Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Hubert-Félix Thiéfaine, dit HFT, est un auteur-compositeur-interprète français né à Dole dans le Jura le 21 juillet 1948.
Bien que peu présent dans les grands médias, Hubert-Félix Thiéfaine a connu un succès relativement important tout au long de sa carrière : plusieurs de ses disques ont été consacrés disques d'or et ses concerts font régulièrement le plein grâce à la fidélité et l'attachement de son public. Il est marié à Francine Nicolas, qui est également son manager au sein de leur société, Lilith Productions, et avec qui il a eu deux garçons, Hugo et Lucas. Il vit actuellement au centre ville de Dijon.
La famille de Thiéfaine est originaire du village de Sampans, dans le Jura (son oncle y était curé), mais vivait à Dole. Fils d'une famille de six enfants (il fera une chanson pour ses parents intitulés When Maurice meets Alice dans l'album Scandale mélancolique), il passe sa scolarité dans plusieurs établissements de la ville tant publics que privés. Dans le même village vit le futur guitariste Claude Mairet, dont la carrière va être intimement liée à la sienne. Il passe quatre ans au petit séminaire en vue de devenir prêtre, puis s'inscrit à des études de psychologie à Besançon. C'est sur le campus de cette même ville qu'il rencontrera Tony Carbonare, futur collaborateur en tant que musicien, arrangeur et manager.
C'est avec lui qu'il ira à Paris tenter sa chance en 1971. Après des années très difficiles, à la demande de Tony Carbonare, il travaille avec le groupe Machin et réalise son premier album, Tout corps vivant branché sur le secteur étant appelé à s'émouvoir, composé de morceaux écrits dix ans auparavant. De la collaboration avec le groupe Machin et Tony Carbonare naissent au total trois albums dans lesquels les textes de Thiéfaine sont rehaussés par les arrangements baroques de Tony Carbonare. À partir de 1980, Thiéfaine s'oriente vers un style plus rock : citons l'album Soleil cherche futur qui a connu un certain succès avec la chanson "Lorelei sebasto cha" en 1982 et Alambic/Sortie sud, cosigné avec Claude Mairet à l'écriture musicale. En 1988, il rompt avec Claude Mairet et sa maison de disques Sterne, et enregistre deux albums aux États-Unis (Chroniques bluesymentales en 1990 et Fragments d'hébétude en 1993). Depuis les albums-miroirs La Tentation du Bonheur (1996) et Le Bonheur de la Tentation (1998), sa musique, volontiers mélancolique, s'ouvre aux nappes de synthétiseurs. En 1998, il remplit la salle de Bercy sans aucun appui des médias. Le concert fera l'objet d'un album et d'un DVD.
Son album Scandale mélancolique, sorti en 2005, porte bien son nom. Il y fait volontiers référence à un passé tantôt heureux, tantôt difficile, à un avenir incertain, ou encore à ses sources d'inspiration (le Jeu de la Folie). Le morceau Télégramme 2003, quant à lui, est un message de soutien à Bertrand Cantat. Sur cet album, Thiéfaine a choisi de collaborer avec de nouveaux musiciens, dont Matthieu Rabaté (batteur) et Philippe Paradis (guitariste), tous deux musiciens de Zazie. Il est l'auteur de tous les textes sauf un (That Angry Man on the Pier), et a laissé le soin à la jeune génération d'auteurs-compositeurs français (au nombre desquels on peut citer Cali ou encore Mickey 3D) de composer les musiques. Un album live (accompagné d'un DVD) enregistré lors du concert au Zénith de Paris le 17 novembre 2006 intitulé Scandale mélancolique tour a été également mis en vente.
Hubert est sollicité en 2007 pour composer des chansons pour le dernier opus blues de Johnny, de même que Paul Personne pour des musiques, le tout n'étant finalement pas retenu. Ce matériel sera la base de l'album Amicalement Blues, enregistré au Studio ICP à Bruxelles, qui sort le 12 novembre 2007. Une mini-tounrée, qui passe entre autres par l'Olympia, suivra en 2008.
En mars 2009, pour les "un peu plus que 30 ans de carrière", sort un best-off (que Thiéfaine nomme "best-hier"), Séquelles, en 3 CDs, comportant un titre inédit, Annihilation.
L'une de ses chansons les plus connues, La fille du coupeur de joints, figurant sur son premier album, traite, sous un aspect festif, de la consommation de cannabis. L'imagerie des « consommateurs de substances illicites » est un des thèmes récurrents de son œuvre, notamment dans Solexine et Ganja.
Parmi ses grands classiques Alligators 427, traitant de la peur de l'énergie nucléaire est surtout une ironique ode à la mort. Notons également Les Dingues et les paumés ou Lorelei Sebasto Cha.
Parmi ses thèmes de prédilection, la folie (Le Jeu de la folie), la critique de la société (Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot « coupable ») et la mort (Maison Borniol).
Chanteur-poète écorché vif, évoluant toujours aux marges du langage institué, il tire son inspiration d'écrivains comme Rimbaud, Baudelaire ou Lautréamont qu'il cite dans ses textes. Sa créativité n'a jamais perdu l'humour truculent (Psychanalyse du singe), voire le non-sens (22 mai) de ses débuts, mais le cynisme (La Terre tremble) et le désespoir (Crépuscule-Transfert) y ont une part plus importante. Il sait célébrer tous les plaisirs (Sentiments numériques revisités): sexe, drogues... et rock'n roll. C'est le maître des ambiances à la fois décadentes (Cabaret Sainte-Lilith) et charmeuses, rejoignant souvent la puissance imaginaire et artistique d'un Manset, d'un Gainsbourg ou d'un Léo Ferré.
