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Creedence Clearwater Revival

Creedence Clearwater Revival

 

Creedence Clearwater Revival (souvent appelé simplement Creedence ou désigné par ses initiales CCR) est un groupe de rock n'roll aux influences blues et country, originaire de Berkeley dans la région de San Francisco. Formé en 1958 à l'initiative de l'auteur, compositeur, chanteur et guitariste, John Fogerty, du batteur Doug Clifford, du bassiste Stu Cook — et rapidement rejoint par le frère aîné de John, Tom Fogerty — il prendra d'abord le nom des Blue Velvets puis des Golliwogs, avant de se révéler en 1967 avec l'album Creedence Clearwater Revival.

À sa séparation en 1972, Creedence Clearwater Revival aura marqué de son empreinte l'histoire du rock. Des succès planétaires comme Proud Mary, Green River ou Fortunate Son font encore partie des « cinq cents chansons qui ont forgé le rock n'roll», six des sept albums (à l'exception de Mardi Gras) et les diverses compilations, font encore recette et sont aujourd'hui certifiés disques de platine.

Son inscription au Rock and Roll Hall of Fame en 1993 consacre Creedence parmi les groupes américainsles plus marquants des cinquante dernières années.

 

 

Membres du groupe


Doug « Cosmo » Clifford (né le 24 avril 1945 à Palo Alto, Californie) - batterie 
Stewart (Stu) Cook (né le 25 avril 1945 à Oakland, Californie) - d'abord piano puis basse 
Thomas (Tom) Fogerty (né le 9 novembre 1941 à Berkeley, Californie, mort le 6 septembre 1990 de la tuberculose à Scottsdale, Arizona) - guitare, chant 
John Fogerty (né le 28 mai 1945 à Berkeley - Californie) - guitare, chant, harmonica, piano, orgue

 

En 1958, deux camarades de classe du collège Portola d'El Cerrito, une des innombrables petites bourgades de la baie de San Francisco, décident de former un groupe de blues. John Fogerty achète une guitare électrique pour l'occasion et s'exerce dans sa chambre, tandis que Douglas Clifford l'accompagne en tapant sur une batterie de fortune. Très rapidement, les deux compères recrutent un autre copain, Stewart Cook pour étoffer leur formation, à la basse. Encore adolescent, pianiste confirmé et bassiste, il a déjà participé à un radio-crochet dans une radio de musique classique d'Oakland). C'est ainsi que le trio The Blue Velvets voit le jour, à force de répétitions, de concerts dans les bals de lycées et les bars locaux, et même s'il se borne à reprendre des succès de l'époque.

 

État de la CalifornieTrès timide, John Fogerty se refuse d'abord à chanter mais la formation instrumentale se forge peu à peu une réputation de groupe d'accompagnement souvent mis à contribution par une maison de disques locale. Les Blue Velvets enregistrent même un morceau de sa composition, Beverly Angel.

 

Depuis plusieurs années, Tom Fogerty, frère aîné de John, écume également les bals en qualité d'auteur-compositeur-interprète et guitariste, dans un groupe appelé Spider Webb And The Insects. À ce titre, il est déjà une célébrité à Oakland et Berkeley. En 1959, alors que les Spider Webb viennent de se séparer, c'est tout naturellement que Tom Fogerty, fiancé et gagnant sa vie en travaillant en usine, déjà chanteur occasionnel pour la formation de son frère, l'intègre alors à plein temps.

 

Forts d'un nouveau chanteur, les Tommy Fogerty And The Blue Velvets commencent immédiatement l'enregistrement de démos, tout en continuant leurs tournées habituelles, jusqu'à ce qu'en 1961, un label local, Orchestra, leur propose d'enregistrer plusieurs de leurs compositions, notamment Come On Baby et Yes You Did, respectivement édités en 1961 et 1962. Très conventionnels et fortement marqués par les goûts musicaux de Tom Fogerty, aucun des titres édités sous ce label n'obtient le moindre succès.

 

Une rue de Berkeley En 1964, The Blue Velvets signent finalement avec une filiale d'Universal Music basée à San Francisco, Fantasy Records. Désireux de surfer sur la beatlemania, le directeur du label est convaincu que le nom du groupe doit sonner plus anglais. Il les rebaptise d'abord The Visions, mais c'est sous le nom de The Golliwogs (en référence à un personnage de la littérature enfantine) qu'ils sortiront leurs premiers 45 tours, sans cesser de multiplier les dates dans des lieux les plus divers.

 

De 1964 à 1966, la formation enchaîne les simples, toujours sans grand succès. Seul Brown-Eyed Girl sorti en 1965 s'écoule à 10 000 exemplaires). Au fil des mois, le rôle de chacun est redéfini : Stu Cook abandonne peu à peu le piano au profit de la basse et Tom Fogerty renforce la rythmique à la guitare. Aguerri par des années de concerts dans des conditions difficiles, John Fogerty accroît son influence dans le groupe : au fil des morceaux, sa virtuosité grandit et on commence à remarquer sa voix rocailleuse dans les chœurs de Try Try Try ou encore dans Little Tina.

 

Malgré deux années d'efforts, The Golliwogs ne parviennent pas à se faire un nom : John Fogerty doit travailler comme coursier pour la maison de disques, Tom Fogerty est ouvrier d'usine, Stu Cook et Doug Clifford, quant à eux, poursuivent leurs études à l'Université de San José. Mais c'est sans relâche qu'ils se réunissent pour les répétitions et autres représentations.

 

Coup dur supplémentaire pour le groupe, John Fogerty et Doug Clifford sont appelés sous les drapeaux en 1966.

 

Rendus à la vie civile en 1967, Doug Clifford et John Fogerty remettent le groupe sur pied. Âgé de 22 ans, ce dernier est décidé à s'imposer au sein du groupe. Sa timidité vaincue, il remplace son frère au chant et met son jeu de guitare en avant. Les ultimes 45 tours édités sous le nom des Golliwogs : Porterville et Walk On The Water prendront naturellement leur place dans le futur premier album de Creedence.

 

Après neuf années difficiles, leur situation financière connait enfin une embellie, à tel point que Tom peut démissionner de son travail et que le groupe peut louer un local pour se consacrer pleinement à la musique.

 

En 1967, un des cadres de Fantasy, Saul Zaentz, rachète la maison de disques. Plus en phase avec la jeune scène rock que son prédécesseur, il pressent le potentiel des Golliwogs et leur promet d'éditer un album à condition qu'ils rebaptisent leur groupe. Très vite, les quatre compagnons choisissent un nom inhabituel composé de la juxtaposition de trois termes sans signification apparente : « Creedence Clearwater Revival » (foi, eau-claire, renaissance). Chacun de ces mots a été choisi en réalité pour une raison bien précise :

 

« Creedence » est un clin d'œil à un ami de John Fogerty : Credence Nuball ; 
« Clearwater » est une référence à un slogan dans une publicité télévisuelle de l'époque vantant une marque de bière mais marque aussi, et surtout, leur engagement écologique ; 
et « Revival » pour conjurer leur passé de Golliwogs et pour indiquer leur nouvelle orientation musicale : les racines du blues

CCR entre alors en studio pour enregistrer son premier LP, Creedence Clearwater Revival, un patchwork de cinq compositions des frères Fogerty et trois reprises de leurs chansons préférées. Trois simples en seront extraits : I Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins, Porterville, écrit par John Fogerty et une version fleuve de Suzie Q de Dale Hawkins (qui devra être scindée en deux parties pour les besoins du 45 tours). Très vite, toutes les radios rock de la Côte Ouest passent ce dernier morceau en boucle. Le public découvre alors le jeu de guitare tout en trémolos de John Fogerty et la rythmique hypnotique de Creedence, le « Bayou Rock » : un style musical à la croisée des chemins de la Country Music et des vieux blues de La Nouvelle-Orléans. Bien que le groupe soit empêché de partir en tournée à cause de Doug Clifford et John Fogerty qui ne sont pas encore totalement libérés de leurs obligations militaires, l'album s'écoulera rapidement à plus d'un million d'exemplaires et restera classé un an et demi dans le hit parade américain.


