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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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29.05.2021
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Marthe Robin et les stigmates du Christ ...
Mystère - (légende et vérité)
Marthe Robin est restée cinquante ans sans se nourrir et pourtant elle a survécu miraculeusement. Revenons sur son enfance et découvrons son histoire.
Marthe naît le 13 mars 1902 à Châteauneuf-de-Galaure dans la Drôme. Elle contracte la fièvre typhoïde ce qui la rend fragile tout le reste de son enfance. Elle tombe malade le 1er décembre 1918 et les médecins pensent à une tumeur cérébrale, suite à quoi elle tombe dans le coma quatre jours durant. Elle sort de cette phase difficile, mais la maladie progresse et elle se retrouve maintenant partiellement paralysée. En avril-mai 1921, elle connait une nouvelle phase de rémission et à partir de mai 1928 se retrouve définitivement paralysée des membres inférieurs. Il semble qu’elle était atteinte d’une encéphalite, une affection inflammatoire des centres nerveux .Son hypersensibilité à la lumière l’obligeait à rester recluse, dans une chambre peu éclairée.
Marthe avait une relation très forte avec Dieu, elle aimait le prier régulièrement et fit sa communion le 15 août 1912. A partir de 1930, elle cessa de s'alimenter de nourriture ‘normale’ et ne consomma plus que des hosties consacrées et cela jusqu’à sa mort, soit 51 ans plus tard. Au début du mois d’octobre 1930 elle commença à recevoir les stigmates, autrement dit, des traces des plaies comme infligées à Jésus-Christ au cours de sa crucifixion et ce phénomène dura jusqu’à sa mort le 6 février 1981.
Elle a reçu dans sa chambre plus de 100.000 personnes, dont 60 évêques et cardinaux, des centaines de prêtres, de consacrés, des célébrités du monde intellectuel, de nombreux fondateurs d'ordres et communautés nouvelles. Elle a aussi fondé une œuvre, les Foyers de Charité, présents dans le monde entier, où l'on prêche des retraites pour la formation des laïcs.
Le docteur Alain Assailly, l’ancien neuropsychiatre de Marthe, nous explique, selon son avis, pourquoi elle ne pouvait plus manger. Il nous dit que son encéphalite avait ‘détraqué’ son mécanisme de déglutition et donc que si elle mangeait, elle recrachait tout par la bouche. Son système digestif avait était irrémédiablement abimé et il ne fonctionnait tout simplement plus. Il a été témoins de ces passions et dit que ce n’était pas du sang qui coulait à proprement parler, mais que c’était sous épidermique, il coulait donc sous la peau.
Carole Saya, médecin généraliste nous dit que sans manger l’homme ne peut tenir qu’entre trois et huit jours en moyenne. Elle nous fait remarquer que pour parler, sourire etc... il faut contracter des muscles et pour pouvoir les contracter, il faut de l’énergie, et l’énergie s’est avoir de la matière première, donc de la nourriture et de l’eau.
Gonzague Mottet, psychiatre dit que Marthe n’était pas malade organiquement. Pour lui, ces manifestations sont le reflet d’une stratégie de lutte contre une angoisse névrotique, une angoisse qui était telle pour elle qu’elle ne pouvait qu'envisager la fuite.
Elle a transformé ses douleurs en don d'amour, elle a accepté de continuer à vivre pour aider ses frères. La plupart de ceux qui l’ont connu diront que c’était la personne la plus extraordinaire qu’ils aient eût à rencontrer. Pour beaucoup c’est une sainte, mais l’église ne s’est pas encore prononcée à ce sujet.
Trente ans après sa mort et alors que son dossier en béatification est désormais à l’étude à Rome, Marthe Robin, inspiratrice des Foyers de charité, continue de susciter une dévotion impressionnante.
Cette avenue pittoresque est l’un des endroits le plus photographié d’Irlande du Nord.
Photographes, locaux et étrangers, s’assemblent à l’avenue pendant toutes les saisons de l’année pour capturer ce phénomène naturel unique dans différentes conditions d’éclairage. Lumière du soleil, brouillard épais, des couchers de soleil dorés et des tempêtes de neige même attirent des photographes pour capturer ce tunnel étrange dans toute sa gloire. C’est également une destination populaire pour les couples à prendre leurs photos de mariage. Le tunnel d’arbre épique est même apparu dans l’acclamé et largement l0ved série de Game Of Thrones TV (saison 2 épisode 1).
