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Monde : Belgique

Organisation mondiale des douanes

Publié à 06:07 par dessinsagogo55 Tags : prix sur bonne base center monde place travail société création centre cadre centerblog
Organisation mondiale des douanes

 

 

L'Organisation mondiale des douanes (OMD) est une organisation intergouvernementale, qui a son siège à Bruxelles en Belgique. Ses membres étant répartis dans le monde entier, l'OMD est considérée comme le porte-parole de la communauté douanière internationale. L'OMD est réputée pour élaborer des conventions internationales, instruments et outils, notamment sur les sujets suivants : classement des marchandises, évaluation en douane, règles d'origine, perception des recettes douanières, sécurité de la chaîne logistique, facilitation des échanges internationaux, lutte contre la fraude, lutte contre la contrefaçon en veillant au respect des droits de propriété intellectuelle (DPI), promotion de l'éthique et renforcement durable des capacités pour l'application de réformes et de modernisations douanières. L'OMD gère en outre la nomenclature internationale des marchandises appelée Système harmonisé (SH) et les aspects techniques des accords de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur l'évaluation en douane et les règles d'origine.


Historique


En 1947, treize pays européens créent un Groupe d'étude chargé d'examiner les questions douanières soulevées dans l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT)1. Ces travaux aboutissent à l'adoption en 1950 de la Convention portant création d'un Conseil de coopération douanière (CCD), signée à Bruxelles. Le 26 janvier 19534, le CCD tient sa session inaugurale en présence de ses 17 membres fondateurs. Puis le nombre de membres s'accroît, couvrant désormais toutes les régions du monde. En 1994, le CCD adopte sa dénomination actuelle d'Organisation mondiale des douanes. Aujourd'hui, l'ensemble des membres de l'OMD assurent à eux seuls les contrôles douaniers sur plus de 98 % du commerce international.

Principes et objectifs


L'OMD bénéficie d'une reconnaissance internationale en tant que centre mondial des compétences douanières. Elle joue un rôle clé dans les débats d'aujourd'hui, pour le développement, la promotion et la mise en œuvre des procédures et des systèmes douaniers modernes. Elle est à l'écoute des besoins de ses membres et de son environnement stratégique. Ses instruments ainsi que les meilleures pratiques qu'elle a adoptées sont considérés comme fondamentaux pour une bonne gestion des administrations douanières dans le monde entier. L'OMD a pour mission principale d'améliorer l'efficacité des administrations membres et donc de les aider à réaliser leurs objectifs nationaux dans les meilleures conditions, à savoir : la perception des droits, la sécurité nationale, la facilitation des échanges, la protection de la société et le recueil de statistiques commerciales.

 

Instruments


Pour réaliser ces objectifs, l'OMD a adopté un certain nombre d'instruments, entre autres :

1) La Convention internationale sur le système harmonisé de désignation et de codification des marchandises (Convention du SH) a été adoptée en 1983 et elle est entrée en vigueur en 1988. Le Système harmonisé (SH) est une nomenclature polyvalente de marchandises, utilisée comme base pour déterminer les tarifs douaniers et pour établir des statistiques commerciales internationales. Le SH comprend 5 000 groupes de marchandises identifiées chacune par un code à six chiffres et classées suivant une structure légale et logique. Ce système repose sur des règles bien déterminées, qui permettent d'obtenir un classement uniforme. Le SH est également utilisé à beaucoup d'autres fins : élaboration des politiques commerciales, règles d'origine, suivi des marchandises contrôlées, taxes internes, tarifs de transport, contrôles des contingentements, suivi des prix, recueil de données comptables nationales, recherche et analyse économique.