La "psychanalyse du singe" ne découle pas réellement d'un humour truculent. Ce que l'on appelle le "singe" est en fait une métaphore pour désigner l'attachement à une drogue créant une dépendance importante. Lire "Le festin nu" de William Burroughs. Le "singe" s'agrippe à votre nuque et ne la lâche plus... La "psychanalyse du singe" est donc un hommage à cet auteur américain de la beat generation, et une descente aux enfers dans le monde halluciné de la drogue. "Psychanalyse du singe" est assez représentative du livre de Burroughs. Hubert-Félix Thiéfaine ne trouve pas uniquement ses influences dans la poésie française, les auteurs de la beat generation forment une part importante de cette "influence".
La plupart de ses textes sont des odes à la vie, ou du moins, à la manière de l'approcher, et à la mort. Entre ces deux extrêmes, on rencontre l'éloge de la folie, de la littérature, de la drogue, et malgré tout, du genre humain... Hubert-Félix Thiéfaine est un auteur interprète incontournable de notre époque. Il a su mettre en musique, seul ou accompagné, ses propres œuvres, véritables représentations d'une ère déjantée et douloureuse. Hubert-Félix Thiéfaine est, à l'instar d'Arthur Rimbaud, de Carl Gustav Jung ou encore de Léo Ferré, le traducteur impénitent du mal-être profond de notre millénaire. Ses mots durs ou mélancoliques savent percer notre cœur et vagabonder jusqu'à l'âme.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Musique : Sommaire | |||||||||||||||||||||||||||
Musique : Postes (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine - tout corps vivant | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine - Suppléments de mensonge | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine : La fille du coupeur de joint | |||||||||||||||||||||||||||
Hubert-Félix Thiéfaine : La ruelle des morts | |||||||||||||||||||||||||||
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Une table de mixage, ou console de mixage, est un appareil électronique permettant de combiner (ou mixer) des signaux sonores par exemple . Une table de mixage peut être analogique, numérique ou virtuelle (sur ordinateur).
Les tables de mixage sont par exemple utilisées dans les studios d'enregistrement, les radios, par les disc jockeys, ou en sonorisation dans les salles de concert de musique amplifiée.
Principaux réglages disponibles sur une voie de table de mixage
Chaque signal à mélanger correspond à une entrée (ou voie, ou encore tranche), mono ou stéréo, de la table. Les connexions se font généralement grâce à des prises XLR, RCA ou jack 6.35.
À chaque voie, correspond un potentiomètre rotatif de gain d'entrée, des potentiomètres rotatifs contrôlant le panoramique (voies mono) ou la balance (voies stéréo) et l'égalisation. Un potentiomètre, généralement linéaire (fader) contrôlant le volume de sortie de la tranche et un ou plusieurs potentiomètres généraux permettent de contrôler le volume du signal sortant de la table. Une prise casque permet à l'opérateur d'écouter un signal de son choix indépendamment du signal de sortie. Il lui est ainsi plus facile d'effectuer des réglages.
Selon les usages auxquels elles sont destinées, certaines tables de mixage permettent, entre autres :
-d'utiliser un processeur d'effets externe sur chaque voie
-d'alimenter des microphones statiques grâce à une alimentation fantôme (notée PHANTOM ALIM. 48V) ;
-d'être connecté à un ordinateur pour être utilisées avec un logiciel de traitement audionumérique ;
-de mémoriser puis de rejouer le déplacement des potentiomètres grâce à des moteurs. Ces consoles (souvent numériques) sont alors dites "motorisées" ;
-de mélanger les signaux issus de platines pour disques vinyles nécessitant des entrées stéréo spécifiques de type RIAA (tables de mixage pour disc jockey).
Les tables de mixages classiques sont aussi équipées de un ou plusieurs bus, en général sélectionnés par un ou plusieurs boutons à côté du fader de tranche. Le bus permet de regrouper plusieurs tranches, permettant de régler en même temps le niveaux de plusieurs sources sonores au moyen d'un seul fader. Les tranches regroupées sortent donc par le départ respectif du bus.
Un départ vers un canal auxiliaire se fait au moyen d'un potentiomètre situé en dessous de l'égaliseur. Il permet de récupérer le son de la tranche avant ou après le fader (réglage "Pré/Post") et de le faire sortir de la table de mixage ("send") pour attaquer les amplis de retours ou des effets auxiliaires (d'où le nom). On a également un potentiomètre master pour chaque canal auxiliaire.
On a aussi les "returns" qui correspondent au retour du signal.
La plupart des tables de mixage proposent un ou plusieurs effets internes, souvent appliqués via un départ auxiliaire routé spécialement vers le processeur d'effet.
Néanmoins, pour une console analogique, il est recommandé de ne pas accumuler les effets internes car leurs circuits peuvent produire des bruits parasites par induction magnétique.
Les effets sont effectués par un processeur qui travaille en numérique. Le signal doit être donc échantillonné, traité, puis restitué. Très peu nombreux sur une table analogique, les effets sont très développés pour les consoles numériques (la technologie employée les rendant plus faciles à intégrer). On peut alors en mettre plusieurs par tranche (égaliseur graphique/paramétrique, compresseur, noise gate, réverbération, écho...)
Constructeurs
On compte parmi les plus célèbres constructeurs de tables de mixage :
Allen & Heath
Alesis
Audient
Amek
Behringer
Bst
Crest audio
Denon DJ
Mackie
Midas
Numark
Neve
AMS Neve
Bang & Olufsen
citronic
Ecler
etp!
Harris Corporation
hq power
img stage line
Innovason (mixage numérique)
Klotz Digital
MCI
Merging Technologies
Pioneer
PR&E
Solid state logic
Stanton DJ
Ramsa
Rane
Rodec
Roland
skytronic
Sonosax
Sony
Soundcraft
Solid state Logic (SSL)
Studer
Tascam
Vestax
Yamaha
KOOL sound
Mc CRYPT
gemini
cortex
X SOUND sistems
ERS
JB System
Citronic
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Direct sur la rubrique :
Le Parfum de Mathilde, film pornographique français réalisé par Marc Dorcel, sur un scénario de Jean Rollin, sorti en vidéo en 1994.
