PEOPLE
JULIA ROBERTS ÉLUE «LA PLUS BELLE FEMME DU MONDE»
Pretty Woman est toujours aussi magnifique à 49 ans. Le magazine People, lui a décerné le titre de plus belle femme de la planète.
«Pretty Woman walking down the street». L'air doit trotter ce matin dans la tête de Julia Roberts , éternelle princesse aux pieds nus, depuis Cannes l'an dernier. Le magazine People, qui avait accordé cette récompense à Jennifer Aniston l'an dernier, a désigné l’actrice de Pretty Woman, «plus belle femme du monde». Pour la cinquième fois, elle arrive en tête du classement.
« J’en suis très flattée, a-t-elle déclaré au magazine américain. C’est flatteur, mais ça va devenir embarrassant. » Julia Roberts a obtenu son premier titre en 1991, un an après le succès planétaire de Pretty Woman, le film qui a fait d’elle une star. Elle a ensuite été élue en 2000, 2005 et 2010. Discrète au cinéma, Julia Roberts, que l'on a pu voir l'an dernier dans «Money Monster» sera prochainement à l'affiche de «Wonder» de Stephen Chbosky, avec Owen Wilson, Mandy Patinkin et Jacob Tremblay.
La belle Américaine en a profité pour se livrer au sujet de son mariage avec Danny Moder, son compagnon depuis 14 ans avec lequel elle a eu les jumeaux Hazel et Phinnaeus, 12 ans et le petit Henry, 9 ans. Tout ce qu’elle espère pour les 25 prochaines années, c’est de « voir (ses) enfants grandir, qu’ils réalisent leurs rêves, qu’ils trouvent leur voie, fondent une famille…». A 49 ans, Julia n'a pas perdu son positivisme légendaire, elle se dit persuadée que « le meilleur est à venir ».
Où la France loge-t-elle ses invités de marque ?
Kate Middleton et le prince William séjourneront à Paris pour la première fois ce week-end. Le couple princier ne reste que deux jours dans la capitale où il sera logé dans la résidence de l’ambassadeur du Royaume-Uni, un splendide hôtel particulier du XVIIIème siècle. Quand ils ne préfèrent pas la sécurité de leurs ambassades en France, les hôtes de marque peuventdormir dans les résidences officielles des invités présidentiels.
C’est la première fois que le duc et la duchesse de Cambridge séjournent officiellement à Paris. Alors que la reine d’Angleterre a donné son assentiment au déclenchement du Brexit, la visite du prince William et de Kate Middleton, à Paris, à l’initiative du ministère britannique des Affaires étrangères, a une forte symbolique.
La famille royale a programmé une série de visites officielles en Europe dans les prochains mois (notamment en Allemagne et en Pologne), pour renforcer les relations et pour rappeler aux voisins européens du Royaume-Uni qu’ils sont toujours des alliés et des partenaires, même après le vote du Brexit l’année dernière. À Paris, le couple (sans les enfants), va rencontrer des entrepreneurs français et assister au match France-Pays de Galles, ce samedi, aux côtés de François Hollande.
Le président de la République va d’ailleurs recevoir Kate Middleton et le prince William à l’Élysée, dès leur arrivée. « Il est normal qu’ils soient reçus par le président de la République compte tenu des relations historiques entre la France et le Royaume-Uni », a fait savoir l’Élysée. Le couple n’aura pas à se préoccuper du déplacement car il logera à deux pas, à l’hôtel de Charost. Ce splendide hôtel particulier du XVIIIème siècle est situé au 39, rue du Faubourg-Saint-Honoré, dans le 8ème arrondissement. Il est, depuis 1814, la résidence de l’ambassadeur du Royaume-Uni en France. C’est là qu’aura lieu un dîner officiel « en présence de jeunes dirigeants français évoluant dans plusieurs domaines, art, sport, affaires etc. », a indiqué le communiqué du Palais de Kensington.
L’hôtel de Charost, où résideront le prince William et Kate Middleton, lors de leur week-end à Paris. (Photo : Wikipédia) La salle à manger de l’hôtel de Charost, résidence de l’ambassadeur du Royaume-Uni en France. (Photo : Wikipédia) Le salon Pauline, dans l’hôtel de Charost. (Photo : Wikipédia) Des résidences princières…
Même si ce n’est pas lui qui s’est chargé de loger le duc et la duchesse de Cambridge, l’Élysée dispose de plusieurs résidences pour accueillir ses invités de marque. Pourtant, depuis quelques années, ces derniers préfèrent souvent des palaces.