« J'ai rêvé toute ma vie de vivre dans le Sud, tous les grands artistes de cette musique sont venus de Memphis ou de Louisiane, des rives du Mississippi, en tout cas. Des chanteurs comme Muddy Waters ou Howlin' Wolf m'ont fait sentir combien il était bon de vivre là bas, au bord du fleuve. »

— John Fogerty

 

En mars 1969, Creedence édite un 33 tours à contre-courant du psychédélisme ambiant : plus encore que son prédécesseur, Bayou Country évoque la moiteur marécageuse de la Louisiane.

 

Bateaux sur le delta du MississippiLe 45 T extrait de l'album, Proud Mary, fait l'éclatante démonstration du talent de compositeur, mais aussi de conteur, de John Fogerty. Celui-ci puise au plus profond de l'inspiration du blues pour évoquer un passé imaginaire de travailleur sur les rives du fleuve Mississippi, alors qu'il n'y a jamais mis les pieds.

 

Rapidement, Proud Mary dépasse le million d'exemplaires vendus des deux côtés de l'Atlantique et devient un standard repris et adapté par d'innombrables groupes et chanteurs, notamment Ike & Tina Turner, Elvis Presley, Bob Dylan ou Johnny Hallyday.

 

L'album Bayou Country reste classé treize semaines dans le top 10 des charts américains. L'année 1969 est déterminante pour le groupe, qui bat tous les records d'affluence pour sa tournée promotionnelle, alors qu'il sort déjà deux simples (Bad Moon Rising et Lodi), qui annoncent un album en préparation. CCR est alors considéré comme le groupe le plus populaire des États-Unis.

 

En août, Creedence clôt sa tournée au festival de Woodstock. Les hasards de la programmation relèguent la prestation du groupe à une heure tardive de la nuit, face à un public disséminé. Déçus, les membres de Creedence refusent d'apparaître dans le film qui sortira l'année suivante (une réédition à l'occasion du 40e anniversaire de l'événement restitue néanmoins de larges extraits de leur prestation).

 

Dès l'automne 1969, l'album Green River confirme le talent créatif de John Fogerty, qui sait parfaitement tirer parti des faiblesses de la section rythmique de Creedence : même si la construction reste similaire d'un morceau à l'autre — les parties de chant sont presque systématiquement ponctuées de courts chorus de guitare sur la seizième mesure de chaque phrase — Green River est marqué par l'inventivité mélodique et la maîtrise des effets sonores. Dès sa sortie, l'album entre au Top Ten des charts et y reste durant 15 semaines.

Les deux 45 tours extraits de l'album, Green River, à la sonorité inquiétante appuyée par un effet de réverbération et l'entraînant Bad Moon Rising, atteignent la seconde place des meilleures ventes des 45 Tours. Difficile de rivaliser face à des titres comme Get Back des Beatles ou Honky Tonk Women des Rolling Stones.

 

En janvier 1970, soit cinq mois après Green River, sort Willy and the Poor Boys qui s'installera onze semaines dans le Top Ten. Assis sur une rythmique variée, Creedence explore et réinvente tous les genres de la musique populaire américaine : de la soul de Down On the Corner (enregistré au coin d'une rue à l'aide d'un magnétophone portable) au rock 'n' roll dur et menaçant de Fortunate Son (où John Fogerty fait la démonstration de ses performances vocales), en passant par le bluegrass de Cotton Fields etc.

 

A l'heure où la surenchère d'effets spéciaux et la sophistication orchestrale sont habituellement de mise - à l'instar du « wall of sound » Spectorien - Willy and the Poor Boys brille par sa production sans artifices. L'album est sans conteste le plus varié, le plus spontané et le plus lyrique de Creedence Clearwater Revival. Aujourd'hui encore, il est considéré comme un des cinq cents albums de rock les plus marquants des cinquante dernières années, par les magazines Rolling Stone aux États-Unis et Rock & Folk en France.

 

Le groupe part pour une longue tournée aux quatre coins des États-Unis mais aussi de l'Europe. Deux anecdotes sont liées à la captation de leur prestation au Oakland Coliseum :

 

Leur premier album live sera également un album posthume puisqu'il ne sera édité qu'en 1980, soit plusieurs années après la séparation de CCR ; 
Le premier pressage de l'album annonce, par erreur, un enregistrement au Royal Albert Hall de Londres. De nouvelles pochettes seront rapidement réimprimées. 
C'est en août 1970 que Creedence publie ce qui restera son plus gros carton commercial avec Cosmo's Factory (certifié disque d'or la même année et écoulé, en 2009, à plus de quatre millions d'exemplaires). Malgré l'usage des recettes éprouvées dans les albums précédents, John Fogerty franchit le cap d'une production plus élaborée pour certains morceaux, à l'image de ce saxophone ronronnant de Travelin' Band et Long As I Can See The Light ou bien encore de la slide guitare de Ramble Tamble.
Creedence affiche clairement ses partis pris politiques avec la ballade nostalgique Who'll Stop The Rain (en face B du 45 tours Travelin Band), une métaphore de l'enlisement des États-Unis au Viêt-Nam emblématique des préoccupations de l'Amérique de cette fin des sixties. La reprise de la chanson de Gladys Knight I Heard It Through the Grapevine (qui ne sortira en simple qu'en 1976) est, quant à elle, le moment de bravoure de l'album.

 

Le 33 tours, qui restera près de cinq mois dans le Top Ten des meilleures ventes (dont neuf semaines à la première place) fait de Creedence Clearwater Revival le groupe le plus populaire de cette année 1970 aux États-Unis.

 

En ce début d'année 1971, tout semble sourire à Creedence, mais des tiraillements commencent à se faire sentir. Tom Fogerty décide de prendre ses distances pour « consacrer du temps à sa famille » ; au détour d'une interview pour le magazine Rolling Stone, Stu Cook critique ouvertement l'attitude hégémonique de John Fogerty et son manque de respect pour les autres membres du groupe.

 

Dès la fin des sessions d'enregistrement du cinquième 33 tours, Tom Fogerty quitte définitivement le groupe et, à la sortie de Pendulum en juillet 1971, force est de constater que John Fogerty reste l'unique compositeur, arrangeur et producteur d'un album qui confirme le tournant amorcé avec Willy and the Poor Boys : ce dernier délaisse sa Telecaster pour l'orgue Hammond dans de nombreux morceaux : Sailor's Lament, Hideway, It's Just a Thought etc. Se dégage tout de même la ballade Have You Ever Seen the Rain? qui sera éditée en 45 tours.

 

Même si l'album atteint des chiffres de ventes respectables (il sera certifié disque d'or dès décembre 1971), il est moins inventif, moins dense que ses prédécesseurs ; le soin apporté par John Fogerty à la production des morceaux cache mal ses défaillances et témoigne du malaise ambiant.

 

« J'étais vraiment frustré de ne pas être devenu tout ce que j'imaginais lorsque j'ai débuté. Je suis parti à cause de désaccords entre John et moi à propos de la musique elle-même et jusqu'où je pouvais y contribuer. »

— Tom Fogerty

 

CCR, amputé d'un de ses membres, entreprend en trio une tournée mondiale dont sortira un disque, fin 1973, Live In Europe.

 

Il semble alors évident, pour Stu Cook et Doug Clifford, que le groupe ne sert qu'à mettre en avant les aspirations de John Fogerty. Mardi Gras, sorti en 1972 devait être l'album du renouveau en marquant l'avènement de la démocratie au sein du groupe. A l'exemple des Beatles, chacun y exprime librement sa créativité et chante les chansons de sa composition : Stu Cook quatre titres, Doug Clifford deux et John Fogerty trois. Mais seules deux des compositions de ce dernier seront jugées dignes par la maison de disques d'être éditées en 45 tours : Sweet Hitch-Hiker et Someday Never Comes. Le résultat donne un album décousu, sans homogénéité et, surtout, des chansons dans lesquelles passent les tensions qui se sont installées dans le groupe.

 

Le verdict est sans appel : l'album, laminé par les critiques[16], et boudé par le public, sonne définitivement le glas de Creedence Clearwater Revival, dont les membres annoncent la cessation définitive d'activité le 16 octobre 1972.

