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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Paul Newman, né le 26 janvier 1925 à Shaker Heights (Ohio) et mort le 26 septembre 2008 à Westport (Connecticut), est un acteur, réalisateur, producteur, scénariste, philanthrope, pilote automobile américain.
Il a joué dans une soixantaine de films et a notamment remporté l'Oscar du meilleur acteur pour sa performance dans La Couleur de l'argent (1986), le prix humanitaire Jean-Hersholt, un Golden Globe du meilleur réalisateur pour Rachel, Rachel (1968), ainsi qu'un Cecil B. DeMille Award et un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.
Citoyen engagé et philanthrope, Paul Newman a également joué un rôle important dans le mouvement pour les droits civiques dans les années 1960 et a soutenu de nombreuses œuvres caritatives.
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L'acteur David Soul, star de la série "Starsky et Hutch" est mort
Article de Franceinfo •
39m
Son épouse Helen Snell l'a annoncé, vendredi, dans un communiqué.
Il incarnait le détéctive Hutch dans la série télévisée "Starsky et Hutch". L'acteur David Soul, qui fut aussi un chanteur à succès, est mort le jeudi 4 janvier, a annoncé son épouse Helen Snell dans un communiqué relayé par le journal britanique le Daily Mail.
"Mari aimé, père, grand-père et frère : David Soul est mort hier après une vaillante bataille près de sa famille qui l'aimait", peut-on lire dans le communiqué. "Il a offert au monde ses extraordinaires talents d'acteur, de chanteur, de conteur, d'artiste créatif et d'ami précieux. Son sourire, son rire et sa passion pour la vie resteront dans l'esprit des nombreuses personnes dont il a croisé la vie."
Tournée à Los Angeles, la série Starsky et Hutch donnait à voir deux détectives dans la trentaine. L'un est brun et nerveux, l'autre blond et plutôt zen. La série connaît un succès immédiat.
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Une cabine téléphonique est un édicule situé sur l'espace public (typiquement, le trottoir), muni d'un téléphone permettant d'émettre et, éventuellement, de recevoir des communications qui sont réglées avec une carte à puce (carte prépayée, carte bancaire), des pièces de monnaie ou des jetons. Contrairement au téléphone public sans cabine, la cabine téléphonique permet à celui qui téléphone ou y reçoit un appel, de s'isoler du bruit ambiant, d'y tenir une conversation privée, tout en étant abrité des intempéries. Elle permet également de téléphoner à toute heure, ce que ne permettaient pas les téléphones publics et cabines situés dans des bars, restaurants, hôtels et bureaux de poste, etc..
Une cabine téléphonique peut recevoir des appels entrants grâce au numéro de téléphone fixe qui lui est affecté.
Certains pays ont disposé de cabines téléphoniques particulièrement iconiques, à l'instar des cabines téléphoniques rouges britanniques, des cabines jaunes en Allemagne, des cabines et téléphones publics américains popularisés par le cinéma, et des cabines norvégiennes, par exemple.
En raison de la généralisation des téléphones mobiles, la plupart des cabines ont disparu ou sont en voie de disparition et de démantèlement, mais par culture ou nécessité certains pays les maintiennent, et dans les pays qui ont cessé d'en faire usage certaines cabines restent en place ou sont réinstallées pour d'autres utilisations, recyclées en mini-bibliothèque, en bornes d'accueil pour défibrillateurs, en micro-restaurants, en locaux de concessionnaires à Londres ou, au Japon, en téléphone pour parler aux morts, par exemple.
Histoire
L'invention du téléphone public à pièces est généralement attribuée à l'Américain William Gray, qui dépose un brevet le 13 août 1889 à Hartford, Connecticut, États-Unis. En 1891, Gray fonde la Gray Telephone Pay Station Company pour exploiter son invention.
Pourtant, l'une des plus anciennes mention connues d'un service téléphonique date de 1878. Cette année-là Thomas Doolittle met en place une ligne téléphonique payante entre Bridgeport and Black Rock (en) à l'aide de deux cabines en bois et d'un câble télégraphique de remploi. Le premier brevet d'un “cabinet téléphonique” date de 1883.
En France, les premières cabines téléphoniques sont exploitées à titre expérimental à Reims en 1883. Dans la foulée des cabines sont implantées également à titre expérimental à Lille, Roubaix et Tourcoing. L'acte d'officialisation de l'existence des cabines téléphoniques en France date de la publication du bulletin officiel du 31 décembre 1884 et du décret du 9 janvier 1885.
Les cabines téléphoniques en France
La cabine téléphonique est apparue en France le 15 août 1881, lors de la première Exposition internationale d'Électricité, à Paris. Ce fut la Société générale des téléphones, alors qu'elle était la seule entreprise privée offrant un service de communication téléphonique aux particuliers, qui avait eu l'idée d'isoler ses trente téléphones en démonstration dans des guérites en chêne capitonnées.
En France néanmoins, les cabines téléphoniques à proprement parler se limitent longtemps à des cabines installées à l'intérieur des bureaux de Postes, télégraphes et téléphones (France) et à quelques centaines puis milliers de cabines extérieures d'octobre 1955 au début des années 1970. Ce faible nombre de cabines sur la voie publique et la très lente croissance de leur nombre s'explique par une conception différente alors de la part de l'État, qui en restreignait délibérément l'accès, ne considérant pas cet outil de communication comme un service public mais comme un outil stratégique, et par une pression des débitants de boissons qui souhaitaient conserver le monopole des « Taxiphones » dans leurs établissements.
Les cabines téléphoniques désignent les habitacles, micro-architectures, édicules, cabines , aubettes, le plus souvent d'une forme qui s'apparente à celle d'une guérite, et l'appareil téléphonique qu'ils abritent.