Une Rolls-Royce roule dans la campagne menant une jeune orpheline ingénue, nommée Eva, accompagnée de son oncle et de sa tante, vers l’homme qu’elle vient d’épouser et qu’elle ne connaît pas encore (?). Cet homme, Sir Remy, est un veuf éploré habitant d’une vaste demeure peuplée d’invités et de domestiques qui se livrent à une frénésie sexuelle permanente en faisant fi des barrières sociales. Sir Remy vit dans le souvenir de sa regrettée épouse, Mathilde, une femme dont Eva est le parfait sosie et qui lui infligeait de multiples tourments en se livrant à tous les hommes qui la désiraient. Il médite de se venger du souvenir de sa défunte femme en faisant subir à la jeune vierge les derniers outrages lors d’une cérémonie publique. Mais la jeune innocente, que la fréquentation du domaine et de ses perversions a instruite, se révèle une nouvelle hétaïre, réincarnation de la défunte Mathilde et résolue à faire subir de nouveaux et multiples tourments au malheureux châtelain.
Commentaires
La perversion d’une ingénue est un thème classique et récurrent du cinéma pornographique (voir par exempleJe suis à prendrede Francis Leroi ouL'Indécente aux enferségalement de Marc Dorcel). Cet argument fournit un cadre pratique permettant d’enchaîner les scènes selon une progression qui culmine dans une orgie finale où l’ingénue se révèle et s’épanouit par la débauche. Il y a presque un message et une justification dans cette fin qui hésite entre le prétexte et la morale.
C’est l'un des derniers films de Julia Chanel qui, pour cette occasion, tient le rôle de la soubrette perverse chargée d’initier l’innocente. Elle y réalise une mémorable scène de triolisme assortie d’une double pénétration ainsi qu’une brève mais langoureuse scène de bain solitaire.
Draghixa dans le rôle de l’ingénue et de l’épouse perverse alterne tour à tour les mimiques effarouchées et les scènes de sexualité débridée. Vêtue de voiles vaporeux, blancs puis noirs, elle gratifie le spectateur de deux strip-tease où s'exprime toute sa sensualité dans un cadre d'ambiance quasi fantastique, en particulier dans la scène finale.
À noter également qu'un nain voyeur fait son apparition de temps a autres (Thomas Santini, dont il s'agit du premier film).
Ce film a remporté plusieurs prix dont deux sont revenus à son actrice principale : Award du meilleur film européen à Las Vegas, meilleur film européen et meilleure actrice française pour Draghixa à Bruxelles, Hot d'Or du meilleur scénario européen et de la meilleure actrice européenne pour Draghixa.
Fiche technique
Titre :Le parfum de Mathilde
Réalisateur : Marc Dorcel
Scénario : Jean Rollin
Directeur de la photographie : Serge de Beaurivage
Montage : Norma Pouliopoulos
Musique : Marc Dorcel
Éditeur : Vidéo Marc Dorcel
Date de sortie : 1994
Durée : 90 min
Pays : France
Genre : pornographie
Interdit aux moins de 18 ans
Distribution
Draghixa : Mathilde (l’orpheline) et Eva (épouse défunte de Sir Rémy)
Julia Channel: Sophie, la soubrette perverse
Christophe Clark : Sir Rémy
Maéva : la tante Anna
Marc Dorcel : l’oncle
Elodie Chérie : la cuisinière
Et Simona Valli, Erica Bella, Elisabeth Stone, Eric Weiss, Richard Langin, David Perry, Thomas Santini, Manon, Kathy
|
Box-office
France:
Pour une poignée de dollars 4.360.000 entrées
Et pour quelques dollars de plus 4.170.929 entrées
Le Bon, la Brute et le Truand 6.308.000 entrées
Il était une fois dans l'Ouest 14.862.764 entrées
Filmographie
Assistant-réalisateur
1946 : Rigoletto de Carmine Gallone (non crédité)
1948 : Le Voleur de bicyclette de Vittorio De Sica (non crédité)
1949 : La forza del destino de Carmine Gallone (non crédité)
1949 : Fabiola d'Alessandro Blasetti (non crédité)
1949 : Il trovatore de Carmine Gallone (non crédité)
1950 : Il voto de Mario Bonnard (non crédité)
1950 : La leggenda di Faust de Carmine Gallone (non crédité)
1950 : Taxi de nuit de Carmine Gallone (non crédité)
1950 : Mara fille sauvage de Mario Camerini (non crédité)
1951 : Quo Vadis de Mervyn LeRoy (non crédité)
1952 : Jolanda la figlia del corsaro nero de Mario Soldati
1952 : Il folle di Marechiaro de Roberto Roberti (non crédité)
1952 : La Traite des blanches de Luigi Comencini
1952 : Les Trois corsaires de Mario Soldati
1953 : L'uomo, la bestia e la virtù de Steno
1953 : Phryné, courtisane d'orient de Mario Bonnard
1954 : Hanno rubato un tram de Mario Bonnard et Aldo Fabrizi
1954 : Haine, amour et trahison de Mario Bonnard
1955 : Les Anges aux mains noires de Mario Bonnard
1956 : Hélène de Troie de Robert Wise (non crédité)
1956 : Questa è la vita d'Aldo Fabrizi, Giorgio Pàstina, Mario Soldati et Luigi Zampa
1956 : Mi permette, babbo! de Mario Bonnard
1957 : El maestro d'Aldo Fabrizi et Eduardo Manzanos Brochero
1958 : L'Esclave d'Orient de Mario Bonnard
1959 : Quai des illusions d'Émile Couzinet
1959 : Sous le signe de Rome de Guido Brignone (non crédité)
1959 : Au risque de se perdre de Fred Zinnemann (non crédité)
1959 : Le Fils du corsaire rouge de Primo Zeglio
1959 : Les Derniers jours de Pompéi de Mario Bonnard
1959 : Ben-Hur de William Wyler (non crédité)