 

John Fogerty édite son premier album solo, Blue Ridge Rangers sous le label Fantasy Records, qu'il quitte rapidement pour rejoindre l'écurie d'Asylum Records. Suite à des démêlés judiciaires avec son ancienne maison de disques, détentrice des droits du groupe, il refusera longtemps de jouer les chansons de Creedence en concert (il évoquera d'ailleurs la cupidité de son ancien employeur, Saul Zaentz, dans deux compositions : Vanz Kant Danz et Mr Greed qui lui vaudront un procès). Malgré une carrière en dents de scie, il éditera pas moins de onze albums. L'anachronique Centerfield, en 1985, qui restera classé trente-huit semaines parmi les meilleures ventes des États-Unis, marquera son retour dans le giron de Fantasy.

 

Tom Fogerty, quant à lui, tente de faire carrière, sans grand succès. Il sortira tout de même trois 33 tours ainsi qu'un single, Joyful Resurrection, en collaboration avec Doug Clifford et Stu Cook, où il décrit son espoir d'une reformation de CCR. Ses maux de dos le conduisent à l'hôpital pour subir une opération au cours de laquelle du sang contaminé par le VIH lui sera transfusé. Il meurt le 6 septembre 1990 d'une tuberculose corrélative à la maladie, enterrant avec lui tout espoir de reformation du groupe.

 

Doug Clifford et Stu Cook prennent une retraite dorée entrecoupée de collaborations épisodiques, notamment pour l'éphémère projet Don Harrison Band en 1977. En 1995, ils se réunissent à nouveau pour former un groupe nommé Creedence Clearwater Revisited (« revisited » ne signifiant pas « revisité », mais « revu et corrigé » ou encore « retour à »), essentiellement dédié à la scène.

 
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Cvetelina Yaneva

Publié à 08:44 par dessinsagogo55 Tags : musique center 2010
Cvetelina Yaneva

Cvetelina Yaneva (en bulgare : Цветелина Янев ), née 5 Octobre 1989 à Plovdiv peut également apparaître orthographié comme Tsvetelina Yaneva , est une chanteuse bulgare de pop-folk et chalga . Elle a commencé sa carrière musicale en 2008 et en 2010 sort son premier album studio, Na pŭrvo Myasto par Payner . Dans ses débuts année dans l'industrie de la musique a été consacrée comme "Debut de l'année" à Planeta TV et «Découverte de l'année» en Novembre Folk.

Halle Berry

Publié à 08:02 par dessinsagogo55 Tags : prénom center sommaire fille centerblog sur roman merci amour monde argent film
Halle Berry

Halle Berry, de son nom entier Halle Maria Berry, est une actrice américaine, née le14 août 1966 à Cleveland, dans l'Ohio. Elle est la première afro-américaine à avoir obtenu l'Oscar de la meilleure actrice.

Son prénom Halle lui vient du Halle Building situé à Cleveland en Ohio.

Elle est la fille d'un médecin afro-américain et d'une infirmière blanche en milieu psychiatrique originaire de Liverpool. Halle est élevée par sa mère après la séparation de ses parents alors qu'elle avait 4 ans.

En1986, elle devient dauphine de Miss USA, décroche le titre de Miss Teen All-American à 14 ans et devient finaliste au concours Miss America et Miss Monde quelques années plus tard. Elle ne remporte pas les concours, mais elle se démarque par son charisme et son talent d'actrice.

Elle entame une brève carrière de mannequin avant de décrocher son premier rôle à la télévision dans la série The Living Dolls en 1989 et Côte ouest en 1991. Dans la même année, Halle commence au cinéma au côté de Samuel L. Jackson dans Jungle Fever.

Elle gagne le Golden Globe en 2000 pour un téléfilm où elle incarne Dorothy Dandridge. Et c'est cette même année que le film X-men lui amène la célébrité. En 2002, elle est la première actrice noire à gagner la statuette des Oscars décernée à la meilleure actrice pour son rôle dans le film À l'ombre de la haine où elle apparaitra totalement nue au cours d'une scène érotique. Le film lui vaut également l'Ours d'argent de la meilleure actrice au Festival de Berlin 2002 et le Screen Actors Guild Award de la meilleure actrice. Bien qu'elle ait avoué qu'elle n'aimait pas jouer nue, elle exposera une nouvelle fois son corps dans Opération Espadon.

Elle joue ensuite une James Bond girl au côté de Pierce Brosnan dans le film Meurs un autre jour.

Parmi ses rôles marquants, on peut citer celui de Tornade, dans X-Men, celui de Catwoman et celui de Jinx dans Meurs un autre jour.

Elle sera à l'affiche en 2011 de deux nouveaux films Dark Tide et Frankie & Alice qui d'ailleurs lui vaut une nomination aux Golden Globes (2011).

 

 

Filmographie

1989 :Living Dolls, une sitcom dérivée deMadame est servie.

1989 :Côte Ouest, sitcom.

1991 :Jungle FeverdeSpike Lee

1991 :Strictly BusinessdeKevin Hooks

1991 :Le Dernier samaritaindeTony Scott

1992 :BoomerangdeReginald Hudlin

1993 :Father HooddeDarrell Roodt

1994 :La Famille PierrafeudeBrian Levant

1995 :Les chemins de l'amour, de Stephen Gyllenhall

1996 :Girl 6deSpike Lee

1996 :Ultime décisiondeStuart Baird

1996 :Race the SundeCharles T. Kanganis

1996 :The Rich Man's WifedeAmy Holden Jones

1997 :B*A*P*SdeRobert Townsend

1998 :BulworthdeWarren Beatty

1998 :Why Do Fools Fall in LovedeGregory Nava

1999 :Dorothy Dandridge(Introducing Dorothy Dandridge) deMartha Coolidge

2000 :Welcome to HollywooddeTony Markes,Adam Rifkin

2000 :X-MendeBryan Singer : Tornade / Ororo Monroe

2001 :Opération EspadondeDominic Sena : Ginger Knowles

2001 :À l'ombre de la hainedeMarc Forster : Leticia Musgrove

2002 :Meurs un autre jourdeLee Tamahori : Jinx

2003 :X-Men 2deBryan Singer : Tornade / Ororo Monroe

2003 :GothikadeMathieu Kassovitz : Le Docteur Miranda Grey

2004 :CatwomandePitof : Catwoman / Patience Philips

2005 :RobotsdeChris Wedge : Cappy

2006 :X-Men l'affrontement finaldeBrett Ratner: Tornade / Ororo Monroe

2007 :Dangereuse séductiondeJames Foley : Rowena Price

2008 :Nos souvenirs brûlés(Things We Lost in the Fire) deSusanne Bier : Audrey Burke

2011 :Exterminatrices

2011 :Dark Tide(Dark Tide) deJohn Stockwell : Kate Mathieson

2011 :Frankie & Alice(Frankie & Alice) deGeoffrey Sax : Frankie Murdoch/Alice

2011:New Year's Eve

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Halle_Berry

 
     
     
     
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Chuck Berry

Chuck Berry

Chuck Berry, de son vrai nom Charles Edward Anderson Berry, (né à Saint Louis, Missouri le 18 octobre 1926) est un guitariste, chanteur et compositeur américain. Il fait partie des artistes les plus importants du rock and roll. Il a influencé de nombreux autres artistes, et son répertoire a été très souvent repris (dont ses titres les plus célèbres, Johnny B. Goode et Roll over Beethoven). En 2003, Rolling Stone Magazine l'a classé 6e meilleur guitariste de tous les temps.

Chuck Berry découvre la musique dans l'église locale où il se rend régulièrement avec ses six frères et sœurs. Ses parents font en effet partie de la chorale locale. Il est scolarisé à la Simmons Grade School puis à la Summer Grade School. Il apprend la basse dans le club musical Glee.

En 1944, encore jeune homme, il passe trois ans dans une maison de redressement pour tentative de cambriolage. À sa sortie, il travaille pour la General Motors et décide de se lancer dans la musique.