 

2) La Convention internationale sur la simplification et l'harmonisation des régimes douaniers (Convention de Kyoto révisée) a été adoptée en 1974, puis révisée en 1999. La Convention de Kyoto révisée est entrée en vigueur en 2006 et repose sur plusieurs principes clés : transparence et prévisibilité des contrôles douaniers ; normalisation et simplification des déclarations de marchandises et des pièces justificatives correspondantes ; procédures simplifiées pour les personnes autorisées ; utilisation maximale des technologies de l'information ; contrôles douaniers minimums nécessaires pour assurer la conformité aux règlements ; application de contrôles basés sur la gestion des risques et les audits ; coordination des interventions avec d'autres services de contrôle aux frontières ; partenariat avec les entreprises. La Convention de Kyoto révisée encourage la facilitation des échanges et la mise en place de contrôles efficaces, au travers de ses dispositions juridiques qui expliquent en détail comment appliquer des procédures simples mais efficaces. La Convention révisée comprend également de nouvelles règles de mise en œuvre obligatoires. La Convention de Kyoto révisée de l'OMD est souvent confondue avec le protocole de Kyoto, qui fait partie de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC ou CCCC).

 

3) Convention ATA et Convention relative à l'admission temporaire (Convention d'Istanbul). Ces deux conventions sont des instruments de l'OMD qui régissent l'admission temporaire de marchandises. Le système ATA, qui fait partie intégrante des deux conventions, permet la libre circulation des marchandises à travers les frontières et leur admission temporaire dans le territoire douanier, en franchise de droits et de taxes. Les marchandises sont déclarées sur un document unique appelé carnet ATA, sécurisé par un système de garantie international.

 

4) La Déclaration d'Arusha concernant l'éthique douanière a été adoptée en 1993 et révisée en 2003. Il s'agit d'un document non obligatoire énonçant un certain nombre de principes de base destinés à promouvoir l'éthique et à lutter contre la corruption au sein des administrations douanières.

 

5) Le Cadre de normes SAFE visant à sécuriser et à faciliter le commerce mondial a été adopté juin 2005. Le Cadre SAFE est un instrument non obligatoire qui contient des normes sur la sécurité de la chaîne logistique et sur la facilitation des échanges, applicables au commerce international de marchandises. Le Cadre SAFE permet une gestion intégrée de la chaîne logistique pour tous les modes de transport, renforce les liens entre les administrations douanières afin d'améliorer leur capacité à déceler les envois à haut risque, favorise la coopération entre les douanes et les entreprises grâce au concept d'Opérateur Économique Agréé (OEA) et encourage la circulation ininterrompue des marchandises le long de chaînes logistiques internationales sécurisées.

 

Administration


Le secrétariat de l'OMD est dirigé par le secrétaire général, élu pour cinq ans par les membres de l'OMD. Le secrétaire général actuel, Kunio Mikuriya (en) (Japon), a pris ses fonctions le 1er janvier 2009. M. Mikuriya s'est fixé comme priorités l'amélioration de la communication, le renforcement des capacités et la recherche. L'OMD est dirigée par le Conseil, qui réunit tous les membres de l'Organisation une fois pas an, dans une session présidée par un président élu. Les orientations stratégiques et liées à la gestion de l'OMD sont également définies par la commission de politique générale et le comité financier. Les instruments et les meilleures pratiques sur le plan des compétences douanières sont également élaborées dans le cadre de plusieurs autres comités comme le Comité du système harmonisé, le Comité technique permanent, le Comité technique sur l'évaluation en douane, le Comité technique sur les règles d'origine, le Comité du renforcement des capacités et le Groupe de travail SAFE.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_mondiale_des_douanes

 

 

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Lara Fabian

Publié à 00:56 par dessinsagogo55 Tags : belgique image centerblog platine prix sur merci france belle musique film
Lara Fabian

 

Lara Fabian, de son vrai nom Lara Crokaert, née le 9 janvier 1970 à Etterbeek, est une chanteuse également auteure-compositrice belgo-canadienne.

 

Chantant en plusieurs langues (français, anglais, allemand, italien, portugais, espagnol, grec, russe, hébreu et turc), elle a sorti une quinzaine d'albums studio et s'est fait connaître au niveau international.

 

Après avoir été coach au sein de l'émission québécoise La Voix en 2018 et 2019, elle le devient en 2020 pour la version française de l'émission, The Voice : La Plus Belle Voix.

 

Lara Fabian est l’enfant unique de Pierre Crokaert, un Belge, et de Maria Luisa Serio, une Belge d'origine sicilienne. Le prénom Lara vient du personnage principal féminin du Docteur Jivago : c’est un prénom qui se prononce de la même façon dans toutes les langues et avec tous les accents, à l’inverse de Laura qui était le prénom que sa mère voulait initialement lui donner (Laura se prononce /ˈlau̯.ra/ en italien, mais /lo.ʁa/ en français).

