Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.01.2025
18542 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1027)
· A à Z : Sommaire (341)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3068)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1117)
air amour annonce art article background bande base belle blogs cadre center
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Longs-métrages
1931 : Le Blanc et le Noir de Robert Florey : Le groom vierge
1931 : Bric à Brac et Compagnie : Fernand
1931 : On purge bébé de Jean Renoir : Le cousin Horace Truchet
1931 : Paris Béguin d'Augusto Genina : Ficelle, un petit truand
1931 : Cœur de lilas d'Anatole Litvak : Le garçon d'honneur
1931 : Le Rosier de Madame Husson de Bernard Deschamp : Isidore, le rosier
1932 : Pas de femmes de Mario Bonnard : Casimir
1932 : Un homme sans nom de Gustav Ucicky : Julot
1932 : Les Gaîtés de l'escadron de Maurice Tourneur : Le soldat Vanderague, le brimé
1932 : le Jugement de minuit (ou Le Vengeur) d'Alexandre Esway : Sam Hackitt
1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage : Le soldat Médard
1933 : L'Ordonnance de Victor Tourjansky : Étienne
1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra : Eloi, le chauffeur
1933 : La Garnison amoureuse de Max de Vaucorbeil : Le deuxième classe Frédéric
1933 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Méchelet, le camarade d'Adémaï
1933 : La Porteuse de pain de René Sti : Billenbuis, un boulanger
1934 : Une nuit de folies de Maurice Cammage : Fernand, le barman
1934 : Le Chéri de sa concierge de Giuseppe Guarino : Eugène Crochard
1934 : L'Hôtel du libre échange de Marc Allégret : Boulot, le garçon d'étage
1934 : Le Train de 8 heures 47 d'Henry Wulschleger : Le cavalier Croquebol
1934 : Angèle de Marcel Pagnol : Saturnin, le valet de ferme
1934 : Les Bleus de la marine de Maurice Cammage : Lafraise, un marin du "Victorieux"
1934 : Le Cavalier Lafleur de Pierre-Jean Ducis : Fernand Gaëtan Lafleur, le réserviste
1935 : Ferdinand le noceur de René Sti : Fernand Piat, préparateur en pharmacie
1935 : Jim la Houlette d'André Berthomieu : Jacques Moluchet, écrivain "nègre"
1935 : Les Gaietés de la finance (ou Bengali VII) de Jack Forrester : Le banquier Marivol - Le tailleur Lambinet
1936 : Un de la légion de Christian-Jaque : Fernand Esculape Siméon Espitalion
1937 : Josette de Christian-Jaque : Albert Durandal
1937 : François 1er (ou Les Amours de la Ferronnière) de Christian-Jaque : Honorin, régisseur de théâtre - Honorin des Meldeuses
1937 : Les Dégourdis de la 11e de Christian-Jaque : L'ordonnace Patard, le premier dégourdi
1937 : Ignace de Pierre Colombier : Ignace Boitaclou, jeune paysan incorporé
1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : Fabien Coutissol, le coiffeur
1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier : Fernand, garçon de café
1937 : Regain (ou Arsule) de Marcel Pagnol : Urbain Gédémus, le rémouleur
1938 : Hercule (ou L'Incorruptible) d'Alexandre Esway : Hercule Maffre, pêcheur provençal, héritant d'un grand journal
1938 : Le Schpountz (ou La Fausse vocation) de Marcel Pagnol : Irénée Fabre, commis-épicier
1938 : Barnabé d'Alexander Esway : Barnabé, flûtiste occasionnel
1938 : Ernest le rebelle de Christian-Jaque : Ernest Pic, steward accordéoniste à bord d'un navire
1938 : Tricoche et Cacolet de Pierre Colombier : Tricoche, détective privé
1939 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage : Armand Lavarède, le cousin de Mr Richard
1939 : Raphaël le tatoué (ou C'était moi) de Christian-Jaque : Modeste Manosque, veilleur de nuit alias "Raphaël"
1939 : Berlingot et Compagnie de Fernand Rivers : François, marchand de berlingots
1939 : Fric-Frac de Maurice Lehmann : Marcel, l'employé de la bijouterie
1939 : L'Héritier des Mondésir (ou C'est un mystère) d'Albert Valentin : Bien-Aimé, le facteur - Le baron de Mondésir et ses aïeux
1940 : Monsieur Hector (ou Le Nègre du Negresco) de Maurice Cammage : Hector, le valet de chambre
1940 : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol : Félipe Rambert, l'assistant de Pascal
1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin : Le berger
1941 : Un chapeau de paille d’Italie de Maurice Cammage : Fadinard, le jeune marié
1941 : L'Acrobate de Jean Boyer : Ernest Sauce, maître d'hôtel
1941 : Le Club des soupirants de Maurice Gleize : Antoine Valoisir, chasseur de papillons
1942 : Les Petits Riens de Raymond Leboursier : Mr Astier
1942 : Simplet de Fernandel: Simplet, le "fada" de Miéjour
1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer : Auguste, dit "Guste", pêcheur provençal
1942 : Ne le criez pas sur les toits de Jacques Daniel-Norman : Vincent Fleuret, préparateur du professeur Léonard
1943 : Une vie de chien (ou Médor) de Maurice Cammage : Gustave Bourdillon, professeur dans un institut
1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : Antonin
1943 : Adrien de Fernandel: Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier
1945 : Le Mystère Saint-Val de René Le Hénaff : Désiré Henri Le Sec, détective
1945 : Naïs de Marcel Pagnol et Raymond Leboursier : Toine, l'ouvrier agricole bossu
1946 : Les Gueux au paradis de René Le Hénaff : Pons, un joyeux drille
1946 : L'Aventure de Cabassou de Gilles Grangier : Marius Cabassou, architecte
1946 : Pétrus de Marc Allégret : Pétrus, photographe
1946 : Cœur de coq (ou Affaires de cœur) de Maurice Cloche : Tulipe Barbaroux, ouvrier imprimeur
1948 : Parade du rire de Roger Verdier
1948 : Émile l'Africain de Robert Vernay : Émile Boulard, accessoiriste
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : Martial Gonfaron, aboyeur à la salle des ventes de Cassis
1948 : L'Armoire volante de Carlo Rim : Alfred Puc, percepteur
1949 : L'Héroïque Monsieur Boniface de Maurice Labro : Mr Boniface, étalagiste
1949 : On demande un assassin de Ernst Neubach : Bob Laurent, le fils de famille
1950 : Casimir de Richard Pottier : Casimir, représentant en aspirateurs
1950 : Meurtres de Richard Pottier : Noël Annequin, paysan et mari d'Isabelle
1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry : Fortuné Richard, clochard
1950 : Uniformes et grandes manœuvres de René Le Hénaff : Luc, portier du "Miramar"
1951 : Topaze de Marcel Pagnol : Albert Topaze, professeur à l'institution Muche
1951 : Boniface somnambule de Maurice Labro : Victor Boniface, détective dans un grand magasin
1951 : Je suis de la revue (Botta e riposta) de Mario Soldati : Fernand
1951 : Adhémar ou le jouet de la fatalité de Fernandel : Adhémar Pomme, ordonnateur de pompes funèbres, garde malade, souffleur...