Il a encore plus d'ennuis en décembre 1959, lorsqu'il invite une jeune apache de 14 ans qu'il a rencontrée à Mexico pour travailler dans son club de nuit (le « Berry's Club Bandstand ») à Saint Louis. Après que la jeune fille fut arrêtée pour prostitution, c'est le tour de Berry, accusé pour sa part d'avoir transporté une mineure entre deux États pour l'exploiter. Berry est condamné à 5 ans de prison et doit verser une amende de 5 000 $. Il est libéré en 1964.

Malgré cela, son influence est restée profonde, particulièrement dans les groupes anglais et Australien des années 1960. Les Rolling Stones et AC/DC lui ont beaucoup emprunté dans leur style.

Pendant des années, Chuck Berry a tourné avec sa seule guitare Gibson, confiant dans le fait qu'il pourrait trouver un groupe qui jouerait déjà sa musique. Parmi les artistes qui ont joué ce rôle, on trouve Bruce Springsteen ou Steve Miller. Le 13 septembre 1969, il fait une prestation remarquable lors d'un concert au Rock'n'Roll Revival Festival de Toronto, auxquels participent également Bo Diddley, Little Richard, Jerry Lee Lewis, John Lennon,Yoko Ono, le groupe Chicago, Alice Cooper et The Doors.

Après avoir profité de la vague oldies des années 1970, il a de nouveaux problèmes avec la justice en 1979. Accusé d'évasion fiscale, il plaide coupable et est condamné à 4 mois d'emprisonnement et 1 000 heures de travaux d'intérêt général.

À la fin des années 1980, Berry ouvre un restaurant à Wentzville dans le Missouri, le « Southern Air » où il a encore des problèmes avec la justice pour avoir placé des caméras dans les toilettes des femmes en 1990. Berry possède aussi un domaine à Wentzville, le Berry Park. Pendant des années, Berry y a hébergé des concerts de rock. Depuis, il a fermé ce domaine au public devant le caractère agité de certains de ses invités. À la fin des années 1970, Berry a continué à jouer régulièrement aux États-Unis et à travers le monde. Un mercredi par mois, il joue au Blueberry Hill, un restaurant et bar situé près de Saint Louis.

Dans les années 1990, il a été à nouveau sous le feu des projecteurs pour une affaire de voyeurisme vis-à-vis de quelques unes de ses invitées.

Alors qu'on débat encore du titre qui a été la première chanson de rock and roll, les premiers enregistrements de Chuck Berry tel son premier succès Maybellene (1955) combinent déjà tous les éléments du rock, mélange de blues et de country, des textes simples qui parlent de filles et de voitures, des solos de guitare électrique sans compter le jeu de scène associé (dont la danse duckwalk, qu'il a inventée) qui emportent l'adhésion du public...

Il élabore son style à partir d'harmonies simples et répétitives et de textes entrainants ou drôles, mais tout aussi simples. Il a été influencé par la musique country, mais aussi et surtout par le blues, notamment Muddy Waters, chanteur et guitariste qui a présenté Chuck Berry à Leonard Chess de Chess Records. Parmi les idoles de Chuck Berry on compte aussi Nat King Cole, chanteur et pianiste, et Louis Jordan.

Ses plus célèbres compositions ont été enregistrées par les disques Chess Records avec le pianiste Johnnie Johnson et le légendaire producteur Willie Dixon à la basse, Fred Below aux percussions et bien sûr sa guitare.

Au cours de sa carrière, Chuck Berry a aussi enregistré des ballades comme Havana Moon et des chansons de blues telles que Wee Wee Hours. Plus de 30 de ses titres se sont hissés dans le Top 10 et ses chansons ont été reprises d'innombrables fois par des groupes de Blues, de Country, de Rock and Roll de Punk Rock et même de Hard Rock.

Il enregistre un nouveau tube en 1972 avec My ding-a-ling. Il est un des premiers à être entré au Rock and Roll Hall of Fame en 1986.

En 2008, Chuck Berry est, à 82 ans, toujours en tournée pour quelques concerts en France, Belgique, Suisse et Luxembourg.

Johnny B. Goode racontant l'histoire largement autobiographique d'un garçon de la campagne qui « jouait de la guitare comme on sonne une cloche » a été choisie comme l'une des plus grandes réalisations de l'humanité emportées par la sonde Voyager I sur le Voyager Golden Record. La reprise de ce titre a aussi été utilisée dans le film Retour vers le futur, ainsi que par deux interprètes français : Johnny Hallyday et Eddy Mitchell au début des années 1960. Notons aussi que Jimi Hendrix l'a reprise à la fin des années 1960. Les Beatles l'ont chantée lors de leurs émissions à la BBC. Elvis a également repris ce morceau, The Grateful Dead aussi.

Come on est le premier single des Rolling Stones en 1963.

School Days dont le refrain « Hail! Hail! Rock and Roll », a été choisi comme titre pour un documentaire de Keith Richards des Rolling Stones pour rendre hommage à Chuck Berry.

Eddy Mitchell a adapté No particular place to go en À crédit et en stéréo.

Rock and Roll Music a été l'un des premiers titres joués sur scène par les Beatles à Hambourg.

Promised Land repris par Elvis Presley ainsi que par The Grateful Dead (à noter une version "cadienne" par Johnnie Allan avec accordéon)

Around and Around a été l'un des premiers titres enregistrés par les Rolling Stones et a également été repris par The Grateful Dead, the Animals et par David Bowie sous le titre Round and Round.

Sweet Little Sixteen est devenu un tube[réf. nécessaire] après que les Beach Boys en eurent modifié les paroles pour en faire le Surfin' USA. Les Beatles l'avaient à leur répertoire depuis Hambourg.

Roll over Beethoven a été repris par Les Beatles à l'initiative de George Harrison.

Carol a été chanté par les Rolling Stones et repris en français par Johnny Hallyday. Les Beatles l'ont chanté lors de leurs émissions à la BBC.

Let It Rock repris par Bob Seger, Gene Summers et The Grateful Dead.

Maybellene parle de filles, de voitures, de rivaux et de jalousie.

Thirty days a été repris par Johnny Winter.

Too Much Monkey Business chantée par les Beatles lors de leurs émissions à la BBC, repris par les Kinks (album You really got me en 1964).

Brown-eyed Handsome Man a été repris par Jerry Lee Lewis, Buddy Holly et Paul McCartney.

Back in the USA a inspiré le Back in the USSR des Beatles et a été magistralement repris par Linda Ronstadt. Gene Summers inclut Back In The USA sur son album de 1983 Live.En Scandinavie, et il a également utilisé la chanson pour son numéro sur l'ouverture de nombreux concerts.

Nadine.

Memphis a été joué par d'autres artistes (Lonnie Mack ou Johnny Rivers) qui ont construit leurs carrières en commençant par cette reprise.Danyel Gérard en avait fait une adaptation française. Parmi les autres musiciens qui ont enregistré Memphis on peut citer George Thorogood, The Grateful Dead, The Beatles, The Animals, Paul Anka, Count Basie, The Dave Clark Five, Bo Diddley, Tom Jones, Jerry Lee Lewis, Roy Orbison, Elvis Presley, The Rolling Stones, Izzy Stradlin, Gene Summers, Hasil Adkins, Conway Twitty et John Cale.

My Ding-a-Ling, son seul titre à avoir été numéro 1.

No Particular Place To Go.

You Never Can Tell a été utilisé pour le film Pulp Fiction de Quentin Tarantino et a été interprété par Emmylou Harris.

L'intro" de Johnny B. Goode a été revisitée au début du premier morceau du groupe Téléphone Hygiaphone paru en 1977 et resté célèbre depuis.

Blues

Du côté de ses titres de blues :

 

Confessing the Blues, le titre phare du jazzband de Jay McShann.

Merry Christmas, Baby, chanté à l'origine par Charles Brown.

Things I Used to Do, de Guitar Slim.

Reggae

Le chanteur de reggae Peter Tosh a également repris Johnny B. Goode sur son album Mama Africa (1983)

 

Discographie

rechercher Cet article liste la discographie de l'auteur-compositeur et musicien de Rock 'n' Roll Chuck Berry.