Ces appareils munis de dispositifs de paiement se nomment le plus souvent du nom de la compagnie exploitante qui les exploite, tels que Taxiphone (1924), Pointphone (1985) ou Publiphone (1974), cette dernière dénomination étant celle de la compagnie exploitante des publiphones jusqu'à la fin de la commercialisation des télécartes.
En France le paiement des communications évolue, tout d'abord par timbre, par jetons, puis par monnaie et enfin par cartes de diverses technologies : à partir de 1978 débutent des tests publics avec des cartes magnétiques, des cartes holographiques à lecture laser, des cartes thermo-magnétiques puis la carte à puce rigide se généralise à partir de 1984. Le mot télécarte entre dans le dictionnaire en 199013. Dans d'autres pays plusieurs autres systèmes de cartes souples ou rigides seront adoptés, magnétiques ou à puces tandis qu'aux États-Unis (par exemple) des appareils à monnaie perdureront en service jusqu'à la fin des téléphones publics. L'apparition des télécartes permet de développer un nouvel espace publicitaire sur ces supports et amène un engouement imprévu pour ces cartes qui font très rapidement l'objet de collections, de publications spécialisées et de cotations, durant un peu moins d'une vingtaine d'années en France (de fin 1986 et l'apparition de la première carte publicitaire, jusqu'au début des années 2000 environ). Cet engouement s'évapore parallèlement au désintérêt progressif pour les cabines téléphoniques à partir des années 2000 provoqué par l'arrivée et la généralisation de l'usage des téléphones portables à la fin des années 1990 puis par l'apparition des smartphones en 2007. Le déclin de l'usage des cabines, inutilisées et dégradées, la fin de la commercialisation et de la validité des télécartes, puis l'oubli de ces outils par les plus jeunes générations qui ne les ont pas ou très peu utilisés ont entériné l'effondrement de l'intérêt porté aux télécartes, et donc de leur valeur de collection.
Après avoir emprunté diverses formes, y compris intégrées aux abribus, ce n'est qu'à partir de 1975 et l'annonce d'un grand plan de développement pour la publiphonie française (Plan 100 000 cabines) que des modèles standardisés de cabines téléphoniques vont être très rapidement déployés en France et devenir partie intégrante de l'espace public. Durant la première décennie de ce plan et malgré l'engouement qu'il suscite, ce déploiement se heurte aux vols et au vandalisme massif (une cabine sur dix est en dérangement pour cette raison à l'époque) et incite au développement rapide de publiphones à cartes et au remplacement systématique des appareils à monnaie par ces publiphones. Ce remplacement réduit le nombre d'appareils en dérangement pour vandalisme de 90% et permet un plein essor du parc de cabines téléphoniques jusqu'en 1997.
À l'apogée de ce service, au tournant 1997-1998, 241 000 cabines sont en place, mais le développement dès lors très rapide de la téléphonie mobile et de l'accès à Internet pour le grand public condamnent déjà la publiphonie à une fin inexorable, seulement ralentie par les obligations de service public de l'opérateur. La disparition graduelle de cette contrainte sonnera la dépose et le démantèlement de masse de la quasi-totalité des installations.
La suppression des 5 450 cabines encore en service en France (en septembre 2017) est planifiée pour la fin de l'année 201716 épilogue d'un déclin entamé avec l'apparition du téléphone portable. Depuis l'apogée de 241 000 cabines en 1998, leur nombre a décliné du fait d'un moindre usage et d'une moindre rentabilité. Malgré une baisse de leur fréquentation due à l'émergence de la téléphonie mobile, elles continuent d'être utilisées, notamment par des personnes insuffisamment équipées ou soucieuses de préserver leur anonymat, ou encore parce que les tarifs peuvent y être plus économiques vers certaines destinations.
En France, bien que l'exploitation du service de publiphonie (terme officiel) soit ouvert à la concurrence, l'ARCEP a confié la gestion des cabines publiques à l'opérateur du service universel, actuellement France Télécom (renommé ensuite Orange). L'opérateur historique a retiré progressivement les publiphones qu'il ne considère plus comme rentables, c'est-à-dire dont la durée d'utilisation est inférieure au seuil de cinq minutes par jour. 60 % des cabines ont disparu depuis 1997. Entre fin 2007 et 2008, la durée des communications a baissé de moitié.
Au nom du service universel, l'opérateur historique était tenu d'assurer un maillage minimum du territoire, même dans les zones géographiques de faible fréquentation où elles ne sont pas rentables : chaque commune devait ainsi être équipée d'au moins une cabine téléphonique, et des cabines supplémentaires doivent être installées au-delà de 1 000 habitants.
Les cabines françaises possédaient un système automatique d'alerte en cas de panne. La maintenance et le nettoyage de la cabine sont externalisés, la réparation des téléphones est assurée par un des 22 techniciens spécialisés. France Télécom semble s'acheminer vers une externalisation de cette maintenance des téléphones. Les syndicats accusent l'opérateur de délaisser ses cabines, ce qui repousserait les clients potentiels et accentuerait le phénomène de la vitre cassée.
Néanmoins, la croissance de la téléphonie mobile reste le facteur majeur de la baisse d'utilisation des publiphones. France Télécom affirme travailler sur une nouvelle version des cabines. Un prototype de cabine téléphonique de nouvelle génération a vu le jour en 2010 à titre expérimental sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris, celui-ci permettait notamment d'accéder à un navigateur Web et employait la technologie Voix sur IP.
Début 2014, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes, questionne dans un avis paru au journal officiel l'utilité publique des cabines téléphoniques.