1951 : L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara : Le moine
1951 : La Table-aux-crevés d'Henri Verneuil : Urbain Coindet, paysan et conseiller municipal
1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé
1952 : Coiffeur pour dames de Jean Boyer : Marius, dit "Mario", coiffeur pour dames
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : Le docteur Charles Pellegrin
1953 : Le Boulanger de Valorgue d'Henri Verneuil : Félicien Hébrard, boulanger
1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé
1953 : Carnaval (ou Dardamelle) d'Henri Verneuil : Dardamelle, l'architecte
1953 : L'Ennemi public numéro un d'Henri Verneuil : Joé Calvet, l'américain myope
1954 : Mam'zelle Nitouche (Santarellina) d'Yves Allégret : Célestin Floridor, professeur de musique
1954 : Le Mouton à cinq pattes d'Henri Verneuil : Édouard Saint-Forget, le père - Alain, le fils esthéticien - Désiré, le fils laveur de vitres - Étienne, le fils loup de mer - Bernard, le fils journaliste - Charles, le fils curé
1954 : Ali Baba et les quarante voleurs de Jacques Becker : Ali Baba, le serviteur de Cassim
1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier : Fernand "Noël" Sarrazin, patron nougatier
1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone : Don Camillo, le curé
1956 : Le Couturier de ces dames de Jean Boyer : Fernand Vignard, couturier pour dames
1956 : Don Juan (El amor de Don Juan) de John Berry : Sganarelle, le valet de Don Juan
1956 : Honoré de Marseille de Maurice Regamey : Protis, le guerrier grec, Honorius, le romain et Honoré
1957 : Sous le ciel de Provence de Mario Soldati : Paul Verdier, représentant en chocolat
1957 : L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier : Albert Constantin, clarinettiste
1957 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (Around the World in Eighty Days) de Michael Anderson : Le cocher de fiacre à Paris
1957 : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer : Sénéchal, comédien d'une troupe théâtrale
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Baptistin Lachoux, dit "Tistin", chômeur
1958 : À Paris tous les deux (Paris Holiday) de Gerd Oswald : Fernydel, l'artiste français
1958 : La loi, c'est la loi de Christian-Jaque : Ferdinand Pastorelli, douanier français
1958 : La Vie à deux de Clément Duhour : Marcel Caboufigue, mari de Marguerite
1958 : Les Vignes du seigneur de Jean Boyer : Henri Levrier, l'ami de la famille
1959 : Le Confident de ces dames de Jean Boyer : Guiliano Goberti, vétérinaire
1959 : Le Grand Chef d'Henri Verneuil : Antoine Venturen, employé d'une station-service
1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : Charles Bailly, prisonnier de guerre
Années 1960 et 70
1960 : Crésus de Jean Giono : Jules, le berger de Provence
1960 : Le Caïd de Bernard Borderie : Justin Migonet, professeur de philosophie
1961 : Cocagne de Maurice Cloche : Marc- Antoine, chauffeur de benne de nettoiement
1961 : Dynamite Jack de Jean Bastia : Antoine Espérendieu, collecteur d'impôts - Dynamite Jack, le bandit
1961 : Don Camillo Monseigneur de Carmine Gallone : Don Camillo, prêtre
1961 : Le Jugement dernier (Il giudizio universale) de Vittorio De Sica : Le veuf
1962 : L'assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon : Albert Rimoldi, timide employé de banque
1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier : L'homme qui se prend pour Dieu
1963 : En avant la musique de Georges Bianchi : Attilio Capellaro, aubergiste
1963 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier : Guillaume Dodut, chef de gare de Puget-sur-Var
1963 : Blague dans le coin de Maurice Labro : Jeff Burlington, le comique
1963 : Le Bon roi Dagobert de Pierre Chevalier : M. Pelletan et le roi Dagobert
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier : Fernand Jouvin, prisonnier de guerre
1964 : Relaxe-toi chérie de Jean Boyer : François Faustin
1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier : Adolphe Lartigue, le père d'Antoine
1965 : Don Camillo en Russie de Luigi Comencini : Don Camillo, prêtre
1966 : La Bourse et la Vie de Jean-Pierre Mocky : Charles Migue, un collègue de Pelepan
1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière : Monsieur Quantin, fermier Jurassien
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier : Armand Favrot, alias "Monsieur Jo", contrebandier
1970 : Heureux qui comme Ulysse d'Henri Colpi : Antonin, modeste garçon de ferme
1970 : Don Camillo et ses contestataires de Christian-Jaque : Don Camillo, prêtre - (Film inachevé)
À noter
Huit de ses films ont été colorisés (soit pour la télévision, soit pour des sorties VHS) : Les Rois du sport (1937), L'Auberge rouge (1951), Le Boulanger de Valorgue (1952), Le Couturier de ces dames (1956), Sénéchal le magnifique (1957), Le Grand Chef (1959), La Vache et le Prisonnier (1959) qui fût le premier film français traité par procédé électronique et La Cuisine au beurre (1963).
À noter également que Mam'zelle Nitouche (1954), Ali Baba et les Quarante voleurs (1954), Don Juan (1956), Sous le ciel de Provence (1957), Honoré de Marseille (1956), Le tour du monde en 80 jours (1957), A Paris tous les deux (1958), Dynamite Jack (1961), La Bourse et la vie (1966), Le Voyage du père (1966), L'Homme à la Buick (1968) et Heureux qui comme Ulysse (1970) ont été tournés directement en couleur (Eastmancolor où Technicolor).
Courts-métrages
1930 : La Meilleure Bobonne (ou Les 4 Jambes) de Marc Allégret et Claude Heymann : Lucien Pivoine
1930 : J'ai quelque chose à vous dire de Marc Allégret : Pierre Deneige, l'amant
1931 : Attaque nocturne de Marc Allégret et Jean de Marguenat : Le commissaire
1931 : La Fine Combine d'André Chotin : Joseph, le valet de chambre
1931 : Bric-a-brac et compagnie d'André Chotin : Fernand
1931 : Vive la classe (ou Les gaietés de l'escouade) de Maurice Cammage : Moussin
1931 : Pas un mot à ma femme d'André Chotin : Jules
1931 : Une brune piquante (ou La femme à barbe) de Serge de Poligny
1932 : Quand tu nous tiens, amour de Maurice Cammage
1932 : La Terreur de la Pampa de Maurice Cammage : Bill Forster, plongeur à Hollywood
1932 : Ordonnance malgré lui de Maurice Cammage : Alfred Leneveux, chauffeur du colonel
1932 : Un beau jour de noces de Maurice Cammage : Gustave Dupied, le marié
1932 : Comme une carpe (ou Le muet de Marseille) de Claude Heymann : Chatelard, le mari volage
1932 : Par habitude de Maurice Cammage : Valentin Bourgeasse, l'homme qui fait vœu d'ivresse
1932 : Restez dîner (ou Maruche) de Robert Péguy : Maruche, un ami de Blondel
1932 : La Claque de Robert Péguy
1932 : Cunégonde - Chanson filmée
1932 : Elle disait non - Chanson filmée
1933 : Ça colle de Christian-Jaque
1933 : Lidoire de Maurice Tourneur : Le cavalier Lidoire
1933: La Veine d'Anatole (ou Le Gros Lot) de Maurice Cammage
1943 : Guignol, marionnette de France de Maurice Cammage - Commentaire et présentation uniquement
1946 : Comédiens ambulants de Jean Canolle
1947 : 20 minutes de Fou Rire (ou Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé - Chansons filmées : "Irma la Voyante", "La Caissière du grand café", "Elle a de la barbe" et "Attente"
1947 : Irma la voyante de Antoine Toé : La voyante et un client
1947 : Escale au soleil d'Henri Verneuil : Le guide qui présente et commente le film
1950 : La Nuit des étoiles de Louis Fehr-Lutz - Participation au bal des petits lits blancs de Monte-Carlo
1950 : La Chèvre de Monsieur Seguin de Francis Gir - Commentaire du film
1956 : L'Art d'être papa (ou Le téléphone) de Maurice Regamey
1962 : Visages de Paris de Dominique Nohain
1969 : Tel est Franck de Jean-Paul Sassy (26 min) - Contient une chanson en duo avec son fils, sur l'amour
Publicités
Fernandel tourna également quelques publicités cinématographiques :
En 1938 pour le tabac de Virginie Week-end (2 minutes)
En 1945 pour vanter le cinéma dans le cadre d'une tombola (1 minute)
En 1965 avec Le discours au gâteau d'anniversaire pour l'apéritif Dubonnet (30 secondes)
Il participa aussi à un documentaire sur la publicité de 600 mètres "Nul bien sans peine" réalisé par Robert Lefèvre à la gloire de Paul Ricard, où il raconte la saga du père des alcools sur un commentaire de Jean Desailly, avec Mireille Darc.