 

Albums Studio

Rock, Rock, Rock (avec The Moonglows et The Flamingos) (1956)

After School Session (1957)

One Dozen Berrys (1958)

Chuck Berry Is on Top (1959)

Rockin' at the Hops (1960)

New Juke-Box Hits (1961)

Two Great Guitars - Bo Diddley & Chuck Berry (1964)

St. Louis to Liverpool (1964)

Chuck Berry in London (1965)

Fresh Berry's (1965)

Chuck Berry's Golden Hits (1967) (ré-enregistrement des premiers Hits de Chuck)

Chuck Berry in Memphis (1967)

From St. Louie to Frisco (1968)

Concerto In B. Goode (1969)

Back Home (1970)

San Francisco Dues (1971)

The London Chuck Berry Sessions (1972) (Face 1)

Bio (1973)

Chuck Berry (1975)

Rock It (1979)

Albums live

Chuck Berry on Stage (1963)

Live at the Fillmore Auditorium (1967)

The London Chuck Berry Sessions (1972) (Face 2)

Chuck Berry Live in Concert (1978)

Alive and Rockin' (1981)

Chuck Berry Live (1981)

Toronto Rock 'n' Roll Revival 1969 Vol. II (1982)

Toronto Rock 'n' Roll Revival 1969 Vol. III (1982)

Hail! Hail! Rock 'n' Roll (1987)

Live! (2000)

Live on Stage (2000)

Chuck Berry - In Concert (2002)

Compilations

Chuck Berry Twist (1962) (ré-édité aux États-Unis sous le nom "More Chuck Berry" en 1963)

More Chuck Berry (1964)

Chuck Berry's Greatest Hits (1964)

Chuck Berry's Golden Decade (1967)

Johnny B. Goode (1972)

Sweet Little Rock and Roller (1973)

Chuck Berry's Golden Decade Vol. 2 (1973)

Wild Berrys (1974)

Chuck Berry's Golden Decade Vol. 3 (1974)

Flashback (1974)

 

Chuck and His Friends (1974)

Chuck Berry's Greatest Hits (1976)

The Best of the Best of Chuck Berry (1978)

Chuck Berry's 16 Greatest Hits (1978)

Chuck Berry All-Time Hits (1979)

The Great Twenty-Eight (1982)

"Retro Rock" - Chuck Berry - Broadcast Week (1982)

Chuck Berry (1982)

20 Hits (1983)

Reelin' Rockin' Rollin' (1983)

Rock 'n' Roll Rarities (1986)

The Chess Box (Box Set) (1988)

On the Blues Side (1994)

Roll Over Beethoven (1996)

Let It Rock (1996)

The Best of Chuck Berry (1996)

Guitar Legends (1997)

Chuck Berry - His Best, Vol. 1 (1997)

Chuck Berry - His Best, Vol. 2 (1997)

The Latest & The Greatest / You Can Never Tell (1998)

Live: Roots of Rock 'n' Roll (1998)

Rock & Roll Music (1998)

20th Century Masters: The Millennium Collection: The Best of Chuck Berry (1999)

Johnny B. Goode (Legacy) (2000)

Anthology (2000)

Blast from the Past: Chuck Berry (2001)

Johnny B. Goode (Columbia River) (2001)

Crown Prince of Rock 'n' Roll (2003)

Anthology (2005)

Volume 2 (Chuck Berry)

The Definitive Collection (2006)

Portail du rock Portail du blues

 

Matériel

Voici une liste du matériel le plus souvent employé par Chuck Berry[1] :

 

Gibson Les Paul Goldtop (à cordier trapèze) 1952

Gibson Birdland ES 5 (trois micros) 1951

À partir de 1958, Chuck utilisera presque exclusivement des Gibson ES-335 :

 

Gibson ES-335 standard

Gibson ES-335 T sunburst 1958

Gibson ES-335 (à cordier trapèze) 1960

Gibson ES-335 rouge TDC

L'héritage de Chuck[modifier]

De nombreux groupes ont pris Chuck Berry pour modèle :

 

Angus Young (le guitariste solo du groupe AC/DC) a repris la duckwalk de Chuck sur scène.

Keith Richards le guitariste des Rolling Stones est également un de ses plus grands fans. Son idolâtrie lui a valu un T-shirt brûlé et un coup de poing en pleine figure de la part de Chuck[2]. Il ne sera pas rancunier et sera initiateur et directeur musical du film Hail! Hail! Rock'n'roll réalisé pour les 60 ans de Chuck.

Les Beatles se sont aussi beaucoup inspirés de Chuck Berry en reprenant plusieurs de ses chansons.

Eddy Mitchell a adapté en français la plupart des titres marquants de Chuck Berry.

Le groupe de rock Buckcherry, dont le nom est une contrepèterie évidente de celui de Chuck Berry.

Un des membres du groupe Au bonheur des dames portait le nom de Chick Béru.

The Kinks ont repris les chansons Beautiful Delilah et Too Much Monkey Business de Chuck Berry sur leur premier album, sur lequel se trouve le mythique You Really Got Me.

La chanson School Day fait partie de la bande originale du film Rock 'n' Roll High School, sur l'histoire des Ramones.

Jimi Hendrix, les Sex Pistols, Judas Priest ou encore AC/DC ainsi que d'autres groupes ont repris des chansons de Chuck Berry, le plus souvent Johnny B. Goode ou School Day.

 

 
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Hector Berlioz

Publié à 07:24 par dessinsagogo55 Tags : paris center fantastique prix saint coup musique art centerblog sur merci
Hector Berlioz

 

 

Hector Berlioz compositeur français (La Côte-Saint-André 1803 - Paris 1869). Il commence à Paris des études de médecine (1821), qu'il abandonne pour la musique. Il publie Huit Scènes de Faust (1829), assiste à la première d' Hernani (1830) et, la même année, obtient le prix de Rome et compose le «  coup de tonnerre  » qu'est la Symphonie fantastique ( Voir aussi :SYMPHONIE ). Il séjourne en Italie (1831-32) et, en 1833, épouse Harriet Smithson, actrice anglaise que, dès 1827, il avait admirée dans les pièces de Shakespeare. Il compose ensuite Harold en Italie (1834), l'opéra Benvenuto Cellini (1836), la Grande Messe des morts (1837), la symphonie dramatique Roméo et Juliette (1839), la Grande Symphonie funèbre et triomphale (1840) et, en 1841, termine le cycle de mélodies les Nuits d'été. Critique au Journal des débats de 1834 à 1864, il entreprend de 1842 à 1868 de grandes tournées en qualité de chef d'orchestre à travers l'Europe. Ses œuvres marquantes sont alors la Damnation de Faust (1845-46), le Te Deum (1849), l'Enfance du Christ (1854). En 1852, Liszt fait représenter avec succès Benvenuto Cellini à Weimar. Élu à l'Institut en 1856, Berlioz se tourne de nouveau vers l'opéra : il achève les Troyens en 1858 et Béatrice et Bénédict en 1862. Il laisse aussi de nombreux écrits ( le Grand Traité d'instrumentation et d'orchestration moderne, 1843 ; le Chef d'orchestre : théorie de son art, 1856 ; Mémoires, 1870). En 1855, Peter Cornelius dressa de Berlioz un portrait d'une extraordinaire pénétration : «  Les musiciens de Weimar saluent en lui le maître de l'orchestration moderne, un polyphoniste aux ressources infinies, un polyrythmicien de la plus haute qualité [...] Comme critique, il dispense l'enthousiasme et le mépris de la plume la plus acérée [...] Mais ils l'acclament surtout comme le héros qui a eu la force d'endurer le discrédit, la haine et la calomnie dans son propre pays, [et] qui n'a jamais écrit une note non offerte en hommage à l'idéal de beauté toujours présent à ses yeux.  »

 

 

 
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The Bee Gees

Publié à 07:16 par dessinsagogo55 Tags : film sur course vie moi france monde center place musique travail mort histoire 2010 you
The Bee Gees

Les Bee Gees sont un groupe musical australo-britannique formé par les trois frères Gibb : Barry, Maurice et Robin . Les Bee Gees figurent parmi les plus importants vendeurs de musique Pop de tous les temps, ils ont vendu environ 250 millions de disques Au cours de leur carrière d'une quarantaine d'années, on peut distinguer deux périodes distinctes de succès : de la pop sucree de la fin des années 1960 au disco de la fin des années 1970. Ce qui fait leur particularité ce sont les harmonies serrées, leurs voix se fondant à la perfection. Souvent Barry chante en solo avec une voix de fausset apparue dans les années disco, Robin donne un vibrato clair et Maurice chante les harmonies hautes ou basses.

