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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Pendant l'éloignement de François Poisson, sa femme née Madeleine de La Motte, « belle à miracle », a eu entre autres amants, le riche fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, célibataire et amateur d'art. Celui-ci, après avoir veillé à l'éducation des deux enfants de sa maîtresse, Jeanne-Antoinette et Abel-François (né en 1725), fit épouser à la première dès qu'elle eut vingt ans, le 9 mars 1741 à Saint-Eustache, son neveu et héritier Charles-Guillaume Le Normant d'Étiolles, âgé de vingt-quatre ans.
Le couple eut un fils Charles Guillaume Louis, né le 26 décembre 1741, baptisé à l'ancienne paroisse Saint-Paul mais qui meurt dans sa première année. Le 10 août 1744 naît une fille Alexandrine, baptisée à Saint-Roch.
Ses contemporains considèrent Jeanne-Antoinette Le Normant d'Étiolles comme assez belle, d'une taille au-dessus de l'ordinaire, svelte, aisée, souple, élégante ; son visage était d'un ovale parfait, ses cheveux plutôt châtain clair que blonds. Ses yeux avaient un charme particulier, qu'ils devaient peut-être à l'incertitude de leur couleur. Elle avait le nez parfaitement bien formé, la bouche charmante, les dents très belles, un sourire délicieux, la plus belle peau du monde.
La beauté de Jeanne-Antoinette et son esprit la font connaître et elle devient l'hôtesse des salons cultivés et mondains de Paris. Elle donne des représentations intimes dans le petit théâtre qu'elle a fait construire dans son château d'Étiolles, à côté de Sénart où le couple s'installe et où le roi Louis XV vient souvent chasser. C'est au cours d'une de ses chasses que le roi la remarque.
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Proche du père de Jeanne-Antoinette, Joseph Pâris avait été exilé de 1726 à 1729 sous le gouvernement du cardinal de Fleury. La mort de celui-ci, en janvier 1743, donne l'occasion aux frères Pâris, au cardinal de Tencin, à sa sœur la marquise de Tencin et au maréchal de Richelieu de rentrer en grâce. Ce cercle dispose d'une occasion pour se placer auprès de Louis XV. La jeune Jeanne-Antoinette, qui est très proche des Pâris, paraît susceptible de plaire au roi. Le stratagème mis en place fonctionne et porte ses fruits en 1745.
Le 23 février 1745 est célébré le mariage religieux du fils du roi, le dauphin Louis-Ferdinand, avec l'infante Marie-Thérèse d'Espagne. Des fêtes sont organisées pendant huit jours pour cet événement. Le 25 février a lieu dans la Galerie des Glaces au château de Versailles, le bal des Ifs où est invitée Jeanne-Antoinette, sous l'apparence de Diane chasseresse. Toute la cour remarque que le roi s'entretient longuement avec cette belle inconnue. Trois jours plus tard, le 28 février, au cours du bal offert à l'Hôtel de ville de Paris par le corps municipal, nouvelle rencontre entre Madame d'Étiolles et le roi Louis XV.
Jeanne-Antoinette devient une visiteuse régulière et Louis XV l'installe au château de Versailles dans un appartement situé juste au-dessus du sien, relié par un escalier secret.
En juillet, le roi lui fait don du domaine de Pompadour, récemment acquis par la Couronne, la créant ainsi marquise, tandis que Jeanne-Antoinette obtient de son mari une séparation légale. En effet, le Châtelet de Paris prononce le 15 juin 1745, un arrêt de séparation de corps et de biens. Le 14 septembre 1745, elle est officiellement présentée à la cour. Elle a 23 ans. Les milieux dévots d'une part et les milieux aristocratiques conservateurs d'autre part concentrent leurs attaques sur la nouvelle maîtresse du roi, certes pécheresse mais surtout parvenue puisque issue de la haute bourgeoisie et non de l'antique noblesse comme l'étaient les précédentes favorites du roi. La veille de Noël, le 24 décembre 1745, décède sa mère Louise Madeleine de la Motte à l'âge de quarante-six ans.
