Date de création : 28.09.2009 Dernière mise à jour :
29.05.2021 37578 articles
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Karine Ferri donnait naissance ce lundi 16 juillet, à son deuxième enfant : une petite fille prénommée Claudia ...
Selon les informations de Purepeople, l’animatrice de The Voice a accouché d’une petite fille prénommée Claudia. Un heureux événement qui doit certainement combler de bonheur son compagnon Yoann Gourcuff mais aussi leur fils Maël, né le 6 avril 2016.
Il faut dire que cette naissance, l’acolyte de Nikos Aliagasl’attendait avec beaucoup d’impatience. Si elle n’est d’ordinaire pas habituée à partager ses états d’âme sur les réseaux sociaux, elle évoquait il y a peu ses préoccupations quant à l’arrivée de son deuxième enfant. « Le plus difficile dans la maternité, c’est cette inquiétude intérieure que l’on ne peut pas montrer », avait-elle écrit sur Instagram.
Karine Ferri avait pourtant vécu une première grossesse sereine, comme elle l’avait confié en 2016. « Je n’ai eu peur ni de la grossesse ni de l’accouchement mais, comme toute maman je crois, en devenant mère, je suis devenue plus vulnérable, expliquait-elle dans Gala.Je ne dors plus comme avant, on ne peut pas s’empêcher d’avoir peur que quelque chose se passe. Maël est ce que j’ai de plus cher au monde, c’est la prunelle de mes yeux. »
Son bonheur démultiplié depuis l’arrivée de Claudia, Karine Ferri savoure désormais chaque minute passée en sa compagnie.
La renommée et le talent de Serge Gainsbourg ne sont plus à démontrer tout comme sa verve et, parfois, ses coups d’éclat. Malgré tout, il reste un emblème artistique de Paris et a laissé un souvenir impérissable à des générations de Français. Preuve en est, il va avoir le droit à une station de métro à son nom sur le prolongement de la ligne 11 du métro dans la commune des Lilas. Un clin d’œil à sa célèbre chanson le Poinçonneur des Lilas. Retour sur les lieux parisiens qu’il a marqué de son empreinte.
Premiers pas :
Né dans le premier hôpital publique de Paris à l’Hôtel-Dieu, le 2 avril 1928, c’est au 35 rue de la Chine que le petit Lucien Ginsburg, de son vrai nom, fait ses premiers pas au beau milieu du quartier populaire du 20ème arrondissement de Paris.
Le domicile familial :
Autre adresse associée à l’enfance de Gainsbourg, le 11 bis rue Chaptal est l’endroit où la famille pose ses valises alors que le petit Lucien a 4 ans. C’est ici que son éveil artistique a lieu. Ses parents sont passionnés d’art et seuls les grands compositeurs ont le privilège d’être écoutés. Ainsi, Debussy, Stavinski, Chopin et bien d’autres résonnent au 3ème étage de l’immeuble. Mais la Seconde Guerre mondiale arrive et la famille juive est contrainte de porter l’étoile jaune. Ils décident de quitter Paris pour Limoges. Ils reviennent rapidement à la fin du conflit, mais déménagent peu de temps après. Preuve du passage du chanteur en ces murs, une plaque commémorative a été installée en son honneur en mars 2016.
Le deuxième domicile familial :
En 1946, la famille achète un appartement au 55 avenue Bugeaud dans le XVIème arrondissement de Paris. L’artiste, qui a 19 ans, rêve de devenir peintre et s’installe dans la chambre de bonne au-dessus. Pensé à la base comme un atelier, il en fait une pièce à vivre. Il tente d’apprendre la guitare et continue à pratiquer la peinture. Sa fibre artistique ne s’éteint pas.
Le lycée Condorcet :
Le lycée Condorcet est un des lycées les plus prestigieux de Paris, classé au titre des monuments historiques. C’est ici que l’homme à la tête de chou projette de passer son baccalauréat. Mais le futur Gainsbourg, en échec scolaire, ne termine pas le lycée. Par la suite, il s’inscrit à l’école des Beaux-Arts, mais ne suit pas non plus la formation jusqu’au bout. Le dernier établissement qu’il fréquente est l’Académie de Montmartre. C’est d’ailleurs dans cette école d’art qu’il rencontre sa première femme Elisabeth Levitsky.