 

Les trois frères ont écrit la quasi totalite de leurs chansons, ils disent se sentir comme une seule personne en travaillant ensemble.

Les frères Gibb (Barry et les jumeaux Robin et Maurice) sont nés dans l'île de Man au Royaume uni. Leur famille a ensuite déménagé a Manchester, puis a Brisbane en Australie, où ils ont commencé leur carrière musicale.

A leurs débuts, en 1958, les frères Gibb chantaient avec Paul Frost et Kenny Oricks, et étaient connus sous le nom de The Rattlesnakes, changeant de nom plus tard en Wee Wish Johnnie Hayes and The Bluecats. En 1962, les trois frères deviennent The Bee Gees. Les initiales « B.G. » proviendraient de différents noms : Barbara Gibb (leur mère) ; Barry Gibb ; Brothers Gibb (« frères Gibb ») ; Bill Goode, un disc-jockey, un organisateur de courses automobiles.

Le groupe se compose au départ des trois frères. Le batteur Colin Petersen et le guitariste Vince Melouney sont engagés en mars 1967, peu avant la sortie de leur premier album, Bee Gees' 1st.En juillet 1967 le groupe sort avec succès "Holliday" , en septembre "Massachusetts" et l'année suivante, en décembre 1968 "I Started A Joke" . Dans le courant de 1969, Colin Petersen et Vince Melouney sont remerciés malgré les contrats de travail qui les lient aux Bee Gees.Quelques annees plus tard Robin Gibb quittera le groupe a son tour avant de le reintegrer peu apres . Il enregistrera le titre Saved by the Bell. En décembre 1970, Robin déclare dans Time Magazine : « If we hadn't been related, we would probably never have gotten back together » (« Si nous n'avions pas été parents, nous ne nous serions probablement jamais remis ensemble »).

Fin 1972, The Bee Gees deviennent Bee Gees[1].En janvier 1974, un LP qui devait s'appeler A Kick in the Head Is Worth Eight in the Pants est rejeté par leur manager, Robert Stigwood, suite à l'échec des précédentes sorties du groupe. Stigwood suggère aux Bee Gees d'utiliser Arif Mardin comme nouveau producteur et de changer de cap musical.

En 1975, les Bee Gees constituent un line-up permanent comprenant Alan Kendall (guitare), Dennis Bryon (batterie) et Blue Weaver (claviers). Ils enregistrent l'album funky Main Course aux studios Atlantic de New-York et Criteria à Miami.

Leur frère cadet Andy Gibb a également connu une carrière de chanteur ; il a même été question qu'il se joigne aux Bee Gees sans que cela ne se concrétise, probablement à cause de la différence d'âge. Ils ont tout de même donné quelques rares concerts ensemble. Dans sa carrière Andy a souvent chanté des chansons de ses frères et a été produit par Barry.

L'album Main Course atteint la 5e place du hit-parade britannique le 2 août 1975 puis la 14e place du hit-parade américain le 20 mars 1976. Le single qui en est extrait, Jive Talkin', est n° 5 au Royaume-Uni le 2 août 1975 puis n° 1 aux États-Unis le 9 août 1975 dans le Hot 100 du magazine Billboard. You Should Be Dancing est leur premier single à l'allure disco (n° 6 RU le 28 août 1976 ; n° 1 EU le 4 septembre 1976).

En mars 1977, Robert Stigwood, manager des Bee Gees, produit la musique disco du film Saturday Night Fever (La Fièvre du samedi soir). Il contacte le groupe, qui est en session d'enregistrements aux studios du château d'Hérouville en France, demandant dans l'urgence 4 chansons pour la bande sonore du projet de son film. Finalement, ils en enregistrent 5 nouvelles et en donnent 2 autres.

Le 10 décembre 1977, la ballade How Deep Is Your Love, extraite du film, est n° 3 au Royaume-Uni et n° 1 aux États-Unis deux semaines plus tard. Sorti en janvier 1978, le double album contenant la bande sonore originale du film se vend à plus de 30 millions d'exemplaires. Le 23 février 1978, les Bee Gees remportent le Grammy de la « Best Pop Vocal Performance by a Duo, Group or Chorus pour How Deep Is Your Love.

Le 4 mars 1978, Stayin' Alive se classe 4e au Royaume-Uni tandis que le même jour, Andy Gibb avec (Love is) Thicker than water co-écrit avec Barry détrône Stayin' alive de la première place. Le 18 mars suivant, les Bee Gees au sommet de leur carrière musicale avec le classique disco Night Fever détrônent à leur tour Andy de la première place du hit-parade américain. Night Fever est n° 1 au Royaume-Uni le 29 avril. Le 6 mai 1978, Saturday Night Fever est n° 1 mondial.

Le 14 novembre, 1997, the Bee Gees donnent un concert à Las Vegas appelé One Night Only. Il est suivi d'un 'tour du monde' donnant un seul concert par continent avec 56 000 personnes au stade de Wembley Stadium à Londres le 5 Septembre 1998 et finalement le 27 mars 1999 dans le nouveau stade australien de Olympic Stadium de Sydney, réunissant plus de 64000 personnes.

Après la mort de Maurice Gibb, en janvier 2003, Barry et Robin déclarent que le nom Bee Gees ne peut être qu'associé aux trois frères ensemble. Puis il est question de réunion sans que cela se matérialise.

En février 2006, Barry et Robin ont donné un concert de charité pour la lutte contre le diabète à Miami. C'était leur première réunion depuis la mort de Maurice.

En 2009 lors d'une nouvelle réunion, Barry Gibb disait : « Nous avons déjà perdu deux frères, nous resterons toujours ensemble, même si Robin habite Londres et moi Miami ». Malgré la mort de leur frère Maurice, le groupe se reforme au moins théoriquement en octobre 2009.

En Octobre 2010, Robin Gibb a été interviewé par le Daily Mail (publication du Royaume-Uni) et a confirmé que l'histoire des Bee Gees sera racontée dans un film de Steven Spielberg. Robin a déclaré au Daily Mail: "Le film va être réalisé par des acteurs très connus. Ce sera l' histoire de notre vie. Barry et moi seront impliqués dans l'aspect technique". Un des défis pour Spielberg sera de répliquer les harmonies à trois voix distinctives des frères et le fausset de Barry. Robin dit : « J'aimerais que nos enregistrements originaux soient utilisés car il est très difficile de les imiter ».

Discographie des Bee Gees.Les deux premiers albums du groupe ne sont sortis qu'en Australie, d'où le nom de « Bee Gees' 1st » pour leur première sortie internationale.