Les hêtres entourant cette sereine avenue ont été plantés au XVIIIème siècle par la famille Stuart afin d’impressionner les visiteurs sur l’approche à leur maison, Gracehill House. Au fil du temps, les branches du haut de l’arbre élargi et a grandi ensemble, formant la cathédrale naturelle pittoresque et envoûtante que nous voyons aujourd’hui.
Les photographes adore prendre des photo de ce mystérieux bosquet d’arbres dans un épais brouillard, ce qui est normal en raison d’une légende fantomatique qui les entourent. Il est dit que ces hêtres sont hantés par un « Grey Lady », qui erre entre les arbres au crépuscule, glisse silencieusement le long de l’avenue avant de disparaître à la fin des arbres.
auteur : Stephen Emerson
Tout était pourtant décrit dans cette fresque découverte au début des années 2000 dans la tombe de Djehutihotep. On voit clairement un homme à l’avant d’un traîneau transportant une immense statue, en train de verser du liquide sur le sable. © (Twitter).
Comment les Egyptiens sont-ils parvenus à construire des pyramides, transporter des blocs de pierre de plusieurs tonnes et déplacer des statues géantes uniquement à la force de leurs bras et de leurs jambes? 4.500 ans plus tard, des physiciens néerlandais ont visiblement trouvé la réponse. Et la solution est d’une simplicité enfantine …
Tout le monde sait que le peuple égyptien était doté d’une grande intelligence pour construire les pyramides ou de gigantesques statues. Ils avaient notamment développé des systèmes de traîneaux pour déplacer plusieurs tonnes de blocs de pierre. Mais une question revenait avec insistance: comment faisaient-ils pour les tirer dans le sable ?
Si la réponse semble aujourd’hui enfantine, il a toutefois fallu l’intervention de plusieurs physiciens néerlandais de l’Université d’Amsterdam et de la Fondation pour la recherche fondamentale sur la matière (FOM) pour y voir un peu plus clair dans cette affaire. Et selon le site "Phys.org", le résultat de leurs recherches publié dans les "Physical Review Letters" (datant du 29 avril) permet (enfin) de percer ce mystère.
Goutte d’eau :
La solution ? Elle est aussi simple qu’une goutte d’eau. Effectivement, il apparaît que les Egyptiens se sont facilités la tâche en mouillant le sable à l’avant du traîneau. Des tests effectués en laboratoire ont démontré que la force de traction est diminuée de moitié en dosant correctement l’humidité du sable.
Question de dosage :
Si on ajoute de l’eau au sable, des "ponts capillaires" se forment entre les grains. Les petites gouttes d’eau les collent entre eux et la compacité du sable augmente. Forcément, un traîneau glisse mieux sur une surface compacte. Sur le sable sec, la progression a plutôt tendance à freiner. Et en versant trop d’eau, le risque de boue est possible et la force de traction deviendra à nouveau très compliquée. Bref, tout est une question de dosage …
Avancée historique :
Cette découverte, une avancée importante dans l’Histoire, permettrait aussi de comprendre le comportement d’autres matériaux granuleux, comme le béton, le goudron ou l’asphalte. Et par la même occasion d’améliorer les transports à travers le monde (10% de notre consommation énergétique totale).
(Source : RTL)
Japon : le mystère du cerisier de l’espace :
Rien, pour le moment, n’explique l’énigme de la floraison précoce de ce cerisier japonais. Planté il y a seulement 4 ans, l’arbre a déjà fleuri début avril alors que, généralement, la floraison n’apparait qu’à partir de 10 ans.
Le cerisier, mis en terre près de son ancêtre millénaire (1250 ans selon la légende locale), mesure déjà 4 mètres de haut. Ce sont les moines du temple Ganjoji, de la préfecture de Gifu (centre du Japon), qui sont en charge du jeune arbre prodige. "C'est la première fois qu'un noyau issu du cerisier vénérable germe et croît aussi bien ! Nous sommes très heureux car le nouvel arbre va lui succéder", s'est enthousiasmé le prêtre principal Masahiro Kajita, auprès de l’AFP.
