Date de création : 09.04.2012
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22.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
L’éoliphone ou héliophone, plus couramment appelé machine à vent, est un outilutilisé dans la musique et les opéras dès le xviie siècle pour reproduire le son du vent.
L'éoliphone se présente sous la forme d'un large cercle de métal ou de bois sur lequel est tendu un drap que l'on frotte plus ou moins vivement d'un geste circulaire.
On en trouve un emploi fréquent dans les tragédies lyriques de Lully ou dans la musique de Maurice Ravel (L'Enfant et les Sortilèges, Daphnis et Chloé).
L'éoliphone peut facilement être remplacé en frottant une brosse de chiendent sur une grosse caisse.
Œuvres de musique classique employant l'éoliphone
Benjamin Britten : Noye's Fludde
Franco Cesarini : Poema alpestre
Jerry Goldsmith : The Blue Max
Ferde Grofé : Grand Canyon Suite
György Ligeti : Le Grand Macabre
Marin Marais : Alcyone (Tempête)
Olivier Messiaen : Des canyons aux étoiles..., Saint François d'Assise et Éclairs sur l'Au-Delà...
Wolfgang Amadeus Mozart : Don Giovanni
Giacomo Puccini : La Fanciulla del West
Jean-Philippe Rameau : Les Boréades
Maurice Ravel : Daphnis et Chloé, L'Enfant et les Sortilèges
Gioachino Rossini : Le Barbier de Séville
Richard Strauss : Don Quichotte, Eine Alpensinfonie, Hélène d'Égypte, Die Frau ohne Schatten
Michael Tippett : Symphonie n°4
Richard Wagner : Der fliegende Holländer
Ralph Vaughan Williams : Sinfonia antartica
Jacobus Vaet ou Jacob (né vers 1529 et mort le 8 janvier 1567), est un compositeur franco-flamandde la Renaissance. Il appartient à cette génération qui succède à Josquin des Prez et précède celle de Palestrina. Pendant sa carrière, il compose essentiellement de la musique polyphonique et est un proche de Clemens non Papa et de Roland de Lassus.
Il naît à Courtrai ou Harelbeke. Il apparaît pour la première fois dans les annales de Courtrai, qui mentionnent son entrée à l'âge de 13 ans dans la manécanterie de l'église Notre-Dame. En 1547, il s'inscrivit à l'Université de Louvain, et dès 1550, on retrouve son nom dans la liste des membres du chœur de la chapelle de Charles Quint, où il chante parmi les ténors. Il devient maître de chapelle de Maximilien II, poste qu'il occupa jusqu'à sa mort. Maximilien est visiblement attaché à son maître de chapelle, dont il déplore le décès dans son journal intime et en l'honneur duquel il commande plusieurs morceaux de musique à des musiciens éminents de l'entourage de Vaet.
Vaet subit l'influence de divers musiciens : celle de Nicolas Gombert, dont le style polyphonique transparaît dans ses phrases qui s'enchaînent les unes aux autres ; celle de son ami Clemens non Papa et celle de Lassus, qu'il imite volontiers. Vaet a recours aux fausses relations plus souvent que ses contemporains (à l'exception de Gombert), qui donnent du relief et du piquant aux passages de contrepoint. Elles peuvent être simultanées, produisant des dissonances, ce qui suffit à distinguer ses œuvres de celles d'un Palestrina, par exemple. Vaet a parfois l'habitude de conclure un morceau sur une triade mineure (notamment le motet Postquam consummati essent), pratique rare au xvie siècle où peu d'œuvres se terminent sur un accord mineur. Entre autres idiosyncrasies, il affectionne les progressions basées sur le cycle des quintes, ainsi que les demi-cadences, caractéristiques annonçant les changements qui vont affecter la composition musicale à la fin du siècle. Son recours au cycle des quintes est peut-être dû à l'influence de Roland de Lassus, mais il s'agit également d'une caractéristique de la polyphonie espagnole de l'époque et, comme membre du chœur de la chapelle de Charles Quint, puis de Maximilien, il devait connaître les compositions de Francisco Guerrero, qui utilise ce même langage musical.
Outre son goût prononcé pour les fausses relations, son style se distingue par un penchant pour la citation et la parodie. Il est le premier à écrire une Missa quodlibetica, messe à cinq voix qui est une série de quodlibets, présentant simultanément des airs connus, empruntés à des sources sacrés et profanes. Dans d'autres compositions, il réemploie des passages de ses collègues ou de ses prédécesseurs, comme Josquin, Jean Mouton, Jachet de Mantoue, Clemens non Papa and Cyprien de Rore. Il s'inspire aussi du soggetto cavatoinauguré par Josquin lorsqu'il compose un morceau dédié à l'archiduc d'Autriche Ferdinand de Habsbourg, basé sur la phrase Stat Felix Domus Austriae.
Vaet compose pendant sa carrière neuf messes qui nous sont parvenues, dont une messe de Requiem, assez rare avant la seconde moitié du xvie siècle. Il signe aussi de nombreux motets sacrés et profanes, et huit versions différentes du Magnificat et de l'antienne mariale Salve Regina ; ces antiennes sont toutes des œuvres tadives, imprimées dans les années 1560. Vaet compose également des airs français et une version allemande du Notre Père, Vater unser im Himmelreich.
Discographie
5 motets (sur le disque Music for the Court of Maximilian II, avec des œuvres de Lassus, Jacobus Gallus), Cinquecento. Hyperion CDA67579 (2007)
Missa Ego flos campi. 7 motets. Cinquecento. Hyperion CDA67733 (2009)
Jacobus Vaet, vol. 1 - Continuo lacrimas : Requiem & Motets, Dufay Ensemble, dir. Eckehard Kiem. label: Ars Musici ARS232354 (2002)
Jacobus Vaet, vol. 2 - Te Deum Laudamus, Missa quodlibetica. Motets. Magnificat, Dufay Ensemble, dir. Eckehard Kiem. label: Ars Musici ARS232392 (2010)
Jacobus Vaet, vol. 3 - Salve Regina; Geistliche Motetten; Huldigungsmotetten , Dufay Ensemble, dir. Eckehard Kiem. label: Ars Musici ARS232403 (2006)
Jacobus Vaet, vol. 4 - Magnificat, Dufay Ensemble, dir. Eckehard Kiem. label: Ars Musici ARS232415 (2010)
Bibliographie
Gustave Reese, (en) Music in the Renaissance. New York, W.W. Norton & Co., 1954.
Milton Steinhardt: (en) "Jacobus Vaet", Grove Music Online ed. L. Macy (page consultée le 18 novembre 2005),
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