1965 : The Bee Gees Sing and Play 14 Barry Gibb Songs

1966 : Spicks and Specks

1967 : Bee Gees' 1st (UK #8, US #7)

1968 : Horizontal (UK #16, US #12, RFA #1)

1968 : Idea (UK #4, US #17, RFA #3)

1969 : Odessa (UK #10, US #20, RFA #4)

1970 : Cucumber Castle (UK #57, US #94, IT #9)

1970 : 2 Years On (US #32, AUS #22)

1971 : Trafalgar (US #34, IT #3)

1972 : To Whom It May Concern (US #35, IT #10)

1973 : Life in a Tin Can (US #69, IT #10)

1974 : Mr. Natural (US #178, AUS #20)

1975 : Main Course (US #14, AUS #29, RFA #29)

1976 : Children of the World (US #8, CA #2, NZ #6)

1977 : Saturday Night Fever (US #1, UK #1, NZ #1, CH #1, AUS #1, JP #1)

1979 : Sprits Having Flown (JA #2, URSS #2, AUT #2)

1981 : Living Eyes (US #41, UK #73, NOR #6)

1987 : E.S.P. (US #96, UK #5, NOR #2, RFA #1, CH #1)

1989 : One (US #68, UK #4, RFA #4, CH #6)

1991 : High Civilization (UK #24, RFA #2, AUT #4)

1993 : Size Isn't Everything (US #153, UK #23, ARG #1)

1997 : Still Waters (US #11, UK #2, NZ #1, CH #1, AUS #4, AUT #4)

1998 : One Night Only

2001 : This Is Where I Came In (US #16, UK #6, RFA #3)

Filmographie

1970 : Cucumber Castle

1978 : Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band

Concerts[modifier]

1968 : Frankie Howerd Meets the Bee Gees

1971 : Live At Festival Hall

1974 : The Bee Gees In Concert

1975 : Soundstage

1977 : Here At Last... Bee Gees... Live

1979 : Spirits Having Flown Tour

1989 : The Very Best Of The Bee Gees : Live! one for all (en vente)

1993 : History Live

1997 : One Night Only (en vente)

1998 : An Audience with the Bee Gees (en vente partiellement sur le CD "Number Ones : Limited Edition" et le DVD "One Night Only : Anniversary Edition")

2001 : Live By Request (titre original : This Is Where You Come In) (en vente)

Documentaires

1997 : Keppel Road : The Life and Music of the Bee Gees

2001 : The Official Story of the Bee Gees (L'histoire Officielle des Bee Gees) (titre original : "This Is Where I Came In")

2010 : In Our Own Time

John Barry

Publié à 07:10 par dessinsagogo55 Tags : center hiver monde afrique homme musique mort rose fille you centerblog sur film
John Barry

John Barry Prendergast, OBE, né le 3 novembre 1933 à York (Angleterre) et mort le 30 janvier 2011 à Glen Cove (État de New York), est un compositeur britannique de musiques de films. Il est connu en particulier pour la musique d'Out of Africa de Sydney Pollack, de Danse avec les loups de Kevin Costner (il a reçu l'oscar de la meilleure musique pour chacun de ces deux films) ainsi que celles des James Bond.

Il débute dans une formation de jazz avant d'écrire pour le cinéma. Son tout premier film est L'Aguicheuse (Beat Girl, 1960). Il remanie le thème musical de James Bond écrit par Monty Norman et en fait l'un des thèmes les plus connus au monde. Il compose par la suite les musiques des James Bond jusque dans les années 1980. Sa musique pour la série télé Amicalement vôtre (1971) contribue aussi à sa notoriété déjà bien établie.

Considéré comme l'un des plus grands compositeurs de musique de films contemporains (comme par exemple John Williams, Jerry Goldsmith, Lalo Schifrin, Michel Magne, Michel Legrand, et Ennio Morricone), il a composé les musiques de très grosses productions, telles que Out of Africa ou Danse avec les loups. John Barry compose généralement une musique au style romantique exacerbé, dont le style est aisément identifiable.

Il fut le premier mari de Jane Birkin dont il eut une fille, la photographe Kate Barry.

John Barry est mort le 30 janvier 2011 suite à une crise cardiaque.

Filmographie sélective

1960 : L'Aguicheuse (Beat Girl), de Edmond T. Gréville, premier film de John Barry.

1962 : James Bond 007 contre Dr. No (Doctor No) de Terence Young

1963 : Bons baisers de Russie (From Russia with love) de Terence Young

1964 : Zoulou (Zulu) de Cyril R. Endfield

1964 : Le Knack... et comment l'avoir de Richard Lester

1964 : Goldfinger (Goldfinger) de Guy Hamilton

1965 : Four in the Morning de Anthony Simmons

1965 : Opération Tonnerre (Thunderball) de Terence Young

1966 : La Poursuite impitoyable

1967 : On ne vit que deux fois (You Only live Twice) de Lewis Gilbert

1968 : Boom ou (Boom!) de Joseph Losey

1968 : The Lion in Winter (Un Lion en Hiver)

1969 : Macadam Cowboy

1969 : Au service secret de Sa Majesté (On her Majesty's secret service) de Peter Hunt

1971 : Les Diamants sont éternels (Diamonds are forever) de Guy Hamilton

1971 : La Vallée perdue de James Clavell

1971 : Amicalement vôtre (TV)

1973 : La Ménagerie de verre (The Glass Menagerie) (TV) de Anthony Harvey

1974 : Top secret (The Tamarin Seed) de Blake Edwards

1974 : L'Homme au pistolet d'or (The Man with golden gun) de Guy Hamilton

1975 : Il neige au printemps (Love Among the Ruins) (TV) de George Cukor

1976 : King Kong de John Guillermin

1976 : La Rose et la Flèche (Robin and Marian) de Richard Lester

1977 : Le Bison blanc (The White Buffalo) de Jack Lee Thompson

1978 : Le Jeu de la mort de Robert Clouse

1979 : Le Blé est vert (The Corn Is Green) (TV) de George Cukor

1979 : le trou noir (The Black Hole) de Gary Nelson

1979 : Guerre et Passion (Hanover street) de Peter Hyams

1979 : Moonraker (Moonraker) de Lewis Gilbert

1980 : Quelque part dans le temps (Somewhere in Time) avec Christopher Reeve et Jane Seymour

1983 : Octopussy (Octopussy) de John Glen

1985 : Out of Africa : Souvenirs d'Afrique

1985 : Dangereusement vôtre (A view to a kill) de John Glen

1987 : Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights) de John Glen

1988 : Mascarade (Masquerade) de Bob Swaim

1990 : Danse avec les loups (Dance with wolves) de Kevin Costner

1992 : Chaplin de Richard Attenborough

1993 : Proposition indécente

1995 : Les Amants du nouveau monde (The Scarlet Letter) de Roland Joffé

Récompenses[modifier]

Cinq Academy Awards

1967 : Best Original Song pour "Born Free" from Born Free

1967 : Best Original Music Score pour Born Free

1969 : Best Original Music Score for a Motion Picture (not a Musical) pour The Lion in Winter

1986 : Best Original Score pour Out of Africa

1991 : Best Original Score pour Dances with Wolves

Academy Award (nominations)

 

1972 : Best Original Dramatic Score pour Mary, Queen of Scots

1993 : Best Original Score pour Chaplin

Grammy Award

 

1992 : Best Score Soundtrack Album for a Motion Picture, Television or Other Visual Media pour Dances with Wolves

BAFTA Award

 

1969 : Anthony Asquith Award for Film Music pour The Lion in Winter

BAFTA Fellowship Award

 

2005 : attribution du titre

BAFTA nominations

1987 : Best Score pour Out of Africa

1992 : Best Original Score pour Dances with Wolves

Emmy Award nominations

1964 : Outstanding Achievement in Composing Original Music for Television pour Elizabeth Taylor in London (a 1963 television special)

1977 : Outstanding Achievement in Music Composition for a Special (Dramatic Underscore) pour Eleanor and Franklin: The White House Years

Max Steiner Lifetime Achievement Award

2009 : présenté par la ville de Vienne

Songwriters Hall of Fame

1998 : Barry y fut admis

 

 

 

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Barclay James Harvest

Publié à 06:54 par dessinsagogo55 Tags : anniversaire center platine centerblog sur gratuit france chez musique travail
Barclay James Harvest

BJH) est un groupe britannique qui a été créé en 1966 en mêlant deux groupes de rythm and blues d'Oldham (Lancashire): Heart & Soul & The Wickeds and The Sorcerers.

Le groupe d'origine comprenait Les Holroyd et Mel Pritchard venus de The Wickeds, John Lees et Woolly Wolstenholme venant de The Sorcerers. Le groupe devient professionnel lors de l'été 1967 et vient s'installer dans un corps de ferme du 18e dans le Lancashire pour suivre leur manager John Crowther. Le premier single, « Early Morning », est publié chez Parlophone en avril 1968. À la suite le groupe signe avec le nouveau label de musique progressive émanant d'EMI: Harvest, pour lequel il enregistre avec un orchestre entre 1970 et 1972, période incluant le classique Once Again. Le premier album Barclay James Harvest sort en 1970 avec plusieurs titres des débuts du groupe et cet album met en avant les forces du groupe (harmonie du chant, agressivité de la guitare et puissance des parties de Mellotron) qui resteront les fondations de leurs albums à venir.