1962 : Sodome et Gomorrhe de Robert Aldrich (non crédité)
1973 : Mon nom est personne de Tonino Valerii (non crédité)
Réalisateur
1959 : Les Derniers Jours de Pompei (Gli Ultimi Giorni di Pompei) co-réalisé avec Mario Bonnard (non crédité)
1960 : Sodome et Gomorrhe co-réalisé avec Robert Aldrich
1961 : Le Colosse de Rhodes (Il Colosso di Rodi)
1964 : Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari)
1965 : Et pour quelques dollars de plus (Per qualche dollaro in piu)
1966 : Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo)
1968 : Il était une fois dans l'Ouest (Once Upon a Time in the West -- C'era una volta il West)
1971 : Il était une fois la révolution (A Fistful of Dynamite -- Giù la testa)
1973 : Mon nom est Personne (Il mio nome è Nessuno) co-réalisé avec Tonino Valerii (non crédité)
1975 : Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) co-réalisé avec Damiano Damiani (non crédité)
1984 : Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America)
1989 : Les 900 jours de Leningrad (film inachevé)
Scénariste
1958 : L'Esclave d'Orient
1959 : Sous le signe de Rome
1959 : Les Derniers Jours de Pompei
1961 : Ivan le conquérant
1961 : Le Colosse de Rhodes
1961 : Romulus et Remus
1963 : Les Canons de San Antiogo
1964 : Pour une poignée de dollars
1965 : Et pour quelques dollars de plus
1966 : Le Bon, la Brute et le Truand
1968 : Il était une fois dans l'ouest
1971 : Il était une fois... la révolution
1973 : Mon nom est personne
1984 : Il était une fois en Amérique
1986 : Troppo forte
Producteur
1973 : Mon nom est Personne (Il mio nome è Nessuno) de Tonino Valerii
1975 : Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) de Damiano Damiani
1977 : Qui a tué le chat ? (Il gatto) de Luigi Comencini
1979 : Un jouet dangereux (Il giocattolo) de Giuliano Montaldo
1980 : Un sacco bello de Carlo Verdone
Distinctions
Nominations
Nomination pour le Golden Globe du meilleur réalisateur en 1985 pour Il était une fois en Amérique.
Nomination pour le British Academy Film Award du meilleur réalisateur en 1985 pour Il était une fois en Amérique.
Récompenses
David du meilleur réalisateur en 1972 pour Il était une fois... la révolution (ex-aequo avec Franco Zeffirelli pour François et le chemin du soleil).
Prix René Clair lors de la cérémonie des Prix David di Donatello en 1984.
Meilleur film étranger au Kinema Junpo en 1985 pour Il était une fois en Amérique.
Noisette d'or en 1987 au Festival du film de Giffoni.
Le Mur de l'Atlantique est un film français, réalisé par Marcel Camus et sorti en 1970.
Durant la Seconde guerre mondiale, sous l’occupation, peu avant la bataille de Normandie, Léon Duchemin, un paisible restaurateur que sa femme a quitté vingt ans auparavant, vit en compagnie de Maria, sa sœur farfelue et de sa fille Juliette, devenue une jeune femme. Ses clients représentent toute la faune allant du chauffeur de Rommel, aux résistants et aux trafiquants du marché noir.
Un soir, durant un raid aérien, Jeff, un aviateur britannique dont l’avion a été abattu, tombe quasiment dans la chambre de Juliette. Le lendemain, Léon qui se trouvait alors chez Charlus, l'artisan qui devait se charger de repeindre sa devanture, est pris pour le peintre en question et est emmené à la Kommandantur, où on a un travail similaire à lui proposer. Léon emporte par inadvertance un plan secret concernant les fameux V1. Ayant fait la connaissance de Jeff qui comprend l’intérêt de la découverte faite par Léon, ce dernier est donc obligé de joindre la Résistance qui fait passer les deux hommes en Angleterre. Léon se retrouve alors dans un camp d'entraînement de l'armée britannique, sous les ordres de Jeff lui-même. Il ne sait pas encore que sa fille Juliette est enceinte et que l’aviateur va devenir son gendre…
Fiche technique
Réalisation : Marcel Camus
Scénario : D'après une idée du colonel Rémy
Adaptation : Marcel Jullian, Marcel Camus
Dialogues : Marcel Jullian
Assistant réalisateur : Alain Corneau
Assistant réalisateur séquences actions : Claude Carliez, actions voitures et motos : Rémy Julienne
Conseiller pour l'aviation : Henri Hugen
Images : Alain Levent
Opérateur : Armand Marco, assisté de Roger Gleize, Pierre Levent
Musique : Claude Bolling (Éditions Bleu, Blanc, Rouge)
Chansons du film "God bless rugby" de Jack Fischman et Claude Bolling - "Kamerald die rosen blühn" de Josuh Rockelein et Claude Bolling
Décors : Pierre Guffroy, assisté de Albert Rajau
Son : Jean-Pierre Ruh, assisté de Guy Odet
Montage : Andrée Camuseix, assistée de Arlette Lalande
Mixage : Jacques Carrère, Claude Volland
Script-boy : Patrick Aubree
Photographe de plateau : Jean Klissak
Costumes : Michèle Richer
Habilleuse : Annie Marolt, Rose Daver, Denise Duke
Maquillage : René Daudu
Accessoirise, effets spéciaux : Roger Bollengier
Artificier : Ruggieri
Collection de voitures et motos : Jean Marratier
Ensemblier : Guy Maugin
Administrateur : Jacques Drouard
Régisseur général : Roger Ferret
Tirage : Laboratoire G.T.C Joinville
Pellicule 35mm, couleur par Eastmancolor
Production : Société Nouvelle de Cinéma, Fono Roma (Franco-Italienne)