Kate et William à Paris : l'arme du glamour contre un Brexit dur ...
Le duc et la duchesse de Cambridge sont à Paris pour une visite officielle ce vendredi et samedi. Une visite people, mais pas seulement. En effet, Londres a recours aux « Royals » pour tenter d'atténuer l'effet du Brexit sur les partenaires européens. William et Kate doivent se rendre en juillet en Pologne et en Allemagne. En octobre 2016, l'épouse du prince avait effectué sa première visite en solo à l'étranger aux Pays-Bas. Par ailleurs, le prince Charles et la duchesse de Cornouailles effectueront une visite officielle en Italie. D'autres déplacements du même acabit sont prévus.
A lire le Times, le Foreign Office a embrigadé la famille royale « dans le cadre d'une offensive diplomatique douce destinée à forger un bon accord avec nos partenaires européens ». Cet activisme diplomatique intervient deux jours après l'autorisation du Parlement britannique de déclencher l'article 50 permettant les négociations de sortie de l'Union européenne. Lors du référendum du 23 juin 2016, les sujets de Sa Majesté avaient voté à 52 % en faveur du retrait de l'Union européenne.
Le gouvernement britannique a certes l'habitude de recourir à l'aide des Windsor dans des pays avec lesquels le Royaume-Uni a un problème pour mettre de l'huile dans les relations bilatérales. Afin d'éviter les couacs, les discours à l'étranger sont toujours écrits par le ministère des Affaires étrangères. N'empêche, le dossier du Brexit est un terrain miné par les passions partisanes. Malgré les dangers que cette mobilisation fait courir à la Couronne, la Première ministre, Theresa May, a estimé ne pas avoir d'autre alternative que d'envoyer les Windsor en mission de bons offices.
Un coup de canif dans la neutralité :
Tout d'abord, les convictions pro-européennes des Windsor sont profondément ancrées. Elles sont fondées sur l'expérience d'Elizabeth II de la Seconde Guerre mondiale, sur sa prise de conscience, en raison peut-être de ses origines germaniques, de l'indispensable réconciliation avec l'Allemagne. Sur la nécessité de construire une Europe élargie et solidaire, la souveraine francophone et francophile n'a jamais varié tout au long de son règne. Mais lors de la consultation référendaire, le monarque avait évité de prendre position au nom de la neutralité politique.
Pour sa part, le prince de Galles, héritier au trône, avait certes critiqué les manquements de la politique agricole commune (dont son domaine de Highgrove est pourtant largement bénéficiaire). Reste que ce grand admirateur de l'Italie avait défendu les immigrés originaires de l'Union européenne installés outre-Manche face aux attaques xénophobes dont ils avaient été la cible.
Enfin, William avait provoqué une vive polémique cinq mois avant le référendum en déclarant publiquement : « Il est important que nous gardions notre capacité à nous unir à d'autres nations pour agir ensemble. » Ces propos du deuxième dans l'ordre de succession avaient été perçus comme un soutien royal au « non » au Brexit.
Une image d'intolérance :
Autre facteur derrière cette opération de charme, les Windsor occupent une place centrale dans le panthéon des monarchies européennes. Outre le Royaume-Uni, cinq États de l'UE sont des dynasties constitutionnelles, les Pays-Bas, la Suède, le Danemark, la Belgique et l'Espagne, auxquels il faut ajouter le grand-duché du Luxembourg, et une principauté, Monaco. Ils sont unis par des liens familiaux complexes. Ainsi, le prince Philip, époux de la souveraine, descend des lignées royales grecque et danoise. Par le truchement des Windsor, Londres espère embrigader les autres monarchies européennes dans son opération de relations publiques.
Tertio, le Foreign Office est alarmé par l'image désastreuse d'un royaume pétri d'intolérance. Kate permettrait d'atténuer cette perception négative auprès des générations plus jeunes. Les diplomates espèrent au passage que les tenues toujours très élégantes de la duchesse de Cambridge ainsi que son engagement associatif changent ce sentiment négatif. Une répétition en quelque sorte de l'effet glamour de la princesse Diana, décédée il y a bientôt vingt ans dans l'accident de circulation du tunnel du pont de l'Alma.
Le Prince William et Kate Middleton reçus à l'Elysée !
Le Prince William et Kate Middleton seront en visite à Paris les 17 et 18 mars. Ils seront notamment reçus à l’Élysée. Une première.
