, malgré la neige", se réjouit Lisa Fischman, la concervatrice du musée. "J’aime l’idée que l’art puisse s’échapper de l’enceinte du musée et jeter le flou sur la frontière entre ce que nous attendons à l’intérieur (de l’art) et à l’extérieur (la vraie vie)", justifie-t-elle encore. Ces considérations artistiques (et ce bon coup de pub pour le musée de l’université) ne sont pas dénuées de sens, mais n’ont rien pour plaire aux premières concernées.
Pétition :
Des étudiantes ont en effet immédiatement réagi en nombre à l’apparition de ce nouveau collègue. Certaines ont en effet paniqué à la vue de ce somnambule dénudé, tant pour sa sécurité que pour la leur. Une fois qu’elles ont réalisé avoir été dupées, plusieurs n’ont pas pris l’affaire avec humour. Une pétition a aussitôt été lancée pour que la statue retourne au musée. "C’est peut-être humoristique ou l’objet d’une certaine réflexion pour certains, mais c’est aussi devenu une source de stress superflu pour celles qui étudient, vivent et travaillent ici", regrette Lauren Walsh, à l’origine de la pétition pour le retrait de la statue. En deux jours, plus de 350 signataires se sont d’ailleurs rangées du côté de la pétition. "Il nous donne un sentiment d’insécurité", se plaignent les demoiselles.
(source : 7s7)