Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
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Anaconda jaune
Eunectes est un genre de serpents de la famille des Boidae. Ces serpents sont appelés anacondas.
Les quatre espèces de ce genre se rencontrent dans les marécages et les fleuves des régions tropicales et subtropicales d'Amérique du Sud ainsi que dans les marécages du sud de l'île de la Trinité. Ils aiment la chaleur et l'humidité.
Ce sont des serpents semi-aquatiques constricteurs non venimeux.
Les yeux et les narines des anacondas sont positionnés sur le dessus de leur tête, leur permettant ainsi de respirer et de voir leur proie alors que leur corps volumineux demeure immergé sous la surface. L'anaconda est un serpent constricteur dotés de dents recourbées en arrière et de mâchoires puissantes qu'il utilise pour s'agripper à sa proie qu'il entraîne sous l'eau pour la noyer.
Les anacondas ont la réputation de mangeurs d'hommes auprès des habitants des zones où ils vivent. Cependant, le plus souvent, l'anaconda fuit la présence humaine. Les morts d'hommes causées par les anacondas ne sont pas prouvées. Les anacondas ont pour prédateurs les jaguars, les gros caïmans, et les autres anacondas. Un anaconda blessé peut aussi être la proie des piranhas.
Chez les anacondas, la femelle, plus grosse que le mâle, attire des partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à douze partenaires. Pour caresser sa partenaire, le mâle dispose d'un organe sexuel, vestige des membres postérieurs des lézards, ses ancêtres.
L'anaconda est ovovivipare comme tous les boas. Chaque portée peut comporter jusqu'à 50 petits qui mesurent entre soixante et quatre-vingt-dix centimètres. Aussitôt nés, les serpenteaux ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Comme pour la plupart des reptiles, peu d'entre eux atteindront l'âge adulte car leurs prédateurs sont nombreux : caïmans, piranhas, oiseaux...
Un record officiel fait état d'un anaconda qui mesurait 8,30 mètres pour un poids de plus de 235 kilogrammes, qui fut découvert au Venezuela durant les années 1960 et un autre record en 2016 où l'anaconda pesait 400 kg et mesurait 10 mètres de long et 1 mètre de diamètre.
Le grand anaconda est moins long que le python réticulé, l'une des espèces les plus longues de serpents, il est néanmoins plus lourd et plus massif. Il peut peser au-delà de 200 kg et avoir un diamètre de 38 cm. Il s'agit de l'espèce de serpent la plus lourde. Les femelles sont plus grosses que les mâles, mesurant en moyenne entre 6 et 8 m, (9 m maximum), tandis que les mâles mesurent de 4 à 6 m. On les trouve principalement au nord de l'Amérique du Sud, au Venezuela, en Colombie, au Brésil, en Équateur, au nord de la Bolivie, au nord-est du Pérou, en Guyane, au Guyana, au Suriname et à Trinidad. Ces anacondas d'aspect impressionnant étaient mal connus jusqu'en 1992, date à laquelle la première (et jusqu'à présent la seule) étude fut consacrée à cette espèce au Venezuela par le Dr. Jésus Rivas.
Il se distingue du boa par son museau couvert de boucliers plutôt que de petites écailles. Il est en général de couleur marron-olive foncé, avec deux rangées de grandes taches noires alternant sur le dessus du corps et de petites taches en forme d'œil de couleur blanche sur les côtés; le ventre est blanchâtre. Le biotope de l'anaconda est à la fois terrestre et aquatique, et son activité est principalement nocturne. Il repose immergé dans l'eau, avec seulement une petite partie de la tête au-dessus de la surface, guettant la moindre proie convenable. Il peut également s'enrouler sur les branches d'un arbre au-dessus de l'eau. Bien qu'il soit principalement aquatique, l'anaconda peut se déplacer sur terre en conservant son corps droit, suivant un parcours rectiligne. Grâce à de puissants muscles ventraux, l'animal prend appui sur les écailles dirigées vers l'arrière et en contact avec le sol, ce qui lui permet de pousser son corps en avant.
L'anaconda jaune mesure 3 m à l'âge adulte. Les serpents de cette espèce vivent plus au sud, en Bolivie, au Paraguay, en Uruguay, à l'ouest du Brésil et au nord-est de l'Argentine.