Citée par un article des Échos, Orange déclare qu'« entre 2000 et 2013, on a constaté 95 % de décroissance des usages. Et cela s’est accéléré depuis deux ans, on est actuellement à –47 % » ; à brève échéance, les cabines pourraient disparaître. En avril 2015, Orange donne les chiffres suivants : il reste « près de 40 000 cabines au titre du service universel ». Ces cabines n'engendrent « qu’environ 12 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel » contre « 516 millions d’euros » en 2000. C'est alors que les autorités acceptent le démantèlement de ces cabines résiduelles en sortant les cabines publiques du service universel avec la loi Macron de 2015. De plus, certaines cabines téléphoniques sont désinstallées suite à l’arrêt des télécartes.
À Paris, la dernière cabine est démontée en juin 2017.
Dans certaines communes, les cabines sont conservées et parfois reconverties en mini-bibliothèques. En septembre 2017, Le Figaro a dénombré 1 527 télécabines « sauvées » de cette manière.
En 2020, Stéphane Richard, PDG de Orange, déclare que seules vingt-six cabines subsistent en France, dont deux cabines en Haute-Garonne.
Le 25 mars 2022 le collectif Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT) revendiquant le « droit à vivre sans smartphone », remet en service une cabine téléphonique à Grenoble. C'est selon elle une « première mondiale » et elle projette d'en réinstaller 21 autres dans l'agglomération, alors que la seule ville de Grenoble en comptait autrefois 450 selon elle. Le collectif grenoblois milite pour le droit à vivre sans portable et contre la numérisation généralisée.
Interrogée en septembre 2022 par les Dernières Nouvelles d'Alsace, l'entreprise Orange déclare qu'il reste encore « 96 cabines à déposer » et « 14 cabines en fonctionnement ». Le même mois, TF1 annonce 5 cabines toujours en service.
Durant l'été 2023, selon Orange, au moins 4 cabines téléphoniques sont toujours en service (sans compter celles désactivées mais pas encore démontées, celles en attente de transformation et dont le téléphone a été déposé, et celles transformées pour divers usages).
La loi française (reprécisée par l'arrêté du 14 février 2012) prévoit l'existence d'une cabine téléphonique par commune et d'une seconde cabine pour les communes de plus de 1 000 habitants. France Télécom a été désignée en 2012 pour 2 ans, pour fournir la composante du « service universel » d’accès à des cabines téléphoniques publiques installées sur le domaine public ou à d'autres points d'accès au service téléphonique au public.
La loi dite Macron a été amendée par le Sénat le 14 avril 2015. Cet amendement accepté supprime l'obligation de service universel concernant la publiphonie à la condition que les communes concernées par le retrait soient couvertes par les réseaux mobiles 2G à fin 2016 et 3G fin 2017.
À la suite d'un article publié dans le magazine local grenoblois, Le Postillon durant le printemps 2021 et dénommé L'appel des cabines, ce journal évoque la remise en service des cabines téléphoniques publiques. Associé à un collectif (l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT)) les membres du journal lancent l'idée d'une cabine téléphonique mobile et la transporte dans plusieurs endroits de Grenoble. Selon un article du journal Le Parisien, il s'agirait d'une « première mondiale » ; le 25 mars 2022, cette cabine téléphonique en état de fonctionnement a été inaugurée dans un parc de la ville sous les yeux de nombreux habitants mais aussi ceux des membres du collectif
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Elizabeth Montgomery, née le 15 avril 1933 à Los Angeles (Californie) et morte le 18 mai 1995 à Beverly Hills (Californie), est une actrice, principalement de télévision, mais aussi de cinéma, devenue célèbre en interprétant le rôle de Samantha dans la série télévisée Ma sorcière bien-aimée (Bewitched).
Biographie
Naissance dans une famille de star
Son grand-père paternel, Archibald Montgomery, est né à Belfast et a émigré aux États-Unis en 1849. Elizabeth Montgomery, née à Los Angeles le 15 avril 1933, est fille de l’acteur Robert Montgomery et de l’actrice de théâtre et de cinéma Elizabeth Bryan Allen, née au Kentucky et descendante d'une famille d'origine écossaise.
Enfants privilégiés, Élizabeth et son petit frère Robert passent une enfance et une adolescence heureuses et bénéficient de tout le confort de la classe aisée : voyages, leçons d'équitation, et fréquentation de célébrités. Elle fait ses études à la Westlake School for Girls (aujourd'hui la Harvard-Westlake School), un établissement privé de la Californie du Sud. Jugée timide par son entourage, elle développe une passion pour l'art dramatique et commence à jouer dès son jeune âge, en dépit d'un père qui tente de la décourager. Pour s'opposer à lui, elle s'installe à New York, fréquente la Spence School et, après l'obtention d'un diplôme, la American Academy of Dramatic Art pendant trois ans.
Débuts à la télévision, au théâtre et au cinéma
Faisant amende honorable, son père lui donne la chance de connaître sa toute première prestation grâce à son émission de télévision télévisuel, le Robert Montgomery Presents (en). Elizabeth a 19 ans. Elle apparaîtra plus de 30 fois dans cette série d'anthologie entre 1951 et 1956. Elizabeth dira souvent « J’ai toujours été un bébé de la télévision ». De fait, au cours des années 1950, elle apparaît à de nombreuses reprises dans des épisodes de séries d'anthologie Armstrong Circle Theatre (en) (2 épisodes), Kraft Television Theatre (en) (7 épisodes), Appointment with Adventure (en) (2 épisodes) et Studio One (3 épisodes).
En octobre 1953, elle fait ses débuts sur Broadway dans la pièce Late Love de Rosemary Casey. La pièce est un succès et son interprétation de Janet Colby vaut à Elizabeth Montgomery un Theatre World Award. Elle épouse le réalisateur de télévision Frederic Camman, mais ce mariage, à la différence de sa carrière, ne dure pas.