Le cabaret Madame Arthur :
C’est dans ce cabaret du XVIIIème arrondissement de Paris que Serge Gainsbourg monte pour la première fois sur scène. En 1954, il y remplace son père en tant que pianiste, puis y compose la plupart des chansons entre 1954 et 1956. Il en deviendra naturellement le chef d’orchestre. Cette adresse du 75 bis rue des Martyrs est célèbre pour ses numéros burlesques assurés par des travestis. La légende dit que le premier interprète de Gainsbourg fut donc Lucky Sarcell, un travesti…
Au cabaret Milord L’Arsouille :
Dans ce cabaret, le jeune artiste accompagne des chanteurs à la guitare à partir de 1955. Il y interprète également son propre répertoire dont le désormais célèbre « Le poinçonneur des Lilas ». Le style « rive gau-che » est à l’époque en plein triomphe. Il rencontre sur cette scène Michèle Arnaud, le premier interprète qui lui commande des chansons. En 1957, il dépose ses premiers titres à la SACEM sous le nom de Serge Gainsbourg. Il explique que le prénom Serge fait allusion à la Russie et que les lettres « A » et « O » ont été ajoutées à son nom d’origine, en référence à tous les enseignants qui ont écorché le nom des Ginsburg.
L’ancienne maison de Juliette Gréco :
C’est au 33 rue de Verneuil que se situe l’ancienne maison de Juliette Gréco. C’est là que lors d’une soirée de l’été 1962, Juliette invite Serge à diner. Ils s’amusent, boivent, dansent et font la fête… Puis, l’esprit occupé, le chanteur rentre chez lui. Le lendemain, il revient avec un petit bout de papier. Dessus, se trouvent les paroles de La Javanaise, qui deviendra l’un de ses plus grands succès. « Cette nuit il ne s’est rien passé », confie l’intéressée, sauf une chanson… Et pas des moindres !
L’Hôtel :
C’est au 13 rue des Beaux-Arts que se trouve le plus petit 5 étoiles de la capitale. C’est dans ce cadre luxueux qu’il compose son album « Histoire de Melody », devenu culte par la suite. Il s’y installe un an avec sa compagne Jane Birkin alors que sa maison de Saint-Germain-des Prés est en travaux. C’est ici que, sa fille, Charlotte fait ses premiers pas.
Le bistrot de Paris :
Le bistrot de Paris est incontestablement l’une des adresses fétiches de Serge Gainsbourg. L’auteur avait ses habitudes dans ce bistrot de la rue de Lille. Il s’asseyait toujours à la même table, la 46, celle juste en face du bar. Il se dit qu’il donnait d’importants pourboires au serveur, des billets apparemment du même gabarit que celui brûlé sur un plateau télé un soir de mars 1984. On pouvait donc croiser « Gainsbarre » autour d’un verre, accompagné de personnalités comme Michel Drucker, Jacques Dutronc, Alain Bashung ou encore sa fille Charlotte et sa compagne Bambou. Il y passera même la veille de sa mort, amaigri et affaibli, pour y boire un porto… cul-sec !
Sa maison de Saint-Germain-des-Prés :
Autre adresse incontournable pour Serge Gainsbourg, le 5 bis rue de Verneuil, dans laquelle il emménage en 1969. Il s’agit du dernier domicile du chanteur. Encore aujourd’hui, les hommages sont nombreux, notamment sur la façade, couverte d’œuvres de street-art à son effigie. Le bâtiment a été conservé tel qu’il était à l’époque par son héritière, Charlotte Gainsbourg. Rien n’a bougé depuis sa mort, même les derniers mégots de Gainsbarre sont toujours dans le cendrier.
Sa tombe au cimetière Montparnasse :
C’est l’endroit de sa dernière demeure, le 3 boulevard Edgar Quinet. Le chanteur a été inhumé le 7 mars 1991 auprès de ses parents au cimetière du Montparnasse. Il est non loin de l’une de ses idoles, Charles Baudelaire. Beaucoup de passants viennent encore fleurir sa tombe, jeter des mégots de cigarettes ou lui déposer un poème. Elle est certainement l’une des tombes les plus visitées du cimetière et c’est à coup sûr la plus vivante.