 

Son nom de scène est inspiré par un oncle appelé Fabiano.

 

Née en Belgique, elle passe ses cinq premières années à Catane, au pied de l'Etna, puis revient dans la périphérie de Bruxelles, à Ruisbroek. C’est également à l’âge de cinq ans qu’elle commence à s’intéresser à la musique et à la chanson en écoutant Ève Brenner à la radio. Ses parents décident alors de l’inscrire à des cours de chant et, plus tard, de solfège, de piano et de théâtre. Elle commence son éducation musicale au Conservatoire royal de Bruxelles en 1978. Elle y étudie le chant lyrique pendant dix ans, tout en commençant à écrire des chansons. À cette époque, ses artistes fétiches sont Barbra Streisand et Queen. Auparavant, elle s'est présentée à l'âge de huit ans aux tests d’entrée au conservatoire de danse mais le verdict « elle a les pieds plats et de grosses cuisses » brise son rêve d'enfance d'être ballerine, ce qui engendrera ses difficultés à accepter l'image de son corps. Elle commence à chanter dans les clubs et piano-bars de Bruxelles et de la région dès l'âge de 14 ans, accompagnée à la guitare par son père qui fut guitariste et choriste pour Petula Clark avant de se reconvertir technicien chauffagiste.

 

En 1986, elle rencontre Marc Lerchs, étudiant en journalisme, qui paie ses études en faisant du piano-bar à Bruxelles. Il lui compose huit chansons. Elle gagne différents concours amateurs, dont le Tremplin de la musique du Festival de Wallonie où elle remporte trois prix, et demande à Lerchs deux titres pour son premier 45 tours intitulé L’Aziza est en pleurs. Profitant des entrées de Lerchs à la RTBF, elle enregistre quelques maquettes, essentiellement des compositions de Lerchs qu’elle cosigne parfois. Grâce à Yvan Léonard (qui mixa ces titres), le 45 tours arrive dans les mains de l'animateur de RTL Luxembourg Claude Rappé qui le donne au producteur Hubert Terheggen. Ce dernier lui rend alors visite au piano bar le Black Bottom à Bruxelles. Séduit, il décide de la sélectionner pour représenter le Luxembourg au 33e Concours Eurovision de la chanson se tenant à Dublin le 30 avril 1988. Elle y chante Croire, une chanson écrite par Alain Garcia et composée par Jacques Cardona. Au terme du décompte des points, elle se classe 4e sur 21 participants.

 

Elle entreprend ensuite des études de droit et de criminologie infantile en Italie, qu'elle arrête au bout d’un an. Elle rencontre Rick Allison au Crescendo, piano-bar de Bruxelles en mai 1990. Cette rencontre musicale et sentimentale se révèle déterminante pour la suite de sa carrière, puisqu'ils décident de tenter leur chance au Québec.

 

 

C’est en août 1991 que son premier opus Lara Fabian sort au Canada. Le disque se vend à 100 000 exemplaires, porté par les titres Le jour où tu partiras et Qui pense à l’amour. Il est certifié or, puis platine l’année suivante. Nommée aux Félix, elle multiplie les concerts à travers le Canada pendant deux ans. Rétrospectivement, elle estime que, plus encore que le Concours Eurovision qui a lancé sa carrière, c’est son départ pour le Québec à 20 ans qui a été le tournant le plus important de sa carrière.

 

En 1994, sort son deuxième album, Carpe Diem, qui est un succès immédiat au Canada : en deux semaines, l’album devient disque d’or grâce aux singles Tu t’en vasSi tu m’aimes et Leila. L’année suivante, l’album est certifié triple platine. Elle entame alors sa première tournée, Sentiments acoustiques, à guichets fermés. En janvier 1995, Serge Lama l’invite à chanter avec lui Je suis malade à Paris, au Palais des Congrès. 1995 est l’année des récompenses au Québec : elle reçoit le Félix de l’Interprète québécoise de l’année et du Meilleur spectacle. Elle est également nommée en 1996 et 1997 pour la cérémonie des Juno, l’équivalent anglophone des Félix.

