Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
22.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Léon Morin, prêtre est un film franco-italien sorti le 15 septembre 1961, adapté du roman Léon Morin, prêtre (1952) de Béatrice Beck, et réalisé par Jean-Pierre Melville.
Durant l'occupation, dans une ville de province, la jeune veuve de guerre d'un juif communiste, mère d'une fillette, défie un prêtre sur le terrain de la religion. Certaine de sa rhétorique, elle est pourtant déconcertée par les réponses du prêtre. Peu à peu, elle perd pied. Chaque nouvelle rencontre avec ce prêtre la rapprochera de la conversion. Sa résistance cédera devant le travail de la grâce. Une amie lui ouvrira involontairement les yeux sur l'une des raisons de sa conversion : l'Abbé Morin est beau.
Fiche technique
Titre : Léon Morin, prêtre
Réalisation : Jean-Pierre Melville
Scénario : Jean-Pierre Melville d'après le roman homonyme de Béatrix Beck.
Producteur : Carlo Ponti et Georges de Beauregard
Société de production : Rome-Paris Films, Compania Cinetografica Champion (Rome) et Lux Compagnie Cinématographique de France (Paris)
Musique : Martial Solal
Son : Jacques Maumont
Photographie : Henri Decaë
Montage : Jacqueline Meppiel, Nadine Trintignant et Marie-Josèphe Yoyotte
Décors : Daniel Guéret
Pays d'origine : France - Italie
Format : 1 × 1,65 noir et blanc - Son mono
Genre : Comédie dramatique
Durée : 130 minutes (2 h 10)
Date de sortie : 15 septembre 1961 (France)
Distribution
Jean Paul Belmondo: Léon Morin
Emmanuelle Riva: Barny
Irène Tunc : Christine Sangredin
Nicole Mirel : Sabine Levy
Gisèle Grimm : Lucienne
Marco Behar : Edelman
Monique Bertho : Marion
Marc Eyraud
Nina Grégoire
Monique Hennessy : Arlette
Edith Loria : Danielle
Micheline Schererre
Renee Liques
Simone Vannier
Lucienne Le Marchand : Une secrétaire
Nelly Pitorre
Ernest Varial
Volker Schlöndorff : La sentinelle armée
Chantal Gozzi
Cedric Grant : soldat américain
George Lambert : soldat américain
Marielle Gozzi
Patricia Gozzi
Gérard Buhr : Gunther
Howard Vernon : le Colonel
Charles Boda : le jeune cycliste
À la sortie du film les critiques sont partagés.
Certains reconnaissent la qualité du travail de J-P. Melville et de ses acteurs :
le cinéaste (également adaptateur), à coup de menus détails, de légères ellipses, d'infimes retouches, est parvenu à restituer les lumières du livre tout en estompant ses ombres. Du très beau travail. - Jean Rochereau, La Croix du 03/10/1961
Film probe, émouvant, beau − comme le roman qu'il reproduit si fidèlement. Nous sommes étonnés d'êtres émus, troublés, de sentir passer le surnaturel - Claude Mauriac, Le Figaro du 30/09/1961
La grâce s'imite donc, me disais-je. Qu'un bon acteur [Belmondo] puisse devenir n'importe quelle créature, entrer dans toutes les peaux, je le savais. Mais ici il fallait devenir ce saint qui ne sait pas qu'il est un saint et qu'il fût en même temps ce garçon aimé d'une jeune femme et qui sait qu'il est aimé. - François Mauriac, Le Figaro littéraire du 18/11/1961
L'interprétation est ici primordiale. En témoigne, s'il était besoin, l'effacement presque total de la technique. Les scènes qui ouvrent le film (ces scènes qui se réduisent souvent à des plans uniques) constituent, par leur concision, un modèle d'exposition. - André S. Labarthe, France Observateur du 21/09/1961
Jean-Pierre Melville a réalisé là, sans bruit, un travail d'une honnêteté et d'une intelligence remarquables. Il y a été bien aidé par deux interprètes tout à fait exceptionnels : Jean-Paul Belmondo [et] Emmanuelle Riva. - Jacqueline Michel, Le Parisien libéré du 27/09/1961
D'autres sont moins flatteurs :
Aussi le film est-il bavard, très bavard, trop bavard. (...) les arguments pour ou contre la croyance, déversés par les protagonistes tout au long de la projection, n'ont pas le relief souhaité. Claude Garson, L'Aurore du 25/09/1961
Et ce pourrait être du Delannoy, en plus soigné. Pas un instant on ne sent la griffe d'un créateur. - Pierre Marcabru, Combat du 25/09/1961
Melville a un vrai talent de cinéaste. Mais peut-être a-t-il été trop fidèle parfois, à la lettre de l'œuvre originale. Le film n'est pas construit. Il se déroule chapitre par chapitre. Certains sont remarquables, d'autres sonnent plus creux. - France Roche, France-Soir du 27/09/1961
Le film, bien que magistralement interprété par deux grands acteurs (...), risque fort de n'emporter l'adhésion d'aucun public et même de lasser certains spectateurs par sa longueur et la passivité monotone de la récitante. - Armand Monjo,
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