Télévision
1966 : Paris ist eine Reise wert, téléfilm de Paul Martin : Un détective
1967 : L'Amateur ou S.O.S. Fernand série télévisée en 7 épisodes de 26 min : Fernand
Le Somnambule de Jean-Pierre Decourt
La Valise de Jean-Pierre Decourt
Le Sculpteur de Maurice Delbez
La Cleptomane de Louis Grospierre
Le Coup de fil de Jacques Pinoteau
La Princesse russe de Maurice Delbez
La Vicomtesse de Quentin Lawrence
1968 : Una Tranquilla Villeggiatura série TV de 7 épisodes réalisée par Camillo Mastrocinque pour la RAI
L'habit (Il frac)
L'hypnotiseur (A me gli occhi)
Le masseur (La bomba)
Simple coicidence
Terreur au château (Terrore al castello)
Nuit de noce (La notte di noze)
Une tranquille villégiature (Una tranquilla villegiatura)
1969 : Freddy, pièce de Robert Thomas réalisée pour la télévision par Igor Barrère et Alexandre Tarta : Freddy, le clown
Hommages
De 1975 à 1999, l'imitateur André Aubert devint le petit curé de campagne provençal Don Patillo dans les publicités télévisées pour les pâtes Panzani, et écrira même un livre à leur sujet en 1997 (Le Cherche midi).
À partir de 2007, des extraits en noir et blanc d'Honoré de Marseille servent à promouvoir l'huile d'olive Pugetdans des publicités à la télévision.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : 2024 | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Fernandel est atteint d'un cancer généralisé, mais les médecins et sa famille lui cachent la gravité de son état, on lui fait croire qu'il est atteint d'une pleurésie qu'il aurait attrapée lors du tournage de Don Camillo et ses Contestataires. Le 26 février 1971, épuisé par la maladie, il meurt dans son somptueux appartement tout en marbre au 44 de l'avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy (1re division)
Il était aussi propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses » sur l'avenue des Trois-Lucs, avec un parc de cinq hectares
Fernandel avait deux frères, Auguste-Marcel, son aîné de 6 ans (avec lequel il se produira un temps sous les noms de Marcel et Fernand Sined), et Francis dit Fransined plus jeune que lui de 11 ans, ainsi qu'une sœur.
Le 4 avril 1925, à 22 ans, il épouse Henriette-Félicie Manse (1902-1984), la sœur de son ami, le parolier Jean Manse. Ils auront trois enfants : Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935.
C'est à la mère d'Henriette qu'est attribuée l'origine de son pseudonyme « Fernandel », voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille, le voyant arriver dans la rue depuis sa fenêtre, elle dit fort, tient voilà : « le Fernand d'elle... », la phrase fait mouche, elle est adoptée par le comédien pour en faire son nom de scène2. Il est aussi probable que Fernandel vienne du provençal, qui signifie « petit Fernand ».
Il effectue son service militaire un mois après son mariage. Affecté au 93e régiment d'artillerie de montagne de Grenoble, il est libéré le 29 avril 1926.
Les journaux à sensation, friands de scandales autour des célébrités, n'en ont jamais débusqué dans la vie privée de Fernandel. À tel point que l'un d'entre eux titre un jour, dans un geste d'autodérision, « La femme cachée de Fernandel », ladite femme étant la sienne que jamais il ne mettait en avant. Dans une de ses dernières interviews, Jean Gabin témoigne de la moralité et de la fidélité de Fernandel dans tous les domaines, tant en amitié qu'en affaires
Devant gérer les revenus de plus en plus importants liés à leur succès, Gabin et Fernandel cherchent à mettre leurs économies à l'abri de l'inflation. Fernandel choisit l'immobilier. Gabin achètera des terrains en lui disant : « Les immeubles, ça s'écroule. La terre, ça reste. »
Liés par l'amitié et une grande estime, dont ils témoigneront tout au cours de leurs vie, ils avaient entretemps, créé leur société de production cinématographique commune, la Gafer, au nom formé par les premières syllabes de leurs noms de scène. « Nous avons bien fait de ne pas prendre celles de nos patronymes », expliquera Fernandel : Gabin se nomme en effet Moncorgé et Fernandel Contandin. (cela aurait fait Moncon)
Avec Louis de Funès, Bourvil et Jean Gabin, Fernandel fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles : environ 202 millions entre 1945 et 1970.
Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :
1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : 12,79 millions d'entrées
1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : 8,84 millions d'entrées
1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : 7,42 millions d'entrées
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier avec Bourvil : 6,39 millions d'entrées
Distinctions
1914 : Second au concours Comœdia de la chanson organisé au théâtre du Châtelet de Marseille (devenu Capitole) derrière un certain Larquet, mais lui permettant néanmoins de débuter au cabaret du Palais de cristal
1949 : Grand prix du rire pour On demande un assassin
1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens
1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit Monde de don Camillo
1953 : chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur (introduit par Marcel Pagnol)
1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
1954 : médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 Oscars de la popularité en Belgique wallonne)
1954 : Léopard d'or au Festival de Locarno 1954 grâce à ses six rôles dans Le Mouton à cinq pattes
1957 : citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)
1960 : chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres
1960 : Oscar européen de la popularité
1964 : prix Georges-Courteline de l'humour remis par son colauréat Bourvil
1964 : prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse
1964 : Orphée d'or du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche
1967 (7 décembre) : Invité du général de Gaulle au palais de l'Élysée pour une réception officielle en compagnie d'autres artistes français.