 

En 1996, les studios Walt Disney lui demandent de prêter sa voix à Esméralda dans le dessin animé Le Bossu de Notre-Dame. Cette version figure également sur le disque américain de la bande originale. Cette même année, elle compose une chanson pour le film Daylight avec Sylvester Stallone. C'est également en 1996 qu'elle obtient la nationalité canadienne.

 

C’est à cette période que sort son troisième album, Pure, certifié disque de platine au Québec. En 1997, elle remporte le Félix de l’Album de l’année. Un duo avec le chanteur américain Richard Marx, Surrender to me paraît sur le cinquième album du chanteur.

 

En juin 1997, l’album Pure sort dans les pays francophones européens. Disque d’or en Belgique et disque de diamant en FrancePure se vend à plus de 2 millions d’exemplaires, grâce au succès des titres ToutJe t’aimeHumanaSi tu m’aimes et La différence. La même année, elle signe un contrat avec Sony pour enregistrer des albums en anglais.

 

L’année 1998 commence par une grande tournée en France et en Belgique. Elle reçoit une Victoire de la Musique pour la Révélation de l’année et, en septembre, rejoint Johnny Hallyday au Stade de France pour y chanter Requiem pour un fou avec lui. Elle obtient alors son effigie en cire au Musée Grévin. Au début de 1999, sort son premier album live, Live 98, qui se classe immédiatement no 1 en France et en Belgique. Elle reçoit un prix au World Music Awards pour être la chanteuse à avoir vendu le plus de disques cette année-là dans le Benelux.En juillet 1999, Polydor décide de sortir les albums québécois de Lara Fabian en Europe.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lara_Fabian

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Minerva

Publié à 14:20 par dessinsagogo55 Tags : histoire cheval course sur france center femme société
Minerva

Landaulette, berline 1925

 

Minerva est une marque belge de bicyclettes, motocyclettes et automobiles créée en 1897 par Sylvain de Jong. La marque, très réputée jusqu'au milieu des années 1930, s'était progressivement spécialisée dans la production de voitures de luxe.

L'emblème de la marque est une tête de femme casquée, représentant la déesse romaine Minerve.

 

Le fondateur, Salomon, dit Sylvain, de Jong (1868-1928), né à Amsterdam (Pays-Bas) s'installe à Anvers (Belgique) où, en 1889, il ouvre un commerce de bicyclettes anglaises. En 1895, avec ses deux frères Henri et Jacques et deux commerçants anversois, il commence à fabriquer des bicyclettes sous le nom Mercury Cycle Co. Puis en 1897, De Jong crée sa propre entreprise, S. de Jong & Co, et change le nom de la marque en Minerva, d'après Minerve, la déesse romaine de la Sagesse. La firme est située Karel Oomsstraat à Anvers et ne tarde pas à produire 200 vélos par semaine

Elle se lance ensuite dans la fabrication de moteurs de motocyclettes dont le succès en fera le plus grand fournisseur d'Europe. En 1902, De Jong prend la licence de fabrication d'une motocyclette complète signée des Suisses Hermann Lüthi et Ernest Zürcher et connue sous la marque Zedel (Z.L. au début, initiales des noms des fabricants).

 

En 1902, la société De Jong & Co ajoute à sa production un modèle de voitures 6HP avec un moteur 4 cylindres de 6 ch. En 1903, il dissout sa société initiale et fonde à Londres la société anonyme Minerva Motors limited. Après la construction d'une nouvelle usine à Anvers, la production de voitures démarre réellement en 1904 avec des modèles équipés de moteurs de deux, trois et quatre cylindres avec un entraînement par chaîne latérale et un châssis en bois renforcé, ainsi qu'un modèle de cyclecar : la « Minervette ». En 1907, des Minerva occupent les trois premières places de la course belge du Circuit des Ardennes, dans sa formule Kaiserpreis, le baron John Moore-Brabazon remportant l'épreuve.

 

Un certain Charles Rolls, directeur commercial de Minerva en Angleterre pour le compte de David Citroën vend d'abord des motos, puis la luxueuse « 2,9 litres 14ch ». Le marché le plus important pour le fabricant restera l'Angleterre – où la petite « Minervette » à monocylindre de 636 cm3 était la voiture la moins chère sur le marché –, suivie des Pays-Bas et de la France.