Loulou Gasté a beau avoir 20 ans de plus que Line Renaud, leur rencontre en 1945 est une évidence. Ainsi, c'est lui qui va l'encourager à prendre un nom de scène et qui va composer les chansons qui la rendront célèbre, dont l'inoubliable "Ma Cabane au Canada", qui reçoit le Grand Prix du disque en 1949. L'année suivante, ils se marient, et resteront ensemble jusqu'à la mort de celui-ci, en 1995.
La star et l'écrivain-réalisateur se sont mariés pendant le match France-Argentine ...
Pour vivre heureux, marions-nous cachés. Dans la plus grande discrétion, alors que la France retenait son souffle devant le 8e de finale de la Coupe du Monde en Russie, Vanessa Paradis et son compagnon, l'écrivain et réalisateur Samuel Benchetrit, se passaient la bague au doigt à Saint-Siméon (Seine-et-Marne), comme Le Parisien a pu le constater sur place.
L'actrice et chanteuse est entrée dans la petite mairie-école de Saint-Siméon habillée d'une robe à volants couleur crème. C'était alors la 60ème minute du match de la France contre l'Argentine, laissant la vingtaine de badauds sur place indécis entre le match et l'événement people qui se déroulait devant eux.
La cérémonie intime réunissait quelques dizaines d'invités dont Matthieu Chedid, le chanteur Raphaël ou bien sûr Lily-Rose, la fille de 19 ans issue de l'union libre de la star avec Johnny Depp jusqu'en 2012.
Au bout d'une trentaine de minutes, à l'instant où le reste de la France célébrait la victoire historique (4-3) contre l'Argentine, l'union était prononcée et les invités commençaient à sortir de la mairie.
La star possède de nombreux liens avec cette petite ville de 900 habitants proche de Coulommiers. C'est à Saint-Siméon que son père est décédé fin 2017. Il possédait un restaurant, Les Sources, dans le village proche de Saint-Rémy-la-Vanne.
Vanessa Paradis et Samuel Benchetrit, tous deux âgés de 45 ans, ont officialisé leur relation en août 2017. Ils étaient ensemble depuis le mois de novembre. Le réalisateur avait choisi sa future épouse pour jouer le rôle principal féminin dans son prochain film, « Chien », l'adaptation de son propre roman paru en 2015.
Harry et Meghan sont attendus à Amiens le 8 août prochain ...
Meghan Markle n'a pas eu le temps de chômer depuis son mariage avec le prince Harry le 19 mai dernier. Et l'ancienne actrice n'a pas mis longtemps à trouver sa place au sein de la famille royale ou a brillé déjà dans son nouveau statut de duchesse. En quelques semaines, Meghan a participé à une garden-party célébrant, avec un peu d'avance, l'anniversaire du prince Charles, elle était présente à la parade Trooping the colour, elle a eu l'honneur d'accompagner la reine Elisabeth II en voyage officiel dans le Cheshire et a assisté à son tout premier "Royal Ascot" (la plus célèbre des courses hippiques).
Et les prochaines semaines s'annoncent déjà chargées pour Meghan (et son mari) : les 10 et 11 juillet, le duc et la duchesse de Sussex effectueront leur tout premier voyage officiel, le couple se rendra à Dublin, en Irlande. "Ils sont impatients d'en apprendre davantage sur l'histoire de l'Irlande et de découvrir sa riche culture, ainsi que de rencontrer les gens qui façonnent l'avenir du pays", a précisé Kensington Palace dans un communiqué. A l'automne, pour ce qui sera leur première tournée officielle, ils se rendront un peu plus loin : direction l'Australie, les Fidji, les Tonga et la Nouvelle-Zélande, quatre pays membres du Commonwealth (dont Harry a été nommé par sa grand-mère ambassadeur de la jeunesse).
Une rencontre avec les Macron ?