En 1746, Louis XV offrit à la Marquise de Pompadour une parcelle d'environ 6 hectares dans le petit parc de Versailles. Elle y fit construire par l'architecte Gabriel une demeure pleine de charme, avec des volières, qu'elle appela son Ermitage.
En 1748, la marquise acquiert le château de la Celle, à quelques kilomètres de Versailles. La reine et le Dauphin, appuyés par les milieux dévots, pressent le roi de faire cesser cette relation adultérine notoire et finissent par le faire céder après de nombreuses années de résistance.
Après 1752, si les relations entre le roi et sa favorite prennent un tour platonique, voire simplement amical, Jeanne-Antoinette ne quitte pas la cour pour autant et reste dans l'entourage immédiat de la famille royale, alignant sa conduite sur celle qu'avait eue en son temps la marquise de Maintenon. Mme de Pompadour excellait à distraire Louis XV, à organiser des fêtes, des représentations théâtrales, à entretenir le goût du souverain pour les bâtiments et les jardins.
Ne pouvant contenter la sensualité du roi et craignant d'être supplantée par une dame de la cour, elle fournit à son ex-amant des jeunes femmes ou jeunes filles, logées dans la maison du Parc-aux-cerfs, actuel quartier Saint-Louis, à Versailles. Les plus célèbres furent Anne Couppier de Romans, qui eut un fils, Louis Aimé, que le roi reconnut sans le légitimer (ce qui fit trembler la marquise), et Marie-Louise O'Murphy de Boisfailly, dite Morphyse, avec qui il eut une fille, Agathe Louise.
En 1753, Louis XV achète l'hôtel d'Évreux (actuel Palais de l'Élysée) et l'offre à son amie pour en faire sa résidence parisienne.
Le 15 juin 1754, la fille unique de la marquise, Alexandrine, née de son mariage, dont elle avait obtenu la garde et qu'elle élevait depuis telle une princesse royale, contracte une péritonite aiguë au couvent des Dames de l'Assomption, rue Saint-Honoré à Paris, où elle recevait son éducation. Madame de Pompadour, retenue à Versailles, n'est pas présente. Lorsque la nouvelle lui parvient, Louis XV dépêche en urgence deux de ses médecins personnels au chevet de l'enfant, mais ils arrivent trop tard. La jeune Alexandrine, âgée de neuf ans, a déjà succombé. La marquise, profondément affectée, ne se remettra jamais vraiment de ce drame. Quelques jours plus tard, le 25 juin 1754 décède son père, François Poisson .
Pendant son « règne » de vingt ans, elle maintient des rapports cordiaux avec la reine. Mme de Pompadour entretient également des relations avec les ministres qu'elle invite parfois dans ses appartements.
Elle appuie la carrière du cardinal de Bernis, du duc de Choiseul et soutient le renversement des alliances de la Prusse vers l'Autriche qui se concrétise par la guerre de Sept Ans et la perte de la Nouvelle-France. La légende veut que la marquise, pour consoler le roi très affecté par la déroute de Rossbach, l'aurait exhorté à ne pas s'affliger outre mesure, concluant par ces mots : « Au reste, après nous, le Déluge ».
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La future marquise de Pompadour voit le jour à Paris : « Du mercredi 30 décembre 1721, fut baptisée Jeanne-Antoinette Poisson, née d'hier, fille de François Poisson, écuyer de Son Altesse royale Monseigneur le duc d'Orléans, et de Louise-Madeleine de La Motte, son épouse, demeurant rue de Cléry... ». Le baptême est célébré à l'église Saint-Eustache. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Paris de Montmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine . Les parents de Jeanne-Antoinette se sont mariés trois ans plus tôt, le 11 octobre 1718 à Saint-Louis des Invalides.