En 1955, elle obtient son premier rôle au cinéma dans Condamné au silence (The Court-Martial of Billy Mitchell) du réalisateur Otto Preminger en 1955, avec Gary Cooper.
Elle rencontre l'acteur Gig Young en 1956, son aîné de vingt ans. Ils se marient, mais leur relation connaît des difficultés.
Elle tourne encore au cinéma, en 1963, dans La Revanche du Sicilien (en) (Johnny Cool), avec Telly Savalas, Henry Silva et Sammy Davis Jr.. Le film est réalisé par William Asher, un homme énergique qui est sensible au charme de la jeune Elizabeth. Les deux tombent amoureux. Elizabeth divorce rapidement — au Mexique — de Gig Young pour épouser William Asher. De leur union naîtront trois enfants : William Junior, Robert et Rebecca.
Elizabeth tourne aussi dans Mercredi soir, 9 heures... (Who's Been Sleeping in My Bed?, 1963) aux côtés de Dean Martin et de son amie Carol Burnett. Elle reste toutefois très fidèle à la télévision en participant à plusieurs séries populaires, dont Alfred Hitchcock Presents (1958), Thriller : Masquerade (1961), La Quatrième Dimension (l'épisode Deux avec Charles Bronson, en 1961) et Les Incorruptibles (The Untouchables) (avec Robert Stack, 1961), où son interprétation de la prostituée Rusty Heller dans The Rusty Heller Story (saison 2, épisode 1), lui vaut d'être nommée pour le Primetime Emmy Award for Outstanding Single Performance by an Actress in a Leading Role.
Ma sorcière bien-aimée (1964-1972)
Avec son mari, le réalisateur William Asher, Elizabeth rencontre les dirigeants de Columbia Pictures pour soumettre le projet d'une série télévisée à laquelle ils pourraient travailler ensemble. Ils se voient plutôt offrir par le producteur William Dozier une série en développement pour laquelle il cherche la comédienne principale. Les Asher ne tardent pas à accepter. Le réseau ABC décide de s'associer aux studios Screen Gems, branche pour la télévision de Columbia Pictures, et le tournage du pilote de la future série télévisée Ma sorcière bien-aimée (Bewitched) commence en 1963. Accepté par le réseau, une première saison est commandée. Lorsque le premier épisode est présentée en septembre 1964, il fracasse les cotes d'écoute et devient le plus gros succès de l'histoire du réseau ABC. La série ne prendra fin que huit ans plus tard, au printemps 1972. Les Asher divorcent en 1974.
Dans Ma sorcière bien-aimée, Elizabeth Montgomery interprète Samantha (Sam), une gentille sorcière qui remue son nez pour accomplir ses tours de sorcellerie. Elle est mariée à un mortel, à la grande déception de sa mère, Endora, qui jettera au pauvre Jean-Pierre (Darrin, dans la version originale) de nombreux sorts. La voisine de Samantha, Madame Kravitz ne fait que l'espionner et tente de convaincre son mari Albert (Abner, dans la version originale) que sa voisine est des plus étranges. Sam a aussi une très gentille Tante Clara, une sorcière très âgée qui n'a plus toute sa tête ni ses pleins pouvoirs, et qui ne cesse de faire des gaffes.
Le feuilleton devient une véritable série culte. Elizabeth Montgomery est nommée cinq fois de suite au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour ce rôle, entre 1965 et 1970, ainsi qu'à quatre Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée musicale ou comique : 1964, 1966, 1968 et 1970. Les autres acteurs et artisans du succès le seront aussi à plusieurs reprises, notamment Dick York (Jean-Pierre), Agnes Moorehead (Endora). Alice Pearce (Gladys Kravitz), Marion Lorne (Tante Clara) et le réalisateur William Asher remportent des Emmy Awards. Succès planétaire, Ma sorcière bien-aimée fait d'Elizabeth Montgomery l'une des actrices les plus populaires des années 1960.
À partir de 1966, Elizabeth Montgomery interprète deux rôles dans la série : celui de Samantha et celui de Serena, sa brunette cousine jumelle, elle-même sorcière.
À la fin de la 5e saison, Dick York, l'interprète de Jean-Pierre, doit être remplacé : il abandonne définitivement le métier à cause de fortes douleurs dorsales consécutives à une blessure. Les Asher pensent arrêter, mais le réseau ABC les persuade de prolonger la série en les associant à la supervision et à la production. À partir de la 6e saison, Dick Sargent reprend le rôle de Jean-Pierre. La série avait déjà connu d'autres remplacements : Irene Vernon, interprète de Louise Tate, la femme du patron de Jean-Pierre, l'hypocrite Alfred (David White), se fait remplacer à partir de la 3e saison par Kasey Rogers ; Alice Pearce qui joue Charlotte Kravitz meurt d'un cancer en 1966 et est remplacée par Sandra Gould à partir de la 3e saison.
Carrière consacrée à la télévision
Années 1970
En 1972, après la fin de cette populaire et longue série, Elizabeth Montgomery change de registre et tente de faire oublier Samantha. Elle s'intéresse à des rôles dramatiques dans des téléfilms, et en tourne au moins un par an. Elle débute avec le suspense Qui a tué Susan ? (The Victim) en 1972. Après son divorce avec William Asher, elle entretient une relation avec l'acteur Robert Foxworth qu'elle rencontre en 1973 lors du tournage du téléfilm Marquée par le destin (Mrs. Sundance).
En 1974, elle renoue avec le succès dans le premier téléfilm de la télévision américain à traiter du viol, Une affaire de viol (A Case of Rape (en)), pour lequel elle est nommée une septième fois pour un Emmy. Le téléfilm choque plusieurs téléspectateurs et a un réel impact sur la société américaine, en contribuant à faire tomber quelques préjugés sur ce sujet encore tabou au milieu des années 1970.