Directeur de production : Roger Scipion
Directeurs adjoints : Alexandre de Grunwald et Bruna Drigo
Producteur exécutif : Georges de Beauregard
Tournage à partir du 6 avril 1970 à Barfleur (Manche), Saint-Waast (Angleterre), Londres, Medson, au camp de la Frileuse et pour les intérieurs dans les studios Eclairs d'Epinay-sur-Seine
Durée : 107 min
Première présentation
Genre : Comédie, Guerre
Visa d'exploitation : 31650
Distribution
Bourvil : Léon Duchemin, le restaurateur normand
Peter McEnery :Jeff, l'officier britannique, parachuté
Sophie Desmarets :Maria Duchemin, la sœur de Léon
Jean Poiret :Armand, le chef de la résistance, agent double chez les Allemands
Reinhard Kolldehoff :Le lieutenant Heinrich Jakobus Steinbichler dit: Totor
Sara Franchetti :Juliette Duchemin, la fille de Léon
Pino Caruso :Le lieutenant Friedrich, chauffeur
Terry-Thomas :Le commandant Perry
Roland Lesaffre :le faux résistant
Jacques Balutin :un gendarme résistant
Jean-Pierre Zola :Le colonel Muller
Georges Staquet :Hippolyte, le chef des résistants
Robert Le Béal :l'officier britannique
Jacques Préboist :Ernest
John Eppler :Rommel
Patrick Préjean :Un officier britannique
Annabel Leventon :Sybil
Jackie Rollin (Jackie Sardou) :Angèle Charlus
Janine Dill :Une passante
Antoine Baud :Le feldgendarme
Guy Delorme :Un soldat allemand
Rico Lopez :Albert
Anthony Stuart :Un officier britannique
Pierre Decazes :Un soldat S.S
Roger Lumont :Le cuisinier français
Jess Hahn :Un colonel britannique
Michel Robin :Le cordonnier
Rudy Lenoir :Un sous-officier allemand
Robert Le Béal :Un officier britannique
Jean Rupert :L'ordonnance Perry
Yvon Lec :Charles
Fernand Guiot :Un soldat allemand
William Mervyn :L'évêque, père de Jeff
Billy Kearns :Le commandant du camp
Marcel Gassouk :Un commandant allemand
Jean Moulart :Un policier de la gestapo
Franck Williams :Le premier clergyman
Gerald Campion :Le second clergyman
Peter Myers :Un colonel R.A.F
Roger Guilho :Prunier, un cuisinier
Paul Savatier :Un gardien de prison
Roger Mailles :Un gendarme
Bernard Saint-Jacques :Un soldat S.S
Gilbert Romanier :Un sous-officier
Roger Rall :Un policier de la gestapo
Roger Trapp :Un clochard en prison
Norman Mitchell :Le premier bobby
Stephen Yardley :Le second bobby
Guy Allombert :Un officier allemand
Bill Horsley :Le patron de la R.A.F
Lucien Privat :La Doublure de Bourvil dans les cascades (non crédité)
Yvon Lec :Gédéon Charlus
Jacques Marbeuf
Autour du film
C'est le dernier film de Bourvil. Il mourut juste après la sortie du Cercle Rouge et du Mur de l'Atlantique.
Anecdote
John Eppler était l'aide de camp du vrai maréchal Rommel.
|
L'Effaceur(Eraser) est un film d'action de Chuck Russell sorti en 1996.
John Kruger est un Marshal qui travaille dans un programme de protection des témoins. Il est désigné pour protéger le Dr. Lee Cullen qui travaille pour l'entreprise Cyrez, un fabricant d'armes secrètes. Le travail de Kruger commence lorsque Cullen découvre une preuve d'un trafic d'armes illégal du FBI. Kruger doit alors la protéger en effaçant toutes les traces de son identité et en anéantissant toutes menaces contre elle.
Le film est notamment remarquable pour la présence en plusieurs exemplaires d'un rail gun d'épaule.
Fiche technique
Titre original :Eraser
Titre français :L'Effaceur
Réalisation : Chuck Russell
Scénario : Tony Puryear, Walon Green et Michael S. Chernuchin
Photographie : Adam Greenberg
Montage : Michael Tronick
Son : Alan Robert Murray, Bub Asman
Direction artistique : William Ladd Skinner
Décors : Bill Kenney
Costumes : Richard Bruno
Musique : Alan Silvestri
Production : Anne Kopelson et Arnold Kopelson
Société de production : Warner Bros.
Format : Couleurs - 35 mm (Panavision) - 2,25:1 - Son DTS et Dolby numérique
Durée : 115 min
Dates de sortie :États-Unis : 21 juin 1996 ;France : 7 août 1996
Distribution
Arnold Schwarzenegger (VF : Daniel Beretta) : John Kruger « l'Effaceur »
James Caan (VF : Michel Papineschi) : Robert Deguerin
Vanessa L. Williams (VF : Catherine Hamilty) : Lee Cullen
James Coburn (VF : Pierre Hatet) : Beller
Robert Pastorelli (VF : Mario Santini) : Johnny Castelone
Andy Romano (VF : Yves Barsacq) : Daniel Harper
James Cromwell (VF : Jean-Pierre Leroux) : William Donahue
Olek Krupa (VF : Patrick Laplace) : Sergei Ivanovich Petrofsky
Nick Chinlund : Calderon
Joe Viterelli (VF : Michel Fortin) : Tony Deux Orteils
Danny Nucci : Monroe
Michael Papajohn : Schiff
Melora Walters : Darleen
Mark Rolston : J Scar
Robert Miranda : Frediano
Roma Maffia : Claire Isaacs
Tony Longo : Little Mike
John Snyder : Sal
Camryn Manheim : l'infirmière
Skipp Sudduth : Watch Commander
Distinctions
Nomination à l'Oscar du meilleur montage sonore 1997.
Autour du film
Ce fut la dernière fois où Arnold Schwarzenegger a été doublé en version québécoise par Dominique Briand. Par la suite, c'est Yves Corbeil qui prit la relève.
Dans la version française, Deguerin (James Caan) s'énerve contre un des enquêteurs en l'appelant "Dick Tracy", sans doute est-ce un clin d'œil au film du même nom sorti en 1990 (Dick Tracy) et auquel l'acteur a participé en jouant le rôle de Spaldoni.