 

En 1908, Minerva obtient la licence d'exclusivité mondiale pour les moteurs Knight (en). Le moteur Knight à doubles chemises-tiroirs développé aux États-Unis par Charles Yale Knight (de) était particulièrement silencieux ; toutes les futures Minerva utiliseront ces moteurs à partir de cette date.

 

Au nombre des clients de Minerva, on compte des rois, comme les rois des Belges, de Suède ou de Norvège, ainsi que des célébrités comme Henry Ford ou encore l'artiste belge Anna Boch.

 

Pendant la Première Guerre mondiale, Sylvain de Jong et ses ingénieurs partent s'installer à Amsterdam aux Pays-Bas, où ils maintiennent le développement de leurs voitures. Certaines d'entre elles sont utilisées par l'armée belge pour lancer des attaques contre l'armée allemande, au début avec des fusils et des mitrailleuses légères surmontant simplement les véhicules. Jusqu'à la fin de la guerre, ces véhicules deviendront en plus en plus sophistiqués, et des autos-canons belges participeront aux combats en Russie.

 

En 1920, De Jong revient en Belgique pour relancer la production de voitures de luxe avec les modèles « 20CV 3,6 litres » à 4 cylindres et « 30 CV 5,3 litres » à six cylindres. Le succès du fabricant augmente non seulement en Europe, mais également aux États-Unis où des stars de cinéma, des hommes politiques et des industriels apprécient ces voitures. La Minerva possédait les mêmes qualités que la Rolls-Royce, tout en étant légèrement moins chère.

En 1923, de plus petits modèles sont introduits : la quatre cylindres « 2 litres 15CV » et la six cylindres « 3,4 litres 20CV » équipées en standard de freins aux quatre roues. En 1927, la 30CV est remplacée par la « 6 litres AK » et un nouveau modèle motorisé par un 2 litres 6 cylindres, la « 12-14 », est produit.

Les voitures de luxe continuent d'être une spécialité de Minerva. En 1930, plusieurs modèles imposants font leur apparition, l'« AL » de 6,6 litres et l'« AP » de 4 litres. À cause de la crise, le dernier modèle Minerva, la « M4 » de 2 litres de 1934, se vendra mal et, cette année-même, la firme sera déclarée en faillite.

 

Après le rachat de l'actif de la Minerva Motors par Mathieu van Roggen en 1939 est fondée la Société Nouvelle Minerva, dont le siège social est situé à Sprimont, puis par la suite à Mortsel, dans la banlieue anversoise. Quelques utilitaires continuent à être fabriqués sous le nom Minerva dans les usines d'Impéria, également propriété de Van Roggen. La nouvelle société abandonne la production des moteurs sans soupapes système Knight qui avaient fait la réputation des Minerva.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, l'usine de Mortsel est réquisitionnée et chargée de la réparation de moteurs d'avion. Cela lui vaut d'être bombardée à plusieurs reprises.

 

En 1952, la société construit, sous licence Land Rover, des véhicules de type 4×4 pour le compte de l'armée belge. Quelques véhicules du même type sont livrés à des clients civils. La firme fabrique également sous licence des voitures Armstrong Siddeley et des scooters Agusta. À partir de 1956, elle tente de produire un 4×4 totalement innovant, mais il ne dépassera pas le stade du prototype.

 

Le projet initial était de créer une « General Motors » en Belgique, au départ d'Impéria, et de relancer Minerva, deux marques belges parmi les plus célèbres. Malheureusement, Van Roggen n'aura jamais les moyens – financiers notamment – de ses ambitions.

 

La firme est une nouvelle fois, et cette fois définitivement, déclarée en faillite en 1958.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Minerva_(automobile)

 

 

 

 

 

Mort de J.J. Lionel

Publié à 23:58 par dessinsagogo55 Tags : tube centerblog prix sur france monde coup musique mort air nuit pouvoir livre merci
Mort de J.J. Lionel

 

 

Mort de J.J. Lionel, le facétieux interprète de La Danse des canards

 

Le bassiste belge Jean-Jacques Lionel est décédé dans la nuit du 13 au 14 juillet à l'âge de 72 ans. Sa rengaine planétaire fait la joie des bals populaires et des soirées branchées depuis 1981.