Un noyau un peu particulier :
Le noyau du cerisier avait été sélectionné parmi des graines provenant du même arbre millénaire mais aussi de cerisiers d‘autres régions du pays du Soleil Levant. Les noyaux ont tous fait un séjour dans la Station spatiale internationale (ISS) en novembre 2008. Il y ont passé 8 mois, effectuant 4100 tours de notre planète. Certains d’entre eux ont été étudiés en laboratoire, mais la majorité ont été renvoyés sur leur lieux de naissance pour y être plantés. Le fameux cerisier à, lui, été planté dans le cadre d’un projet éducatif pour d’initier les enfants à l'arboriculture.
Le mystère reste entier :
Selon une chercheuse associée au projet Kaori Tomita-Yokotani de l'Université de Tsukuba, cité par RTL, "la précocité du cerisier pourrait être une conséquence de l'exposition du noyau aux rayons cosmiques". Cette hypothèse n’est pas la seule avancée par la chercheuse. En effet, une pollinisation du cerisier d’origine par d’autres espèces à la floraison plus précoce pourrait expliquer le mystère du jeune arbre.
En 1991, le cas de Pamela Reynolds fait le tour du monde. Placée en état de mort clinique pour une opération, elle vit une expérience de mort imminente. Une situation impossible au regard de la science et pourtant constatée ici par tous les médecins.
Un anévrisme peut être décrit comme une dilatation en forme de poche située en un point fragilisé d’une artère. Celui dont souffre Pamela Reynolds est doublement problématique : non seulement sa taille est importante, mais en plus, il se trouve dans l’une des artères cérébrales les plus proches du tronc cérébral. Si la poche éclate, le risque d’une hémorragie cérébrale entraînant la mort est considérable. Les chances de survie de cette jeune mère de famille âgée de trente-cinq ans sont donc très minces. Elle décide de contacter le Dr Robert Spetzler, neurochirurgien à l’institut neurologique Barrow dans l’Arizona. Malgré un pronostic inquiétant, il lui propose l’opération de la dernière chance utilisant une procédure encore rarement utilisée appelée « arrêt circulatoire hypothermique ». A ce moment là, Pamela Reynolds est loin de s’imaginer qu’elle va vivre une expérience extraordinaire qui va être relayée dans le monde entier.
Une opération extrêmement délicate :
L’opération consiste à drainer tout le sang à l’extérieur du corps afin de supprimer la pression dans les artères et ainsi dans l’anévrisme. Ce n’est qu’une fois le corps vidé de son sang qu’il est possible d’atteindre l’anévrisme et de le supprimer. Afin de protéger le cerveau de changements irréversibles liés au manque d’oxygène, les chirurgiens abaissent la température du corps à 15,5 degrés. Sous barbiturique et en conditions d’hypothermie, le corps peut normalement survivre entre 30 et 60 minutes. Pour les besoins de l’opération, Pamela Reynolds est ainsi placée en état de mort clinique pendant plus d’une heure.
En état de mort clinique et consciente :
L’opération est un succès. Mais plus surprenant encore, alors que trois tests cliniques différents confirment que son cerveau est mort, qu’elle est en état d’hypothermie, et qu’elle n’a plus une goutte de sang dans le corps, Pamela Reynolds raconte être sortie de son corps pendant l’opération, avoir entendu et vu tout ce qu’il se passait, et fait l’expérience d’une autre réalité : « Cela peut paraître fou. Tout d’un coup, je suis sortie par le haut de ma tête. Je voyais ce corps en bas et je savais que c’était mon corps. Je regardais autour de moi. J’étais plutôt contente. Je n’avais plus mal. C’était intéressant. J’ai vu les médecins. » retrace-t-elle dans la série documentaire Enquêtes Extraordinaires diffusée sur M6. Pamela Reynolds raconte ensuite avoir entendu la scie utilisée pour ouvrir sa boîte crânienne et confie ne pas avoir beaucoup aimé regarder cela. A ce sujet, le Dr Spetzler précise : « Je ne crois pas que les observations qu’elle a faites s’inspirent de ce qu’elle a pu observer en pénétrant le bloc opératoire. Elle n’a pas pu voir