1968 : Intronisation au Grand Conseil des vins de Bordeaux
1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
1970 : prix remis lors de la Nuit du cinéma par Claude Dauphin
Citations
Fernandel : « Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »
Fernandel à propos de son personnage de don Camillo : « Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Dieu comme partenaire. »
Marcel Pagnol à propos de Fernandel : « Il possède le don de faire rire des êtres qui ont tant de raisons de pleurer. »
Sacha Guitry : « Moi on m'admire, vous on vous aime. »
Biographie
Fernandel |
Fernandel : Don Camillo |
Fernandel |
Filmographie de Fernandel |
Discographie de Fernandel |
Dessin
Fernandel : Dessin |
Fernandel : Gif dessinsagogo55 |
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Dans les années 1950, il retrouve le succès avec des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker ainsi que La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959. Il réalise également Adhémar ou le Jouet de la fatalité, en 1951, sur un scénario de Sacha Guitry.
Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi, dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent à une lutte d'influence feutrée ; son interprétation bon enfant, en ces temps de guerre froide, assoit sa notoriété. Il tournera six films en tout : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison du cancer qui va l'emporter l'année suivante.
Le 18 janvier 1953 alors qu'il est à Rome avec sa fille Janine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Un Fernandel de cire en Don Camillo dans son confessionnal est également installé en bonne place au musée Grévin.
Lors d'une entrevue où un journaliste lui demandait de parler du succès du Ier Don Camillo, il répond : D'abord, la surprise. La surprise du personnage qu'on ne connaissait pas. La surprise de parler à Jésus. Ca fait un drôle de partenaire vous savez. J'en ai eu dans ma vie mais, je dois dire que celui là, je lève ma barrette. .
Fernandel remporte parallèlement un grand succès public et critique avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.).
En 1963, il fonde avec Jean Gabin la société de production Gafer d'après la première syllabe de leurs pseudonymes qui sont Gabin et Fernandel. Car s'ils avaient utilisé la première syllabe de leur vrai nom, cela aurait donné « Moncon » (contraction de Moncorgé et Contandin). Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : 2024 | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Fernand Contandin, dit Fernandel, né le 8 mai 1903 à Marseille et mort le 26 février 1971 à Paris, est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français.
Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, véritable champion du box-office qui attira plus de 200 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'avant et d'après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également tenu avec succès des rôles plus dramatiques, notamment dans Naïs, La Vache et le Prisonnier ou Heureux qui comme Ulysse.
Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à ce qu'il appelait lui-même sa « gueule de cheval », il acquit une popularité internationale telle que le général de Gaulle déclara lors d'une réception à l'Élysée le 3 mai 1968 qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que [lui] dans le monde ». Son succès ne s'est jamais démenti et Marcel Pagnol dira de lui après son décès : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin. »
Fernand Joseph Désiré Contandin naît au 72 boulevard Chave à Marseille. La famille était piémontaise, originaire de la vallée occitane du Cluson (val Chisone), en province de Turin et plus précisement de Méan/Meano de La Pérouse/Perosa Argentina, où il existe encore la maison des ancêtres. La forme Contandin (au lieu de Coutandin) dérive d'une erreur de transcription des actes italiens.
Son père, Denis Contandin, comptable mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined (anacyclique de Denis), et sa mère Désirée Bédouin, également comédienne amatrice, remarquent rapidement le talent du jeune Fernand. Il suit souvent son père lors des concerts que celui-ci organise dans la banlieue marseillaise en montant sur les planches. C'est à l'occasion d'un concours pour petits chanteurs amateurs qu'il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille.
Andrex, comédien et ami d'enfance de l'acteur, raconte à son propos : « Fernandel, qui n'était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d'un grand coup de pied au derrière ; il s'empêtra dans son sabre et s'étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n'eut plus jamais peur d'affronter le public. »
À sa sortie de l'école, le père de Fernand le place à la Société marseillaise de crédit dont il ne tarde pas à se faire congédier. Il enchaîne ensuite les petits boulots alimentaires, portant des sacs de sucre dans le port de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans de nombreuses banques, mais sa passion du tour de chant et son caractère volage ne lui permettent pas de s'assurer une situation stable. En parallèle, il court le cachet comme comique troupier dans des noces et banquets, et sur les scènes des cafés-concerts de Marseille (Les Variétés, Le Palais de cristal, Le Grand Casino, L'Eldorado, l'Alcazar), où son profil chevalin marque les esprits.
Il accepte finalement une place à la savonnerie du Fer-à-cheval qu'il conserve jusqu'à son incorporation sous les drapeaux au printemps 1925. D'abord à Grenoble, puis à Marseille, son service militaire se déroule plutôt bien puisqu'il rentre tous les soirs chez lui. Trois semaines avant qu'il ne soit libéré de ses obligations militaires et retrouve une place à la savonnerie, Andre Valette, le directeur de l'Odéon de Marseille, l'engage pour remplacer la vedette parisienne, conspuée par le public, en première partie de programme. Le numéro de tourlourou de Fernandel, constitué des succès de Gaston Ouvrard (C'est beau la nature), de Polin (Elle a de la barbe) et quelques créations, dont deux chansons écrites par Jean Manse, est un triomphe. Jean Faraud, le directeur français de la Paramountdont fait partie l'établissement et qui assiste par hasard à la prestation, lui propose immédiatement un contrat pour se produire dans l'ensemble du circuit. Fernandel débute le 19 mars 1927 à Bordeaux où il retrouve Andrex, puis enchaîne avec Toulouse, Nice et Lille.
Le 7 décembre 1928, Fernandel fait ses débuts parisiens à Bobino. Grâce au succès de cette prestation, il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le 10 mars 1930, il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à l'Élysée-Palace de Vichy. C'est là que Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du théâtre Mogador, le voit et l'engage pour la revue d'hiver du concert Mayol, revue déshabillée à succès de l'époque réunissant le tout-Paris. Fernandel et Parisys y interprètent trois sketches intercalés entre les numéros de danse. Il débute également au théâtre de l'Empire engagé par Emile Audiffred. Le réalisateur Marc Allégret qui y assiste est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel ; il décide de lui offrir le rôle d'un groom dans le film qu'il prépare avec Sacha Guitry Le Blanc et le Noir. 1930 marque ainsi le début de la carrière cinématographique de Fernandel.
L'année suivante en 1931 Jean Renoir lui offre un rôle plus important aux côtés de Michel Simon dans On purge bébé, d'après la pièce de Georges Feydeau. Cette même année, il « croise » Jean Gabin dans le film Cœur de lilas. L'année suivante, il est pour la première fois la vedette d'un film Le Rosier de madame Husson de Dominique Bernard-Deschamps d'après une nouvelle de Guy de Maupassant.
Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), Josette (1937, film dans lequel joue aussi sa fille aînée), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).
Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qu'il y interprète deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi.
En 1937, il publie ses premiers mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir.
En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre », à Marseille, dans le 15e escadron du train des équipages, caserne d'Aurelles. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde, puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a, entretemps, enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande.