Ils se nourrissent principalement de gros rongeurs, de tapirs, capybaras, pécaris, poissons, tortues, chiens et de reptiles aquatiques comme les caïmans. Les jeunes anacondas se nourrissent de souris, rats et poissons.
L'anaconda se tapit habituellement dans des marécages ou sur les berges des rivières. Il attend en embuscade qu'une proie vienne s'abreuver. Alors, il la mord avec ses dents acérées, la saisit avec ses mâchoires puissantes et l'entraîne sous l'eau. La victime se noie alors ou est étouffée par les muscles de l'anaconda. Il serre à chaque fois un peu plus fort lorsque sa victime expire. L'anaconda peut faire une pression de 2 kg par centimètre carré. La victime étouffe rapidement. Alors, l'anaconda l'avale la tête la première. Il peut avaler une proie bien plus grande que la taille de sa bouche car sa mâchoire peut se désarticuler et est reliée de façon lâche au crâne.
L'anaconda n'utilise pas ses dents pour mâcher, ses dents sont orientées vers l'arrière de sa gueule et en se débattant, la victime ne fait qu'aggraver sa blessure. Il se sert de ses dents comme des crampons pour faire avancer la proie dans l'œsophage. Il digère ses proies grâce à de puissants sucs digestifs. Il lui faut six heures d'efforts pour arriver à avaler une proie aussi grosse qu'un capybara. L'anaconda nécessite ensuite quatre ou cinq jours pour digérer voire plusieurs semaines selon l'importance de la proie. L'anaconda devient très vulnérable durant cette période. De plus, ce serpent est capable de jeûner pendant deux ans. Il fait partie des serpents primitifs, donc ne possède pas de venin. Il utilise sa masse et sa puissance pour maîtriser sa victime. Ainsi, être mordu par un anaconda est douloureux mais n'est pas mortel en soi.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eunectes
Les Mountain de la série 241 P numéros 1 à 35 sont des locomotives à vapeur unifiées de la SNCF mises en service entre juin 1948 et juillet 1952.
La série fut construite en quatre ans, de juin 1948 à juillet 1952, par la société Schneider au Creusot (Saône-et-Loire). Elle reprenait, avec des améliorations, les dispositions de la 241 C 1 de 1930, prototype qui à son tour bénéficiait du retour d'expérience de la précédente série des 241 A de la Compagnie du chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée.
Ces locomotives étaient de type compound à quatre cylindres et quatre essieux couplés, avec les cylindres haute pression placés à l'intérieur du châssis entre le premier et le second essieu moteur entraînant le troisième essieu moteur, tandis que les cylindres basse pression situés à l'extérieur entraînaient le deuxième essieu moteur. La distribution haute pression était commandée par renvoi de mouvement des tiroirs basse pression et avance prise sur les contre-tiges des pistons haute pression.
La chaudière d'un diamètre interne de 1,80 m était dotée d'un foyer « Crampton » prolongé sur l'avant par une chambre de combustion, avec une grille débordante de 5,05 m2 de surface. La voûte du foyer était soutenue par trois « arch tubes » améliorant également la circulation d'eau. L'alimentation en charbon était assuré par un chargeur mécanique stoker de type « HT 1 », et l'alimentation en eau par un injecteur type « U1 » secondé d'un ensemble alimentaire réchauffeur d'eau type « ACFI ». La boîte à fumée mesurait 3 m de longueur et supportait un échappement type double « à trèfle » PLM.
Les 241 P furent accouplées aux tenders unifiés du type 34 P d'une capacité de 34 m3 d'eau et 12 tonnes de charbon, et dans quelques cas elles reçurent également des tenders du type 36 P, contenant 36 m3 d'eau et 9 tonnes de charbon.
La série, qui comprenait 35 unités, était destinée à la reprise des trains lourds sur les sections non électrifiées de la ligne Paris-Lyon-Marseille. Devant l'avancée des électrifications, elles essaimèrent sur les régions de l'Est, du Nord et de l'Ouest.
Les cinq dernières machines de la série, les 241 P 31, 32, 33, 34 et 35 furent à leur sortie d'usine, directement affectées à la région Nord au dépôt de La Chapelle, et ne connurent donc jamais la région Sud-Est.