Par Figaro
Publié il y a 7 heures
 



Comme un signe du destin, il est mort le jour de notre fête nationale. J.J. Lionel, le créateur de La Danse des canards, chanson reine des bals des pompiers et de tous les bals populaires de France et de Navarre, est décédé dans la nuit du 13 au 14 juillet, emporté par une tumeur au cerveau à l'âge de 72 ans.

 

En 1981 sa chanson fétiche, inspiré de Vogeltdans, un air helvète, écrite par Hector Delfosse, Georges Delfosse et Éric Genty, fera le tour du monde et vendre quelque 3,5 millions de disques. Ce chiffre pharamineux lui permettra de figurer dans le Livre des records deux ans plus tard.

 
 

Jean-Jacques Lionel est né le 9 août 1947 à Binche en Belgique. Inspiré par une mère pianiste, il se passionne dès sa plus tendre enfance pour la musique. Comme Obélix, il reconnaîtra plus tard «qu'il était tombé dans la marmite». Diplômé du premier prix de contrebasse du conservatoire de la ville de Mons, ses qualités d'instrumentiste lui permettent très tôt de devenir professionnel.

 

Remuer son popotin en faisant coin-coin

 

Il crée en 1967 un groupe The Raylisters, qui joue en boucle les titres de Fats Domino, l'idole de leur chanteur Marc Wasterlain. C'est avec ses premiers complices qu'il s'essaie à ce qui deviendra son instrument de prédilection, la guitare basse.

 

Puis de 1971 à 1973, il revient à ses premières amours, le rock, avec le groupe Wallace Collection. Ensemble, il crée un tube mondial, Daydream. En 1981, son destin bascule lorsque dans un bal on lui demande de jouer Volgeltchesdans, un air austro-suisse purement instrumental. Tout à coup, les corps se trémoussent, l'ambiance devient électrique. Trois semaines après, une version chantée en français, sort sur les ondes. Emporté par des mots sans prétention et un air entraînant, le monde entier allait pouvoir enfin remuer voluptueusement son popotin en faisant coin-coin.

 

Par un curieux paradoxe ce gai refrain, qui comme par magie quarante ans après sortie allume toujours les soirées branchées et les fêtes de village les plus endormies, n'a pas rendu riche son créateur. J.J. Julien, malheureusement, n'en avait été que le meilleur des interprètes...

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Manneken-Pis

Publié à 16:18 par dessinsagogo55 Tags : sur center homme place maison humour

Naissances et taux de natalité en Belgique

Publié à 18:10 par dessinsagogo55 Tags : image sur vie monde homme chez enfants article femme femmes center
Naissances et taux de natalité en Belgique

Natalité : la Belgique est en plein "baby-bug"

 
 
 
A.F.
 Publié le mercredi 04 mars 2020 à 15h51

Vous ne connaissez pas le mot "baby-bug" et c’est bien normal. Ce néologisme est tout droit sorti du dernier rapport du bureau du plan sur les perspectives démographiques 2019-2070 en Belgique. Pas besoin d’être un grand linguiste pour comprendre que, du côté des naissances, ce n’est pas vraiment la fête chez nous.

 

Parmi les causes, la crise de 2008

 

Depuis 10 ans, le taux de fécondité ne cesse de diminuer. En 2008, une femme avait en moyenne 1,8 enfant. Aujourd’hui, une femme n’a "plus" que 1,6 enfant en moyenne. Pour cette baisse de la fécondité, les experts pointent la crise financière 2008. La chute a en effet commencé juste après celle-ci. Ainsi, l’insécurité en matière d’emploi, la difficulté d’accès à la propriété, les loyers élevés contribuaient à retarder les projets d’enfants de certains (jusqu’à ce que la situation financière et matérielle de la personne soit meilleure). Cette baisse de fécondité se concentre surtout chez les femmes de moins de 30 ans, sans enfant.