L'année suivante, Elizabeth Montgomery poursuit sur sa lancée dramatique avec La Légende de Lizzie Borden (The Legend of Lizzie Borden), d'après une histoire vraie. Elle y interprète Lizzie Borden, (et elle obtiendra une huitième nomination aux Emmy Awards), une femme froide et sinistre accusée en 1892, à tort ou à raison, d'avoir assassiné sauvagement ses parents à coups de hache. Le cas de Lize Borden, déjà reconnue aux États-Unis comme un personnage noir de la collectivité et élevé au niveau du mythe, attire une large audience. Le téléfilm obtient un vif succès. La critique dans la presse souligne la mise en scène sobre, la photographie soignée et le jeu d'Elizabeth Montgomery, retenu et efficace. Fritz Weaver, Katherine Helmond et Fionnula Flanagan complètent la distribution de cette production.
Elizabeth Montgomery poursuit sa carrière avec le remake de Dark Victory (1976), avec Anthony Hopkins, rôle pour lequel elle est nommée une neuvième fois aux Emmy, A Killing Affair (1977), aux côtés du fameux O. J. Simpson, et The Awakening Land (en) (1978), une mini-série de huit heures pour laquelle elle obtient sa dixième et dernière nomination aux Emmy qui lui aura toujours échappé. Elle tourne aussi l'excellent Violence dans la ville (Act of Violence) et Jennifer: A Woman Story, tous deux en 1979. Il est question au tournant des années 1980 de relancer Ma sorcière bien-aimée, ne serait-ce que par une émission de retrouvailles, mais Elizabeth Montgomery ne veut pas en entendre parler.
Années 1980
Belle Star (1980), La vie est un cirque (When the Circus Came to Town, 1981), avec Christopher Plummer et Eileen Brennan, The Rules of Marriage (1982), avec Elliott Gould, Pièces à conviction (Missing Pieces, 1983) et Emma (Second Sight, 1984) s'enchaînent avec le même succès.
Elizabeth Montgomery interprète en 1985 l'abominable infirmière en chef d'une pension pour personnes âgées qui assassine les résidents dans Meurtre au crépuscule (Amos). Le téléfilm, où jouent plusieurs comédiens chevronnés, dont Kirk Douglas, Dorothy McGuire et Pat Morita, obtient un gros succès. Elle tourne à nouveau avec Dorothy McGuire l'année suivante dans Between the Darkness and the Dawn.
Deux ans plus tard, elle se lance dans la narration de divers documentaires, dont Coverup: Behind the Iran-Contra Affair (1988) et The Panama Deception (1992), ce dernier gagnant l'Oscar du meilleur documentaire en 1993.
Années 1990
Dans les années 1990, l'actrice prend des positions sociales importantes, comme la défense des droits des femmes, des droits des gays et des lesbiennes et des minorités ethniques. Elle militera activement contre le sida. Elle ira même jusqu'à défiler, le 28 juin 1992, à la Gay pride de Los Angeles, avec son ami l'acteur Dick Sargent (en lui apportant son soutien lorsqu'il révèle son homosexualité), afin d'exposer à tous ses convictions sociales libérales.
Vivant toujours avec Robert Foxworth en 1992, on lui demande pourquoi ils ne sont pas mariés. Elle répond : Je connais beaucoup de couples qui vivent ensemble et qui dès qu’ils ont des papiers se séparent. Foxworth et elle se marient néanmoins cette même année au cours d'une cérémonie privée et sans annonce publique.
Elizabeth Montgomery fait son retour à la télévision en 1990 avec Tendre Choc (Face to Face), qu'elle tourne en Afrique pendant plusieurs mois avec son conjoint Robert Foxworth. Elle tourne par la suite Les Péchés d'une mère (Sins of the Mother, 1991), avec Dale Midkiff dans le rôle de son fils, État de peur (With Murder in Mind, 1992), pour une troisième fois avec Robert Foxworth, puis enregistre deux cassettes audios des Aventures érotiques de la Belle au bois dormant. Ses trois derniers téléfilms sont Black Widow Murder: The Blanche Tyler Moore Story (1993), The Corpse Had a Familiar Face (1994) et Deadline for Murder : from the Files of Edna Buchanan (1995). Pendant le tournage de ce dernier, un pilote pour une série télévisée projetée, l'actrice est malade, mais refuse d'arrêter la production. Au début de 1995, elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du colon. Elle meurt le 18 mai 1995 dans sa villa de Beverly Hills.
En 2005, Nicole Kidman a repris le rôle de Samantha dans le film Ma sorcière bien-aimée (Bewitched) réalisé par Nora Ephron.