Elles servirent pendant une vingtaine années et furent progressivement retirées du service dès 1965 avec la 241 P 1 radiée le 31 décembre 1965, pour s'achever avec les 241 P 9 et 16 qui furent les dernières radiées le 20 novembre 19732. Ces machines étaient surnommées les « grosses P » par opposition aux 141 P qui étaient affublées du surnom de « petites P ».
Le dernier train régulier tracté par une de ces Mountain fut assuré par la 241 P 17 le 28 septembre 1969 entre Nantes et le Mans.
Les dépôts d'affectation furent les suivants:
Région Méditerranée : Marseille-Blancarde
Région Sud-Est : Dijon-Perrigny, Lyon-Mouche, Nevers
Région Est : la Villette, Noisy-le-Sec, Chaumont
Région Nord : La Chapelle
Région Ouest : Le Mans
Sur la région Sud-Est les premières 241 P furent livrées au dépôt de Dijon-Perrigny en mai et juin 1948, pour assurer la traction des trains sur la ligne de Paris à Lyon qui n'était pas encore électrifiée. Puis au fur et à mesure de la progression l'électrification de la « ligne impériale », les Mountain furent mutées aux dépôts de Lyon Mouche puis Marseille-Blancarde sur la région Méditerranée. La 241 P 5 du dépôt de Marseille-Blancarde sera la dernière à quitter la région Méditerranée le 28 juillet 1962 au terme de l'électrification de la « ligne impériale ». Elle poursuivirent leur carrière sur la région Sud-Est au dépôt de Nevers à partir de 1958, sur les relations de Vierzon à Clermont-Ferrand et Moret - Veneux-les-Sablons à Clermont-Ferrand, jusqu'en septembre 1969.
Au Nord, le dépôt de La Chapelle reçu neuf 241 P entre 1951 et 1953 pour les trains de la ligne Paris-Lille. Les locomotives quittèrent le dépôt du 18e arrondissement de Paris en janvier 1959, à la suite de la mise sous tension de la dernière section de ligne entre Longueau et Paris-Nord.
Le dépôt de la Villette fut le premier de la région Est à recevoir des 241 P à la fin de l'année 1958 pour la traction des trains sur la ligne 1 entre Paris et Bar-le-Duc ; mais les travaux de reconversion de ce dépôt à la traction électrique auront pour conséquence le transfert de ses 241 P au dépôt de Noisy-le-Sec en mai 1961 pour une période de seize mois. Après la mise sous tension de l'intégralité de la ligne de Paris à Strasbourg en mai 1962, les 241 P furent regroupées au dépôt de Chaumont sur la ligne 4 où elles circuleront en direction de Mulhouse jusqu'à leur dernier roulement effectué en mai 1968.
À la région Ouest, le dépôt du Mans reçoit ses premières 241 P au mois de janvier 1959 en provenance de la région Nord. Les vingt 241 P que comptera le dépôt manceau remorqueront des rapides sur des distances importantes comme le Mans - Brest 411 km, et le Mans - Nantes - Quimper 440 km. Les 241 P achèveront leur carrière sur le Mans - Nantes où elles effectuèrent leurs ultimes circulations en septembre 1969.
Caractéristiques
Surface de grille: 5,052 m2
Surface de chauffe: 244,57 m2
Surface de surchauffe: 108,38 m2
Nombre d'éléments: ?
Nombre de cylindres: 2 HP et 2 BP
Diamètre cylindres HP: 446 mm
Course pistons HP: 650 mm
Diamètre cylindres BP: 674 mm
Course pistons BP: 700 mm
Pression de la chaudière: 20 kg/cm2
Diamètre des roues motrices: 2 020 mm
Diamètre des roues du boggie: 1 000 mm
Diamètre des roues du bissel: 1 350 mm
Masse à vide: 120,15 tonnes
Masse en ordre de marche: 131,4 tonnes
Masse adhérente: 81,6 tonnes
Longueur hors tout de la locomotive seule: 17,172 m
Puissance maximum indiquée: 2 944 kW
Puissance maximum à la jante: ? kW
Puissance maximum au crochet du tender: 2 210 kW
Effort de traction maximum: 199 KN
Vitesse maxi en service: 120 km/h
À titre indicatif, la consommation en exploitation était d'environ 100 litres d'eau et 25 kg de charbon au kilomètre.