L'édition Blu-ray du film est multilingue et inclut dix pistes audio différentes, soit:Dolby TrueHD: English 5.1, Dolby Digital English 5.1, Français 5.1 (parisien et doublé au Québec), Español (Castilian 5.1 and Latin 2.0) German 5.1, Italian 5.1, Japanese 5.1, and Português 2.0.
L'Effaceur : Gif dessinsagogo55
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Gloria Leda(Le 30 août 1912 à Rome et décédé le 16 mars 1997 à Rome) était une actrice italienne. Elle est apparue dans des 66 films entre 1929 et 1965.
Filmographie
Côté rue Story(1950)
Trois jeunes filles de Rome(1952)
La chaîne éternelle(1952)
C'est arrivé dans le parc. (1953)
Il n'est jamais trop tard(1953)
Guendalina(1957)
La Loi est la Loi(1958)
Don Camillo à Moscou(1965)
1952 - Le Petit monde de Don Camillo
1965 - Don Camillo en Russie
1961 - Don Camillo... Monseigneur !
1961 - Cocagne
1957 - La Loi, c'est la loi
1956 - Sous le ciel de Provence
1953 - Le Retour de Don Camillo
1953 - Les Amants de Villa Borghese
1952 - Le Petit monde de Don Camillo
1952 - Le Boulanger de Valorgue
1949 - Le Moulin du Pô
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Est un film français de science-fiction réalisé par Luc Besson, sorti en 1997 en France et présenté au Festival de Cannes. Il a fait 7 699 038 entrées en France.
Égypte, 1914. Un groupe de Mondo-shawans débarque sur Terre afin de récupérer quatre pierres représentant les quatre éléments de la vie, afin de les soustraire à l'arrivée imminente de la Première Guerre mondiale. Ils promettent de les rapporter dans 300 ans, lorsque le Mal reviendra, afin d'établir une paix durable. Mais à leur retour, trois siècles plus tard, leur vaisseau est détruit et les pierres disparaissent mystérieusement. Cependant, dans les décombres se trouve une main, à partir de laquelle les scientifiques parviennent à reconstituer Leeloo (Leeloo Minai Lekatariba-Laminai-Tchai Ekbat De Sebat) qui n'est autre que le cinquième élément, une jeune femme dotée d'étonnantes facultés. Alors qu'elle s'enfuit, elle tombe dans un taxi conduit par Korben Dallas...
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Leeloo réussit à convaincre Korben de la conduire chez le prêtre Cornelius. Celui-ci lui résume l'histoire des cinq éléments et de l'arrivée imminente du mal. La dépositaire des pierres des quatre éléments, la diva Plavalaguna doit donner un récital à bord du vaisseau de croisière Fhloston Paradise. Mais les agents du mal, en la personne de Jean-Baptiste Emmanuel Zorg, un fabricant d'armes corrompu, et des Mangalores, un groupe de mercenaires, se lancent à leur poursuite malgré des divisions internes entre Zorg et les Mangalores. Après diverses péripéties, Korben, Leeloo et Cornelius arrivent à bord du Fhloston Paradise, où ils sont supposés rencontrer la diva Plavalaguna. À la fin du récital de cette dernière, une bataille provoquée par les Mangalores a lieu. La diva sera tuée mais elle donnera les pierres à Korben. Après avoir réuni Leeloo, le prêtre Cornelius et Ruby Rhod, un animateur de radio qui le suit depuis son arrivée à bord du vaisseau, ils s'échappent et retournent sur Terre, en Égypte, afin d'invoquer le cinquième élément et ainsi sauver l'humanité.
Fiche technique
Titre original : Le Cinquième Élément
Titre anglais : The Fifth Element
Réalisation : Luc Besson
Scénario : Luc Besson, Robert Mark Kamen
Musique : Éric Serra
Décors : Dan Weil
Costumes : Jean-Paul Gaultier
Photographie : Thierry Arbogast
Son : Daniel Brisseau
Montage: Sylvie Landra
Producteur :
Patrice Ledoux
Iain Smith (co-producteur)
John Alan Amicarella (associé)
Société de production : Gaumont
Distribution : Gaumont Buena Vista International
Budget : 90 000 000 $
Pays d'origine : France
Format : son Dolby Digital DTS, projection 2,35:1 Cinémascope, production 35mm
Durée : 126 minutes
Dates de sortie :
7 mai 1997 en salles et au festival du film de Cannes
8 mai 1997
9 mai 1997
Distribution
Bruce Willis (VF : Bernard Métraux) : Korben Dallas
Gary Oldman (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Jean-Baptiste Emanuel Zorg
Ian Holm (VF : Michel Ruhl) : Père Vito Cornelius
Milla Jovovich (VF : Barbara Kelsch) : Leeloo (le 5e élément)
Chris Tucker (VF : Tom Novembre) : Ruby Rhod
Luke Perry : Billy
Brion James : Général Munro
Tommy "Tiny" Lister Jr.(VF : Jean-Michel Martial) : Président Lindberg
Lee Evans : Fog
Charlie Creed-Miles (VF : Julien Sibre) : David
Tricky : le bras droit de Zorg
John Neville (VF : Bernard Dhéran) : Général Staedert
John Bluthal : professeur Pacoli
Mathieu Kassovitz : Voleur dans le couloir de Korben Dallas
Christopher Fairbank : Mactilburgh
Kim Chan (VF : Jim Adhi Limas) : M. Kim
Julie T. Wallace : Iceborg Major
Al Matthews (VF : Vincent Grass) : Général Tudor
Maïwenn Le Besco : la Diva Plavalaguna (et Inva Mula pour la voix au chant)
John Bennett : Prêtre
Ivan Heng : Bras gauche
Sonita Henry : Aide du Président
Tim McMullan : Assistant du scientifique
Hon Ping Tang : Capitaine Munro
George Khan : responsable scientifique
John Hughes : Chef des militaires
Roberto Bryce : Omar
Said Talidi : Aziz
Bryan Lloyd Clifton : Mondoshawan Aknot Mangalore / Garde Mangalore
Justin Lee Burrows : Mondoshawan
Richard Ashton : Mondoshawan
Jerome Blake : Mondoshawan
Kevin Molloy : Mondoshawan équipe au sol
Bill Reimbold : Assistant de Mactilburgh
Colin Brooks : le capitaine de Staedert
Mervin Dif : Mangalore
Mia Frye : Miss Gemini Crocket
La femme qui tient le guichet d'embarquement est doublée par Marjorie Frantz tout comme la femme chauve qui vient parler à la porte et que Leeloo écoute.