les instruments. Ils ne sont pas visibles ; ils sont à l’intérieur de leur emballage. On commence à les déballer uniquement lorsque le patient est complètement endormi, de manière à préserver un environnement stérile. » Pamela Reynolds poursuit son récit : « J’ai vu ce petit point de lumière et j’ai entendu ma grand-mère m’appeler. Je suis allée vers elle tout en me disant "Oh je dois être en train de mourir". La lumière est devenue de plus en plus grande. Je voulais y entrer mais je n’y étais pas autorisée. Ils m’ont dit que si j’entrais dans la lumière, ils ne pourraient pas réunir le moi qui était là, avec l’autre moi qui était allongé sur la table, entouré des chirurgiens et des infirmières. Mon oncle (décédé) m’a demandé de retourner dans mon corps. Il faisait froid, c’était inconfortable et ma poitrine me faisait mal. Ensuite, j’ai entendu le défibrillateur. Ils ont effectué deux défibrillations. La première fois, je les ai entendus et la deuxième fois, je les ai vus. Ce qui m’amuse encore aujourd’hui, c’est qu’ils écoutaient de la musique dans la salle d’opération. Je ne pensais pas que c’était possible. »
Une énigme pour la science :
Pamela Reynolds pense d’abord que ce qu’elle a vécu est un rêve. Elle en plaisante avec son mari et sa famille. Mais lorsqu’ensuite elle fait part de cette expérience aux infirmières et aux médecins, elle constate rapidement que son témoignage ne les fait pas rire. Les membres de l’équipe médicale lui révèlent que « tout ceci a réellement eu lieu ». Son cas fait alors le tour du monde car au vu de la science, ce qui lui est arrivé est impossible. Le Dr Spetzler trouve le cas de Pamela Reynolds fascinant. « Au moment où elle est en état de mort clinique provoqué, il n’y a alors aucune activité cérébrale détectable, rappelle-t-il. Et pourtant, d’un point de vue scientifique, nous avons une personne qui fait une expérience. Pamela Reynolds se retrouve en haut de la pièce, en train d’observer de très nombreux détails de l’opération. A quel moment ce cerveau a-t-il saisi ces images ? Comment a-t-il pu les mémoriser ? Ce n’est pas clair du tout. Comment tout cela se passe-t-il ? Comment les neurones ont-ils pu s’activer pour mémoriser ces images dans le cerveau ? Pour moi, à ce stade, c’est inexplicable. Il s’agit ici d’un niveau de conscience qui ne dépend pas du corps physique. Il n’y a pas de preuve que cela existe, mais il n’y a pas non plus de preuve que cela n’existe pas. »
Si les récits de sortie hors du corps lors d’une opération sont nombreux, celui de Pamela Reynolds est l’un des plus documentés. Depuis plus de 40 ans, ce phénomène est officiellement étudié en milieu hospitalier. Et si la recherche actuelle montre que ces expériences ne peuvent pas être expliquées ni par des causes physiologiques, ni par un désordre mental, et qu’il ne s’agit ni de rêves, ni d’hallucinations, ni de troubles de la perception, elles restent encore un mystère scientifique …
André Laurain, expert à l’époque des faits, a conservé l’ensemble du dossier. Il l'a intitulé «combustion inexpliquée». (photo ci-dessus).
Chacun y est allé de son hypothèse. Avançant une tentative d’explication. Sans pouvoir aboutir à aucune certitude. À tel point que 36 ans après les faits, le voile du mystère recouvre toujours la mort de Ginette Karzmierczak, survenue dans la nuit du 11 au 12 mai 1977 à Uruffe, village du Toulois.
Ce 12 mai, peu avant 4 h du matin, la voisine de palier de cette sexagénaire, laquelle réside en réalité quelques jours dans l’appartement de son fils (parti chez sa fiancée cette nuit-là), se prépare pour aller prendre son service aux verreries de Vannes-le-Châtel. Intriguée par une odeur de fumée et des crépitements, elle alerte les pompiers. À leur arrivée, ces derniers découvrent, dans le couloir d’entrée, le corps de Ginette Kazmierczak sans vie et en partie calciné : tout le tronc, une bonne partie du visage et le bras gauche. Le droit, ainsi que les jambes (et même les collants qui les enserrent) sont intacts.