Tender:
Tare du tender: 36,7 tonnes
Capacité en eau: 34 m3
Capacité en charbon: 12 tonnes
Masse du tender en ordre de marche: 82,7 tonnes
Masse totale locomotive + tender: 214,1 tonnes
Longueur du tender: 9,955 m
Longueur totale locomotive + tender: 27,117 m
Machines préservées
4 exemplaires ont été préservés :
la 241 P 9, conservée depuis 2008 à Toulouse, par l'AAATV Midi-Pyrénées qui réalise les travaux de remise en état de marche.
la 241 P 16, conservée en état de présentation au musée français du chemin de fer à Mulhouse.
la 241 P 17, conservée au Creusot et remise en marche en 2005 après 12 ans de travaux par l'association CFC. Classé MH (1990).
la 241 P 30, conservée en état de présentation jusqu'en 2019 par l'association du Vapeur Val-de-Travers - VVT à Saint-Sulpice (canton de Neuchâtel, Suisse). Rachetée par l'AJECTA, la machine est désormais préservée à Longueville depuis le mois de juin 2019.
Modélisme
Les 241 P ont été reproduites à l'échelle HO par :
la firme Jouef (de 1971 à 2002) puis Jouef/Hornby en 2016
la Maison des trains
l'artisan Loco-Diffusion, sous forme de kit à monter en laiton
la firme suisse Fulgurex (modèle haut de gamme en laiton)
la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)
À l'échelle N par :
la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)
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Le silure est un poisson sans écaille avec une peau vert-brun très glissante car recouverte de mucus. Son ventre est assez clair, de couleur jaune ou blanc et il existe également des spécimens albinos de couleur jaune, jaune-orangé. La tête du silure est massive et plate avec une grosse bouche dotée de lignes de dents très petites et nombreuses orientées vers l’arrière de sa gueule. Il possède six barbillons : deux longs sur la mâchoire supérieure et quatre courts sur la partie inférieure de sa tête. On compte quatre nageoires : une anale, une dorsale munie d’un aiguillon et des pelviennes de chaque côté également munies d’un dard.
Les silures mesurent environ 1,5 m de long en moyenne et les poissons de plus de 2 m sont de plus en plus communs, pour un poids allant de 50 kg à 150 kg. Les plus gros silures atteignent des tailles allant de 2,65 à 2,75 m, le record dans les eaux françaises étant de 2,74 m
Le silure est un poisson omnivore solitaire, lucifuge (qui évite la lumière), vivant d'ordinaire dans les zones les plus profondes de son habitat. Ce comportement peut cependant évoluer exceptionnellement, comme mis en évidence par une étude sur des silures du Tarn chassant en pleine journée des pigeons venus s'abreuver sur les rives de la rivière en se projetant hors de l'eau. Ils sont également très nombreux dans la Seine, à Paris en particulier.
Ils vivent en moyenne vingt ans. La période des amours se situe de mai à juillet dans des eaux à 20 °C ; la femelle peut pondre jusqu'à 500 œufs. Après avoir fécondé la femelle, le mâle reste deux jours avec elle et lui donne des coups de tête dans le ventre pour tenter de tuer les oeufs et ainsi l'inciter à reprendre leurs ébats
Parce que s'alimentant volontiers au niveau du sédiment et étant susceptible de vivre longtemps, dans une eau polluée, le silure fait partie des poissons reconnus bioaccumulateurs. En raison de sa propension à bioconcentrer les métaux lourds, certains métalloïdes ou des polluants peu biodégradables tels que les PCB, furanes ou dioxines, le silure peut dans certains milieux aquatiques pollués être durablement ou provisoirement interdit de pêche, de détention et de toute commercialisation en France
Espèces
Silurus aristotelis Garman, 1890
Silurus biwaensis (Tomoda, 1961)
Silurus chantrei Sauvage, 1882
Silurus duanensis Hu, Lan and Zhang, 2004
Silurus gilberti Hora, 1938
Silurus glanis Linnaeus, 1758 — Silure glane
Silurus grahami Regan, 1907
Silurus lanzhouensis Chen, 1977
Silurus lithophilus (Tomoda, 1961)
Silurus mento Regan, 1904
Silurus meridionalis Chen, 1977
Silurus microdorsalis (Mori, 1936)
Silurus morehensis Arunkumar and Tombi Singh, 1997
Silurus palavanensis (Herre, 1924)
Silurus soldatovi Nikolskii and Soin, 1948
Silurus triostegus Heckel, 1843