Le tournage a eu lieu aux Studios Pinewood, au Royaume-Uni
Luc Besson a veillé à ce que le film soit de nationalité française (malgré le fait que la majorité des acteurs soient américains) au regard des différents critères de sélection, aussi bien dans le montage financier dont Gaumont assumait la totale responsabilité, que la nomination de Français aux postes techniques-clé (photographie, musique, montage, etc.) pris en compte notamment pour les Césars ou les Oscars. Cette catégorisation permet d'obtenir pour le film une aide financière du Centre national de la cinématographie (CNC).
Le film a reçu un accueil du public assez froid aux États-Unis (63 millions USD), ce qui est assez étonnant compte tenu du casting pourtant très anglophone avec Bruce Willis en tête d'affiche. Les recettes hors États-Unis seront plus importantes avec 200 millions USD.
C'est l'un des deux films de science-fiction où joue Ian Holm.
Ruby Rhod devait à l'origine s'appeler "Loc Rhod" (le nom est resté dans les scripts et la novélisation du film).
Lorsque Korben Dallas se réveille, la date exacte est visible : le 18 mars 2263. Le 18 mars est l'anniversaire de Luc Besson, et la veille de l'anniversaire de Bruce Willis. Cela indique également que l'action ne se passe pas "300 ans après" les débuts du film, strictement (1914), comme on le croit souvent, mais 350 ans après.
On remarque également qu'au XXIIIème siècle, les proportions de tabac et de filtre dans les cigarettes est inversée. Le filtre occupant près de 80% de la longueur de la cigarette.
Ce film est le seul dans lequel, étrangement, Bruce Willis n'est pas doublé par sa voix française officielle, Patrick Poivey (mais par Bernard Métraux, la voix française d'Horatio Caine), les seuls précédents étant un épisode de la série Deux flics à Miami dans lequel il fait une apparition (Patrick Poivey doublant alors Sonny Crocket) et surtout Boire et Déboires où Willis fut doublé par Dominique Collignon-Maurin (qui double sur ce film Gary Oldman).
Ce film semble faire de nombreux clins d'œils aux films, bandes-dessinés, jeux et livres de fantastique et science fiction. Les références à Heavy Metal / Metal Hurlant semblent évidentes. D'autres, parfois plus hypothétiques, peuvent être relevées.
Le personnage de Bruce Willis, Korben Dallas semble inspiré du personnage de Harry Canyon, qui apparait dans la première nouvelle du dessin animé Métal Hurlant (Heavy Metal). La scène où il range une arme prise à un braqueur ressemble à la première scène de cette nouvelle. Aussi, Harry Canyon est chauffeur de taxi et porte secours à une jeune femme dont il est tombé amoureux.
Le nom 'Corben', pourrait être inspiré de celui de l'auteur du second scénario du même dessin animé, Richard Corben.
Le nom prévu pour Ruby Rhod, Loc Rhod, pourrait être inspiré de celui de la pierre verte (le Loc Nar) servant de fil conducteur dans le même dessin animé (Métal Hurlant) ;
La coiffure du major Iceborg rappelle celle de la Princesse Leia de Star Wars. L'apparence du père Cornélius n'est pas sans rappeler celle d'Obiwan Kenobi dans le même film ;
Le nom du prètre Vito Cornélius est très proche du nom du parrain Vito Corleone
;
L'illustration d'un grimoire rappelle une illustration du premier épisode d'Indiana Jones
;
Leeloo, lors de son apprentissage de l'Histoire de l'Humanité chez le prêtre Victor Cornellius, utilise un four qui permet de cuire en une seconde un repas. Ce n'est pas sans rappeler le four présent en l'an 2015 dans Retour vers le futur II de Robert Zemeckis.
La ville ressemble à celle que l'on voit dans Blade Runner, mais dans la mesure où ce film a beaucoup inspiré le cinéma et la bande dessinée, cela pourrait être involontaire ou faire référence à une autre source ;
On peut voir dans le personnage de Ruby Rod une référence à Frankenfurther du Rocky Horror Picture Show ;
L'apparence naturelle et l'attitude des Mangalores rappelle celle des orques des jeux Warhammer et Warhammer 40000 ;
Bande originale du film
Les musiques du film sont composées par Éric Serra, alias « RXRA », dans un registre futuriste. Cette bande originale s'est vendue à plus de 750 000 copies dans le monde et comporte une chanson interprétée par l'auteur, Little Light of Love — il existe un clip qui montre Éric Serra et son groupe en plein désert. Ce morceau a révélé une jeune chanteuse israélienne du nom de Nourith. Cette chanson est également un prélude au premier album solo d'Éric Serra.