 

Les experts perplexes

 

En toute logique, la fécondité aurait dû repartir à la hausse avec la fin de la crise et la reprise économique. Et pourtant, ce n’a pas été le cas en Belgique. De quoi laisser les experts plutôt perplexes. Aujourd’hui, par manque de recul, ils ne parviennent pas vraiment à expliquer ce phénomène. Est-ce lié aux questions climatiques qui pousseraient les gens à faire moins d’enfants ? Est-ce dû à l’hyperconnectivité qui rend plus visible les difficultés du monde et... qui pousse les gens à faire moins d'enfants? Ces questions restent ouvertes. Mais une chose est sûre, la natalité n’a toujours pas grimpé.

 

Amélioration possible à venir

 

Cela dit, tout n’est pas perdu. Dans les prochaines années, les spécialistes s’attendent tout de même à une légère hausse des naissances. Il s’agit en fait d’un effet de rattrapage. Si depuis plusieurs années les jeunes femmes retardent le moment où elles donneront naissance (à cause de la crise, mais aussi parce qu’elles étudient plus qu’avant ou travaillent plus qu’avant), ce moment devrait bien arriver un jour, ce qui pourrait selon les projections porter le taux de fécondité à 1,7 enfant par femme dès 2030.

Au-delà de ce rattrapage, les démographes pointent aussi un effet possible de l’amélioration de l’égalité homme femme, qui, grâce à un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle, pourrait soutenir la natalité. C’est le cas aussi de l’évolution des techniques d’aide à la procréation.

Mais les experts restent prudents. Comme ils n’arrivent pas tout à fait à expliquer pourquoi la natalité n’a pas repris après la crise, ils ne s’avancent pas trop non plus sur une hausse future de la fécondité. C’est plutôt logique.

 

De plus en plus de personnes âgées

 

S’il y a moins de bébés, il y a par contre de plus en plus de personnes âgées en Belgique et l’augmentation des 67 ans et plus va se poursuivre à l’avenir. Aujourd’hui, 17% de la population a l’âge de la retraite, cela représente près d’une personne sur six. Dans 50 ans, en 2070, on sera à une personne sur quatre qui a au moins 67 printemps. La part d’actifs par rapport aux retraités diminuant, cela aura un impact certain en matière de finances (pour payer les pensions), de mobilité, logement, santé ou encore d’environnement. La natalité étant ce qu’elle est, elle ne permet pas d’équilibrer les choses. C’est finalement grâce à l’immigration que la Belgique voit son solde démographique rester positif. Chaque année, la Belgique voit arriver 20.000 nouveaux habitants, parmi lesquels bien sûr des jeunes et des actifs.

Si la tendance se poursuit, entre naissances, décès et immigration, en 2070, il y aura 12.719.189 habitants en Belgique, c’est près de 1, 2 million de plus qu’aujourd’hui.

 

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_natalite-la-belgique-est-en-plein-baby-bug?id=10447553

 

 

Château de la Fraineuse

Publié à 22:47 par dessinsagogo55 Tags : centre center
Château de la Fraineuse

Le Château de la Fraineuse est un château situé près de Spa en Belgique.

Il a été construit par l'architecte Charles Étienne Soubre (1846-1915) dans un style néoclassique.

Il a servi de dernière résidence à l'empereur Guillaume II durant la première Guerre mondiale avant son abdication et son exil en Hollande. C'est dans ce château qu'a eu lieu en 1920 la Conférence de Spa, conférence diplomatique traitant des réparations de guerre dues par les Allemands.

Le site héberge depuis 1967 un centre sportif.

Les façades et les toitures ont été classées monument historique en 1992

 

 

 

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_la_Fraineuse

 

 

On a marché sur la Lune

Publié à 01:46 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur merci place voyage homme bleu
On a marché sur la Lune

 

 

On a marché sur la Lune est le dix-septième album de bande dessinée des Aventures de Tintin. Sa prépublication dans les pages du journal Tintin se confond avec celle de l’album précédent, Objectif Lune, mais l'aventure est présentée uniquement sous le titre On a marché sur la Lune. 24 planches sont prépubliées du 30 mars 1950 au 7 septembre 1950 puis 93 autres du 9 avril 1952 au 30 décembre 1953. L’album paraît en 1954.