Malheureusement les ventes ne sont pas au rendez-vous et la tournée de promotion est un fiasco de même que les 3 albums qui vont suivre (Once Again, Short Stories et Baby James Harvest) et EMI lâche le groupe. C'est donc chez Polydor chez qui ils signent en 1973 que Barclay James Harvest va connaître ses premiers succès au Royaume-Uni dans les années 1970 avec des albums comme Octoberon et Gone To Earth, qui permettent au groupe d'être connu en Europe, et surtout en Allemagne avec des ventes dépassant le million de copies. C'est à ce moment que Woolly Wolstenholme décide de poursuivre une carrière solo et c'est donc un trio qui continue en utilisant ponctuellement des musiciens de sessions pour ses albums studio et ses performances en public. Les années 1980 permettent à BJH de devenir superstar en Allemagne, Suisse et France avec une série d'albums d'or et de platine et des tournées affichant complet. Le point d'orgue est le concert gratuit le 30 août 1980 devant le mur de Berlin et devant plus de 175 000 fans.

Les Holroyd lors d'un concert à Schloss Moyland en juillet 2003Le succès fut plus dur à trouver lors des années 1990 malgré les bonnes ventes du Best Of Barclay James Harvest (album d'or en Allemagne), et d'une tournée très réussie pour le 25e anniversaire au Royaume-Uni et en Europe en 1992. Les ventes en 1993 de l'album Caught In The Light firent que Polydor lâcha le groupe. Mais le groupe rebondit en revenant avec de nouveaux shows et de nouvelles chansons.

BJH enregistra un nouvel album en février 1996, et en avril il fut annoncé que Polydor Allemagne signait le groupe. Barclay James Harvest est reparti avec un magnifique album à l'appui: River of dreams. Le relatif échec commercial fit que John décida de se relancer dans une nouvelle expérience d'écriture avec Woolly. De ce travail sont nés deux albums, Nexus et Revival (BJH through the eyes of John Lees). De son côté, Les Holroyd a enregistré deux albums Revolution Days et Live In Bonn avec l'appui de Mel Pritchard (Barclay James Harvest featuring Les Holroyd).

Le 28 janvier 2004, Mel Pritchard disparaît d'une crise cardiaque à l'âge de 56 ans. Les deux groupes continuent cependant leurs parcours.

Discographie

Barclay James Harvest

1970 : Barclay James Harvest

1971 : Once again

1971 : Barclay James Harvest & other short stories

1972 : Early morning onwards

1972 : Baby James Harvest

1974 : Everyone is everybody else

1974 : Barclay James Harvest Live

1975 : Time honoured ghosts

1976 : Octoberon

1977 : Gone to earth

1978 : Live tapes

1978 : XII

1979 : Eyes of the universe

1981 : Turn of the tide

1982 : A concert for the people (Berlin)

1983 : Ring of changes

1984 : Victims of circumstance

1987 : Face to face

1988 : Glasnost

1990 : Welcome to the show

1993 : Caught in the light

1997 : River of dreams

Barclay James Harvest featuring Les Holroyd [modifier]

Les Holroyd (voix, basse), Mel Pritchard (batterie), Mike Byron-Hehir (guitare), Ian Wilson (guitare), Colin Browne (claviers), Chris Jago (batterie), Steve Butler (chœurs, percussions)

2002 : Revolution days

2003 : Live in Bonn

2005 : On the Road (DVD Live)

Barclay James Harvest Through the eyes of John Lees

John Lees (voix, guitares), Woolly Wolstenholme (voix, claviers), Craig Fletcher (basse), Kevin Whitehead (batterie), Jeff Leach (claviers)

1999 : Nexus

2000 : Revival - Live 1999

2002 : Echoes of a Brave New World

Woolly Wolstenholme (voix, claviers, guitare), Steve Broomhead (guitare, voix), Craig Fletcher (basse, voix), Jeff Leach (claviers), Kim Turner (batterie)

1980 : Maestoso

1989 : Too late...

1994 : Songs from the black box

2000 : Maestoso - One drop in a dry world

2005 : Maestoso - Fiddling Meanly (Live)

Liste des membres

John Lees : chant, guitares

Les Holroyd : basse, guitars, clavier, chant

Stuart "Woolly" Wolstenholme : chant, mellotron, clavier, guitares

Mel Pritchard : batterie, percussion

 

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Ballerine

Publié à 06:48 par dessinsagogo55 Tags : rose paris mode monde center centerblog sur musique femmes sommaire
Ballerine

Une ballerine est une chaussure féminine fermée et décolletée à bouts ronds et souvent plate possédant parfois un talon très mince ou aucun talon.

C'est en 1932 que Jacob Bloch, originaire d'Australie, créé à Londres un atelier de confection de chaussons de danse améliorés, qu'il nomme par la suite "Ballerines" Sa passion pour l'opéra, et son sens de l'observation le conduisent à la confection d'un chausson plus confortable pour les danseurs. Le terme « ballerine », datant aux environs du 16ème siècle, désigne à l'origine une danseuse professionnelle de ballet. C'est pourquoi ce terme désigne une chaussure ressemblant aux chaussons deQuinze ans plus tard, Rose Repetto décide d'améliorer à nouveau les chaussons de danse, pour son fils Roland Petit. Elle invente pour cela une nouvelle technique de confection consistant à coudre la semelle du chausson à l'envers, qui se développera par la suite. À Paris, la popularité de son fils crée un véritable engouement autour de ces ballerines qui s'étendront plus tard à tous les styles de danse.

Les ballerines se développent de plus en plus et arrivent dans le domaine de la mode où la marque Repetto devient une icône à travers le monde. De nos jours, les ballerines allient le côté utile, à l'agréable et à l'esthétisme: comme par exemple, les ballerines swims en caoutchouc créées en 2007.

Les ballerines sont actuellement populaires auprès des filles et femmes de tout âge. Elles sont également une alternative aux talons.

 

 

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Anita Ward

Publié à 06:22 par dessinsagogo55 Tags : center tube tubes voiture coeur centerblog sur merci place monde musique maison rose
Anita Ward

 

Anita Ward (née le 20 décembre 1956 à Memphis) est une chanteuse américaine. Elle est surtout connue grâce à son tube Ring my Bell sorti en 1979.

Avant de signer un contrat d'enregistrement, Anita Ward a obtenu un diplôme en psychologie, à Holly Springs dans le Mississippi, et est devenue enseignante. Lors de l'enregistrement de son premier album, Frederick Knight propriétaire d'une maison de disques, lui présente une chanson écrite l'année précédente pour la chanteuse Stacy Lattisaw. Cette chanson ne plait pas à Ward mais Knight insiste sur le fait qu'une chanson disco est nécessaire pour tirer parti de la tendance actuelle. La chanson, qui est à l'origine ciblée sur les adolescents, a été réécrite avec plus de paroles "adultes" (la chanson parle de sexe). "Ring My Bell" atteint alors la place de numéro un au Canada, aux États-Unis, et au Royaume-Uni en 1979. Des différends avec Frederick Knight, un accident de voiture, et la disparition progressive de la musique disco poussent Anita Ward à arrêter sa carrière. Elle sort un autre album en 1987 dont le single Don't Drop My Love se classera 87e aux États-Unis.

Lors du réveillon du Jour de l'an 2002, elle a chanté "Ring My Bell" au quartier de Times Square à New York lors de la célébration officielle de la ville.

Lors du réveillon du Jour de l'an 2005, Anita s'est produite à Memphis, sur Beale Street. Elle a chanté son tube "Ring My Bell" ainsi que plusieurs autres tubes disco.

Elle est également apparue à Zagreb, en Croatie le 4 janvier 2006, la veille de la Coupe du monde de slalom avec d'autres groupes et chanteurs de disco (Nile Rodgers & Chic, Village People, Thelma Houston et Rose Royce).

 

 
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