Le 4 janvier 2008, elle reçoit à titre posthume son étoile sur le Walk of fame à Hollywood. (6533 Hollywood Blvd)
Vie personnelle
Mariage avec Frederic Camman (27 mars 1954) - divorce (1956)
Mariage avec l'acteur Gig Young (28 décembre 1956) - divorce (1963)
Mariage avec le réalisateur William Asher (26 octobre 1963) - divorce (1973) : 3 enfants : William, (1964), Robert, (1965), et Rebecca, (1969)
Mariage jusqu'à son décès avec l'acteur Robert Foxworth (28 janvier 1993 - 18 mai 1995)
Filmographie
Au cinéma
1955 : Condamné au silence (The Court-Martial of Billy Mitchell) de Otto Preminger (avec Gary Cooper, Ralph Bellamy, Jack Lord et Rod Steiger) : Margaret Lansdowne
1960 : Un numéro du tonnerre (Bells Are Ringing) de Vincente Minnelli (avec Judy Holliday) : jeune femme lisant un livre (non crédité)
1963 : La Revanche du Sicilien (Johnny Cool (en)) de William Asher (avec Henry Silva Telly Savalas, Sammy Davis, Jr. et Jim Backus) : Darien "Dare" Guiness
1963 : Mercredi soir, 9 heures... (Who's Been Sleeping in my Bed ?) (avec Dean Martin, Carol Burnett et Macha Méril) : Mellisa Morris
1964 : Bikini Beach de William Asher (avec Annette Funicello et Frankie Avalon) : la voix d'Yvonne, la dame de Bug (non crédité)
1965 : How to Stuff a Wild Bikini de William Asher (avec Annette Funicello et Brian Donlevy) : la fille de Bwana, la reine des sorcières (non crédité)
À la télévision
1951-1956 : Robert Montgomery Presents (en) - 31 épisodes
1953-1954 : Armstrong Circle Theatre (en) - 4 épisodes
1954-1956 : Kraft Television Theatre (en) - 9 épisodes
1955-1956 : Appointment with Adventure (en) - 1 épisodes
1955-1957 : Studio One - 3 épisodes :
Summer Pavillon, saison 8, épisode 33 : Helen Durand
The Drop of a Hat, saison 9, épisode 33 : Maggie, la secrétaire
A Dead Ringer, saison 7, épisode 23 : Marcia Loring Adams
1956 : Warner Bros. Presents - Siege, saison 1, épisode 23 : Laura Woodruff
1956 : Climax! (avec Richard Boone et Raymond Burr) - The Shadow of Evil, saison 2, épisode 31 : Betsy
1958 : Playhouse 90 (avec James Drury) - Bitter Heritage, saison 2, épisode 31 : Mary Brecker
1958 : Suspicion (avec Carmen Mathews) - The Velvet Vault, saison 1, épisode 32 : Ellen
1958 : Bitter Heritage (avec Franchot Tone) : Mary Brecker
1958 : DuPont Show of the Month (en) (avec Art Carney et Marion Lorne) - Harvey, saison 2, épisode 1 : Miss Kelly
1958 : Cimarron City (en) (avec George Montgomery et Mike Connors) - Hired Hand, saison 1, épisode 6 : Ellen Wilson
1958 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock Presents) (avec Gary Merrill) - Man with a Problem, saison 4, épisode 7 : Karen Adams
1959 : Letter to Loretta (en) (avec Jack Lord et Robert Anderson) - Marriage Crisis, saison 6, épisode 20 : Millie
1959 : The Third Man (série TV) (avec Jonathan Harris) - A Man Takes a Trip, saison 1, épisode 15 : Lorraine Borka
1959 : Riverboat (en) (avec Darren McGavin et Burt Reynolds) - The Barrier, saison 1, épisode 2 : Abigail Carruthers
1959 : Johnny Staccato (avec John Cassavetes) - Tempted, saison 1, épisode 10 : Fay Linn Benton
1959 : La Grande Caravane (Wagon Train) (avec Ward Bond) - The Vittorio Bottecelli Story, saison 3, épisode 11 : Julie Crail
1960 : The Tab Hunter Show (en) (avec Tab Hunter) - For Money or Love, saison 1, épisode 2 : Hilary Fairfield
1960 : One Step Beyond (avec Robert Sampson) - The Death Waltz, saison 3, épisode 3 : Lillie Clarke
1961 : Les Incorruptibles (The Untouchables) (avec Robert Stack et David White) - The Rusty Heller Story, saison 2, épisode 1 : Rusty Heller
1961 : La Quatrième Dimension (avec Charles Bronson) - Deux (Two), Saison 3, épisode 1 : La femme
1961 : Theatre '62 (en)(avec Eddie Albert, Lillian Gish et Gig Young) - The Spiral Staircase, saison 1, épisode 1 : Helen Warren
1961 : Thriller (avec Boris Karloff et John Carradine) - Masquerade, saison2, épisode 6 : Rosamond Denham
1961 : Frontier Circus (en)(avec Chill Wills, John Derek et Richard Jaeckel) - Karina, saison 1, épisode 6 : Karina Andrews
1962 : Échec et mat (Checkmate) (avec Anthony George et Sebastian Cabot - The Star System, saison 2, épisode 13 : Vicki Page
1962 : Alcoa Premiere (en) (avec Fred Astaire) - Mr. Lucifer, saison 2, épisode 5 : Iris Hecate
1963 : Saints and Sinners - The Home-Coming Bit, saison 1, épisode 14 : Eadie Donelli
1963 : Boston Terrier (téléfilm, avec Robert Vaughn) : Millie Curtain
1963 : Rawhide (avec Clint Eastwood) - Incident at El Crucero, saison 6, épisode 3 : Rose Cornelius
1963 : 77 Sunset Strip (avec Efrem Zimbalist II) - White Lie, saison 6, épisode 6 : Charlotte Delaville
1963 : The Eleventh Hour (avec Ralph Bellamy) - The Bronze Locust, saison 2, épisode 6 : Polly Saunders
1963-1964 : L'Homme à la Rolls (Burke's Law) (avec Gene Barry) - 2 épisodes :
Qui a tué M. X ? (Who Killed Mr. X?), saison 1, épisode 2 : Stacey Evans
Qui a tué Son Altesse Royale ? (Who Killed His Royal Highness?), saison 1, épisode 21 : Smitty
1964-1972 : Ma sorcière bien-aimée (Bewitched) : Samantha Stephens, dans 254 épisodes (avec Dick York, Dick Sargent, Agnes Moorehead, David White (acteur), Marion Lorne, Paul Lynde et Maurice Evans)
1965 : Les Pierrafeu (The Flintstones) - Samantha, saison 6, épisode 6 : Samantha Stephens (voix)
1972 : Qui a tué Susan ? (The Victim) (avec Eileen Heckart et George Maharis) : Kate Wainwright
1973 : Marquée par le destin (Mrs. Sundance) (avec Robert Foxworth et L.Q. Jones) : Etta Place