Le récit se poursuit au point où l’avait laissé Objectif Lune. Après quelques minutes de peur au lancement, les passagers de la fusée reprennent connaissance et tout semble bien se passer : la fusée se dirige vers la Lune. Cependant, il y a une surprise de taille : les Dupondt, qui ont pris place à bord pour des raisons de sécurité, se sont trompés d’heure. Cette situation force Tournesol à réduire la durée du voyage afin de ne pas manquer d’oxygène…

Le voyage se déroule sans incident ou presque et la fusée se pose sans encombre sur la Lune. Les appareils sont installés et Tournesol s’adonne à ses recherches. Durant l’une des expéditions, Tintin reste à bord. À ce moment, Jorgen (alias le colonel Boris) embarqué clandestinement, sort de sa cachette et se prépare à décoller avec la fusée. Tintin réussit à l’arrêter à la dernière minute. Frank Wolff, l'assistant de Tournesol qui était son complice est également démasqué et avoue qu'il est le traître qui avait transmis les indications de radioguidage de la fusée d'essai et avait permis à Jorgen de s'embarquer clandestinement dans la fusée. Avec, à nouveau, un passager supplémentaire, la fusée décolle vers la Terre, les réserves d'oxygène étant loin d’être suffisantes. Jorgen est tué dans une altercation et Wolff, pris de remords pour sa complicité avec Jorgen, se sacrifie dans l’espoir de sauver le reste de l’équipage en sortant de la fusée pour se perdre dans l'espace. Finalement, la fusée arrive à bon port, alors que les premiers hommes sur la lune n'ont presque plus de dioxygène et sont retrouvés inanimés par une équipe de secours, qui parvient à les ranimer.

 

Fiche technique

Scénario : Hergé

Dessins : Hergé

Éditeur : Casterman

Lieux : Syldavie, Lune

Époque : 1954

Comme souvent dans les albums d’Hergé, de nombreux changements ont été opérés sur les planches entre la parution de l’histoire dans le journal de Tintin (étalée entre 1950 et 1953) et leurs parutions en albums en 1953 et 1954. Ces modifications, qui ont été réalisées avec l’aide du tout nouveau Studio Hergé, ont consisté en l’ajout de nouvelles planches inédites, l’agrandissement des cases (donnant un souffle nouveau à l’album), la modification des couleurs (par exemple celles du char lunaire qui était orange et devient bleu) et la suppression de certaines planches, en particulier l'épisode où le Capitaine jette par inadvertance Milou au vide-ordure avec les cheveux des Dupondt et celui où Tintin et le Capitaine vont — armés — au secours des Dupondt perdus sur la Lune.

 

Incohérences, erreurs et particularités

 

Les carreaux rouges et blancs de la fusée changent régulièrement de place à travers les cases (comme dans l’album précédent).

Lorsque Tintin, Wolff, Haddock et Milou sont dans le char lunaire, on peut voir une pioche attachée sur le côté du véhicule. La pioche disparaît par la suite, puis réapparaît.

Dans les vieilles éditions, Tintin parle du complot contre le roi de Syldavie Muskar IV. Or le complot a eu lieu contre Muskar XII, l’erreur sera corrigée par la suite.

À la suite de pressions des milieux catholiques et de l’éditeur, Hergé se voit contraint de modifier la lettre d’adieu de Wolff en une version plus édulcorée de son suicide, dans laquelle celui-ci émet le souhait qu'un miracle puisse le sauver. Par la suite, l'auteur regrettera d'avoir cédé et rajouté ce détail irréaliste, le scientifique n'ayant aucune chance de s'en sortir vivant.

Wolff est, avec Mitsuhirato dans Le Lotus bleu, l'un des deux personnages de la série qui meurent en se suicidant.

Le capitaine Haddock est attiré par l'astéroïde Adonis. En réalité, Adonis évolue à 5 millions de kilomètres de la Terre, et ne peut donc se trouver entre cette planète et la Lune (380 000 km). Par ailleurs, sa gravité est trop peu élevée pour qu'un phénomène d'attraction se produise. Avec un vitesse de libération maximale de 60 centimètres par seconde, un simple saut d'homme à sa surface suffirait pour y décoller.

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Publié à 15:14 par dessinsagogo55 Tags : center travail monde cadre

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19/11/12 - 17h20