Ses films des années 1940, dont deux qu'il réalise lui-même : Simplet (1942) et Adrien (1943), sont essentiellement tournés pour la Continental-Films, société de production financée par des capitaux allemands. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue en effet de chanter dans des cabarets, se fait applaudir au Grand Casino et au Casino des Fleurs de Vichy et fredonne sur Radio Paris
Biographie
Fernandel |
Fernandel : Don Camillo |
Fernandel |
Filmographie de Fernandel |
Discographie de Fernandel |
Dessin
Fernandel : Dessin |
Fernandel : Gif dessinsagogo55 |
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
SOMMAIRE | ||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | ||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | ||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | ||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | ||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub |
Jackie Sardou (née Jacqueline Labbé, et dite Jackie Rollin) est une actrice française née le 7 avril 1919 à Paris et morte le 2 avril 1998 dans la même ville.
Épouse de l'acteur et chanteur Fernand Sardou, mère du chanteur Michel Sardou, grand-mère du romancier Romain Sardou et du comédien Davy Sardou, fille d'Andrée Labbé, dite Bagatelle, une danseuse du Concert Mayol et du quadrille du french-cancan au Moulin rouge (père inconnu).
Comédienne truculente, Jackie Sardou était un des piliers du théâtre de boulevard : en fin de carrière, elle triomphe au théâtre dans Le Clan des veuves (1990-1993) de Ginette Garcin, avec cette dernière et Mony Dalmès.
Jacqueline Labbé naît dans une mansarde du « Concert Mayol » où sa mère Andrée Labbé, dite Bagatelle, est danseuse. À 16 ans, elle remplace au pied levé une danseuse dans un spectacle auquel participent sa mère et Fernand Sardou qu’elle épouse (7 juillet 1945). Elle donne naissance à Michel Sardou (26 janvier 1947). Elle occupe la scène du « Liberty’s » pendant dix ans. Sous le nom de Jackie Rollin, elle enchaîne les cabarets, les opérettes et les tournages… la course aux cachets : elle tourne son premier film en 1948 avec Fernand Sardou intitulé Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman avec Fernandel en vedette.
Jusqu'en 1976, date de la mort de son mari Fernand Sardou, Jackie Sardou mène sa carrière théâtrale et cinématographique sous le nom de Jackie Rollin dans une succession de rôles de bonne femme gouailleuse avec une coupure dans les années 1960 pendant laquelle les époux Sardou dirigent un cabaret « Chez Fernand Sardou » (1960-1965).
En dépit de sa verve et de sa gouaille, Jackie Sardou n'obtiendra pas de grands rôles au cinéma. Néanmoins, citons : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! (1983) de Michel Gérard, Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir (1983) de Philippe Clair avec Jerry Lewis, La Vengeance du serpent à plumes (1984) de Gérard Oury avec Coluche ou Les Mamies (1992) d'Annick Lanoë avec Danielle Darrieux, Sophie Desmarets, Odette Laure et Paulette Dubost.
Jackie Sardou s'est réellement révélée au cours des vingt dernières années de sa vie, en décidant d'abandonner son nom de scène Jackie Rollin pour son nom marital Sardou, beaucoup plus vendeur, depuis la notoriété de son fils. On la voit souvent à la télévision (dans des jeux comme L'Académie des neuf avec Jean-Pierre Foucault) et à la radio (Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL et Allô Jackie sur RMC), ainsi que dans des pièces de théâtre populaires et comiques telles que Chéri de Colette avec Michèle Morgan en 1982, N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry avec Pierre Dux et Micheline Boudet en 1985 ou Le Clan des veuves en 1992.
Avec Michel Sardou elle enregistre, en 1982, un sketch (écrit par Jean-Loup Dabadie), intitulé Maman et plus tard, en 1993, un album de chansons populaires sous le titre Jackie Sardou chante…. Dans les années 1970 et 1980, elle tourne dans des publicités TV pour une marque de nettoyant de prothèses dentaires, qui contribuent à lui assurer une notoriété nationale. En 1987, elle publie chez Plon un livre de souvenirs, Hé, la petite grosse !.
Sa dépouille a été initialement inhumée dans le cimetière de Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, aux côtés de son mari. Les deux époux ont été ensuite transférés à Cannes au cimetière du Grand Jas en 2006.
Filmographie
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : la fleuriste
1949 : Hôtel des Artistes de Jean Perdrix - cm -
1951 : Cœur-sur-Mer de Jacques Daniel-Norman : l'amie de l'Anglais
1950 : Meurtres ? de Richard Pottier : une amie
1950 : La Rue sans loi de Marcel Gibaud : la nourrice
1951 : Nous irons à Monte-Carlo de Jean Boyer : Mme Bindinelli
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : la mère du garçon radiographié
1953 : L'Appel du destin de Georges Lacombe
1953 : Leur dernière nuit de Georges Lacombe : la concierge
1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier
1955 : Les deux font la paire d'André Berthomieu : la théâtreuse
1955 : M'sieur la Caille d'André Pergament : Mme Riri
1955 : Je suis un sentimental de John Berry : la concierge
1955 : Quatre jours à Paris d'André Berthomieu : Zénaïde
1956 : Le Septième Commandement de Raymond Bernard : Hélène, la domestique de Gilbert
1956 : Les carottes sont cuites de Robert Vernay
1957 : Fric-frac en dentelles de Guillaume Radot : Mme Espinasse
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay : une passagère du premier car
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Mme Donjazu
1958 : Le Désert de Pigalle de Léo Joannon : Mme Cazeneuve
1958 : Prisons de femmes de Maurice Cloche : Lulu
1958 : Suivez-moi jeune homme de Guy Lefranc
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay
1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot : Mme Gaubert, la concierge
1960 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca : Myriam Hanesco
1963 : La Bande à Bobo de Tony Saytor
1966 : Sale temps pour les mouches de Guy Lefranc
1968 : Béru et ces dames de Guy Lefranc : Berthe Bérurier
1968 : Ho ! de Robert Enrico : Mado
1968 : La Prisonnière d'Henri-Georges Clouzot : la caissière
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus : Mme Charlus
1975 : On a retrouvé la septième compagnie de Robert Lamoureux : Mme Crouzy dite « la mère Crouzy »
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux : la femme d'Amédée
1975 : Les Grands Moyens d'Hubert Cornfield : Josette Conségude
1976 : Le Chasseur de chez Maxim's de Claude Vital : Marguerite