1974 : Une affaire de viol (A Case of Rape (en)) (avec Ronny Cox, Cliff Potts et William Daniels (acteur)) : Ellen Harrod
1975 : La Légende de Lizzie Borden (The Legend of Lizzie Borden) (avec Fritz Weaver, Katherine Helmond, Ed Flanders et Fionnula Flanagan) : Lizzie Borden
1976 : Victoire sur la nuit (Dark Victory) (avec Anthony Hopkins) : Katherine Merrill
1977 : A Killing Affair (avec O. J. Simpson) : Vikki Eaton
1978 : The Awakening Land (en) (mini-série, avec Hal Holbrook, Jane Seymour et William H. Macy) : Sayward Luckett Wheeler
1979 : Jennifer (Jennifer, A Woman's Story) (avec Bradford Dillman) : Jennifer Prince
1979 : Violence dans la ville (Act of violence) (avec Biff McGuire) : Catherine McSweeney
1980 : Belle Starr (avec Cliff Potts) : Belle Starr
1981 : La vie est un cirque (en) (When the Circus Came to Town) (avec Christopher Plummer et Eileen Brennan) : Mary Flynn
1982 : The Rules of Marriage (avec Elliott Gould et Sean Astin) : Joan Hagen
1983 : Pièces à conviction (Missing Pieces) (avec Daniel Pilon) : Sara Scott
1984 : Emma (en) (Second Sight : A Love Story) (avec Barry Newman) : Alaxandra McKay
1985 : Meurtre au crépuscule (Amos) (avec Kirk Douglas, Dorothy McGuire, Pat Morita et Ray Walston) : Daisy Daws
1986 : Between the Darkness and the Dawn (avec Dorothy McGuire, James Naughton et Karen Grassle) : Abigail Foster
1988 : Coverup: Behind the Iran-Contra Affair (narration)
1990 : Tendre Choc (Face to Face) (avec Robert Foxworth et Lou Antonio) : Dr. Diana Firestone
1991 : Les Péchés d'une mère (Sins of the Mother) (avec Dale Midkiff) : Ruth Coe
1992 : Danger extrême (With Murder in Mind) (avec Robert Foxworth, Ronny Cox, Lee Richardson et Maureen O'Sullivan) : Gayle Wolfer
1993 : The Panama Deception (narration)
1993 : Black Widow Murders : The Blanche Taylor Moore Story (avec David Clennon) : Blanche Taylor Moore
1994 : The Corpse Had A Familiar Face (avec Yaphet Kotto et Dennis Farina) : Edna Buchanan
1995 : Meurtres en série (Deadline for Murder: From the Files of Edna Buchanan) (avec Yaphet Kotto et Dean Stockwell) : Edna Buchanan
Prix et nominations
Theatre World Awards
Theatre World Award de la meilleure actrice dans un second rôle pour l'interprétation de Janet Colby dans Late Love
Golden Globes Awards
1964 : Nomination au Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1966 : Nomination au Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1968 : Nomination au Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1971 : Nomination au Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée musicale ou comique pour le rôle de Samantha Stephens/Serena dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
Emmy Awards
1961 : Nomination au Emmy Award (Outstanding Single Performance by an Actress in a Leading Role) pour la série Les Incorruptibles
1966 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1967 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1968 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1969 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1970 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée comique pour le rôle de Samantha Stephens dans la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
1974 : Nomination au Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour le film Une affaire de viol (en) (A Case of Rape)
1975 : Nomination au Emmy Award (Outstanding Lead Actress in a Special Program - Drama or Comedy) pour le film La Légende de Lizzie Borden (The Legend of Lizzie Borden)
1978 : Nomination au Emmy Award (Outstanding Lead Actress in a Limited Series) pour la mini-série The Awakening Land (en)
TV Land Awards
2003 : Nomination de la "Meilleure actrice ayant joué un double rôle à la télévision" (Samantha et Serena) pour la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
2004 : Gagnante de la "Meilleure actrice ayant joué un rôle surnaturel à la télévision" (Samantha) pour la série Ma sorcière bien-aimée (Bewitched)
Women in Film Lucy Awards
1995 : Prix pour l'ensemble de sa carrière
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Robert Montgomery est un acteur, producteur de télévision et réalisateur américain, né le 21 mai 1904 à Beacon, dans l'État de New York, et mort le 27 septembre 1981 à New York (États-Unis). Il est le père de l'actrice américaine Elizabeth Montgomery.
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Charles Robert Redford, Jr., dit Robert Redford, né le 18 août 1936 à Santa Monica (Californie), est un acteur, réalisateur et producteur américain.
En 1969, il se fait connaître grâce au western Butch Cassidy et le Kid. Il confirme son ascension avec des films tels que Les Hommes du président, L'Arnaque, Gatsby le Magnifique, Out of Africa et L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux.
En 1981, il remporte l'Oscar de la meilleure réalisation pour le film Des gens comme les autres, ainsi qu'un Oscar d'honneur en 2002 pour l'ensemble de sa carrière.
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Richard Dean Anderson est un acteur et producteur américain, né le 23 janvier 1950 à Minneapolis (Minnesota).
Il est connu pour les rôles principaux dans les séries télévisées MacGyver et Stargate SG-1.
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Susan Bernard, née le 11 février 1948 à Los Angeles et morte le 21 juin 2019 dans la même ville, est une actrice, mannequin et femme d'affaires américaine.