D'ici là, Meghan et Harry feront un petit détour par la France. Comme nous l'apprend "France Bleu", le couple princier devrait accompagner Theresa May, la Première ministre britannique, à Amiens, en Picardie, le 8 août prochain pour participer aux commémorations du centenaire de la bataille d'Amiens. Une cérémonie - publique et retransmise sur écrans géants - se déroulera en la cathédrale de la ville et il ne serait pas surprenant d'y voir aussi Emmanuel et Brigitte Macron, tous deux natifs d'Amiens (à moins que ce ne soit le Premier ministre Edouard Philippe qui s'y rende). Comme le rappelle France Bleu, le prince Harry s'est déjà rendu dans la région puisqu'en juillet 2016, il avait participé aux côtés de son frère William et de son épouse Kate aux commémorations de la bataille de la Somme à Thiepval.
Le plus pénible lorsque l’on se rend au Musée du Louvre est de se retrouver entouré de tous ces touristes qui prennent des selfies devant les œuvres d’art plus vite que leurs ombres. Beyoncé et Jay-Z, eux, n’ont pas eu ce problème puisqu’ils ont tout simplement été seuls dans ce lieu unique pour tourner leur clip sorti il y a deux jours.
Le célèbre couple Carter s’est offert le luxe de pouvoir tourner devant La Joconde dans une salle vide. Dans leur clip « APES***T », vu 10 millions de fois en 48h sur Youtube, on les voit se tenir tantôt avec des costards colorés tantôt en tenues de souverains devant les plus grands chefs-d’oeuvre. Le Sacre de Napoléon par Jacques-Louis David, Le radeau de la méduse de Géricault ou encore La Joconde de Léonard de Vinci ont servi de décors pour le clip de ces rois de la pop culture. Les danseuses remplissent les escaliers entourant la Victoire de Samothrace, jusqu’au département d’Égyptologie. De quoi rendre jaloux tous les agoraphobes et bien sûr tous les fans de ces monstres de la musique actuelle qui ne se refusent rien.
Meghan Markle et la Reine Elisabeth II en voyage officiel à Chester ...
La reine d'Angleterre a invité Meghan Markle pour un déplacement officiel en duo ... Une première !
Meghan Markle et Elisabeth II, bientôt inséparables ? Les deux femmes ont assuré leur première obligation officielle, rien qu'à deux, ce jeudi 14 juin. En effet, elles ont voyagé de nuit à bord du train royal pour rejoindre Cheshire, au nord-ouest de l'Angleterre.
Une fois sur place, la duchesse et la Reine se sont rendues à l'inauguration du pont de Mersey Gateway puis à l'ouverture de Storyhouse, un complexe regroupant une bibliothèque, un théâtre et un cinéma, à Chester. Elles ont ensuite assisté à un spectacle de danse et de chant créé par des écoliers de la ville, avant de déjeuner à la mairie. Une journée riche en événements.
Meghan Markle, la privilégiée de la famille royale :
Meghan Markle et la Reine apparaissent plus complices que jamais sur les photos du voyage. La duchesse de Sussex semble avoir enfin trouvé sa place au sein de la famille royale. Et elle a même certains privilèges. D'abord, l'ancienne actrice part déjà en voyage officiel, seule avec la reine d'Angleterre, un mois seulement après son mariage avec le prince Harry. Contrairement à sa belle-sœur Kate Middleton qui n'a jamais voyagé seule avec Elisabeth II.
Elle a également voyagé dans le train royal, habituellement réservé aux membres de la famille royale "supérieurs", c'est-à-dire la Reine, le Prince Philip et leurs successeurs. Même Harry et Williams n'y ont pas eu droit.
Aussi gaffeur et blagueur qu'Elizabeth II est réservée, le prince Philip, qui seconde solidement son épouse, souveraine depuis plus d'un demi-siècle, fête ses 97 ans ce dimanche.
L'événement se déroulera sans tapage, puisqu'il passera la journée "en cercle privé", a indiqué à l'AFP un porte-parole du palais de Buckingham, sans préciser où.
Samedi, la reine Elizabeth II a elle fêté ses 92 ans en assistant comme chaque année à une parade militaire organisée à Londres en son honneur. Son anniversaire tombe en réalité le 21 avril, mais la monarque le célèbre traditionnellement le second samedi de juin, comptant sur une météo britannique plus clémente.