1977 : Freddy de Robert Thomas : la femme à barbe
1979 : New génération de Jean-Pierre Lowf Legoff: la matrone
1982 : T'es folle ou quoi ? de Michel Gérard : la gardienne
1982 : On s'en fout, nous on s'aime de Michel Gérard : la prof chahutée
1982 : On n'est pas sorti de l'auberge de Max Pécas : Mme Sulpice
1983 : Adam et Ève de Jean Luret : Esther Ben Hoït
1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : l'ouvreuse
1984 : Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir de Philippe Clair : Pauline, la mère de clovis
1984 : La Vengeance du serpent à plumes de Gérard Oury : la concierge
1985 : Gros dégueulasse de Bruno Zincone : la marchande de fraises
1986 : La Vie dissolue de Gérard Floque de Georges Lautner : la quémandeuse d'autographes
1988 : Les Gauloises blondes de Jean Jabely : la sorcière
1992 : Les Mamies d'Annick Lanoë : Zézette
1958 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Les Cheveux en quatre de Claude Loursais : Mme Riotord
1962 : L'inspecteur Leclerc enquête, épisode Ma femme est folle de Claude Barma : la concierge
1965 : Les Saintes chéries de Jacques Becker (série) : Mme Martin, l'amie casse-pieds
1974 : Les Faucheurs de marguerites de Marcel Camus (série) : Mme Perrier
1974 : Malaventure de Joseph Drimal (série) : Marguerite
1977 : Les Folies Offenbach de Michel Boisrond (série) : Mme Mirador
1979 : Histoires de voyous: Le concierge revient tout de suite (téléfilm) : la matronne
1980 : L’Inconnu d’Arras (téléfilm) : la mère Venot
1980 : Les Amours du mal-aimé (téléfilm) : la concierge
1981 : Histoire contemporaine (série) : Joséphine
1981 : Tovaritch (téléfilm) : Louise
1982 : Les Amours des années grises (série) : Mme Panaro
1983 : L'Intoxe (téléfilm) : la marchande de journaux
1984 : Emmenez-moi au théâtre: Chéri (Téléfilm) : Mme Aldonza
1985 : Maguy (série) : Mme Bignole
1995 : Le Clan des veuves (téléfilm) : Jacky
1973 : La Reine blanche de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jacques Sereys, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1974 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Raymond Gérôme, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1979 : Mon crime de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : La Route des Indes de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1980 : La Maîtresse de bridge de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
Théâtre
1947 : Baratin de Marc Cab et Jean Valmy avec Roger Nicolas, Théâtre de l'Européen
1948 : Hier contre aujourd'hui de Robert Beauvais et Michel Vaucaire, mise en scène Lucien Rimels, Théâtre des Célestins
1960 : Impasse de la fidélité d'Alexandre Breffort, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre des Ambassadeurs
1968 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Dux, Théâtre du Gymnase, Théâtre du Palais-Royal
1976 : Knock de Jules Romains, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1977 : Féfé de Broadway de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés avec : Jacqueline Maillan, Michel Roux, Roger Carel, Annick Alane Théâtre des Variétés
1979 : Tovaritch de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de la Madeleine
1980 : L'Intoxe de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Jeanne Moreau, Jacques Dufilhoet Anne Parillaud Théâtre du Palais-Royal
1981 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Odette Laure, Théâtre des Variétés
1983 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Célestins
1984 : Brocéliande de Henry de Montherlant, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : Les Femmes savantes de Molière, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés, Théâtre du Palais-Royal en 1986
1990 : Le Clan des veuves de Ginette Garcin, mise en scène François Guérin, avec Ginette Garcin et Mony Dalmès, Théâtre Fontaine
1995 : Laisse faire Nini de Laurence Jyl, mise en scène François Guérin, avec Philippe Castelli, Christian Marinet Marie-Christine Demarest, Théâtre Eldorado
Chanson
1993 : Jackie Sardou chante J'en ai marre Ah c'qu'on s'aimait En douce Le grand frisé Comme un moineau Pas de raison Où est-il donc ? Le dénicheur Il n'y en a qu'un à Marseille Comme une fleur Maintenant je sais |
Bibliographie
Yvan Foucart: Dictionnaire des comédiens français disparus, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Le Chômeur de Clochemerle est un film français réalisé par Jean Boyer en 1957.
Baptistin Lachaud, dit Tistin, est un marginal qui vit de braconnage et aime lever le coude avec ses copains. Il est naturellement surveillé par le garde-champêtre, mais celui-ci se laisse parfois aller jusqu'à manger avec lui le produit de ses braconnages. L'idée vient à Tistin d'aller à la mairie officialiser sa situation de chômeur et, grâce à l'appui intéressé du maire, obtient de devenir chômeur indemnisé ! Le voilà officiellement payé à ne rien faire en tant qu'unique chômeur de Clochemerle. Sauf que cela n'est pas pour plaire aux habitants du village qui se scandalisent de devoir payer ce paresseux à ne rien faire. Pour échapper à ces reproches, il va rendre de multiples services aux unes et aux autres. Et l'amour viendra couronner ce dévouement.
Fiche technique
Réalisation : Jean Boyer, assisté de Alain Roux et Francis Caillaud
Scénario : Gabriel Chevallier d'après son roman Clochemerle Babylone
Adaptation : Jean Manse, Jean Boyer
Dialogues : Gabriel Chevallier
Photographie : Charles Suin
Opérateur : Marcel Franchi, assisté de Jean Castanier et J. de Saint-Girons
Montage : Jacqueline Brachet, assistée de Madeleine Lecompère
Décors : Robert Giordani, assisté de Jean Mandaroux et Jacques d'Ovidio
Musique : René Sylviano
Orchestration : Jacques Météhen (éditions Enoch et Cie, éditions Fortin)
Son : Antoine Archimbaud, assisté de Georges Girard et Henri Richard
Enregistrement sonore R.C.A Studios Decca
Tirage : Laboratoires Eclair à Epinay-sur-Seine
Maquillage : Boris Karabanoff et Mario Jacopozzi
Coiffures : Éliane Rouvier
Photographe de plateau : Gaston Thonnart
Script-girl : Cécilia Malbois
Régie générale : Louis Manella, assisté de René Brun
Régie extérieure : Charles Auvergne
Accessoiriste : Louis Charpeau
Production : Fidès
Chef de production : Ernest Rupp
Directeur de production : Walter Rupp
Secrétaire de production : Simone Chotel
Administrateur : Gérard Ducaux-Rupp
Distribution : Discifilm
Tournage du 17 juin au 5 août 1957 dans les Bouches-du-Rhône, en grande partie dans le village de Velaux et ses environs, mais aussi à Lançon-Provence devant l'église place Eugène Pelletan, à Coudoux devant l'église, et à Marseille place Félix Barret.