Son père officiel, François Poisson, a débuté comme conducteur dans le service des vivres. Remarqué par les frères Pâris, des financiers liés à la famille de la Motte, il a rendu de grands services en Provence, au moment de la peste. Mais, chargé comme commissaire aux vivres du ravitaillement de Paris pendant la disette de 1725, il est accusé de trafics et ventes frauduleuses. François Poisson est contraint de quitter le pays, et s'exile en Allemagne. Le 23 avril 1727, une commission du Conseil le déclare débiteur pour la somme de 232 430 livres. Le 12 août de la même année, une sentence du Châtelet de Paris décide la séparation de biens avec son épouse, mais leur maison rue de Saint-Marc est saisie. Avant son départ, François Poisson confie sa fille Jeanne-Antoinette au couvent des Ursulines à Poissy en 1727. Ce couvent est connu pour l'éducation des jeunes filles issues notamment de la bourgeoisie. La santé de Jeanne-Antoinette est fragile. Mais elle souffre aussi moralement d'une double absence : celle de son père exilé, et celle de sa mère qui mène une vie pour le moins mouvementée. En janvier 1730, Madame Poisson reprend sa fille à Paris, rue Neuve des Bons-Enfants. Jeanne-Antoinette découvre alors le salon littéraire de Madame Claudine-Alexandrine Guérin de Tencin, une amie de sa mère. C'est dans ce cercle que la jeune fille va apprendre l'art de la conversation et les valeurs de l'esprit.
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La vraie recette de la Madeleine de Commercy... On ne sait pas. Mais en voici une.
Comme la personne qui a rédigé cette recette, je réside non loin de Commercy.
Et croyez moi, la Madeleine de Commercy. Elle est trop bonne.
Eric Picard
Madeleines :
(pour 24 pièces)
150g de beurre mou mais non fondu
150g de sucre
150g de farine
1 sachet de sucre vanillé
4 oeufs
facultatif : des zestes de citron ou d'orange
Préparation :
mélanger le beurre et les sucres en pommade (vous devez ontenir une sorte de pâte crèmeuse). Incorporer les oeufs, puis la farine et les zestes si vous le souhaitez. Fouetter vivement. Laisser reposer 30 minutes.
Beurrer une plaque de moules à madeleine. Remplir chaque alvéole aux deux-tiers.
Enfourner pendant 12 à 14 minutes à 200°C.
J'ai utilisé des moules souples (merci p'tit frère), démoulage impeccable:)
Les madeleines sont cuites lorsqu'elles commencent à faire un volcan, que le cratère craque et que la "lave" qui apparaît est cuite.
Si vous voulez des madeleines plus spongieuses, fouettez d'abord les oeufs et le sucre, jusqu'à ce que le mélange blanchisse ("fasse le ruban").
Cette fois, je n'ai pas mis de zestes car Bergamonsieur et Bergamiss n'en sont pas friands.
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Le détournement de mineur est souvent confondu avec les questions de relations sexuelles entre majeurs et mineurs. Le détournement de mineur est le délit constitué par le fait de soustraire un mineur aux adultes ayant autorité sur lui. Il est indépendant de savoir si le ravisseur a eu des relations sexuelles avec le mineur enlevé, et ne peut être constitué uniquement par les relations sexuelles s'il n'y a pas enlèvement (consenti ou non).
Le détournement de mineur se réfère à la majorité civile, non sexuelle.
La confusion vient en partie du fait que, si un mineur, quitte le foyer parental contre la volonté de ses parents, pour aller vivre avec la personne avec laquelle il a une liaison, cette personne peut bien être inculpée pour détournement de mineur, et, même, si le mineur a plus de 15 ans en France (majorité sexuelle passée, mais pas majorité civile), c'est la seule inculpation possible. C'est donc suivant ce motif que des parents peuvent tenter de faire inculper l'amant(e) de leur enfant si celui-ci avait plus de 15 ans — il existe un exemple célèbre en la matière, qui aboutit à une relaxe parce que la volonté d'enlèvement n'était pas prouvée