1.Little Light of Love – 4:50 (interprété par « RXRA »)
2.Mondoshawan – 4:01
3.Timecrash – 1:49
4.Korben Dallas – 1:43
5.Koolen – 0:55
6.Akta – 1:51
7.Leeloo – 4:56
8.Five Millenia Later – 3:13
9.Plavalaguna – 1:47
10.Ruby Rap (Serra/Besson/Kamen) – 1:55
11.Heat (Serra/Cortella) – 2:54
12.Badaboom – 1:12
13.Mangalores – 1:06
14.Lucia di Lammermoor (Donizetti/Cammarano) – 3:10 (interprété par Inva Mula et le London Session Orchestra)
15.The Diva Dance – 1:31 (interprété par Inva Mula)
16.Leeloominai – 1:41
17.A Bomb in the Hotel – 2:14
18.Mina Hinoo – 0:54
19.No Cash No Trash – 1:04
20.Radiowaves – 2:32
21.Human Nature – 2:03
22.Pictures of War – 1:19
23.Lakta Ligunai – 4:14
24.Protect Life (Serra/Cortella) – 2:33
25.Little Light of Love – 3:29 (interprété par RXRA
26.Aknot! Wot? (Bonus Track) (Serra/Besson/Kamen) – 3:35
Distinctions
César du meilleur réalisateur 1998 : Luc Besson
César de la meilleure photographie 1998 : Thierry Arbogast
César du meilleur décor 1998 : Dan Weil
BAFTA des meilleurs effets spéciaux 1998 : Mark Stetson, Karen E. Goulekas, Nick Allder, Neil Corbould et Nick Dudman
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Le Clan des Siciliens est un film policier français réalisé par Henri Verneuil et sorti le 5 décembre 1969.
Roger Sartet (Alain Delon), un truand, s'évade avec la complicité d'une famille mafieuse, les Manalese, dirigée par le patriarche Vittorio (Jean Gabin). Malgré une traque menée par le commissaire Le Goff (Lino Ventura), Sartet lui échappe. Avec ses complices le truand propose un projet démentiel : voler une collection de bijoux qui doit être transférée de Rome vers New York par avion. Vittorio fait appel à son vieil ami italien installé aux États-Unis, Tony Nicosia (Amedeo Nazzari), pour l'aider dans le coup...
Fiche technique
Réalisation : Henri Verneuil
Scénario : Henri Verneuil, José Giovanni et Pierre Pelegri d'après le roman d'Auguste Le Breton.
Dialogues : José Giovanni
Assistants réalisateur : Marc Grunebaum, Bernard Stora
Directeur de la photographie : Henri Decae
Opérateur : Charles-Henri Montel, assisté de François Lauliac
Son : Jean Rieul, assisté de Vartan Karakeusian
Perchman : Marcel Corvaisier
Décors : Jacques Saulnier, assisté de G.Glon, J.J. Caziot
Montage : Pierre Gilette, assisté de Florence Aymond, Annie Vital
Musique : Ennio Morricone - orchestre sous la direction de Bruno Nicolai (Editions Fox-Europa)
Costumes : Hélène Nourry
Habilleur : Charles Mérangel
Chanson interprétée par Dalida
Coiffures : Simone Knapp
Script-girl : Lucile Costa
Maquillage : Michel Dernelle, Yvonne Gasperina
Photographe de plateau : Victor Rodrigue
Accessoiriste : René Albouze
Régisseur général : Gérard Crosnier, Francis Peltier
Régisseur extérieur : Jean-Pierre Nossereau
Electricien : René Limat
Casting : Evelyne Jay
Pellicule 35mm, couleur par Eastmancolor, procédé Panavision
Enregistrement Westrex 1135 S.N.E.C, auditorium Paris Studio Cinéma
Tirage : Laboratoire L.T.C Saint-Cloud
Générique : C.T.R
Tournage dans les studios de Saint-Maurice "Franstudio" et sur l'aéroport de Paris Orly
Production : 20th Century Fox, Les films du siècle, Europa Films
Chef de production : Henri Verneuil, Jacques Strauss
Directeur de production : Jacques Juranville, Louis Trinquet
Producteur exécutif : Jacques-Eric Strauss
Assistants production : Jean-Jacques Caziot, Georges Glon, Gérard Viard
Durée : 117 minutes
Dates de tournage: 24 mars - 5 juillet 1969
Date de sortie : 5 décembre 1969
Genre : Policier
Distribution
Jean Gabin : Vittorio Manalese
Alain Delon: Roger Sartet
Lino Ventura : Commissaire Le Goff
Irina Demick : Jeanne Manalese
Amedeo Nazzari : Tony Nicosia
Yves Lefebvre : Aldo Manalese
Danielle Volle : Monique Sartet
Marc Porel : Sergio Manalese
Philippe Baronnet : Luigi
César Chauveau : Roberto (non crédité)
Karen Blaguernon : Thérèsa
Elisa Cegani : Maria Manalese
Sydney Chaplin : Jack
Gérard Buhr : Inspecteur
Raoul Delfosse : Léoni
Edward Meeks : Le commandant de bord
Sally Nesbitt : Mme Evans
André Thorent : Bourdier
André Pousse : G. Malik
Jacques Duby : Raymond Rovel
Yves Brainville : Le juge d'instruction
Christian de Tillière : Jean-Marie Balard
Leopoldo Trieste : Turi, l'expert
Sabine Sun : Simone
Roger Lumont : M. Albert
Steve Eckhardt : L'inspecteur Wilson
Philippe Valauris : Un inspecteur
Jean Juillard : Un inspecteur
Bernard Woringer : Un inspecteur
Catherine Watteau : L'hôtesse à l'aéroport
Bernard Musson : Le gardien du fourgon cellulaire
Dominique Delpierre : L'hôtesse de l'air
Rudy Lenoir : Le gendarme chez le juge d'instruction
Michel Charrel : Un gardien de prison
Jack Léonard : Le truand aux billets d'avion
Maurice Auzel : Un diamantaire
Yvan Chiffre : Un inspecteur
Lionel Vitrant : Un inspecteur
Claude Salez : Le gardien du Boeing
Marc Arian : Un passager
Arch Taylor : Un aiguilleur à La Guardia
Jack Marbeuf : Un passager à Orly
Raymond Pierson : Un passager à Orly
Roland Malet : Un passant au drugstore
Jean-Pierre Zola : M. Wallach, diamantaire
Alice Arno : Un modèle chez Malik
Lieux de tournage
64, quai de Jemmapes à Paris : atelier et appartement des Manalese
Galerie Borghèse, à Rome (Italie)
Aéroport La Guardia, à New York (États-Unis)
Aéroport Paris-Le Bourget
près de la passerelle industrielle d'Ivry-Charenton
à l'Est d' Agay Scène de plage entre Delon et Irina Demick
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
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