Elle est également connue sous le nom de Sue Bernard, utilisé lorsqu'elle apparaît comme playmate de Playboy en décembre 1966.
Biographie
Susan Lynn Bernard est la fille de Bruno Bernard, photographe connu pour ses photos de pin-up et photos glamour de vedettes comme Marilyn Monroe.
Elle a été « Miss Décembre 1966 » dans le magazine de charme Playboy, et a longtemps été désignée comme la première playmate juive, bien que cette qualité ait été ultérieurement revendiquée par Cindy Fuller, Miss Mai 1959. Les photos furent prises par Mario Casilli et son père, Bruno Bernard. Dans une interview, en août 1998, de la revue Femme Fatales (en), Susan a déclaré : « J'ai été la première vierge juive de moins de 18 ans qui a posé devant un sapin de Noël sur le dépliant central », précisant qu'elle n'avait jamais été nue devant quelqu'un mis à part sa mère avant de poser pour Mario Casilli, qui avait été un apprenti de son père.
Susan Bernard a écrit six livres, dont Marilyn: Intimate Exposures, Bernard Of Hollywood's Ultimate Pin-Up Book et Joyous Motherhood. Elle est présidente de la société d'édition Bernard of Hollywood/Renaissance Road Incorporated.
Son premier mari (dont elle est divorcée) était l'acteur et auteur Jason Miller ; ils ont eu un fils, l'acteur Joshua John Miller. Elle s'est ensuite remariée à un agent littéraire, Stanley Corwin, dont elle a également divorcé.
Elle décède subitement le 21 juin 2019 dans sa maison à Los Angeles, probablement d'un infarctus
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James Dean [ d͡ʒeɪmz diːn] est un acteur américain, né le 8 février 1931 à Marion (Indiana) et mort le 30 septembre 1955 à Cholame (Californie).
Considéré comme un des meilleurs acteurs emblématiques du cinéma, son décès tragique accidentel et prématuré à l'âge de 24 ans, aux prémices de sa gloire, contribue au mythe et à son entrée dans la légende du cinéma américain.
Fait unique, il est nommé deux fois à l'Oscar du meilleur acteur à titre posthume. Il compte aussi parmi les rares acteurs (cinq au total) à être nommés dans cette catégorie pour leur premier rôle au cinéma.
Biographie
Fils unique de Winston Dean (né le 17 janvier 1907 et mort le 21 février 1995) et de Mildred Wilson Dean (née le 15 septembre 1910, morte le 14 juillet 1940), d'origine indienne par sa grand-mère maternelle, James Dean naît à Marion (Indiana) le 8 février 1931. Sa naissance, six mois après le mariage de ses parents, est mal perçue dans cette petite ville de l'Indiana. Il se sent très proche de sa mère aimante, mais reste incompris par son père, froid et distant. Six ans après l'abandon du travail de la ferme par son père pour devenir technicien dentaire dans un laboratoire, sa famille part s’installer à Santa Monica en Californie. James Dean entre alors à la public school du quartier de Brentwood à Los Angeles. Il y reste jusqu’à la mort de sa mère le 14 juillet 1940 d'un cancer du col utérin. Il a 9 ans et, bien que son père l'ait préparé à cette disparition prématurée, elle le laisse dans un profond désarroi.
Elizabeth Taylor relate que James Dean lui aurait confié avoir été abusé dans son enfance par son pasteur.
Incapable d'élever son fils car s'étant endetté pour pouvoir traiter Mildred au radium, Winston Dean l'envoie vivre chez son oncle et sa tante, Marcus et Ortense Winslow à Fairmount (Indiana). James y reçoit une éducation quaker. Au lycée, il s’initie au théâtre et pratique le basket-ball, sa taille de 1,73 m (selon IMDB) ne l'empêche pas d'être un bon joueur, a contrario de sa myopie qui le handicape et ne lui permet pas de se révéler complètement dans ce sport. Lors d'une cascade en trapèze pour impressionner une petite copine, il se casse deux incisives. Son père prothésiste lui confectionne un bridge, ce qui explique ses problèmes de diction que lui reprocheront ses futurs metteurs en scène3. C'est à cette époque qu'il rencontre le pasteur baptiste James DeWeerd qui devient son mentor (lui donnant le goût de la corrida, de la course automobile et du théâtre) et son amant3. Après l'obtention de son diplôme en 1949, à 18 ans, il quitte Fairmount pour Los Angeles, où il rejoint son père qui s'est remarié.
Il entre à l'université de Santa Monica où il intègre la confrérie des Sigma Nu, puis à l’université de Californie à Los Angeles. À cette époque, il s’investit totalement dans le théâtre malgré l'opposition de son père. James Dean quitte le domicile familial pour vivre dans un appartement avec son amant William Bast. Il vit alors de petits boulots tels que gardien de parking
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Stone et Charden est le nom d'un duo de chanteurs français formé par Éric Charden et son épouse Annie Gautrat, dite « Stone ». Le duo a à son palmarès une dizaine de grands succès de la chanson française, légers et entraînants, principalement au cours des années 1970 et 1980.
Biographie du duo
Les chemins de Stone et Charden se croisent en 1966, année où ils se marient. Menant chacun une carrière séparée, ils décident de former également un couple sur scène en 1971. Ils explosent grâce au succès L'avventura.
Déchiré par les tensions artistiques, médiatiques et amoureuses, le duo divorce en 1974 et s'écarte des projecteurs pendant un temps. Ils reprennent chacun un bout de chemin en solo, avant de réapparaître côte à côte dans les années 1990.
En 2009-2010, ils sont l'une des têtes d'affiche de la tournée Âge tendre et Têtes de bois, saison 4.
En janvier 2012, ils sont tous deux faits chevaliers dans l'ordre de la Légion d'Honneur
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