Alors qu'il assiste généralement au défilé à ses côtés, Philip s'est cette fois épargné cette cérémonie longue d'une heure, ayant pris sa retraite l'été dernier, après des décennies d'engagements officiels auprès de sa royale épouse.
Approchant le centenaire, le prince a décidé de lever le pied même s'il continue d'accompagner Elizabeth II lors de certains événements. Lors du mariage de son petit-fils, le prince Harry, avec l'actrice américaine Meghan Markle, le 19 mai, le duc d'Édimbourg est ainsi apparu le pas alerte, six semaines après avoir subi avec succès une opération de la hanche.
De souche allemande, Philip de Grèce et du Danemark est né à Corfou sur une table de cuisine le 10 juin 1921. A l'âge de 18 mois, il est évacué dans un lit fait de cartons d'oranges à bord d'un navire britannique, avec ses parents et ses quatre soeurs aînées, alors que son oncle, le roi de Grèce, est déposé.
- L'adieu à la marine -
Il connaît ensuite une enfance solitaire et agitée, entre la France, l'Angleterre et l'Allemagne. Sa mère, dépressive, est hospitalisée puis entre dans les ordres, tandis que son père s'installe à Monaco. Ses soeurs se marient à des Allemands, dont l'un est un dignitaire nazi.
Recueilli par des membres de sa famille, il suit une scolarité nomade, avant de s'engager dans la Royal Navy et de prendre une part active dans la Seconde Guerre mondiale.
Il a 18 ans lorsqu'il rencontre pour la première fois la jeune Elizabeth, qui n'en a que 13 mais tombe sous le charme du grand officier blond.
Leur union est d'abord vue d'un mauvais oeil par les parents de la jeune princesse: Philip est un prince étranger, sans le sou et peu policé. Mais "Lilibet" l'adore et le mariage a lieu le 20 novembre 1947.
Le couple s'installe dans la foulée à Malte, où le prince Philip vient d'être muté. "Philip Mountbatten", titre qu'il a pris à ses noces, est fait commandant et compte bien poursuivre sa carrière navale.
La mort prématurée du roi George VI en 1952, qui propulse Elizabeth, 25 ans, sur le trône, est pour lui un déchirement, selon ses proches. Il lui faut abandonner ses ambitions et devenir à jamais le second de sa femme, la reine.
- 'Mon roc' -
Il se résigne à marcher deux pas derrière son épouse, sans pouvoir jamais entièrement cacher sa frustration.
Ainsi, le jour où Churchill a conseillé que la famille prenne le nom de Windsor au lieu de celui de Mountbatten, Philip aurait hurlé : "Je ne suis qu'une foutue amibe ici !".
Mais il reste un soutien inconditionnel de la reine avec laquelle il a quatre enfants, huit petits-enfants et six arrière-petits-enfants. "Mon premier, second et ultime emploi est de ne jamais laisser tomber la reine", a-t-il un jour dit.
Son tempérament fougueux et complètement opposé au "politiquement correct" lui font commettre gaffes et provocations, parfois aux relents xénophobes. "Vous vous battez toujours à coups de lances ?", demande-t-il à un aborigène lors d'une visite en Australie en 2002.
Un langage dont la reine ne lui tient pas rigueur, pas plus que ses sujets qui trouvent qu'il apporte un peu de légèreté à la monarchie et saluent sa constance auprès d'Elizabeth II.
L'acteur Matt Smith, qui l'a incarné dans la série à succès "The Crown", relatant le règne d'Elizabeth II, voit en lui un homme "brillant et malicieux". "Ce que j'aime chez lui c'est qu'il fait ce qu'il veut, quand il veut, comme il veut, avec qui il veut... Et son épouse est la reine", a-t-il dit au journal The Observer.
Mais le meilleur hommage rendu à Philip vient de son épouse elle-même, qui a déclaré : "c'est mon roc. Il a tout simplement été ma force et mon soutien".
La famille royale s’est réunie sur le balcon de Buckingham, pour les 92 ans de la Reine ... Presque au complet, seuls le prince Philip, mari de la reine, et le prince Louis de Cambridge, nouveau-né du couple William/Kate Middleton, duc et duchesse de Cambridge n’étaient pas présents.