Le Prince William et Kate Middleton ont annoncé par un communiqué, relayé sur Instagram, qu’ils seront en visite dans la capitale française les 17 et 18 mars. Au programme, précise le couple princier : une réception avec de jeunes dirigeants français de différents horizons, un dîner officiel chez l’ambassadeur de Grande-Bretagne à Paris, et le match de rugby du tournoi de Six Nations entre la France et le Pays de Galles, samedi au Stade de France. Un autre rendez-vous s’ajoute au programme : une réception à l’Élysée. Annoncée par le Figaro, elle a été confirmée par la présidence française à l’Express. « Il est normal qu’ils soient reçus par le président de la République, compte tenu des relations historiques entre la France et le Royaume-Uni », explique l’Élysée. C’est C'est la première fois que le couple se rend pour une visite officielle dans la capitale française. C’est aussi la première fois que le Prince William va revenir dans la ville où sa mère, la princesse de Galles Lady Diana, a perdu la vie en 1997.
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Pierre Bouteiller : une grande voix de la radio s'éteint ...
L'ancien L'ancien directeur des programmes de France Inter est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à Paris. Le monde de la radio perd une voix iconique.
Il avait fait l'histoire de France Inter : Le Le monde de la radio pleure une grande voix vendredi. L'irrévérencieux animateur Pierre Bouteiller, grande voix et passionné de jazz, est décédé à l'âge de 82 ans, dans la nuit de jeudi à vendredi à Paris, a annoncé son ex-employeur France Inter. Sa dernière émission à France Inter, Quoi qu'il en soit, remonte au 2 avril 1999. Mais il avait continué à travailler sur TSF Jazz jusqu'à il y a encore deux ans, selon un responsable de cette radio. « Il est parti apaisé, il était très diminué », a dit l'un de ses fils, Christian Bouteiller.
Un demi-siècle derrière les micros :
Né le 22 décembre 1934 à Angers, Pierre Bouteiller aura passé plus d'un demi-siècle derrière les micros, comme journaliste puis comme animateur, consacrant sa vie à la radio – hormis un bref passage à la direction des programmes de TF1de 1981 à 1982. Cultivant l'impertinence avec ses émissions Carnet de notes, Au bénéfice du doute ou Le Masque et la Plume, amoureux du jazz et pianiste à ses heures, il avait commencé sa carrière à Europe 1 en 1958.
En 1969, il propose une émission à France Inter, Embouteillages, et s'y installe durablement. En 1989, il devient directeur des programmes de la station, et le restera jusqu'en 1996. Directeur de France Musiques de 1999 à 2004 (il rajoute alors le « s » à « Musique »), il avait été candidat fin 1995 à la présidence de Radio France. Au printemps 2004, il est mis à la retraite par le PDG de Radio France Jean-Paul Cluzel. Il était resté toutefois derrière les micros, à TSF Jazz, où il animait depuis 1999 une émission – quotidienne puis hebdomadaire – consacrée au jazz, Si bémol et fadaises, qu'il avait arrêtée il y a deux ans. ( R.I.P. )
Après l'annonce mercredi soir de la maladie de Johnny Hallyday, son ami le réalisateur Claude Lelouch, a affirmé qu'il avait déjà fait «reculer la maladie».
Le rockeur le plus populaire de France a ébranlé ses fans mercredi soir en annonçant sur les réseaux sociaux qu'il était effectivement atteint d'un cancer. Tout en précisant qu'il était «actuellement traité» et «en bonne forme physique», Johnny Hallyday a donc confirmé les rumeurs qui circulaient depuis quelques jours sur Internet, notamment après le piratage présumé du compte Facebook de sa fille, Laura Smet.
Après l'annonce de la triste nouvelle, le clan Hallyday se veut optimiste. Dans le message posté par l'idole des jeunes, ce-dernier dit sa confiance «totale» en ses médecins, et affirme que ses jours ne sont pas en danger.
Un message d'optimisme et de résistance contre la maladie également porté par son cercle d'amis proches. Comme Claude Lelouch, qui l'a fait tourner dans son film «Chacun sa vie», dont il assure actuellement la promotion. C'est à cette occasion, alors invité au micro de RTL, que le réalisateur a évoqué du bout des lèvres la maladie de son ami. «J'ai été au courant un petit peu avant tout le monde, mais comme Johnny est un combattant je peux vous dire qu'il a déjà fait reculer la maladie».