Nommé par le juge d’instruction chargé de l’affaire, André Laurain, alors sapeur-pompier et expert honoraire près la cour d’appel de Nancy, a participé aux investigations. Il se souvient comme si c’était hier du mur d’interrogations auquel les enquêteurs se sont heurtés, gendarmes et experts scientifiques confondus. « On note de nombreux éléments troublants dans cette affaire », souligne celui qui coule aujourd’hui une retraite paisible à Vandœuvre-lès-Nancy. « Des traces de carbone ont été relevées à plusieurs endroits de l’appartement, aux murs et aux plafonds. Mais surtout, le parquet en chêne était totalement détruit sous la partie calcinée du corps, mais absolument intact sous les jambes et le bras, non touchés. La démarcation est nette, parfaite ; il n’y a donc pas eu propagation comme dans un feu classique. »
Le classicisme n’est de toute façon pas la caractéristique première de ce sinistre fait divers, y compris au sujet des habitudes de vie de la victime, habituellement réglées comme du papier à musique. « Selon son fils, chaque soir vers 20 h, sa mère suivait le même rituel : elle faisait sa toilette, enfilait une chemise de nuit, dînait et regardait la télé avant d’aller se coucher. » Or, les enquêteurs retrouveront la chemise de nuit pliée à la tête du lit, ainsi qu’une robe marron en bon état, mais jetée dans la poubelle. « Personne ne sait ce qui a pu chambouler ses habitudes », reprend André Laurain.
« Par ailleurs, un jeune homme, avait frappé à la porte de l’appartement vers 19 h 30, il voulait voir le fils de Mme Kazmierczak. Celle-ci avait alors ouvert. Elle avait, selon ce témoin, le visage livide et indéfinissable. »
La victime, en proie à certaines angoisses obsessionnelles, s’aspergeait par ailleurs régulièrement d’un produit aérosol anti-puces. Une des pistes explorées à l’époque, analyses chimiques à l’appui. Sans résultat. « On a aussi cherché du côté du fuel, mode de chauffage, mais ça ne collait pas, il y aurait eu d’autres dégâts, au moins la propagation d’un feu. Là, ce n’est pas ça. »
« Scientifiquement parlant », ça s’appelle de la calcination : selon les légistes, pour obtenir une telle destruction du corps, il faut une température d’environ 3.000 degrés durant deux heures.
« De toute façon, dans tous les cas pour qu’il y ait combustion il faut trois éléments », résume André Laurain. « Un combustible, qui ici est donc le corps ; de l’oxygène, là celui présent dans l’appartement ; et une énergie de démarrage. C’est le chaînon manquant : comment ce’’feu’’ est-il parti ? Et pourquoi ne s’est-il pas étendu ? »
Des questions encore sans réponse à ce jour. Et à jamais, sans doute.
(Source : L’Est Républicain)
Au café O’Kirbis, la mystérieuse plaque Tjipetir, dénichée dans une crique de l’île, a été accrochée à l’un des murs de l’établissement. (photo ci-dessus)
Depuis plusieurs mois, de mystérieuses plaques de gomme s’échouent sur les plages du littoral de la Manche et en Espagne.
Plus récemment, plusieurs autres ont été retrouvées en Bretagne-Sud, à Erdeven et Gâvres. Durant les vacances de la Toussaint, au moins trois se sont échouées sur les plages de l’île de Groix.
La première a été repérée dans la crique en contrebas du village de Kerloret. Au premier coup d’œil, avec ses bords arrondis, sa couleur beige avec des marbrures, difficile d’imaginer qu’elle est faite de gomme.
Plutôt en bon état, sa dimension avoisine les 35 cm de long sur 30 de large pour une épaisseur de 2,5 cm. Les autres planches ont été retrouvées à Locmaria.
Mais d’où ces plaques peuvent-elles bien provenir ? C’est l’inscription Tjipetir qui donne des pistes puisqu’elle fait référence à un site indonésien de production de gutta-percha, semblable au latex, très utilisée au début du XXe siècle.
La théorie d’une épave de navire marchand qui distillerait sa cargaison fait son chemin. Le Titanicen en avait d’ailleurs dans ses cales lorsqu’il a sombré en 1912 …
Les internautes sont rapidement partis en quête d’indices. Une page facebook recense les découvertes. Une autre, sur Flickr, constitue une banque d’images et chacun tweete à tout va.
Le secret de ces plaques qui refont soudainement surface va sans nul doute occuper l’hiver des passionnés …
(Source : Ouest France)