Pays : France
Format : Pellicule Gevaert 35 mm, Noir et blanc
Durée : 92 min
Genre : Comédie
Dates de sortie :
France : 18 novembre 1957 à Marseille et le 20 décembre 1957 à Paris
Visa d'exploitation : 19548
Distribution
Fernandel : Baptistin Lachaud, dit « Tistin », chômeur
Maria Mauban : Jeannette Masurat, une jeune veuve
Henri Vilbert : M. Piechut, le maire
Henri Crémieux : M. Larondel, un conseiller d'opposition
Marcel Perès : Beausoleil, le garde-champêtre
Mag Avril : Mme Chavaigne
Georges Chamarat : Patard, le curé
Sabine André
Mado France : Une commère
Henri Arius : Un habitué du café
Bréols : M. Donjazu
Béatrice Bretty : Babette, la gouvernante de Tistin
Lucien Callamand : M. Tafardel, le secrétaire du maire
Jackie Sardou : Mme Donjazu
Raymone : Mlle Pauline Coton, une paroissienne
Ginette Leclerc : Zozotte, la « respectueuse » du pays
Henri Rellys : Coiffenave, le bedeau
Les suivants ne sont pas crédités au générique :
Marthe Marty : Mme Pignaton, une laveuse
Jim Gérald : M. Poupart, le sonneur de Montfraquin
Jean-Louis Le Goff
Henri Bon : le curé de Saint-Firmin
Viviane Méry
Michel Sardou : Un gamin sur un manège
|
SOMMAIRE Monde : Inde
1966 | |
12/04/19 17:51 | Reita Faria : Miss Monde 1966 |
30/03/13 18:03 | Reita Faria : Miss Monde 1966 |
1994 | |
10/03/13 10:58 | Aishwarya Rai : Miss Monde 1994 |
2000 | |
10/03/13 11:18 | Priyanka Chopra : Miss Monde 2000 |
12/04/19 21:52 | Priyanka Chopra : Miss Monde 2000 |
2013 | |
21/04/13 16:08 | Inde: manifestations après le viol barbare d'une fillette |
2019 | |
29/10/19 19:40 | Airbus vend 300 avions à une compagnie indienne |
Agra | |
14/06/19 05:43 | Taj Mahal , en Inde |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
District de Rajsamand | |
14/06/19 06:19 | Couloir du temple Ramnathswamy, à Rameshwaram, en Inde |
New Delhi | |
14/06/19 06:25 | Arcs de Mughal du Fort Rouge à Delhi, Inde |
14/06/19 06:21 | Les murs de la forteresse de Chittorgarh, Rajasthan |
10/06/19 01:54 | New Delhi: une montagne de déchets |
Somnathpur | |
14/06/19 06:23 | Temple Keshava, Somnathpur Inde. |
Retour à : Monde (Sommaire) |
Retour à : SOMMAIRE |
Retour à : |
Direct sur la rubrique : A à Z : Sommaire |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Roland Moreno, né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris, est un journaliste et inventeur français. Il est célèbre notamment pour avoir inventé la carte à mémoire, dénommée communément carte à puce, en 1974.
Inventions
Bague comportant une mémoire, brevet français no 74 10191 du 25 mars 1974.
Carte à puce mémoire, dont le brevet a été déposé en France , 1er semestre 1975
Le Radoteur (1975)
Les Célimènes
Moreno réalise en janvier 2001 le premier prototype de Célimène, ce qu'il appellera plus tard de la « musique augmentée » en référence au « livre augmenté » d'iGutenberg. Cette invention superpose la mélodie d'une musique avec le texte d'une pièce de théâtre, d'un poème, d'une chanson. L'arrangeur Sylvain Robert parvient à fusionner de très grandes pages musicales (Bach, Ravel, Beethoven, Albeniz) avec des textes de Molière, Brassens et Vian. La première réalisation (le prélude de la VIe Suite pour violoncelle seul, de Jean-Sébastien Bach, est suivie par le prélude no 3 du 1er livre du Clavecin bien tempéréet le premier mouvement du 5e des Concertos Brandebourgeois. La grande tirade de Célimène dans Le Misanthrope de Molière vient se superposer à la mélodie de chacun de ces morceaux. Cette superposition est possible grâce notamment à l'écriture en alexandrins de la pièce et à la composition des musiques avec des phrases de quatre mesures à trois temps. Dans les réalisations qui suivent, on peut citer le Boléro de Ravel et l'Hymne à la joie de la Symphonie n° 9 de Beethoven, sur des textes respectivement de Georges Brassenset Jacques Brel.
|
Christine Fabréga, née Christiane Louise Jeanne Boutevilain, est une actrice et animatrice de radio et de télévision française, née le 8 avril 1931 dans le 14e arrondissement de Paris et morte le 11 juin 1988 dans le 18e arrondissement de Paris
Fille d'un négociant en cuirs, Christiane Boutevilain suit les cours de théâtre de Julien Bertheau et de René Simon.
Dès 1952, elle apparaît au cinéma, comme simple figurante, sous le pseudonyme — qu'elle ne quittera plus — de Christine Fabréga.
Elle interprétera une dizaine de films, dont Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville (1966) — probablement son plus beau rôle ; Les Risques du métier d'André Cayatte(1967) ; Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat(1972) ; Deux hommes dans la ville de José Giovanni (1973).
En 1965, elle présente l'émission télévisée Le Mot le plus long. Elle devient vite connue et appréciée des téléspectateurs. Durant onze ans, jusqu'en 1987, c'est aussi l'une des figures récurrentes de l'émission Les Jeux de 20 heures.
Au début des années 1980, elle compte parmi les invités réguliers de l'émission radiophonique de Philippe Bouvard Les Grosses Têtes, diffusée sur RTL.
Elle s'éteint le 11 juin 1988, à l'hôpital Bichat, des suites d'un cancer. Elle est âgée de 57 ans. Elle repose au cimetière du Père-Lachaise (division 36).
Filmographie
Au cinéma
1952 : Le Gang des pianos à bretelles de Gilles de Turenne : un mannequin (apparition furtive) ;
1966 : Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville, avec Lino Ventura: Simone Melletier, dite Minouche ;
1967 : Les Risques du métier d'André Cayatte, avec Jacques Brel : Madame Roussel ;
1969 : La Peau de Torpedo de Jean Delannoy, avec Michel Constantin : Sylvianne Collet ;
1972 : Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat, avec Jean Yanne ; la mère de Catherine ;
1973 : Deux hommes dans la ville de José Giovanni, avec Jean Gabin : Geneviève Cazeneuve ;
1974 : Acte de probité d'Henry Polage (TV) : Evita de Kerfaouet ;
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault, avec Louis Velle : Gilda, la cuisinière ;
1974 : Tamara ou Comment j'ai enterré ma vie de jeune fille de Michel Berkowitch : elle-même ;
1975 : C'est jeune et ça sait tout de Claude Mulot ;
1976 : L'Exercice du pouvoir de Philippe Galland, avec Michel Aumont ;
1977 : Pourquoi ? d'Anouk Bernard : La psychologue.
À la télévision
1985 : Châteauvallon de Serge Friedman, Paul Planchon et Emmanuel Fonlladosa : Zoé Kovalic.
Théâtre
1971 : Dumas le magnifique d'Alain Decaux, mise en scène Julien Bertheau, Théâtre du Palais Royal.
Bibliographie
Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens disparus, Yvan Foucart éditeur, 2000 ; réédition 2007
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Le Deuxième Souffle est un film français de Jean-Pierre Melville, sorti en 1966, adapté d'un roman de José Giovanni. Il a fait à l'époque l'objet d'une réception critique très abondante et plutôt élogieuse. Alain Corneau en a réalisé une nouvelle adaptation sortie en 2007.
Gustave Minda, dit « Gu » (Lino Ventura), s'est échappé de prison. Connu du milieu pour sa fiabilité et son courage, il retrouve à Paris deux de ses proches, Manouche sa compagne et Alban. Ceux-ci ont maille à partir avec deux hommes de main envoyés par Jo Ricci, malfrat amoral.
Manouche et Alban cachent Gu à Montrouge puis à Marseille, en prévision de son départ pour l'Italie. Mais soucieux d'indépendance, Gu souhaite financer seul sa fuite. Une vieille relation, Orloff, sans montrer que cela vient de lui, le met alors sur un coup aux côtés de Paul Ricci, frère de Jo et ami de Gu : le hold-up d'un fourgon bourré de lingots de platine. Le braquage nécessite d'assassiner les deux motards de l'escorte. Gu accepte le marché et abat un motard lors du hold-up qui réussit.
Entre-temps, le commissaire parisien Blot (Paul Meurisse) descend à Marseille pour traquer Gu. Il juge le commissaire marseillais Fardiano trop médiocre pour s'occuper de l'affaire. Enregistré à son insu sur un magnétophone lors d'une mise en scène montée par Blot, Gu avoue involontairement la complicité de son ami Paul Ricci dans le hold-up, lors de son arrestation. Souhaitant venger son frère incarcéré mais aussi — et surtout — s'approprier sa part du butin, Jo Ricci file à Marseille. Il manipule les deux autres complices du hold-up, qui craignent que Gu ne les dénonce à la police. Fidèle à sa morale de truand, Gu n'est pas une « balance », il s'évade pour rétablir la vérité et sauver sa réputation. Caché dans la voiture du commissaire Fardiano, il l'oblige à écrire, dans un calepin, une déclaration signée où il avoue les méthodes illégales employées pour l’arrêter et lui extorquer des informations, puis il l'abat. Ensuite, Gu règle ses comptes avec Jo Ricci et sa bande, dans un massacre général dont aucun ne réchappe. Blot arrive auprès de Gu agonisant qui prononce, dans un dernier souffle, le nom de Manouche, et lui donne le carnet des aveux de Fardiano qui rétablira son honneur dans le milieu. Malgré lui, Blot admire le code d'honneur auquel Gu a obéi jusqu'à la mort. En outre, il est conscient que ce succès de la police dans sa lutte contre le crime n'a été obtenu que par des moyens douteux. Face à la presse qui le questionne, il laisse tomber, comme par inadvertance, le calepin compromettant dans un caniveau, sur lequel il attire aussitôt l'attention d'un journaliste qui le ramasse…
Fiche technique
Titre : Le Deuxième Souffle
Réalisation : Jean-Pierre Melville assisté de Georges Pellegrin, et Jean-François Adam
Format : 35mm - Noir et blanc - Ratio : 1,66:1 - Son : Monophonique
Scénario : José Giovanni d'après son roman Le Deuxième Souffle
Dialogues : Jean-Pierre Melville et José Giovanni
Montage : Monique Bonnot, Michèle Boëhm assistées de Catherine Muloin et Ziva Postec
Photographie : Marcel Combe, Jean-Claude Boussard (assistant opérateur)
Costumes : Michel Tellin
Musique : Bernard Gérard
Décors : Jacques Dardeau (accessoiriste), Daniel Villeroy (accessoiriste meuble), Guy Maugin (ensemblier)
Son : Alex Pront et Jacques Gallois à l'enregistrement
Scripte : Suzanne Durrenberger
Production : André Labay et Charles Lumbroso
Distribution : S.N. Prodis
Pays d'origine : France
Durée : 150 minutes
Version : interdit aux moins de 18 ans, puis tout public
Date de sortie : France, 4 novembre 1966, aux cinémas Colisée et Madeleine à Paris
Visa de contrôle cinématographique N° 31.941
Distribution
Lino Ventura : Gustave Minda, dit « Gu »
Paul Meurisse: commissaire Blot
Raymond Pellegrin : Paul Ricci
Christine Fabréga : Simone Melletier, dite « Manouche »
Marcel Bozzuffi : Jo Ricci
Paul Frankeur : commissaire Fardiano
Denis Manuel : Antoine Ripat
Jean Négroni : un inspecteur / L'homme
Michel Constantin : Alban
Pierre Zimmer : Orloff
Pierre Grasset : Pascal Leonetti
Jack Léonard
Raymond Loyer : Jacques, dit « le notaire »
Régis Outin
Albert Michel : Marcel, dit « le Stéphanois »
Jean-Claude Bercq : l'inspecteur adjoint du commissaire Blot
Louis Bugette : Théo, le passeur
Albert Dagnant : Jeannot Franchi
Sylvain : un homme de main de Jo Ricci
Roger Fradet
Roger Perrinoz
Jean De Beaumont
Marcel Bernier
J. Dubos
Pierre Gualdi : un adjoint de Blot
R. Pequignot
Betty Anglade
A. Layle
Nina Michelsen
Les personnages
José Giovanni s'était inspiré pour son roman d'origine de personnes réelles qu'il avait fréquentées dans le « milieu » pendant l'Occupation ou en prison après-guerre. Gu Minda c'est en fait Auguste Méla, dit « Gu le terrible »2, qui en septembre 1938 avait réalisé l'attaque du « train d'or ». Condamné, il s'était échappé de la prison de Castres en mars 1944 avec Bernard Madeleine, comme dans le début du film. C'est avec Madeleine, le futur « caïd des caïds », que Giovanni avait participé aux exactions d'un faux maquis en Bretagne en juin 1944. La vraie Manouche s'appelait Germaine Germain, dite « Manouche ». C'était la maîtresse de Paul Carbone, « l'empereur de Marseille » qui travaillait avec « la Carlingue ». Orloff c'est Nicolaï Alexandre Raineroff dit « Orloff », agent de la Gestapo, qui sera fusillé pour intelligence avec l'ennemi le 8 mai 1945, et avec lequel Giovanni avait rançonné deux Juifs cachés à Lyon en août 1944. Enfin, le commissaire Blot s'inspire du commissaire Georges Clot, responsable à la Libération de la cellule anti-Gestapo de la police judiciaire
Bande originale du film (BOF)
La bande originale est signée par Bernard Gérard, assistant et arrangeur de Michel Magne pour certains films de Georges Lautner. L'intégralité de cette musique, très empreinte de jazz, reste pour l'instant inédite. Une bande originale, restée sous forme de partition inédite, fut composée par John Lewis mais suscita le rejet catégorique de Jean-Pierre Melville. On peut supposer qu'elle était destinée à sonoriser la version américaine du film, intitulée Second Breath.
1966 : Second Breath (version anglaise et américaine)
Le film devait être d'abord tourné en 1964, avec la distribution suivante : Serge Reggiani (Gu), Simone Signoret(Manouche), Lino Ventura (Blot), Roger Hanin (Jo Ricci), Georges Marchal (Orloff) et Raymond Pellegrin (Paul Ricci). Les contrats étaient signés mais le tournage fut abandonné, en raison de problèmes financiers et du projet d'une autre version de Denys de la Patellière, avec Jean Gabin.
Dans un reportage télévisé de l'ORTF sur le tournage, on aperçoit l'acteur Mel Ferrer qui devait probablement jouer le rôle d'Orloff.
Autocitation : lorsque Manouche monte l'escalier pour dîner avec Gu à Montrouge, on entend s'échapper d'un appartement un dialogue des Enfants terribles de Jean-Pierre Melville.
A 49 min. 30 sec., gros plan sur Lino Ventura qui se teint les cheveux en gris avant de sortir de sa planque. A 49 min. 50 sec., il retrouve Michel Constantin et ils partent en voiture. Mais il a toujours les cheveux noirs.
Une autre adaptation du roman de José Giovanni a été réalisée par Alain Corneau en 2007 : Le Deuxième Souffle.
Le film a été montré dans le cadre de la Rétrospective Jean-Pierre Melville : l’intégrale, projetée au festival Premiers Plans qui s'est tenu à Angers en 2010.
|